56 ans, attaquée par un léopard, elle se bat pendant une demi-heure et le tue !

(ats):

… «J’ai pris ma faucille et me suis battue avec lui. C’est ainsi que le léopard a été tué», a ajouté Kamla Devi.

Elle a raconté au quotidien «Hindustan Times» qu’elle avait été «terrifiée» lors de l’attaque, mais déterminée à résister. «J’ai rassemblé mon courage pour me battre. Je me suis promis que ce ne serait pas mon dernier jour», a-t-elle déclaré »…(Extrait).

http://www.20min.ch/ro/news/faits_divers/story/Une-femme-tue-un-leopard-avec-une-faucille-30382145

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« qu’elle avait été «terrifiée» lors de l’attaque, mais déterminée à résister. «J’ai rassemblé mon courage pour me battre. Je me suis promis que ce ne serait pas mon dernier jour», a-t-elle déclaré »…

Si seulement les nanas attaquées par leurs conjoints* pouvaient « rassembler leur courage et se battre »

Afin qu’ils* ne décident plus que ce sera « leur dernier jour »…à elles !

Mais les sociétés influencées par les religions ont formaté les femmes pour qu’elles…se SOUMETTE(!) et non pas pour les voir se… BATTRE(!!!) pour conquérir leurs DROITS…HUMAINS !

Encore moins pour se défendre contre leur conjoint…seul MAÏTRE à bord, de la galère conjugale! :##

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Auteur : Tingy

Romancière féministe : je viens de publier " Le temps de cuire une sauterelle " :-)) Et de rééditer : "Le Père-Ver" et "Le Village des Vagins" (Le tout sur Amazon) ... et peintre de nombreux tableaux "psycho-symboliques"... Ah! J'oubliais : un amoureux incroyable, depuis 46 ans et maman de 7 "petits" géniaux...

Une réflexion sur « 56 ans, attaquée par un léopard, elle se bat pendant une demi-heure et le tue ! »

  1. Maman Tinguy, merci pour le conte de fées. Le soir cela fait du bien.

    Aux Indes il y en a d’autres qui empêchent de dormir:

    (…) la pression qui a débouché sur la légalisation de l’avortement en 1971 n’est pas venue du mouvement féministe, mais du lobby médical. (…) Et dès quon a promulgué la loi, des médecins ont fait de la publicité pour les avortements sélectifs en toute liberté, appelant les familles à venir avorter de leurs filles.
    Il y avait d’énormes panneaux publicitaires qui criaient des slogans tels que : « Débarrassez-vous de votre fille maintenant pour 500 roupies, et économisez 50,000 roupies sur le long terme ». Leur justification « médicale » était que, étant donné les traditions indiennes, il était thérapeutique pour les couples mariés d’avorter de fœtus féminins. Ce commerce fleurit. Et même si la pratique de l’avortement sélectif est illégale depuis 20 ans (2), c’est également une pratique qui génère un profit colossal. En 2012, un programme télévisé, « Satyameva Jayate », s’est saisi de la question et a donné la parole aux femmes indiennes sur les maltraitances physiques auxquelles elles s’exposent lorsqu’elles refusent d’avorter de filles. Ces témoignages révèlent que leur mari, leur belle-famille et leur médecin ont pris conjointement la décision de l’avortement, quasiment comme si les femmes ne comptaient pas (3). L’une de ces femmes a raconté que, enceinte d’une fille, on l’avait battue et forcée à se rendre dans une clinique où un médecin lui faisait une injection sédative, puis lui faisait subir un avortement. Elle subit six avortements de ce type en 8 ans.
    …………………………………….

    la plupart des femmes porteuses en Inde sont pauvres et illettrées. Mais c’est parce qu’elles sont les plus faciles à tromper et à exploiter, et non pas parce que cette industrie est philanthrope. En Inde, on n’applique pas sérieusement les lois contre les meurtres de dot, les viols, les meurtres dits d’honneur et les foeticides féminins et on ne protège pas les femmes contre ces crimes. Les lois indiennes sur la gestation pour autrui sont si faibles qu’elles permettent aux institutions médicales de maltraiter le corps des femmes (4). Il n’y a pas d’assurance médicale ou d’assurance vie correspondant aux risques pour leur santé que ces femmes prennent. En fait, on force les femmes porteuses à signer des documents indiquant qu’elles prennent la responsabilité de tous les risques médicaux, financiers et psychologiques (5). Il n’y a aucun suivi de l’impact de la procédure sur la santé des femmes porteuses. Aucun encadrement afin de garder une trace du nombre de fois que chacune d’entre elles a été enceinte dans le cadre de la pratique. Ni aucune trace des suites d’une complication menant à un handicap ou à la mort de la femme porteuse pendant sa grossesse ou son accouchement (6). Dans certains cas, des médecins font des expériences sur ces femmes, leur implantant des embryons et les faisant avorter sans qu’elles en soient conscientes ou consentantes (7). Les femmes porteuses en Inde n’ont pas même le droit de réserve pour garder l’enfant dont les femmes porteuses occidentales jouissent (8).
    La plupart femmes porteuses sont mariées : contexte
    Il est à la fois intéressant et révélateur de noter qu’en Inde, la plupart des femmes porteuses sont mariées. S’il s’agissait d’une industrie qui émancipait et donnait du pouvoir aux femmes pauvres, il y aurait un grand nombre de femmes célibataires, veuves ou abandonnées par leur mari, peinant pour élever leurs enfants. Ces femmes vivent dans les bidonvilles et villages indiens par millions. Quand les femmes ont le choix de louer leur corps, comme c’est le cas des femmes pauvres et célibataires, on voit qu’elles choisissent de ne pas le faire même lorsqu’elles sont très pauvres. Donc, pourquoi les femmes pauvres et mariées louent-elles leur ventre ? En Inde, on voit de plus en plus les femmes mariées de tous milieux considérées comme ressource monétaire par leur mari et la famille de ce dernier.

    Extrait de http://www.sisyphe.org/spip.php?article4800

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