"Il peint des pénis dans la maison de son Ex , pour se venger d’elle "…

Photo de pénis : non contractuelle).

Photo d'écran TV(Photo non contractuelle).

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Par David Moye(Lien de l’article en anglais, ci-dessous)

 » Le magnat de l’immobilier Sean Ludwick aurait Peint des pénis dans la maison de son Ex

Quand le magnat immobilier New Yorkais Sean Ludwick a découvert que son ex sortait avec quelqu’un d’autre, il aurait fait quelque chose de répréhensible .

Les autorités ont déclaré que Ludwick, associé directeur chez Black House développement à Manhattan, a fait irruption dans l’appartement de Lana Trevisan et l’a illustré de pénis. Motifs qu’il avait peint à l’intention de Lana.

Ludwick, 41, est également accusé d’avoir gravé les mots « Studio Art  » sur deux tabourets et projeté des éclaboussures de peinture sur le sol au cours d’une rage ivre le 17 février .

«Je suis devenu malheureux quand j’ai découvert qu’elle avait une liaison « , a déclaré Ludwick au New York Post avant sa comparution lundi au Tribunal pénal de Manhattan . «J’ai augmenté mon travail pour tenir compte de mes émotions à ce moment-là .  »

Le comportement amoureux transi de Ludwick ne s’arrête pas là . Il aurait envoyé des courriels obscènes de l’ordinateur de Trevisan aux cadres de son entreprise, en l’accusant de s’engager dans des relations avec des hommes mariés, y compris son directeur actuel, UPI.com signalé .

Peu de temps après le saccage , Ludwick aurait eu des doutes. Il s’est excusé à l’objet de l’affection repoussé par ce message texte :  » Désolé pour la peinture , j’étais un peu ivre ce week-end ,  » a déclaré Gothamist .

Ludwick est accusé d’intrusion informatique, de harcèlement grave, de méfait criminel, de traque et d’usurpation d’identité .

L’avocat de Ludwick Daniel Ollen, a tenté de défendre son client contre les accusations de peinture de pénis, alléguées, mais peut-être n’a fait qu’empirer les choses .

«Il est difficile de croire qu’il a été arrêté pour un crime sur la base de ces allégations molles « , a déclaré Ollen le New York Post » (Traduction non exhaustive de Google)

http://www.huffingtonpost.com/2014/02/27/sean-ludwick-paints-penises_n_4868521.html?&ncid=tweetlnkushpmg00000024

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Peut-être était-il temps pour elle de rechercher s’il existerait une autre sorte de compagnon ailleurs ?

Mais sans aucune garantie possible, concernant le genre véritable du nouvel élu !

Bref ! apparemment, « ces allégations molles » semblent avoir été représentées de façon plutôt… »dures » ? 🙂

Bienvenue à Simpsonville, Caroline du Sud (US), ‎Nouakchott (Mauritanie), Upton (Canada),

Juste une risette orange et bye !

Samedi 1er mars :

-@ ‎19‎:‎14‎: Limerick,Irlande
-@ ‎19‎:‎08‎: Rabat, Maroc
-@ ‎18‎:‎45‎: Mountain View, Californie, US
-@ ‎15‎:‎23: West-Vlaanderen, Belgique
‎-@ ‎09‎:‎42: Terrebonne, Canada
‎-@ ‎08‎:‎51: Abymes, Guadeloupe
-@ ‎08‎:‎00: Upton, Canada
‎-@ ‎07‎:‎21: Oran, algérie‎‎
‎-@ ‎06‎:‎53: Brussels, Belgique
-@ ‎06‎:‎20: Simpsonville, South Carolina, US‎
‎-@ ‎05‎:‎00: Lachine, Canada
‎‎-@ ‎04‎:‎46: Edinburgh, United Kingdom
‎-@ ‎04‎:‎40: Gharb-Chrarda-Beni Hssen , Maroc
‎-@ ‎04‎:‎39: Nouakchott, Mauritanie

Entre autres…

Merci pour la visite et Douce nuit 😉

"Malgré des relations sexuelles douloureuses…le viol conjugal "

(Pointez souris pour légende).
Des femmes portent de lourdes charges! Site d'Amnesty international

« Le prolapsus utérin rend fréquemment les relations sexuelles douloureuses, mais les personnes qu’Amnesty International a rencontrées (hommes et femmes confondus) ont expliqué qu’il est impossible pour les femmes de refuser les rapports sexuels avec leur époux » !.

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 » Amnesty International: un nouveau rapport rendu public jeudi 20 février.

Le prolapsus utérin est un problème de santé handicapant se caractérisant par la descente de l’utérus dans le vagin…

Des conditions de travail éprouvantes, des mariages précoces et un trop grand nombre de grossesses sont des facteurs contribuant à cette affection…

Les femmes du Népal doivent souvent porter des charges très lourdes, y compris pendant et juste après la grossesse, ce qui représente un risque pour leur santé…

Kopila, 30 ans, originaire de l’ouest du pays, a eu son premier enfant à 18 ans, et souffre de prolapsus depuis la naissance de son quatrième bébé, qu’elle a eu à 24 ans. Son mari l’empêche de se faire soigner, et elle a été contrainte d’effectuer des tâches physiques pénibles pendant et après ses grossesses…

« [Quand ça a commencé] je me suis mise à avoir mal au dos et à l’estomac, et je ne pouvais ni me tenir debout ni m’asseoir ou travailler. J’ai des douleurs dans le bas du ventre et j’ai généralement mal au dos quand je travaille dur. Quand j’éternue, mon utérus sort », a expliqué Kopila…

Selon une estimation des Nations unies, 10 % des 13,6 millions de femmes vivant au Népal sont concernées, et ce chiffre pourrait être bien supérieur dans certaines zones…

« Des centaines de milliers de femmes souffrent inutilement aujourd’hui au Népal. Les autorités ont uniquement pris des mesures symboliques contre ce problème, et n’ont pas mené d’action concrète par la suite afin de limiter les facteurs de risque pour les femmes et les jeunes filles. »…

Le rapport, intitulé Unnecessary Burden: Gender discrimination and uterine prolapse in Nepal, s’appuie sur des recherches approfondies menées sur le terrain au Népal, et notamment sur des entretiens avec des femmes, des jeunes filles et des hommes, des défenseurs des droits humains, des experts médicaux et des représentants du gouvernement »…(Extraits)

http://www.amnesty.org/fr/news/nepal-widespread-gender-discrimination-has-triggered-sexual-and-reproductive-rights-crisis-2014

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Des hommes partout dans le monde, prennent le vagin des femmes pour des latrines à sperme

Dont ils peuvent disposer à volonté sans aucun état d’âme, comme s’il s’agissait d’un urinoir ou de la cuvette des WC

Un « (visiteur) » -qui était peut-être une nana- a répondu un jour dans un com « dans le doute, il faudrait tous les castrer à la naissance « … :##

Ma bulle à moi !

Ma bulleà moi !(Photo non contractuelle).

Dans ma bulle

Dans ma bulle, je me sens protégée
Les secondes sont légères, voluptées
Les heures sont les mêmes, rassurantes
Q’il pleuve, qu’il tonne, qu’il vente

Rien ne m’atteint, je suis dans ma bulle.

Dans ma bulle, mes pensées vagabondent,
Elle est grande, chaleureuse et bien ronde
M’enveloppe, me cajole, je m’abandonne
Je m’enroule sous sa coupe, elle me donne,

La sécurité, la tendresse,… ma bulle !

Par Clélia-13

"Surnommée "la p… du curé", selon une source judiciaire." Pauvre femme !

La cour d’assises du Jura a acquitté ce jeudi un prêtre de 69 ans jugé à huis clos à Lons-le-Saunier, qui était accusé du viol en 2010 d’une paroissienne très pieuse, physiquement et psychologiquement fragile.

«Par ce verdict, la cour a estimé qu’au vu du dossier, elle ne pouvait pas savoir ce qui s’était réellement passé dans cette pièce» …

http://www.leparisien.fr/faits-divers/haut-jura-le-cure-accuse-de-viol-risque-5-ans-de-prison-27-02-2014-3628917.php

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… » Le père Lagnien « a évolué dans ses déclarations: au début, il a tout reconnu et maintenant, il reconnaît toujours la matérialité des faits, mais il dit qu’elle était consentante », a-t-il ajouté.

La paroissienne, qui était vierge avant les faits, affirme avoir dit « non ». « Il l’a agressée sexuellement et violée, c’est ce que nous tenterons de démontrer devant la cour », a déclaré son avocate…

… » La paroissienne mise à l’écart

Depuis l’affaire, la paroissienne subit l’opprobre des habitants du village qui s’est retrouvé sans curé après le départ du père Lagnien, un homme apprécié. Certains sont allés jusqu’à la surnommer « la p… du curé », selon une source judiciaire.

Maître Degournay ajoute que sa cliente avait même dû changer de numéro de téléphone pour ne plus être importunée :

Cette situation a aggravé son enfermement. Elle avait déjà une vie très cloîtrée, la religion était sa seule occupation et elle en a été de facto exclue. »

« Tout ce qu’elle veut, c’est être rétablie dans sa fonction de victime », dit Maître Degournay.

Le prêtre avait déjà eu des relations sexuelles, consentantes celles-là, avec d’autres femmes, quand il officiait en Nouvelle-Calédonie. Selon lui, étant prêtre diocésain il avait l’obligation de célibat, mais il n’a pas fait voeu de chasteté. »…

http://tempsreel.nouvelobs.com/justice/20140226.OBS7763/jura-un-ex-cure-juge-pour-viol.html

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« «Par ce verdict, la cour a estimé qu’au vu du dossier, elle ne pouvait pas savoir ce qui s’était réellement passé dans cette pièce»

Autrement dit la justice pense qu’il est peut-être coupable…ou pas

Mais les paroissiens, eux, ont jugée cette femme « physiquement et psychologiquement fragile, comme étant: « la p… du curé » !

« étant prêtre diocésain il avait l’obligation de célibat, mais il n’a pas fait voeu de chasteté. »

Rassurez-nous, il n’a pas fait vœu de… violer, quand même ?

« La paroissienne mise à l’écart.Depuis l’affaire, la paroissienne subit l’opprobre des habitants du village qui s’est retrouvé sans curé  »

Pauvre femme !

Toujours le même scénario misogyne: la victime d’un viol est toujours LA coupable, car d’une manière ou d’une autre, elle l’a bien cherché ?

Cela lui apprendra de confondre la religion …avec DIEU ?

Quand c’est pas l’heure, c’est pas l’heure !

Par Franck Payet :

« La scène se déroule en bordure d’une autoroute de Floride. C’est là que Pamela Rauseo, qui conduit son neveu Sebastian, un bébé de cinq mois, s’est arrêtée en urgence. Un stop imprévu mais indispensable car l’enfant a cessé de respirer. Sans perdre de temps, Pamela lui fait du bouche-à-bouche, comme on peut le voir sur les images prises par un photographe du Miami Herald, qui se trouvait là par hasard, empruntant le même axe à quelques secondes d’écart.

Un sauvetage difficile

Bloqué par le trafic, le journaliste décide d’aller voir ce qu’il se passe juste devant lui, appareil à la main. Découvrant la scène, il décide de courir chercher de l’aide et trouve l’officier de police Amauris Bastidas. Ce dernier, épaulé par une automobiliste, seconde la tante désespérée. Ensemble, ils parviennent à faire respirer le bébé une première fois, mais le soulagement est de courte durée. Rapidement, le petit Sebastian reperd son souffle. Mais ses sauveteurs font des miracles. Sa respiration repartie, le bébé peut être conduit en sécurité dans un véhicule de secours, arrivé sur place en quelques minutes, au Jackson Memorial Hospital. Admis en urgence, l’enfant se porte bien, rapporte le quotidien de Miami.

L’auteur de ces clichés rares, témoin d’un drame du quotidien, raconte : « En tant que photoreporter, vous voulez capturer ces images, mais comme être humain vous voulez apporter de l’aide ». Lui a fait les deux. »

http://www.metronews.fr/info/la-belle-histoire-du-jour-etats-unis-les-images-saisissantes-du-sauvetage-d-un-bebe-au-bord-de-l-autoroute/mnbu!T14sDGOAvE0c/

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Je me demande si un père par exemple -ou bien un oncle- aurait forcément fait preuve d’un tel sang-froid ?

Je dis cela parce qu’un ami assistait impuissant à l’agonie – crise cardiaque- de son chien qu’il tenait dans ses bras assis par terre et les larmes aux yeux

Quand sa femme a pris les opérations en mains et a conduit le cher compagnon chez le vétérinaire…

Les femmes autant que les hommes sont capables de courage et de sang-froid*:

Les testicules n’étant pas d’un réel… secours en l’occurrence *:##

La personnalité de chacun(e), se révèle souvent d’une façon extraordinaire

Quand survient un évènement « capital » !

Bravo à toutes les héroïnes « ordinaires »(!), peuplant le… quotidien(!) des femmes !