Appel à témoins pour retrouver…le père du nourrisson retrouvé mort ?

… »Le corps sans vie d’un nourrisson de sexe masculin a été retrouvé mercredi dans le jardin d’une maison d’Audierne, a indiqué le parquet de Quimper.

Le corps, enveloppé dans un sac plastique, a été découvert par un voisin dans le jardin d’une résidence secondaire inoccupée dans un quartier résidentiel de la ville.

Une autopsie sera pratiquée jeudi. Le décès remonterait a quelques jours, et le corps aurait été abandonné quelques heures après la naissance. La gendarmerie a lancé un appel a témoins. »

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Un appel à témoins pour retrouver…le père du nourrisson retrouvé mort ?

OK, faut pas rêver ! Pas encore: on est toujours dans un monde de mecs, fait par des mecs, pour des mecs …

Etant donné qu’une « éjaculation c’est: entre 2 et 5 ml de sperme, avec une concentration de spermatozoïdes, comprise entre 50 et 200 millions/ml,

Pour baiser sans lâcher des millions de petits missiles pouvant participer pour MOITIE, à la création d’un « bébé congélateur », d’un « bébé poubelle », etc ,

On pourrait peut-être, pour changer un peu, conseiller au géniteur potentiel, de faire une vasectomie 100 % efficace, indolore et qui n’est en aucun cas une castration -éjaculation et sperme toujours au RDV ! -avec conservation des petites bébêtes », pour se faire fabriquer une descendance au besoin, plus tard ?

Il serait indispensable, dans les cas de « bébés congélateur/poubelle », etc, de savoir si le géniteur était au courant, s’il y a participé, s’il a demandé à sa partenaire de sexe si elle désirait avoir un enfant, s’il a pris LUI, TOUTES les mesures -dont capote- pour ne pas créer éventuellement une vie qu’il n’assumerait pas par la suite ? ? ?

Il serait peut-être temps de RESPONSABILISER vraiment les mecs, sur le devenir des milliards de spermatozoïdes lâchés de façon irresponsables, partout dans le monde, causes de tant de graves dégâts collatéraux…dont les redoutables -fémininement parlant -IVG !

Et de sanctionner en cas de « problèmes »(!), ceux qui se seraient contentés de baiser, -sans aucune précaution- comme le font les animaux,…au cas où il s’il s’avérerait qu’ils sont bien « les géniteurs en dehors de leur plein gré », responsables pour moitié des dits « problèmes » ?

30 ans torturée: oeil perdu, dents cassées: il lui en reste 7, coups, brimades, sévices sexuels !

« Il lui aura fallu 30 ans pour enfin oser dire stop à la violence de son mari. Colette a subi des coups, des brimades et des sévices sexuels pendant plus de trente ans. Ce lundi s’ouvre le procès de son ex-mari, qui doit répondre sur elle « d’actes de tortures et de barbarie ». Des actes qui ont laissé à Colette des séquelles irréversibles.

« J’ai perdu (la vue d’)un oeil à cause d’une gifle, j’ai perdu mes dents: j’ai un appareil complet en haut et il ne m’en reste plus que sept dents en bas », énumère cette femme menue au micro de BFMTV, dans le bureau de son avocat.

Les violences ont commencé peu après leur rencontre, en 1969. Elles se sont achevées en 2002, quand Colette est enfin parvenue à s’arracher à l’emprise de René. Une entreprise difficile. Elle a tenté par deux fois de s’échapper, au début de leur relation. Sans succès.

« Ni haine, ni vengeance »

« J’étais isolée. J’ai vécu 19 ans en Afrique, la plupart du temps en brousse, donc impossible de s’échapper. De toute manière, je ne pouvais pas m’échapper car je n’avais pas d’argent », explique-t-elle. Alors elle s’est résignée. Elle a également fait deux tentatives de suicide.

Ce procès, elle ne le veut « ni par vengeance, ni par haine, ni pour de l’argent ». Elle désire seulement « la reconnaissance de la justice. » Et espère aussi envoyer ainsi un message à toutes les femmes victimes de violences conjugales, leur conseillant de ne pas attendre, de porter plainte aux premiers coups.

Elle a attendu 2009 pour le faire. Conséquence, la plupart des faits sont prescrits et son ex-mari ne sera jugé que sur les faits commis entre juin 1999 et juillet 2002. »

http://www.bfmtv.com/societe/un-retraite-condamne-a-dix-ans-prison-tortures-ex-femme-709222.html

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« René Schembri, 72 ans, a été condamné à dix ans de prison par la cour d’assises d’Aix-en-Provence ce mercredi, pour avoir torturé son ex-femme Colette Renault pendant plus de trente ans. »

Le « compte » est faux:

30 ans = 30 ans !!!

Cherchez l’erreur, pardon, l’horreur ?

La prescription doit être abolie pour les violences maritales

Une réalité la justifie: le rapport de force se fait généralement en faveur du mec violent car le mâle humain est doté d’une force physique supérieure

Et il faut du temps, aux femmes violentées ou torturées par leur compagnon, pour réaliser qu’elles peuvent faire confiance à la police et à la justice, pour les protéger de ces monstres domestiques pervers

J’en ai rencontré un…

« Ni haine, ni vengeance, ni argent », dit la torturée

Moi je souhaite à son pervers d’être la petite « poupée » préférée de détenus

Et je n’ai qu’un regret: vu son âge, il ne fera pas « ses » 30 ans !:##

Bienvenue à Tires (Portugal), Ashburn, Virginia (US), Doukkala-Abda (Maroc)…

MauriceMercredi 12 février :

-@ ‎20‎:‎52‎ : Mountain View, California, US
-@ ‎20‎:‎48‎ : Brabant Wallon, Belgique
-@ ‎20‎:‎08‎ : Menlo Park, California, US
-@ ‎19‎:‎33‎ : Sion, Suisse
-@ ‎19‎:‎22‎ : Montréal, Canada
-@ ‎17‎:‎55‎ : Menlo Park, California, US‎
-@ ‎17‎:‎52‎ : Redmond, Washington, US
-@ ‎17‎:‎28‎ : Cayenne, Guyane
-@ ‎12‎:‎17‎ : Bern, Switzerland
-@ ‎11‎:‎42‎ : Liège, Belgique
-@ ‎05‎:‎56‎ : Tires, Portugal
-@ ‎05‎:‎53‎ : Doukkala-Abda, Maroc
-@ ‎05‎:‎53‎ : Zagreb, Croatie
-@ ‎04‎:‎33‎ : Mountain View, California, US
-@ ‎04‎:‎31‎ : Ashburn, Virginia, US

Entre autres…

Merci pour la visite et douce nuit 😉

Quand "Les femmes Nairs ont défié le reste de l’Inde et ses schémas patriarcaux" !

… » Les femmes Nair au pouvoir:

Au XVème siècle, au sein de la grande et puissante caste Nair, les femmes détenaient le pouvoir, pas sur des trônes royaux avec des armées gigantesques, mais en tant que chefs de ménages avec des positions souvent très importantes. Les femmes ont été formées, respectées, allaient et venaient sans crainte ni censure. Elles étaient éduquées, et apprenaient la littérature, les sciences et les arts.

Les Nairs forment la caste la plus élevée dans l’Etat kéralais, ce sont des descendants de nobles, de familles royales et occupent des postes dans la fonction publique, la médecine, l’enseignement et le droit.

Les Nairs ont défié le reste de l’Inde, là où les schémas patriarcaux sont restés retranchés depuis les textes post-védiques renfermant les femmes au statut de sudras, de basse caste.

Lorsque Vasco de Gama est arrivé sur la côte Malabar, vers la fin du XVème siècle, il découvrit une civilisation avancée, riche et raffinée mais aussi une société où la femme avait une place centrale. Les Européens découvrirent alors le système matriarcal kéralais, qui bouleversa toutes les pensées venues d’Occident.

Plusieurs siècles après, on peut se demander si le système matriarcal a pu perdurer dans une Inde proie des conservateurs, où la femme est avant tout relayée aux fonctions de mère ou d’épouse encore dans de nombreux états.

Le mariage matriarcal

La cérémonie de mariage typique des Nair, appelé sambandam, était simple. Le fiancé donnait un morceau de tissu, mundu, à la mariée en face d’une lampe dans la présence de la maîtresse de maison. Le mari passait alors quelques jours dans la maison de la mariée, appelé le tarawad et revenait ensuite à sa propre demeure. Cette pratique est donc contraire à la tradition hindoue qui veut que l’épouse quitte définitivement le domicile parental pour s’installer chez l’époux.

Le mariage matriarcal était fondé sur le consentement mutuel et était dissoluble à volonté. La relation mari / femme n’était pas considérée comme sacré, et chacun était libre de quitter l’autre sans donner de justification. De plus, La pratique de la polygamie et de la polyandrie était bien attestée dans certaines familles Nair, surtout dans la partie centrale du Kérala.

La Princesse Gowri Parvathi Bayi de la famille royale Travancore dont les ancêtres ont suivi la succession matrilinéaire depuis 700 ans a expliqué dans ses témoignages que les relations entre mari/femme ne sont pas celles que nous connaissons aujourd’hui. Elle affirme que «Dans ce système, le mari et la femme avant le mariage ont conservé leurs identités individuelles, le maintien d’une relation très sympathique »

Au Kérala, les gens croient fermement et avec fierté que ce système protège les femmes et assure leur bien-être.

Un peuple matrilinéaire

La femme la plus âgée est la maîtresse du tarwad, un vaste complexe résidentiel matriarcal avec plusieurs bâtiments, un temple, un grenier, des puits, des vergers, des jardins et des grandes propriétés foncières. L’homme le plus âgé, appelé karanavan (le frère de la maîtresse des lieux en général), s’occupait de traiter les affaires de la maison et exécutait les décisions prises avec la maîtresse des lieux.

Les mari n’avait pas d’obligation envers ses enfants, il respectait sa mère et l’honorait et portait une attention particulière à ses sœurs et ainsi qu’aux enfants de celles-ci.

Le théologien Claude Buchanan écrivit à ce propos ceci : « Aucun Naïr, ne connaît son père. Chaque homme regarde comme ses héritiers les enfants de sa sœur ; il les aime du même amour que dans les autres parties du monde, les pères aiment leurs enfants. On regarderait comme un monstre celui qui, à la mort d’un enfant qu’il supposerait sien à cause de la ressemblance et de la longue cohabitation avec la mère, montrerait autant de chagrin qu’à la mort d’un enfant de sa sœur ».

L’apport des femmes Nair dans la société kéralaise

Une grande partie de la force de ce système s’explique aussi par son évolution. Beaucoup de femmes ont été aussi adopté dans des familles royales lorsqu’il n’y avait pas d’héritière. La famille royale de Travancore et ses reines sont très célèbres pour avoir combattu les libertés sociales et intellectuelles des femmes.

En 1811, la fille d’un musicien, Swathi Thirunal, a été adopté et devint reine à 20 ans. Elle a fait des changements radicaux, elle a aboli toutes les formes de l’esclavage, a interdit la surimposition des pauvres et a fait une refonte totale du système judiciaire afin de protéger ceux qui sont trop pauvres pour «payer» la justice.
•En 1817, par un décret royale, elle donne accès à l’éducation à toutes les classes sociales.
•En 1868, la Reine Gowri Lakshmi Bayi a commencé des campagnes de vaccination.
•En 1925, la reine régente Setu Lakshmi abolit les sacrifices d’animaux dans les rites hindous et interdit la coutume locale des Devadasi, ( des danseuses du temple) qui avait dégénérée en forme de prostitution dans les temples .

«Nos femmes d’antan étaient très bien informées, baignées dans le sanscrit et pouvaient correspondre avec des chercheurs, » dit Princesse Bayi. «Nos grands-mères, même parlait couramment l’anglais. ». Les femmes du Kerala étaient des lectrices voraces, adepte de la musique et des arts et de n’ont jamais perdu leur temps. Même celles qui sont restées chez elles avaient le zèle d’acquérir des connaissances. »

Les origines du système

Les historiens remontent à l’ère des guerres entre les Cholas et les Cheras, vers le Xème siècle après JC, une loi avait été établie pour empêcher les hommes de fixer leur amour et leur attachement à leur femme et à leurs enfants, c’était une manière d’être plus disposé à se consacrer à des services de guerre.

Princesse Bayi le remonte à 1299, lorsque le roi Sangramadheera Ravi Varma, n’ayant pas de successeurs du côté de sa mère, a adopté deux princesses pour continuer la lignée. « Dès lors, la matrilinéarité est venu à être suivie par la caste des guerriers, les Kshatriya et s’est ensuite propagée à d’autres communautés,» a t-elle indiquée.

La famille nucléaire l’emporte

Le tournant se produit au début du XXème siècle avec l’arrivée des Britanniques, imposant leurs propres concepts éthiques en matière de mariage. Seuls les mariages monogames furent autorisés. La famille nucléaire est donc devenue la norme.

Le déclin de ce système matriarcal s’explique aussi par le fait qu’ à cette période, l’économie ne repose plus sur agriculture mais sur l’industrie et les modes de vie des Nair n’étaient plus compatibles avec la modernisation. Au début du XXème siècle, ce système matriarcal disparaît ainsi que la polygamie et la polyandrie.

Une vague de sans-abri inconnue jusqu’alors

La famille nucléaire fut saluée comme apportant la modernité, et la civilisation. Le matriarcat a été jugé «rétrograde» et «médiéval». La plupart des maisons et des terres ont été divisées entre les membres de la famille, désolidarisant ainsi les liens familiaux. Le Kerala a vu alors une vague de sans-abri, un phénomène déconcertant inconnu jusqu’alors dans le système familial matriarcal.

Bien que la maison matriarcale a maintenant disparu, remplacée désormais par la famille nucléaire, l’élévation de la féminité, le respect et la place primordiale accordée à la femme se maintiennent toujours.

Les Keralais, hommes et femmes, sont fiers de cela. À ce jour, ils étonnent les visiteurs provenant d’autres États à quel point les femmes du Kerala tiennent tête aussi bien à la maison comme au travail et qu’elles peuvent circuler pratiquement n’importe où sans crainte de harcèlement. »

Source : NAMHAO

Matriarcat Nair (Inde) : la caste guerrière du dieu-serpent fertile, compagnon de la déesse-mère

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« Le tournant se produit au début du XXème siècle avec l’arrivée des Britanniques, imposant leurs propres concepts éthiques en matière de mariage. Seuls les mariages monogames furent autorisés. La famille nucléaire est donc devenue la norme. »

La domination masculine n’est pas la norme…naturelle

Elle a été imposée, partout, par les inventeurs -prophètes, messagers, gourous, fils de Dieu…- des religions du Livre et autres

Qui ont eu le…génie de faire croire qu’ils parlaient, soi-disant, au non de DIEU

Quand ils ont décrété, entre autres fables*, -qu’un enfant normal, venu d’une autre planète, ne croirait pas*(!) -que la femme est un être inférieur!

Le piège monstrueux que ces religieux ont décrété « sacré » de surcroît(!), s’est refermé sur l’autre moitié de l’humanité, à un point tel que les Etats
n’osent pas légiférer et sanctionner les atteintes aux Droits Humains, que constitue l’application effective de leurs diktats misogynes

DIEU, – s’il existe- ne peut qu’être que pur… « Esprit », sans sentiments …humains !!!

Et certainement pas tous ces dieux mâles, barbus, misogynes, rancuniers, et guerriers, semant la discorde dans les familles, le désordre et la haine dans les sociétés, des guerres -parfois sans fin- entre les peuples…

Des dieux obligés d’inventer le… diable(!) pour terroriser les humains, afin de s’assurer leur adhésion complète et entière à toutes ces inventions misogynes obscurantistes et fémininement liberticides… allant même jusqu’au feminicide, pour certaines !

Shame on them !

La foi de chacun(e) en DIEU est respectable, mais pas les religions :

Pour avoir droit au respect il faut respecter l’autre, tous les autres « différents »(!)

…Mais, strictement, EGAUX en Droits Humains !

« Être bien sans… enfant » ?

Forum :

« J’ai vraiment la nostalgie de notre passé quand nous n’étions que deux!
Je n’ai plus cette liberté de mouvement, le loisir de faire les choses que j’ai envie de faire .. A vrai dire, je regrette fort de l’avoir eu.
A un moment, j’ai cédé.. J’ai arrêté la pilule.J’aurais dû surtout suivre la raison et non pas mon coeur!! Car si j’ai arrêté cette pilule c’était pour lui prouver mon amour pour lui..
Tout ce que j’ai envie, c’est d’être tranquille quand je rentre du travail et de me reposer le week-end, avoir une sexualité normale, profiter de notre vie à deux, voyager.. Avec un enfant, c’est plus possible!
Je savais qu’au plus profond de moi-même, que je n’étais pas faite pour être maman…Je ne sais pas ce que je dois faire pour changer cette situation… »

 » j’ai éclaté en sanglots ce matin!!!J’ai eu la « bonne » idée de me regarder dans le miroir en sous-vêtements!Et qui je vois dans le reflet? Moi, enfin plutôt une monstruosité. Mon corps est ravagé! Et je ne me fais pas d’illusions, jamais je n’aurais le physique d’avant, va falloir que je fasse le « deuil » de ça »

« je suis en pleine reconstruction physique la route est longue »

« je suis crevée!!Avec mon mari parfois on se dit des choses qui dépassent aussi notre pensées, mais sur le coup moi, ça me fait mal. »

« accumulation de frustration quotidienne, de ne plus savoir faire un geste seule, être tout simplement libre de mes mouvements..
Il n’y a que le travail qui me permet de souffler.. Et encore, car sur le lieu de travail c’est souvent source de stress aussi!
En fait je suis quelqu’un de très indépendant, j’aime faire les choses seules et être maman ne me permet plus d’être « tranquille »… »

« …Bref, j’étais contente de m’occuper de mon bébé.
Après seulement 2mois avec mon fils, j’étais une vraie loque.
Une grossesse pénible les 4 premiers mois(vomissements 6-7 fois par jour et la nuit aussi parfois!)Un accouchement qui à duré 12h… »

« j’aime ma compagne… c’est moi qui part mais sans retour, je vais refaire ma vie sans ce gosse pour me gêner
Je vais aller chercher ailleurs l’amour, la passion, la complicité bref ce qui forme une vraie vie de couple et que cette chose m’a volé
Alors oui un enfant ça change la vie mais pas toujours comme on le dit ou comme on essaie de s’en convaincre pour faire belle figure devant les autres, pour moi il a tout détruit »

« Moi aussi il m’arrive d’être « nostalgique » de notre vie à deux. »

« Est-ce qu’il est difficile pour toi de voir que toutes les femmes ne s’épanouissent pas dans leur rôle de mère ? Pourquoi lui dire qu’elle se sert de son fils comme d’un bouc émissaire ? Elle dit qu’elle a eu un enfant plus pour son conjoint que pour elle….je comprends très bien ce qu’elle peut ressentir. Quand ce n’est pas un désir profond et que ça bouleverse à ce point la vie, c’est forcément très dur d’assumer et d’être heureuse.
Pourquoi lui conseiller d’aller voir un psy ? Ce n’est pas une solution pour tout le monde et tous les cas. Un psy ça ne règle pas tout et il ne faut pas non plus tout rapporter à la psychologie. Derrière un mal être ne se cache pas toujours une obscure raison mais celles simplement citées. »

http://forum.doctissimo.fr/grossesse-bebe/baby-blues/venue-enfant-couple-sujet_145489_1.htm

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…Stabilité depuis 1995

… » La moitié des personnes qui n’ont pas d’enfant vivent en couple, souligne l’étude. Et dans un tiers des cas, le conjoint a déjà un enfant, le boulot est fait: «Etre beau-parent permet une parentalité moins engageante, avec un investissement minimal et modulable dans l’éducation des beaux-enfants», notent les chercheuses. Cette parentalité à la carte permettrait de «neutraliser les tensions conjugales» autour du projet d’enfant, souligne l’étude sans développer les tensions conjugales propres aux familles recomposées(!), mais ce n’est pas le sujet du jour.

Finalement, l’«infécondité définitive» reste stable depuis 1995. Sa philosophie ? La liberté individuelle: «être bien sans enfant».

Marie-Joëlle GROS

http://www.liberation.fr/societe/2014/02/12/les-non-parents-une-minorite-qui-resiste_979451

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Avec le recul, et après avoir beaucoup lu et vu, pendant tant d’années

Je me dis que beaucoup de personnes choisiraient l’option :

« être bien sans enfant » 😉

Si elles « savaient », réellement, ce qui les attendait

SURTOUT des femmes ! Parcours du combattant avant: nausées, accouchement, épisiotomie, césarienne…; vie rétrécie et harassante après:triple journée pan bagnat. Dégâts corporels horriblement « défigurants » et difficiles à vivre pour beaucoup trop d’entre elles, …

Sans oublier la tendance manifestée par la progéniture, -une fois adulte,-

à abandonner leurs parents dans un hospice, un hôpital ou dans leur logement (parfois retrouvés morts des mois ou des années après)

Une camarade de classe -qui habite à Montpellier- m’a raconté l’année dernière qu’après avoir demandé à sa fille résidant à Paris, s’il n’y aurait pas quelque chose à vendre dans les environs -elle envisageait de vendre son appartement dans le Sud, pour se rapprocher de ses 2 enfants, -elle s’était vu répondre sèchement: « tu ne crois tout de même pas que l’on se verra plus souvent pour autant, au contraire ! »

Elle a ajouté que sa fille lui laissait chaque année ses 2 petits, -pendant un mois, -pour aller en vacances à l’étranger, en croisières et autres, sans jamais avoir la gentillesse/attention de lui demander de les accompagner, ne serait-ce que pour un… week-end

« Est-ce qu’il est si difficile pour toi de voir que toutes les femmes ne s’épanouissent pas dans leur rôle de mère ? »

Et que tous les couples ne sont pas capables d’accueillir un enfant, pour X raisons tout à fait recevables ?

Car c’est parfois « cher payé », pour 3 risettes et 2 bisous, me disait une voisine agricultrice

Et on n’en est pas « quitte » quand ils grandissent

Une amie de France métropolitaine, a vu son fils de 40 ans sombrer dans la drogue après un divorce douloureux:

Il a emprunté des sommes importantes aux gens de sa petite ville, en leur disant que son père – honorablement connu et apprécié de tous- s’en portait garant. Des sommes que le fils n’a jamais remboursées (il m’a emprunté des sous aussi…)

A l’évidence, le mariage, comme les enfants, ne conviennent pas à tous

Mais la pression sociale est si forte que beaucoup trop de gens se laissent entraîner dans le « flot commun » de la norme sociétale

Réalisant après coup « qu’au plus profond deux-mêmes, ils n’étaient pas faits pour être parents* et ne savent pas ce qu’ils doivent faire pour changer cette situation*… »

Et pas faits pour vivre en couple, amoureux/heureux/en paix/dans le respect de l’intégrité de chacun(e)…pendant des décennies** ?

« Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point » dit Pascal

Et le pénis a ses « raisons »(!) que l’Eglise feint d’ignorer, dans son sacrement du mariage** ?(Comptant sur l’abnégation des femmes)

Bienvenue à Gresik Java (Indonésie), Zagreb (Croatie), Cartago (Costa Rica)…

Crépuscule vers Tamarin- Maurice(Ph. de Mey)

Mardi 11 février :

– @ ‎19‎:‎12‎ : Simi Valley, Californie, US
– @ ‎19‎:‎04‎ : Mountain View, Californie, US
– @ ‎18‎:‎59 : Medea, Algérie
– @ ‎16‎:‎56 : Cartago, Costa Rica
‎ -@ ‎16‎:‎52‎:‎ : Montréal, Canada
‎- @ ‎16‎:‎44 : Zagreb, Croatie.
‎- @ ‎16‎:‎36 : Gresik, Java oriental, Indonésie
‎- @ ‎16‎:‎31 : Namur, Belgique
‎- @ ‎16‎:‎19 : Solothurn, Suisse
‎- @ ‎09‎:‎59 : Brabant Wallon, Belgique‎
‎- @ ‎09‎:‎21 : Ashburn, Virginia, US‎
‎- @ ‎05‎:‎37 : Port Louis, Maurice
‎- @ ‎03‎:‎51 : Berlin, Allemagne

Entre autres…

Merci pour la visite et douce nuit 😉

Attention danger : "le fait de ne pas révéler à votre enfant à combien de violences et d’abus , il peut se trouver confronté dans le monde " ?

(Lien pour vidéo en français et lien pour article en anglais, ci-dessous)

Par Sandra Kim :

« L’idée que quelqu’un puisse agresser votre enfant est terrifiante pour tous les parents(sauf pour le parent pédophile, ce qui est le cas pour 37 % d’entre eux) .

La douleur, la peur et les traumatismes qu’ils peuvent éprouver à un si jeune âge sont effrayants à considérer. Ce qui suffit pour faire de cela, un phénomène flippant sur lequel un parent ne veut jamais se pencher..

Et puis nous espérons que cela n’arrivera tout simplement jamais à notre petite fille ou garçon .

Sauf que votre fille a 1 chance sur 4 et que votre fils a 1 chance sur 6 d’être agressés avant l’âge de 18 ans.

Je sais que vous ne voulez pas l’entendre ou le croire. Mais c’est vrai .

Et ces statistiques sont trop élevées pour que des parents risquent de rester mal informés sur la réalité de l’abus sexuel des enfants et sur le fait de ne pas parler à leur enfant de ce sujet .

En plus de cela , la majorité des enfants ne signalent jamais les abus sexuels quand ça se passe . Ils ont souvent peur des réactions ou peur d’avoir des ennuis concernant leurs parents . Ils ne savent pas comment expliquer ce qui leur est arrivé ou comment ils ont cru ce que l’agresseur leur a dit pour les faire taire .

Maintenant , vous ne pourrez jamais protéger votre enfant pleinement ni ne jamais être inquiète . Mais vous pouvez faire beaucoup pour réduire la vulnérabilité de votre enfant à la violence sexuelle et augmenter les chances qu’il vous raconte quand quelque chose se passe, par la suite .

Vous avez juste besoin de leur parler directement à ce sujet et de le faire à plusieurs reprises .

Pourquoi parler de l’abus sexuel , c’est comme parler de traverser la rue

L’idée de parler à votre enfant sur ​​la violence sexuelle vous semble probablement pire même que de leur parler de sexe .

Vous ne voulez pas pour eux (ou vous-même ) faire peur en vous engageant dans ce processus . Vous ne voulez pas le dépouiller de son innocence . Vous ne voulez pas lui révéler à combien de violence et d’abus , il peut se trouver confronté, dans le monde .

Mais étant donné les statistiques , votre enfant est beaucoup plus susceptible d’être agressé que d’être percuté par une voiture en traversant la rue .

Donc, essayez de penser à ces entretiens comme étant tout aussi importants (et franchement plus importants, étant donné les statistiques )que d’enseigner à votre enfant comment traverser la route en toute sécurité .

C’est l’une des choses que vous devez enseigner à votre enfant, comme une preuve d’amour en prenant soin de lui et comme un moyen d’ assurer sa sécurité.

Rappelez-vous que vous prendrez une profonde respiration avant de commencer à parler à votre enfant au sujet de son corps .

Voici les façons d’aborder la conversation:

1 . Considérez vous-même cette conversation comme une façon d’aimer votre enfant : un lieu apaisant et non pas un endroit stressant aidera à créer un environnement calme pour votre enfant . Cela l’aidera vraiment à écouter les mots que vous lui dites . Si vous avez peur et si vous êtes stressée , il va réagir principalement à la peur et n’enregistrera pas autant ce que vous lui dites .

Il est également important de ne pas traiter le sujet comme quelque chose de tabou ou de sale (ce qui est souvent le cas lorsque nous traitons tout ce qui touche au sexe ) . Même lorsque les parents essaient de cacher leurs sentiments , les enfants sont souvent très perspicaces et repèrent de petits indices qui leur disent que quelque chose cloche . Ils pourraient alors penser que l’on parle de quelqu’un qui souffrirait peut-être à tort, à cause d’eux , même si vous leur dites que ce n’est pas le cas. Donc, parlez d’une manière calme , décontractée , et restez dans cet état ​​d’esprit en ayant ces entretiens .

2 . Commencez à leur parler dès l’âge de 2 ans: Cela peut sembler très tôt mais les enfants de moins de 12 ans sont les plus à risque à l’âge de 4 ans. Même s’ils ne peuvent pas bien parler, les enfants de cet âge sont occupés examiner le monde . Et ils comprennent et se souviennent certainement de beaucoup plus de choses que les adultes l’admettent habituellement .

Par exemple , quand vous donner le bain , dites-leur où sont leurs parties intimes et ce que le parent doit voir et toucher pour les nettoyer , mais que normalement personne ne devrait le faire.

3 . Enseignez-leur les noms réels de leurs parties intimes : Lorsque vous commencez à leur enseigner certaines parties de leur corps comme les oreilles , les yeux et les orteils , leur enseigner aussi les vrais noms de leurs parties intimes comme « vagin » et «pénis» et non leurs noms « mignons » . Cela leur donne les bons mots à utiliser si quelqu’un leur fait du mal et fait que la personne se dit qu’il comprend ce qui se passe . Il est également important d’enseigner l’anatomie féminine et masculine parce que l’ agresseur peut être de l’autre sexe et ils ont besoin de savoir comment décrire ce qui leur arrive .

Dans un cas, un enfant avait dit à sa mère que son estomac lui faisait mal . Quand ils l’ont emmenée chez le médecin , il les a informés que son vagin a montré des signes de viol . Leur petite fille avait essayé de leur dire ce qui se passait , mais elle ne savait pas comment l’appeler « vagin » et elle a dit l’estomac à la place.

4 . Nommer les seuls cas où les parties intimes peuvent être vues et touchées : Un concept adapté à l’âge qu’un jeune enfant peut comprendre, c’est que personne – y compris un parent ou tuteur – doit voir ou toucher leurs parties intimes – comme un maillot de bain qui les couvrirait – afin qu’ils les gardent propres, sûrs , ou en bonne santé. Mais aussi s’assurer qu’ils savent que, même dans ces situations , si quelqu’un leur fait du mal , ils peuvent toujours dire « stop , ça fait mal» et le raconter à leur mère immédiatement .

Quelques exemples pour les aider à comprendre ce dont vous parlez, c’est quand vous leur donnez un bain ou quand un médecin les examine. Demandez-leur si c’est un exemple pour les garder propres, en sécurité , ou en bonne santé, ce que vous êtes entrain de faire .

5 . Apprenez-leur que leurs parties intimes sont spéciales : Quand on parle de ce sujet , il est important de ne pas créer un sujet tabou ou un sentiment sale autour de leurs parties intimes . Au lieu de cela les parents peuvent enseigner à leurs enfants que leurs parties intimes sont si spécieuses qu’elles sont juste pour eux et pas pour personne d’autre .

C’est seulement lorsqu’ils ont besoin de garder leurs parties intimes propres, protégés et sains, que d’autres personnes sont autorisées à les voir ou les toucher. C’est également une étape importante pour aider les enfants à développer une sexualité saine avant de discuter lui-même de sexe avec eux .

6 . Enseignez-leur(et respectez ) leur droit à disposer de leur corps : Cela va à l’ encontre de ce que nous enseignons à nos enfants souvent – que les adultes ont une autorité absolue sur tout et que les enfants doivent faire ce qu’on leur dit . Le problème c’est que cela leur apprend à se taire quand ils se sentent mal et ont peur à cause de ce qu’un adulte leur dit de faire . Au lieu de cela , apprendre à votre enfant que leur corps leur appartient et personne n’a le droit de blesser leurs corps , même si un adulte qui le fait . Pour les enfants , il est très stimulant d’avoir la permission de dire «non» à un adulte si ils sont à l’aise avec la demande .

Par exemple , lorsque vous êtes à un événement sociétal , ne forcez pas l’enfant à accepter qu’on l’embrasse ou à embrasser quelqu’un . A la place, laissez votre enfant savoir qu’il peut donner un baiser , une étreinte, une poignée de main, ou rien aux gens qu’il voit et s’il est entièrement OK les concernant . Et quand un adulte tente d’obtenir un câlin d’eux, alors qu’ils ne veulent pas , encourager l’enfant à dire «non» et le soutenir dans sa décision, verbalement si nécessaire .

7 .Leur expliquer que personne ne devrait leur faire du mal physiquement , en particulier dans leurs parties intimes . 85% des abus sexuels des enfants sont commis par quelqu’un qu’ils connaissent . Ce peut être un parent, un ami de la famille , un voisin , un enseignant ou un chef religieux . Ce peut être un homme, une femme , ou un autre enfant . Ce peut être n’importe qui . Personne n’est malheureusement sur ​​la liste de sécurité . En fait , les enfants sont les plus vulnérables avec des membres et des connaissances de la famille. Donc, assurez- vous que votre enfant sait que personne ne peut blesser son corps , peu importe avec qui il est – même quand il est avec sa maman ou son papa .

Il est également important qu’un enfant comprenne que vous leur parler de cela parce que vous les aimez et que vous voulez qu’il soit en sécurité. Tout comme vous lui apprenez à traverser la route car il pourraient être heurté par une voiture , vous devez également leur enseigner que quelqu’un pourrait leur faire du mal sexuellement . Cela ne signifie pas que cela va se passer . Mais au cas où quelqu’un essaierait de le faire, votre enfant saura qu’il peut dire «non , arrête ça » et vous dire ce qui s’est passé sans que vous soyez en colère contre eux .

8 . Encouragez-les à faire confiance à leur instinct au sujet de leur sécurité : en même temps que les parents ne doivent pas susciter une peur des gens de la part de leur enfant, ils doivent encourager leur enfant à faire confiance à leur instinct . En faisant confiance à leur intuition , les enfants seront deux fois plus capables de faire leurs propres choix sur qui est sûr les concernant au lieu de ne compter que sur ce qu’un parent peut leur dire . Ceci est important car un parent ne sera pas toujours là avec eux .

Une façon de le dire à l’enfant avant les événements sociaux, c’est que si jamais il se sent mal à l’aise avec quelqu’un – même si rien ne s’était passé , il doit quitter la pièce et le dire à leur parent . Même si cela semble « grossier », il doit savoir qu’il ne sera pas punis pour le fait de quitter simplement la pièce . Leur sentiment de sécurité vient avant la nécessité d’être «poli ».

9 . Expliquez que le secret est encore un secret quand il est partagé avec les parents : beaucoup de toxicomanes disent à leurs enfants victimes, que ce qui s’est passé était un secret et de ne pas le dire à personne , en particulier à leurs parents . Il est donc important de leur apprendre très tôt que les secrets sont encore gardés secrets s’ils les racontent à maman ou à papa . En outre, ils doivent comprendre que toute personne qui veut qu’ils gardent des secrets à l’insu de leurs parents, ne devraient pas être dignes de confiance et ils devraient certainement en parler à leurs parents .

10 . Dites-leur que vous les croirez si quelqu’un leur fait du mal et ils ne seront pas en difficulté : de nombreux agresseurs disent à leurs victimes que personne ne les croira et ils créent un sentiment de honte autour de ce qui s’est passé . Les enfants en général , habituellement se blâment et assument la responsabilité de choses qui se passent dans leur vie , peu importe qui est réellement responsable. Compte tenu de cela, les enfants ont souvent peur de ce que leur mère va faire s’ils lui racontent les faits , y compris peur d’être punis . Assurez-vous qu’ ils savent sans aucun doute que vous ne serez pas bouleversée , qu’ils ont fait le bon choix , et que vous êtes fiers d’eux pour avoir révélé la vérité .

Mais voici la chose plus importante à faire:

Si vous ne vous rappelez rien d’autre , rappelez-vous ceci – ces entretiens devraient être permanents, ouverts et décontractés .

Vous ne voudriez pas dire à votre enfant une seule fois qu’il ne faut pas traverser la rue sans regarder des deux côtés . Vous souhaitez le leur dire à plusieurs reprises et probablement même les questionner sur ce qu’ils doivent faire quand ils veulent traverser la route .

C’est la même affaire pour les abus sexuels – sauf que vous avez cette conversation à partir d’un âge beaucoup plus jeune et que cela change au fur et à mesure que votre enfant grandit et devient un adolescent .

Bien que rien ne peut garder votre enfant sûr à 100% , si vous gardez un dialogue ouvert et décontracté avec votre enfant ,si vous gardez un œil sur des symptômes , et si vous prêtez attention à la façon dont votre enfant réagit aux gens, vous avez considérablement réduit le risque qu’une personne abuse sexuellement de votre enfant. »

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Pour plus d’aide , s’il vous plaît consultez :
◾ La liste des organismes au service des survivants de la violence sexuelle…

Vous voulez en discuter davantage ? Connectez-vous à notre forum en ligne

Cet article a été rédigé avec la contribution du Centre DC Rape Crisis . Le DCRCC aide les survivants et leurs familles à guérir des séquelles de la violence sexuelle par l’intervention d’urgence, conseils , et le plaidoyer. Suivez-les sur Facebook .

Sandra Kim est la fondatrice et directrice général du quotidien féministe . Elle regroupe son expérience personnelle et professionnelle concernant ce traumatisme, la transformation personnelle et le changement sociétal et elle donne à l’ensemble une dimension féministe ».(Traduction non exhaustive de Google).

http://everydayfeminism.com/2014/02/10-ways-to-talk-to-your-kids-about-sexual-abuse/

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Et en France ?

Vidéo http://www.dailymotion.com/video/xyp1f_fin-du-silence-viols-d-enfants-doc_news

… »Une courageuse émission d’Elise Lucet sur les réseaux pédophiles et satanistes en France et leur dissimulation par une justice aux ordres.

Viols d’enfants : la fin du silence ? [vidéo] Reportage censuré – 1999
Publié le 3 mai 2013 par Hozhana .

Reportage réalisé par les journalistes Pascale Justice, Stéphane Taponier et Cécile Toulec, présenté par Élise Lucet – 1999
(http://hoszhana.wordpress.com/2013/05/03/viols-denfants-la-fin-du-silence-video-reportage-censure-1999/) »

L’actualité continue de révéler les crimes ignobles des réseaux pédophiles, dans des vidéos circulant sur le Net et regardées, achetées et échangées par MM. Toutlemonde : instituteurs, papys, papas, maris…

Bienvenue à Chiang Mai (Thaïlande), Beirut (Liban), ‎Tamatave (Madagascar) ,Leeuwarden (Pays Bas), Grand Falls (Canada‎)…

Ce soir...

Hier, 1 104 pages vues par 376 visiteurs : merci pour l’intérêt !

Lundi 10 février :

-‎ @ ‎21‎:‎33‎:‎ : Mountain View, California, US
‎- @ ‎21‎:‎31 : Montréal, Canada
‎- @ ‎21‎:‎07 : Europe, EU
‎- @ ‎21‎:‎07 : Beirut, Liban‎
‎- @ ‎21‎:‎03 : Antwerpen, Belgique
‎‎- @ ‎17‎:‎08 : Schwyz, Suisse
‎‎- @ ‎17‎:‎03 : Chiang Mai, Thaïlande
‎- @ ‎17‎:‎01‎ : Batna, Algérie
‎- @ ‎16‎:‎04 : Grand Falls, Canada‎
‎- @ ‎15‎:‎22 : Menlo Park, California, US
– @ ‎10‎:‎30 : Tamatave, Madagascar
‎- @ ‎10‎:‎22 : Leeuwarden, Pays Bas
‎- @ ‎10‎:‎07 : Djelfa, Algérie
‎- @ ‎09‎:‎48 : Lévis, Canada
‎- @ ‎09‎:‎39 : Mountain View, Californie, US‎
‎- @ ‎08‎:‎42 : Floréal, Maurice
‎- @ ‎08‎:‎01 : Maniwaki, Canada

Entre autres…

Merci pour la visite et douce nuit 😉

" Le mariage, un contrat… privé(!) où chaque couple choisit SES droits et devoirs de mari et femme " ?

(Si vous l’avez raté)

Par Gaspard Koenig :

… »Et si le mariage devenait une affaire purement privée ?

Privatisons le mariage civil, transformons-le en un contrat comme les autres que l’État se doit de garantir sans pour autant y participer, et ces querelles byzantines (on n’ose écrire : « sur le sexe des anges »…) cesseront d’elles-mêmes.

En effet, dans notre pays, quand on s’aime, l’État tient la chandelle. Au nom de quoi passe-t-on, selon la détestable expression, « devant monsieur le maire » ? Pire encore, pourquoi les futurs époux doivent-ils se soumettre à une « audition préalable » auprès d’un officiel d’état civil et étaler leurs sentiments, leur intimité, devant un politique ? Faut-il que nos droits et devoirs de mari et femme nous soient donnés par un élu à la moralité souvent discutable ? Ne pourrait-on pas se marier ailleurs que dans ces mairies sordides, avec le portrait du président en toile de fond ? La loi ne prévoit qu’une exception : « En cas de péril imminent de mort de l’un des futurs époux, l’officier de l’état civil pourra même se déplacer au domicile ou à la résidence de l’une des parties sans réquisition ou autorisation du procureur. » Mais si vous n’êtes pas agonisant, vous ne couperez pas à la salle des mariages. Votre union sera consacrée par la République.

L’État restera dépositaire de l’état civil

Or, on pourrait imaginer signer son contrat de mariage au troquet du coin, ou en haut de la tour Eiffel, ou, pour les plus fous, chez sa belle-mère, devant un notaire ou même un avocat. Chaque couple y définirait ses propres clauses : partage des biens, héritage, conditions du divorce, voire durée du mariage, que l’on pourrait définir à sa convenance, pour un nombre d’années renouvelables… ou non…

C’est ce que propose l’économiste Bertrand Lemennicier dans Le marché du mariage et de la famille ou, dans le contexte américain, un rapport du Cato Institute (un think tank libertarien) joliment intitulé : « Marriage against the State ». Le mariage ainsi dépourvu de son symbolisme républicain, et (re)devenu une affaire purement privée, plus personne ne pourrait s’opposer à ce que homosexuels, trans et autres deviennent à leur tour des parties contractantes. La beauté des contrats, c’est qu’ils ne s’occupent pas de morale.

Cela n’ôterait rien, bien au contraire, à ceux qui restent attachés à la conception traditionnelle du mariage, et qui pourront s’adonner dans leurs Églises ou communautés respectives à tous les rites qu’ils jugeront nécessaires. La séparation entre le sacré et le profane n’en serait que plus claire. Bien sûr, l’État restera dépositaire de l’état civil, ordonnateur de la fiscalité des époux et responsable du droit de la filiation. On pourra discuter passionnément de ces sujets, mais au moins seront-ils déconnectés de la question précise du mariage, pour tous, c’est-à-dire pour tous les sujets de droit.

Certains maires refusent de marier les homos ? Refusons de nous marier devant le maire ! Cela épargnera du temps à nos élus, et le ridicule à la République »… (Extrait).

http://www.lepoint.fr/invites-du-point/gaspard-koenig/gaspard-koenig-privatisons-le-mariage-09-02-2014-1789703_2002.php#xtor=EPR-6-%5BNewsletter-Matinale%5D-20140210

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« Faut-il que nos droits et devoirs de mari et femme nous soient donnés par un élu à la moralité souvent discutable ? Ne pourrait-on pas se marier ailleurs que dans ces mairies sordides, avec le portrait du président en toile de fond ? …Or, on pourrait imaginer signer son contrat de mariage au troquet du coin, ou en haut de la tour Eiffel, ou, pour les plus fous, chez sa belle-mère, devant un notaire ou même un avocat. Chaque couple y définirait ses propres clauses : partage des biens, héritage, conditions du divorce, voire durée du mariage, que l’on pourrait définir à sa convenance, pour un nombre d’années renouvelables… ou non… Certains maires refusent de marier les homos ? Refusons de nous marier devant le maire  »

Wouaaah, ça décoiffe !

Ju-bi-la-toire ce type d’union, non ? 😉

J’avais déjà suggéré dans un article, un « contrat personnel » pour les deux partenaires voulant partager une vie commune, où chaque couple y définirait ses propres clauses, à acter devant les amis/parents/etc, au cours d’une mega fête…n’importe où !

 » La beauté des contrats, c’est qu’ils ne s’occupent pas de morale. »
:yes:

Les femmes : "de jolis morceaux de boucherie à l’étal, et trop nombreux sont ceux qui préfèrent les voler pour s’en repaître" ?

« J’ai fini par me tirer vivre à la campagne pour ne plus avoir le problème de la confrontation à des types me désirant, et j’ai arrêté totalement d’être féminine pour ne plus attirer l’attention de personne.

Ce n’est pas une solution ; personne ne devrait avoir à renoncer à sa séduction, à sa beauté ou son charisme pour avoir la paix ; personne ne devrait avoir à partir vivre loin des humains pour ne plus avoir à les affronter.

Mais notre société est ainsi faite que les femmes sont de jolis morceaux de boucherie à l’étal, et trop nombreux sont ceux qui préfèrent les voler pour s’en repaître. »

Par Tsuki (dans un débat sur le viol)

L’un des commentaires de la 38e contribution au débat http://www.crepegeorgette.com/2014/01/29/comment-lutter-contre-le-viol/

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Comment ?

M.X ou/et Mme XY, pensent que c’est de sa faute à ELLE, -la violée(!)- ce qui lui arrive !

-Elle n’a pas de burqa

-Elle a une minijupe

-Elle est trop maquillée/trop ci et trop ça, et pas assez ci et ça

-Elle fait confiance à des camarades/amis mâles

-Elle va en boîte et adore s’amuser

-Elle sort la nuit

-Elle a un père pédophile et elle n’a pas dit non…

-Elle n’a pas perdu un œil en se débattant contre son violeur

-Elle…

-« ELLE »…

ET lui ? Oui, « LUI » !

Concernant le violeur, la société occulte -trop souvent- délibérément, qu’il s’agit d’un …cri-mi-nel(!), qui n’a pas à profiter, en plus, des préjugés archaïques, misogynes et liberticides,- sociétaux- pour se dédouaner ou minimiser son crime sexuel

Le coupable c’est bien le violeur et non pas la violée qui est bien une victime !

Imagine -t-on possible et viable, une société où chacun s’approprierait, sans le consentement d’autrui, tout ce qui titille son… désir ?

La voiture dans la vitrine, un gâteau chez le boulanger, un diamant chez le bijoutier, un chariot plein au supermarché, la vie de son rival détesté ou jalousé, etc… ? ? ?

Pourtant, ça ne la dérange pas plus que ça la société, concernant le viol, un crime qui détruit, d’une façon ou d’une autre un humain/une femme; crime sexuel qu’elle punit encore trop souvent en France, beaucoup moins qu’un… vol !!!

Cherchez l’erreur ? Il n’y en a pas : depuis la fameuse « pomme d’Adam », de l’Eglise* catholique, toutes les « Eve » sont ipso-facto -C-à-d par le fait même d’être née femme(!), -…coupables !

Pourtant, ce dieu* dans sa grande prévoyance, a doté le violeur de 2 mains habiles pour l’aider à soulager ses bourses: quand il viole, c’est clairement un acte criminel, sans aucunes circonstances atténuantes qui proviendraient de SA…victime !!!

Vivement une société sans père ni mari, -ni religions misogynes inventées par des mecs(!)- comme celui, entre autres, des « Na » de Chine, où le viol n’existe pas ?

PS- ou encore rejoindre au plus vite le…Village des Vagins(!), à Nosy Komba- Madagascar ? ( « Tingy- Tanàna, le Village des Vagins », de Lyliane Lavilgrand, paru en 2007 et épuisé).