Exiger :"l’étourdissement des animaux d’abattoir avant la saignée pour tous les animaux sans aucune dérogation pour les sacrifices rituels halal et casher"

« Elle demande aussi « la remise en application immédiate de la loi française et européenne exigeant l’étourdissement des animaux d’abattoir avant la saignée pour tous les animaux sans aucune dérogation pour les sacrifices rituels halal et casher ».

« J’ai rédigé moi même le texte et voulu une large diffusion car je veux que tout le monde le sache, ce sont mes dernières volontés », a expliqué Brigitte Bardot, précisant qu’elle devait s’entretenir par téléphone cette semaine avec François Hollande à ce sujet »…(Extrait).

http://www.ledauphine.com/france-monde/2014/09/08/abattage-rituel-et-hippophagie-lettre-ouverte-de-bardot-au-gouvernement

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Exiger : »l’étourdissement des animaux d’abattoir avant la saignée pour tous les animaux sans aucune dérogation pour les sacrifices rituels halal et casher »

Parce que ce n’est pas le cas, en… FRANCE ? ? ?

Ô Dieu ! merci de ne pas m’avoir contaminée avec une religion :##

Infanticide du père: la justice s’attaque à la… mère aussi." ?

… » Au cours de son audition, le père a assumé la responsabilité du drame et mis sa compagne hors de cause pour les violences. La mère a été mise en examen pour «non-assistance à personne en danger, recel de cadavre, et dénonciation de crime et délit imaginaire», ce dernier chef en raison de sa «participation active» à l’élaboration du scénario d’enlèvement destiné à tromper les enquêteurs.

Ils ont tous deux été placés en détention provisoire »…(Extrait).

http://www.20min.ch/ro/news/faits_divers/story/Marche-blanche-pour-Loan-frappe-a-mort-par-son-pere-18654152

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En cas d’infanticide du père: la justice s’attaque aussi à la… mère!

Même quand « le père a assumé la responsabilité du drame et mis sa compagne hors de cause pour les violences. »

En occultant totalement le climat* de terreur, de soumission, de dépendance matérielle et physique, etc, installé* de longue date par le père :##

Quand c’est la mère qui commet un infanticide, le père demeure blanc comme neige aux yeux des enquêteurs: c’est ELLE, seule, le monstre à punir!

– Il lui grimpait dessus avec ou sans son avis ? On s’en fout!

– Il ne lui a JAMAIS demandé de COMBIEN d’enfants ELLE souhaitait être engrossée puis accoucher et élever ? On – s’en – fout !!

-Il n’a JAMAIS envisagé un mode de contraception efficace, MASCULIN : Popaul et ses 2 acolytes: pas touche! se contentant de compter sur elle…en PLUS(!) ? On s’en F.O.U.T !!!

– Il était aux abonnés « absents » concernant sa détresse à assumer la charge écrasante des enfants, en plus du ménage et de son job à elle? ON- S’EN- FOUT !!!!

Les religions sont passées par là: l’ « USINE à bébés », n’est pas un être HUMAIN qui a « crimé » à…DEUX(!), dans le cas d’infanticide maternel, mais une sous-espèce seule irresponsable, à dominer, contrôler et surtout… PUNIR

D’une façon ou d’une autre !

Ainsi soit-elle !:##

PS- ah! j’oubliais : un climat* de terreur, de soumission, de dépendance matérielle et physique, etc, installé* et entretenu de longue date par le père ?

Je SAIS de quoi je parle: l’ex-mari prof de gym a su se montrer très inventif(étranglement, 22long Rifle, revolver, incendie provoqué, défiguration à l’acide ou freins trafiqués ou chute d’une falaise de 300m : menacée et projetés, etc … pendant 13 ans

Pourquoi j’ai supporté tout ce temps ? Vous avez quand même entendu parler du nombre impressionnant de femmes assassinées pour avoir bravé l’interdiction du mari de le quitter ? Lorsqu’enfin j’ai pu le faire (fric et mental), il a forcé le checkpoint de la police de l’air et des frontières pour me courser jusque dans l’avion avant d’être rattrapé (Il ne savait pas que je m’étais cachée dans les toilettes !)

Bienvenue à Bangkok (Thaïlande‎), New Delhi (Inde), Warsaw (Pologne), Saint Robert-Missouri (US), Menlo Park-Californie (US), Utrecht/ Ittre/Namur (Belgique),

Ce soir lors de la promenade de santé !(Pointez souris pour légende).

Dimanche 7 septembre :

@ ‎18‎:‎24‎: Mountain View, Californie, US
@ ‎18‎:‎18‎: Namur, Belgique
@ ‎18‎:‎15‎: Port Louis, MU
@ ‎17‎:‎26‎: Tanger, Maroc
‎@ ‎15‎:‎44: Bangkok, Thaïlande‎
‎@ ‎15‎:‎32: Europe, EU‎
‎‎@ ‎14‎:‎55‎: Warsaw, Pologne
@ ‎13‎:‎14: Saint Robert, Missouri, US
‎@ ‎13‎:‎08: New Delhi, Inde
‎@ ‎13‎:‎07‎: Menlo Park, Californie, US
‎@ ‎12‎:‎17: Alger, Algérie
‎‎@ ‎11‎:‎54: Utrecht, Pays-Bas
‎@ ‎11‎:‎25: Ittre, Belgique
‎@ ‎11‎:‎23: Ekeren, Belgique

Entre autres…

Douce nuit et merci pour la visite !

"Désolé, mais je ne vois pas comment le porno peut être chic" ! Moi non plus !

Un com masculin:

« Désolé, mais je ne vois pas comment le porno peut-être chic » !

Un com « féminin » lui répond:

 » je suis de votre avis. L’érotisme est agréable, le porno pas pour moi. »

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Et pour singer la phrase* « Escort girl, c’est pute »:

Le porno chic(sic) c’est du… porno(!) : des sexes mâles et femelles en gros plan et en action… pornographique !

Et pour en imiter une autre* : « Cela me ferait plutôt débander « !

Bref: merci à Canal d’avoir éduqué des… bambins au porno…à la maison ?

Et des compagnons à exiger des pratiques sexuelles de plus en plus crades(!)…à la maison ? :##

PS- comme dab: Kom TU ve TU choize !

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http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1235966-sebastien-thoen-au-journal-du-hard-comment-canal-a-rendu-le-porno-hype.html?cm_mmc=EMV-_-NO-_-20140907_NLNOACTU08H-_-journal-du-hard-comment-canal-a-rendu-le-porno-hype :

« Sébastien Thoen, trublion au « Grand Journal » et chroniqueur dans « Action discrète » prend les rênes du « Journal du Hard » sur Canal Plus.
L’occasion de revenir sur cette émission, qui depuis sa création en 1991, est parvenue à rendre le cinéma pornographique chic. Analyse de la spécialiste des médias, Virginie Spies. »

" Ce qui se passe dans l’esprit et le cœur des papas qui ont des filles" ?

Par Bret Spears:

« Si vous vous êtes déjà demandé ce qui se passait dans l’esprit et le cœur des papas qui ont des filles, considérez cette liste comme une sorte de striptease de l’âme…

… » 5- Personne ne m’a jamais dit ce qui m’attendait au revers de toute cette tendresse

Il est très commun pour les papas de filles d’entendre la boutade: « Oh, vous pensez que vous savez ce qu’est l’amour, mais préparez-vous! Vous n’avez jamais rien ressenti de semblable. » Et, en partie, ils ont raison. La « fille à papa » qui peut faire ce qu’elle veut de lui est bien documentée. Ce qui l’est moins, c’est l’incroyable RAGE qui peut se trouver au revers de toute cette tendresse.

Une sensation d’une férocité indescriptible qui pénètre les os.

Je me souviens d’un épisode de ce sentiment de rage alors que je me trouvais dans un marché bondé avec le bébé dans la poussette, prêt à infliger les pires sévices à n’importe quel membre de la foule qui tenterait de couper la ligne. Cela est très complexe pour le cœur d’un homme d’être confronté à une charge émotionnelle qui pourrait vous pousser à donner votre vie et même prendre celle d’un autre. Sûrement qu’il y a une leçon à tirer de cette histoire »…(Extrait).

Lire la suite ici http://www.huffingtonpost.fr/bret-spears/10-choses-que-jaurais-aime-savoir-avant-davoir-une-fille_b_5761660.html?utm_hp_ref=France

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« Cela est très complexe pour le cœur d’un homme d’être confronté à une charge émotionnelle qui pourrait vous pousser à donner votre vie et même prendre celle d’un autre. »

Je pense tout particulièrement aux papas confrontés au…viol de leurs petites princesses…

Attention danger : "Le fait de ne pas révéler à votre enfant à combien de violences et d’abus , il peut se trouver confronté dans le monde " ?

(Lien pour vidéo en français et lien pour article en anglais, ci-dessous)

Par Sandra Kim :

« L’idée que quelqu’un puisse agresser votre enfant est terrifiante pour tous les parents(sauf pour le parent pédophile, ce qui est le cas pour 37 % d’entre eux) .

La douleur, la peur et les traumatismes qu’ils peuvent éprouver à un si jeune âge sont effrayants à considérer. Ce qui suffit pour faire de cela, un phénomène flippant sur lequel un parent ne veut jamais se pencher..

Et puis nous espérons que cela n’arrivera tout simplement jamais à notre petite fille ou garçon .

Sauf que votre fille a 1 chance sur 4 et que votre fils a 1 chance sur 6 d’être agressés avant l’âge de 18 ans.

Je sais que vous ne voulez pas l’entendre ou le croire. Mais c’est vrai .

Et ces statistiques sont trop élevées pour que des parents risquent de rester mal informés sur la réalité de l’abus sexuel des enfants et sur le fait de ne pas parler à leur enfant de ce sujet .

En plus de cela , la majorité des enfants ne signalent jamais les abus sexuels quand ça se passe . Ils ont souvent peur des réactions ou peur d’avoir des ennuis concernant leurs parents . Ils ne savent pas comment expliquer ce qui leur est arrivé ou comment ils ont cru ce que l’agresseur leur a dit pour les faire taire .

Maintenant , vous ne pourrez jamais protéger votre enfant pleinement ni ne jamais être inquiète . Mais vous pouvez faire beaucoup pour réduire la vulnérabilité de votre enfant à la violence sexuelle et augmenter les chances qu’il vous raconte quand quelque chose se passe, par la suite .

Vous avez juste besoin de leur parler directement à ce sujet et de le faire à plusieurs reprises .

Pourquoi parler de l’abus sexuel , c’est comme parler de traverser la rue

L’idée de parler à votre enfant de la violence sexuelle vous semble probablement pire même que de leur parler de sexe .

Vous ne voulez pas pour eux (ou vous-même ) faire peur en vous engageant dans ce processus . Vous ne voulez pas le dépouiller de son innocence . Vous ne voulez pas lui révéler à combien de violence et d’abus , il peut se trouver confronté, dans le monde .

Mais étant donné les statistiques , votre enfant est beaucoup plus susceptible d’être agressé que d’être percuté par une voiture en traversant la rue .

Donc, essayez de penser à ces entretiens comme étant tout aussi importants (et franchement plus importants, étant donné les statistiques )que d’enseigner à votre enfant comment traverser la route en toute sécurité .

C’est l’une des choses que vous devez enseigner à votre enfant, comme une preuve d’amour en prenant soin de lui et comme un moyen d’ assurer sa sécurité.

Rappelez-vous que vous prendrez une profonde respiration avant de commencer à parler à votre enfant au sujet de son corps .

Voici les façons d’aborder la conversation:

1 . Considérez vous-même cette conversation comme une façon d’aimer votre enfant : un lieu apaisant et non pas un endroit stressant aidera à créer un environnement calme pour votre enfant . Cela l’aidera vraiment à écouter les mots que vous lui dites . Si vous avez peur et si vous êtes stressée , il va réagir principalement à la peur et n’enregistrera pas autant ce que vous lui dites .

Il est également important de ne pas traiter le sujet comme quelque chose de tabou ou de sale (ce qui est souvent le cas lorsque nous traitons tout ce qui touche au sexe ) . Même lorsque les parents essaient de cacher leurs sentiments , les enfants sont souvent très perspicaces et repèrent de petits indices qui leur disent que quelque chose cloche . Ils pourraient alors penser que l’on parle de quelqu’un qui souffrirait peut-être à tort, à cause d’eux , même si vous leur dites que ce n’est pas le cas. Donc, parlez d’une manière calme , décontractée , et restez dans cet état d’esprit en ayant ces entretiens .

2 . Commencez à leur parler dès l’âge de 2 ans: Cela peut sembler très tôt mais les enfants de moins de 12 ans sont les plus à risque à l’âge de 4 ans. Même s’ils ne peuvent pas bien parler, les enfants de cet âge sont occupés examiner le monde . Et ils comprennent et se souviennent certainement de beaucoup plus de choses que les adultes l’admettent habituellement .

Par exemple , quand vous donner le bain , dites-leur où sont leurs parties intimes et ce que le parent doit voir et toucher pour les nettoyer , mais que normalement personne ne devrait le faire.

3 . Enseignez-leur les noms réels de leurs parties intimes : Lorsque vous commencez à leur enseigner certaines parties de leur corps comme les oreilles , les yeux et les orteils , leur enseigner aussi les vrais noms de leurs parties intimes comme « vagin » et «pénis» et non leurs noms « mignons » . Cela leur donne les bons mots à utiliser si quelqu’un leur fait du mal et fait que la personne se dit qu’il comprend ce qui se passe . Il est également important d’enseigner l’anatomie féminine et masculine parce que l’ agresseur peut être de l’autre sexe et ils ont besoin de savoir comment décrire ce qui leur arrive .

Dans un cas, un enfant avait dit à sa mère que son estomac lui faisait mal . Quand ils l’ont emmenée chez le médecin , il les a informés que son vagin a montré des signes de viol . Leur petite fille avait essayé de leur dire ce qui se passait , mais elle ne savait pas comment l’appeler « vagin » et elle a dit l’estomac à la place.

4 . Nommer les seuls cas où les parties intimes peuvent être vues et touchées : Un concept adapté à l’âge qu’un jeune enfant peut comprendre, c’est que personne – y compris un parent ou tuteur – doit voir ou toucher leurs parties intimes – comme un maillot de bain qui les couvrirait – afin qu’ils les gardent propres, sûrs , ou en bonne santé. Mais aussi s’assurer qu’ils savent que, même dans ces situations , si quelqu’un leur fait du mal , ils peuvent toujours dire « stop , ça fait mal» et le raconter à leur mère immédiatement .

Quelques exemples pour les aider à comprendre ce dont vous parlez, c’est quand vous leur donnez un bain ou quand un médecin les examine. Demandez-leur si c’est un exemple pour les garder propres, en sécurité , ou en bonne santé, ce que vous êtes entrain de faire .

5 . Apprenez-leur que leurs parties intimes sont spéciales : Quand on parle de ce sujet , il est important de ne pas créer un sujet tabou ou un sentiment sale autour de leurs parties intimes . Au lieu de cela les parents peuvent enseigner à leurs enfants que leurs parties intimes sont si spécieuses qu’elles sont juste pour eux et pas pour personne d’autre .

C’est seulement lorsqu’ils ont besoin de garder leurs parties intimes propres, protégés et sains, que d’autres personnes sont autorisées à les voir ou les toucher. C’est également une étape importante pour aider les enfants à développer une sexualité saine avant de discuter lui-même de sexe avec eux .

6 . Enseignez-leur(et respectez ) leur droit à disposer de leur corps : Cela va à l’ encontre de ce que nous enseignons à nos enfants souvent – que les adultes ont une autorité absolue sur tout et que les enfants doivent faire ce qu’on leur dit . Le problème c’est que cela leur apprend à se taire quand ils se sentent mal et ont peur à cause de ce qu’un adulte leur dit de faire . Au lieu de cela , apprendre à votre enfant que leur corps leur appartient et personne n’a le droit de blesser leurs corps , même si un adulte qui le fait . Pour les enfants , il est très stimulant d’avoir la permission de dire «non» à un adulte si ils sont à l’aise avec la demande .

Par exemple , lorsque vous êtes à un événement sociétal , ne forcez pas l’enfant à accepter qu’on l’embrasse ou à embrasser quelqu’un . A la place, laissez votre enfant savoir qu’il peut donner un baiser , une étreinte, une poignée de main, ou rien aux gens qu’il voit et s’il est entièrement OK les concernant . Et quand un adulte tente d’obtenir un câlin d’eux, alors qu’ils ne veulent pas , encourager l’enfant à dire «non» et le soutenir dans sa décision, verbalement si nécessaire .

7 .Leur expliquer que personne ne devrait leur faire du mal physiquement , en particulier dans leurs parties intimes . 85% des abus sexuels des enfants sont commis par quelqu’un qu’ils connaissent . Ce peut être un parent, un ami de la famille , un voisin , un enseignant ou un chef religieux . Ce peut être un homme, une femme , ou un autre enfant . Ce peut être n’importe qui . Personne n’est malheureusement sur la liste de sécurité . En fait , les enfants sont les plus vulnérables avec des membres et des connaissances de la famille. Donc, assurez- vous que votre enfant sait que personne ne peut blesser son corps , peu importe avec qui il est – même quand il est avec sa maman ou son papa .

Il est également important qu’un enfant comprenne que vous leur parler de cela parce que vous les aimez et que vous voulez qu’il soit en sécurité. Tout comme vous lui apprenez à traverser la route car il pourraient être heurté par une voiture , vous devez également leur enseigner que quelqu’un pourrait leur faire du mal sexuellement . Cela ne signifie pas que cela va se passer . Mais au cas où quelqu’un essaierait de le faire, votre enfant saura qu’il peut dire «non , arrête ça » et vous dire ce qui s’est passé sans que vous soyez en colère contre eux .

8 . Encouragez-les à faire confiance à leur instinct au sujet de leur sécurité : en même temps que les parents ne doivent pas susciter une peur des gens de la part de leur enfant, ils doivent encourager leur enfant à faire confiance à leur instinct . En faisant confiance à leur intuition , les enfants seront deux fois plus capables de faire leurs propres choix sur qui est sûr les concernant au lieu de ne compter que sur ce qu’un parent peut leur dire . Ceci est important car un parent ne sera pas toujours là avec eux .

Une façon de le dire à l’enfant avant les événements sociaux, c’est que si jamais il se sent mal à l’aise avec quelqu’un – même si rien ne s’était passé , il doit quitter la pièce et le dire à leur parent . Même si cela semble « grossier », il doit savoir qu’il ne sera pas punis pour le fait de quitter simplement la pièce . Leur sentiment de sécurité vient avant la nécessité d’être «poli ».

9 . Expliquez que le secret est encore un secret quand il est partagé avec les parents : beaucoup de toxicomanes disent à leurs enfants victimes, que ce qui s’est passé était un secret et de ne pas le dire à personne , en particulier à leurs parents . Il est donc important de leur apprendre très tôt que les secrets sont encore gardés secrets s’ils les racontent à maman ou à papa . En outre, ils doivent comprendre que toute personne qui veut qu’ils gardent des secrets à l’insu de leurs parents, ne devraient pas être dignes de confiance et ils devraient certainement en parler à leurs parents .

10 . Dites-leur que vous les croirez si quelqu’un leur fait du mal et ils ne seront pas en difficulté : de nombreux agresseurs disent à leurs victimes que personne ne les croira et ils créent un sentiment de honte autour de ce qui s’est passé . Les enfants en général , habituellement se blâment et assument la responsabilité de choses qui se passent dans leur vie , peu importe qui est réellement responsable. Compte tenu de cela, les enfants ont souvent peur de ce que leur mère va faire s’ils lui racontent les faits , y compris peur d’être punis . Assurez-vous qu’ ils savent sans aucun doute que vous ne serez pas bouleversée , qu’ils ont fait le bon choix , et que vous êtes fiers d’eux pour avoir révélé la vérité .

Mais voici la chose plus importante à faire:

Si vous ne vous rappelez rien d’autre , rappelez-vous ceci – ces entretiens devraient être permanents, ouverts et décontractés .

Vous ne voudriez pas dire à votre enfant une seule fois qu’il ne faut pas traverser la rue sans regarder des deux côtés . Vous souhaitez le leur dire à plusieurs reprises et probablement même les questionner sur ce qu’ils doivent faire quand ils veulent traverser la route .

C’est la même affaire pour les abus sexuels – sauf que vous avez cette conversation à partir d’un âge beaucoup plus jeune et que cela change au fur et à mesure que votre enfant grandit et devient un adolescent .

Bien que rien ne peut garder votre enfant sûr à 100% , si vous gardez un dialogue ouvert et décontracté avec votre enfant ,si vous gardez un œil sur des symptômes , et si vous prêtez attention à la façon dont votre enfant réagit aux gens, vous avez considérablement réduit le risque qu’une personne abuse sexuellement de votre enfant. »

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Pour plus d’aide , s’il vous plaît consultez :

La liste des organismes au service des survivants de la violence sexuelle…

Vous voulez en discuter davantage ? Connectez-vous à notre forum en ligne

Cet article a été rédigé avec la contribution du Centre DC Rape Crisis . Le DCRCC aide les survivants et leurs familles à guérir des séquelles de la violence sexuelle par l’intervention d’urgence, conseils , et le plaidoyer. Suivez-les sur Facebook .

Sandra Kim est la fondatrice et directrice général du quotidien féministe . Elle regroupe son expérience personnelle et professionnelle concernant ce traumatisme, la transformation personnelle et le changement sociétal et elle donne à l’ensemble une dimension féministe ».(Traduction non exhaustive de Google).

http://everydayfeminism.com/2014/02/10-ways-to-talk-to-your-kids-about-sexual-abuse/

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Et en France ?

Vidéo http://www.dailymotion.com/video/xyp1f_fin-du-silence-viols-d-enfants-doc_news

… »Une courageuse émission d’Elise Lucet sur les réseaux pédophiles et satanistes en France et leur dissimulation par une justice aux ordres.

Viols d’enfants : la fin du silence ? [vidéo] Reportage censuré – 1999
Publié le 3 mai 2013 par Hozhana .

Reportage réalisé par les journalistes Pascale Justice, Stéphane Taponier et Cécile Toulec, présenté par Élise Lucet – 1999
(http://hoszhana.wordpress.com/2013/05/03/viols-denfants-la-fin-du-silence-video-reportage-censure-1999/) »

L’actualité continue de révéler les crimes ignobles des réseaux pédophiles, dans des vidéos circulant sur le Net et regardées, achetées et échangées par MM. Toutlemonde : instituteurs, papys, papas, maris…

"Le chevalier blanc" : "a fait un beau coup éditorial, mais le mépris a changé de sens." ?

Par Béatrice Toulon:

… » L’an dernier, ils avaient même lancé un « manifeste pour un autre journalisme » qui dézinguait le journalisme internet, vite fait, zappeur, grégaire, soumis à l’émotion et au marketing. Il taclait dur :

« Ce qui compte désormais n’est plus la qualité intrinsèque de l’information communiquée, mais le trafic et la rapidité d’émission de nouveaux scoops. Il s’agit de faire le ‘buzz’ et de cibler des clients potentiels afin d’attirer le plus d’annonceurs publicitaires possible. »

Il invitait à un retour aux fondamentaux :

« Apprendre à travailler à contretemps de l’émotion immédiate : tout doit être fait pour apporter aux lecteurs une information différente, intense, concentrée sur ce qui dure, que l’article fasse dix lignes ou dix pages. »

Et en appellait à « un journalisme qui enrichit, donne à réfléchir aux lecteurs et aux autres ». Tant de hauteur de vue avait dû lui tirer les larmes quand il se l’était lu devant sa glace.

Mon problème à moi c’est la confiance rompue. Désormais, quand on me dira « Laurent Beccaria », je penserai à un vieux dicton populaire « Faites ce que je dis, pas ce que je fais » et je n’accorderai aucun intérêt à la suite.

Laurent Beccaria a fait un beau coup éditorial, mais le mépris a changé de sens »…(Extrait).

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1238036-valerie-trierweiler-demolie-pour-son-livre-l-editeur-laurent-beccaria-me-choque-bien-plus.html

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Je ne sais pas si c’est un travers français ou bien planétaire:

Les saloperies de nos amis et les nôtres ne sont plus des…saloperies

Bien au contraire elles se muent en pôles… rassembleurs !!!

Des vomis* crapuleux de « Chevaliers Noirs » -mâles et femelles- sont confirmés et relayés car

Un passage à un buzz lambda devient LA référence… »MORALE »(!!!) à obtenir, à tout prix

Et quand je vois des envolées philosopho/métaphysico/scandalisées -bloguestes(!) et autres- pointer du doigt les saloperies …des « AUTRES » (Djihadistes, voleur, violeur, politiques, conjoints, voisins…), j’ai envie de vomir*

Car ce sont les mêmes sous les oripeaux de soi-disant « Chevaliers Blancs », qui tirent la planète vers le pire/le bas/le caniveau …dans le plus mauvais des mondes:

LA saloperie ? C’est uniquement…les AUTRES !

Une « morale »(!) à…géométrie variable, en somme

Mais cela n’empêche nullement et à leur corps défendant(!), que : « Le mépris a changé de sens »!

Bienvenue à Al Kuwayt (Koweït), Kumanovo (Macédoine), Toamasina (Madagascar), Joliette (Canada), Vilvoorde (Belgique), Redmond- Washington (US), Kensington- Ohio ( US)…

(Pointez souris pour légende).
Ce soir...

Samedi 6 septembre:

@ ‎18‎:‎00‎: Jemappes, Belgique
@ ‎17‎:‎22: Rabat, Maroc
@ ‎16‎:‎02: Sachsen, Allemagne
@ ‎13‎:‎40: Vilvoorde, Belgique
@ ‎12‎:‎41: Kensington, Ohio, US
‎@ ‎11‎:‎21: Redmond, Washington, US
@ ‎09‎:‎46: Ducos, Martinique
@ ‎07‎:‎35: Toamasina, Madagascar
@ ‎07‎:‎30: Obwalden, Suisse
@ ‎06‎:‎53: Al Kuwayt, Koweït
@ ‎06‎:‎50‎: Kumanovo, Macédoine
‎@ ‎06‎:‎41‎: Toamasina, Madagascar
‎@ ‎05‎:‎35: Joliette, Canada

Entre autres…

Douce nuit et merci pour la visite !

[ Aux femmes les rôles de « machines à pondre », femmes soumises et mères dévouées."] (Vision de Darwin).

Amour parfois...  pathogène!(Gouache non contractuelle- Pointez souris pour légende.)

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Par JEAN-FRANÇOIS DORTIER:

… » Dans La femme qui n’évoluait jamais (publié en 1983 aux Etats-Unis), Sarah Blaffer Hrdy contestait vigoureusement la vision darwinienne selon laquelle la nature aurait assigné aux femmes les rôles de « machines à pondre », femmes soumises et mères dévouées.

Dans Les Instincts maternels, S. Blaffer Hrdy défend une thèse qui se démarque à la fois du déterminisme implacable des gènes et de la thèse culturaliste, qui fait de l’amour maternel une pure « construction sociale ». Pour l’auteur, il ne fait aucun doute qu’il existe des mécanismes biologiques qui attachent la mère à son petit. Mais ces mécanismes ne sont pas des pulsions aussi implacables que le besoin de manger ou de dormir. Pour passer de la prédisposition à l’amour maternel effectif, il y a une cascade de logiques qui s’enchaînent. Et c’est la complexité de ces mécanismes qu’elle entreprend de décrire.

Les chercheurs ont mis en évidence chez les mammifères une zone spécifique du cerveau (située dans l’hypothalamus) qui stimule les comportements d’élevage. Cette zone cérébrale est sous la dépendance d’une famille de gènes appelés « gènes fos ». Une souris dépourvue du gène fosB ne sait pas s’occuper de ses petits et les délaisse. Le mécanisme est en fait plus subtil. C’est l’odeur des petits qui déclenche l’activation de ce gène, qui lui-même participe à la production d’hormones spécifiques stimulant la réaction maternelle. Un élément intermédiaire est donc à prendre en compte : l’odeur des petits. Tous les gens qui ont vécu à la ferme savent qu’il ne faut pas toucher les lapereaux tout juste nés. Imprégnés d’une odeur étrangère, ils ne seront plus reconnus par leur maman, qui les tuera sans pitié. Inversement, si l’odeur familiale est appliquée à un rejeton d’une autre espèce, la mère va s’attacher amoureusement à lui. C’est ainsi qu’une chatte pourra s’occuper d’un petit lapin ou d’un chiot. On a vu récemment une femelle lion s’amouracher d’une petite antilope, sa proie favorite habituelle ! Un autre mécanisme déclencheur du comportement maternel provient de la prolactine, une hormone qui produit la lactation chez les jeunes mères. La montée de lait déclenche chez les jeunes mères des pulsions maternantes. Il arrive que des jeunes femmes qui n’avaient jusque-là éprouvé aucun sentiment particulier pour les bébés, et redoutaient même de devoir s’en occuper, changent complètement à la naissance d’un enfant.

Hormones, odeurs, gènes… il existe donc de puissants motifs biologiques pour encourager les mères à s’occuper de leurs petits. Mais cela suffit-il à faire de toutes les jeunes femmes des mères aimantes et attentionnées ? En aucun cas. Après avoir décrit quelques bases biologiques de la maternité, S. Blaffer Hrdy rappelle que certaines mères sont négligentes, d’autres distantes ou même maltraitantes à l’égard de leurs petits. Certaines préfèrent un enfant à un autre, se choisissent des souffre-douleur. Pire : certaines mères pratiquent l’infanticide. L’auteur a été une des premiers chercheurs à montrer l’importance de l’infanticide dans le monde animal : scarabées, araignées, souris, écureuils, ours, hippopotames, loups pratiquent l’infanticide. Le plus souvent, il s’agit de meurtres commis par des mâles qui viennent de s’emparer d’un harem et se débarrassent des enfants présents. Mais l’infanticide est aussi le fait de mères qui opèrent un choix dans leur portée et abandonnent ou dévorent certains de leurs petits. L’infanticide est aussi présent dans les sociétés humaines. Et il n’est pas aussi rare qu’on pourrait l’imaginer. Dans beaucoup de sociétés primitives, c’est une pratique courante lorsque l’enfant est handicapé, ou que l’on ne connaît pas de moyen de contraception, ou encore faute des ressources nécessaires pour s’en occuper. Les infanticides ont été décrits autant chez les Yanomanis du Brésil que chez les Kungs d’Afrique du Sud. On sait que dans l’Antiquité, tout comme en Asie aujourd’hui, l’infanticide des petites filles a été pratiqué de façon sans doute massive.

L’abandon est un autre phénomène de masse à l’échelle historique. L’historien John Boswell a rassemblé des données sur les abandons d’enfants en Europe, de la fin de l’Antiquité à la Renaissance. Les résultats sont effrayants. Rome, dans les trois premiers siècles de notre ère, a connu des taux d’abandon de l’ordre de 20 à 40 % des enfants nés vivants ! Au Moyen Age et à la Renaissance, l’abandon d’enfant devient un problème social de grande ampleur amenant les Eglises et les gouvernements à fonder des centres d’accueil. En 1640, 22 % de tous les enfants baptisés à Florence étaient des enfants abandonnés. En Toscane, à la même époque, ils représentaient 10 % des naissances.

L’importance de l’abandon et de l’infanticide suffit à remettre en cause l’idée d’un instinct maternel irrépressible. Certes, les mères qui se débarrassent de leurs enfants ont d’impérieuses raisons : la pauvreté, la solitude, l’enfant illégitime qu’il faut éliminer, le désarroi… La plupart des femmes qui s’y sont résolues l’ont fait la mort dans l’âme. Mais le fait même qu’elles aient cédé à ces pressions sociales prouve que l’instinct ne commande pas tout et qu’on peut lui désobéir. Infanticide, abandon, mise en nourrice, maltraitance… En somme, il ne faisait pas bon être enfant dans les temps anciens. Voilà pourquoi, selon S. Blaffer Hrdy, il a fallu que les enfants déploient des stratégies pour séduire les adultes et empêcher qu’on les rejette. Car l’amour maternel ne vient pas que de la mère : il suppose une intervention active de l’enfant pour se faire aimer. En termes évolutionnistes, plusieurs stratégies de séduction sont déployées par les nourrissons. Il y a d’abord les pleurs et les sourires. Les cris de bébé, tout comme les miaulements du petit chat, provoquent spontanément des réactions de compassion. De même, plus tard, la physionomie du nourrisson : grands yeux, visage rond, petite main potelée sont des prototypes qui stimulent chez l’adulte l’attendrissement. Et ce mécanisme ne touche pas que la mère mais aussi les personnes alentour.

Cette stratégie est payante. Beaucoup d’enfants délaissés par leur mère pourront être adoptés et recueillis par des « alloparents » (tantes, grands-parents) ou des étrangers. La nature a donc pourvu les nourrissons de défense contre les défaillances possibles de leur mère. Il est à remarquer que, dans beaucoup de sociétés de mammifères, les alloparents jouent un rôle important dans la prise en charge des petits. Chez les chimpanzés, les femelles et les mâles se disputent pour prendre un nourrisson, le petit exerçant sur eux une force quasi magnétique.

Cette aptitude des bébés à séduire les adultes autres que leur propre mère remet en cause, selon l’auteur, les analyses unilatérales sur l’attachement. Rappelons que la théorie de l’attachement de John Bowlby suppose que l’enfant éprouve un besoin de contact avec sa mère. Les enfants privés d’affection et de contacts maternels souffrent de graves carences. Or, les études récentes sur l’attachement montrent que certains enfants n’ont pas une attitude aussi dépendante à l’égard de leur mère. Certains remplacent très bien leur maman par des mères de substitution ou d’autres contacts sociaux. S. Blaffer Hrdy s’en prend donc aux conclusions hâtives qui rivent la mère à ses petits au nom de l’impératif de l’attachement.

Au final, la thèse centrale de l’auteur est que l’instinct maternel n’agit pas comme un programme infaillible. Il opère plutôt par une série continue de détonateurs, qui peuvent ou non s’amorcer, selon les circonstances ou les réactions à l’environnement. « Au lieu des vieilles dichotomies entre nature et culture, il faut s’intéresser aux interactions complexes entre gènes, tissus, glandes, expériences passées et signes de l’environnement, y compris les signaux sensoriels lancés par les nourrissons et les individus proches »… (Extrait).

Sarah Blaffer Hrdy , primatologue et anthropologue, membre de l’Académie des sciences américaine, professeur émérite d’anthropologie à l’université de Caroline-Davis, s’est faite connaître par ses travaux sur les langurs, de petits singes d’Amérique du Sud. Elle a publiéLa Femme qui n’évoluait jamais (1983, trad. française Payot, 2002). »

http://www.scienceshumaines.com/y-a-t-il-un-instinct-maternel_fr_2849.html

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« Au lieu des vieilles dichotomies entre nature et culture, il faut s’intéresser aux interactions complexes entre gènes, tissus, glandes, expériences passées et signes de l’environnement, y compris les signaux sensoriels lancés par les nourrissons et les individus proches »…

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