Par Franck Payet :
« La scène se déroule en bordure d’une autoroute de Floride. C’est là que Pamela Rauseo, qui conduit son neveu Sebastian, un bébé de cinq mois, s’est arrêtée en urgence. Un stop imprévu mais indispensable car l’enfant a cessé de respirer. Sans perdre de temps, Pamela lui fait du bouche-à-bouche, comme on peut le voir sur les images prises par un photographe du Miami Herald, qui se trouvait là par hasard, empruntant le même axe à quelques secondes d’écart.
Un sauvetage difficile
Bloqué par le trafic, le journaliste décide d’aller voir ce qu’il se passe juste devant lui, appareil à la main. Découvrant la scène, il décide de courir chercher de l’aide et trouve l’officier de police Amauris Bastidas. Ce dernier, épaulé par une automobiliste, seconde la tante désespérée. Ensemble, ils parviennent à faire respirer le bébé une première fois, mais le soulagement est de courte durée. Rapidement, le petit Sebastian reperd son souffle. Mais ses sauveteurs font des miracles. Sa respiration repartie, le bébé peut être conduit en sécurité dans un véhicule de secours, arrivé sur place en quelques minutes, au Jackson Memorial Hospital. Admis en urgence, l’enfant se porte bien, rapporte le quotidien de Miami.
L’auteur de ces clichés rares, témoin d’un drame du quotidien, raconte : « En tant que photoreporter, vous voulez capturer ces images, mais comme être humain vous voulez apporter de l’aide ». Lui a fait les deux. »
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Je me demande si un père par exemple -ou bien un oncle- aurait forcément fait preuve d’un tel sang-froid ?
Je dis cela parce qu’un ami assistait impuissant à l’agonie – crise cardiaque- de son chien qu’il tenait dans ses bras assis par terre et les larmes aux yeux
Quand sa femme a pris les opérations en mains et a conduit le cher compagnon chez le vétérinaire…
Les femmes autant que les hommes sont capables de courage et de sang-froid*:
Les testicules n’étant pas d’un réel… secours en l’occurrence *:##
La personnalité de chacun(e), se révèle souvent d’une façon extraordinaire
Quand survient un évènement « capital » !
Bravo à toutes les héroïnes « ordinaires »(!), peuplant le… quotidien(!) des femmes !
SAMBO NANAS 