"Quarante ans plus tard, c’est un scandale….et ce n’est pas la fin, c’est le début."

« Sauf qu’en l’espèce les enfants venaient d’une île à des milliers de kilomètres de distance, d’une culture et d’un climat – d’une « langue »! -différents. Surtout, ils avaient des parents au départ
Aucun n’est arrivé à un métier fantastique. Certains sont devenus ouvriers, certains touchent le RSA, certains ont fini en institution psychiatrique« …

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Propos recueillis par Marion Cocquet :

Philippe Vitale sociologue, coauteur de Tristes Tropiques de la Creuse, livre de référence sur la question, éclaire ce pan méconnu de l’histoire.

… »Le Point.fr : Dans quel contexte ce transfert d’enfants s’organise-t-il ?

Philippe Vitale : La départementalisation de La Réunion a eu lieu en 1946. L’île est à l’époque dans un état catastrophique sur le plan sanitaire, social, du point de vue des structures hospitalières ou de l’aide à l’enfance. S’ajoute à cela une démographie galopante : à partir de 1951, le taux de natalité du département dépasse les 50 pour 1000 quand il avoisine les 19,5 pour 1000 en métropole – et ce, en pleine période de baby-boom. Parallèlement éclatent à la fin des années 1950 des insurrections côté Caraïbes, pour demander l’indépendance ou l’autonomie ; l’Algérie est en passe d’être « perdue ». Commence enfin, à cette période, la désertification des territoires ruraux en métropole. Il faut garder à l’esprit l’ensemble de ces éléments pour comprendre la politique de Michel Debré.

Il devient député en 1963. Quel est son projet pour La Réunion ?

À l’époque, il vient de perdre les législatives en Indre-et-Loire et son poste de Premier ministre. La Réunion, où il est élu à 80 % après une période de chaos électoral, lui permet de revenir sur la scène politique. Il s’y donne une mission : être l’artisan de la modernité. Il organise la décentralisation administrative, demande et obtient des crédits non négligeables, met en place le service militaire pour les Dom-Tom avec, en arrière-fond, le vieil idéal troisième-républicain de l’intégration par l’armée. Il fait distribuer du lait et des collations aux enfants des écoles – on l’appelle même « papa Debré »… (Extraits).

LIRE tout l’article http://www.lepoint.fr/societe/reunionnais-de-la-creuse-les-dessous-d-un-scandale-d-etat-18-02-2014-1793404_23.php#xtor=EPR-6-%5BNewsletter-Matinale%5D-20140219

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« À mes yeux, il y a trois victimes dans cette affaire. D’abord les ex-mineurs, bien sûr, qu’on a traités comme du bétail. Les familles réunionnaises, ensuite. Mais enfin, aussi, les familles d’accueil qui n’ont pas toutes brutalisé, violé ni exploité ces mineurs et qui, en ce cas, ne comprennent pas le procès qui leur est fait. Traiter les Creusois en Thénardier, en négriers, c’est faire à beaucoup d’entre eux un faux procès même si, en effet, des atrocités ont été commises. »

Je ressens beaucoup de colère…impuissante

Concernant toutes ces petites vies saccagées à jamais

Et ces familles détruites

Pour leur soi-disant ….bien!

AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHaaaaaaaaaaaaaaaaah!

Philomena, l’ONU et l’Eglise catholique qui doit rendre des comptes ?

Par Anne Collet:

 » Grâce au récent film de Stephen Frears, Philomena,(voir : L’enfant perdu de Philomena), le calvaire des jeunes mères célibataires irlandaises réduites en esclavage dans des couvents où elles faisaient la lessive des hôtels et collectivités et dont les enfants étaient vendus à de riches familles américaines, va peut être enfin être reconnu.

L’ONU a en effet décidé de faire pression sur l’Église catholique irlandaise pour que l’ordre religieux responsable de ces exactions qui ont duré des décennies, présente des excuses et indemnise ces femmes aujourd’hui âgées, raconte l’agence de presse Reuters…

…Vers un mea culpa de l’Eglise irlandaise envers Philomena ? « …

http://www.lesnouvellesnews.fr/index.php/revue-de-presse/69-femmes-dans-le-monde/3434-revue-de-presse-internationale-13-fevrier-2014

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L’Eglise ne serait plus intouchable, concernant ses exactions ?

Merci l’ONU !

"Vrai trafic d’enfants" organisé par une Eglise catholique ?

Yannick Vely:

 » Si vous avez aimé le film, ne manquez pas le bouleversant livre-enquête de Martin Sixsmith, paru aux éditions des Presses de la Cité.

C’est une paisible mère de famille irlandaise de 70 ans, semblable à beaucoup d’autres. Ce soir de Noël 2003, elle a peut-être bu un peu trop. Et elle craque. En larmes, elle révèle à ses proches réunis pour l’occasion, le douloureux secret qu’elle garde en elle depuis cinquante ans. Adolescente, Philomena Lee est tombée enceinte, hors mariage. Nous sommes en 1952. Dans l’Irlande de l’après-guerre c’est un péché infâme qui jette l’opprobre sur toute une famille, sur toute une communauté. Envoyée immédiatement au couvent de Roscrea, dans l’abbaye de Sean Ross, Philomena accouche dans des conditions difficiles – les sœurs lui refusant de simples analgésiques, comme s’il eut mieux valu qu’elle meure lors de l’accouchement… Elle a 19 ans. Pendant trois ans, elle va travailler dur, dans l’espoir de garder son garçon, qu’elle a prénommé Anthony.

Vaine prière. Le 18 décembre 1955, de force, les religieuses lui enlèvent son enfant et le confient à un couple de riches Américains de Saint Louis, dans le Missouri. Venus adopter une petite Mary, ils repartent en emmenant également Anthony, compagnon inséparable de la fillette. L’institution va contraindre Philomena Lee, profondément déprimée, à signer un document qui l’engage à ne jamais chercher à revoir son fils. Mais la seule promesse qui l’engagera, c’est celle qu’elle fait alors à son enfant. « Je t’aime, Anthony, lui dit-elle. Je t’aime et je t’aimerai toujours. Je ne t’oublierai jamais, mon cœur. Jamais ». Cette promesse-là, Philomena la tiendra, coûte que coûte. Mais ce n’est que 50 ans plus tard que sa quête va aboutir.

Contacté en 2004 par Jane, la fille issue du mariage de Philomena Lee, bouleversée par les révélations de sa mère, le journaliste Martin Sixsmith s’embarque alors dans une aventure humaine qui va vite ébranler ses certitudes. Enquêteur expérimenté, correspondant à l’étranger pour la BBC de 1980 à 1997, chargé de communication auprès du gouvernement britannique de Tony Blair, romancier, il n’imaginait pas ouvrir une telle boîte de Pandore. Car l’histoire cache un business florissant. Le cas de Philomena Lee n’est pas unique : l’Eglise catholique irlandaise entretient alors de nombreux foyers de mères célibataires, et organise un vrai trafic d’enfants. Les conditions posées à la famille adoptante sont simples : croire en Dieu, et faire un don, 2 000 à 3 000 dollars, à l’institution, pour ses bonnes œuvres. Anthony a subi le sort de milliers de bambins, adoptés de force à cette époque.

Grâce à la pugnacité du journaliste, Philomena va retrouver la trace de son enfant, dont elle avait conservé précieusement quelques photos. La première découverte est tragique : son fils est décédé en 1995 des suites du Sida. Rebaptisé Michael A. Hess à son arrivée aux Etats-Unis, il a fait des études d’avocat, et est devenu célèbre. Figure du Parti républicain, engagé par Ronald Reagan à la Maison-Blanche, il a été remarqué par le vice-président, George Bush père, qui a fait de lui son conseiller juridique en chef.

Martin Sixsmith va aussi retrouver la trace de la petite Mary, adoptée par la même famille en 1955. Et mettre Philomena en contact avec le compagnon de son fils, Pete Nilsson. Le récit de ce dernier va la bouleverser. Il lui révèle que Michael-Anthony, de son côté, a tout mis en œuvre pour retrouver la trace de sa mère en Irlande. Il s’est même rendu au couvent de Roscrea, en 1977, où les religieuses lui ont servi un discours bien rôdé : il avait été abandonné à la naissance. Se sachant condamné, Michael-Anthony va demander à être enterré en Irlande, comme pour permettre à sa mère de le retrouver un jour, même au-delà de la mort. C’est cette requête qui va permettre le dénouement de l’histoire.

Grâce à Pete, la dépouille de Michael-Anthony regagne la terre de ses ancêtres. Et c’est sa pierre tombale, neuve, au milieu des vieilles stèles envahies de mauvaises herbes dans le vieux monastère, qui va permettre de faire le lien entre l’américain et l’irlandaise. Sur la plaque, ces quelques mots : « Michael A. Hess. Homme aux deux patries et aux nombreux talents. Né le 5 juillet 1952 à l’abbaye de Sean Ross, à Roscrea. Mort le 15 août 1995 à Washington, aux Etats-Unis. » Toujours catholique, malgré les épreuves endurées et les manigances de l’Eglise, Philomena fait dire une messe en l’honneur de son fils retrouvé, le jour de son anniversaire, le 5 juillet 2004. Et plante un arbre en sa mémoire, symbole de ses racines retrouvées ».

http://www.parismatch.com/Culture/Cinema/La-veritable-histoire-de-Philomena-et-Anhony-Lee-544610

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Ou encore « Quand le diable finit par adoucir les saloperies de L’Eglise ? (Comme titre)

Car ils se sont quand même retrouvés,… par delà la mort, hélas! envers et contre toutes les saloperies déployées par l’Eglise catholique

« Aime ton prochain comme une…source de fric(!) pour l’amour de…l’argent »?

Il faut reconnaître à l’Eglise son sens …productif défiant toute morale élémentaire, toute humanité:

-Exploiter des filles…enceintes(!), en leur faisant faire des lessives des hôtels -qui comme chacun le sait est un travail harassant et pas « hygiénique » ! –

– récupérer l’argent de la vente des bébés, sous forme de « dons »(!)qui ne disent pas leur nom

l’Eglise organisant un trafic d’enfants et un esclavage forcé ?

Cela dépasse l’entendement…humain !

Cette infamie, est une honte indélébile scotchée à jamais sur cette religion, qui rejaillit sur l’humanité tout entière

Honte à toutes ces religieuses…qui ont été jusqu’au bout de cette saloperie en faisant croire à l’enfant qui recherchait sa mère, que cette dernière l’avait ABANDONNE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Honte aux parents qui ont enfermé leur propre enfant dans ces « couvents » ! – geôles féminines ? Couveuses de bébés à vendre ? Centres de travaux forcés ?-

Honte à l’Etat Irlandais qui a cautionné cette ignominie religieuse

Honte à tous ceux qui approuvaient ces centres et les saloperies qui s’y pratiquaient

Honte à tous ceux qui savaient, de par le monde et qui n’ont rien dit, rien fait

Quelle légitimité MORALE a -réellement(!)- l’Eglise, pour être donneuse de leçons de moralité(!!!), après les horreurs inhumaines de l’Inquisition, les saloperies sexuelles de ses prêtres pédophiles que l’Eglise a couvertes, les ignominies commises dans certains de ses « couvents » pour lui rapporter du fric en exploitant la main d’œuvre des femmes et… leur ventre ?

Cette mère catholique mal traitée et exploitée, est toujours catholique parce qu’elle croit à tort, comme beaucoup de croyants, que

L’Eglise* c’est… DIEU !!!

Alors qu’elle* ne fait que parler et agir au nom de SON dieu à elle*, inventé par des… mecs(!), pour entre autres, pourrir la vie de millions de femmes dans le monde

Vu tout son passif et son actif(!), ne serait-elle pas finalement L’Eglise du …diable, comme pour la plupart des religions ?

La foi de chacun(e) en tous ces dieuX(!) plus vrais les uns que les autres, est respectable

Mais pas les religions, qui ne respectent pas l’intégrité …humaine, surtout…féminine !

Comment,COMMENT(!!!) une -ou des- religion a pu réussir à faire croire à l’humanité

Qu’un ENFANT sorti du ventre d’une…FEMME seule, devenait un « bâtard »: un enfant méprisable, au destin « condamné » (!)

Et que sa mère se changeait, du jour au lendemain, en une être méprisable, une moins que rien, que sa famille devait rejeter et la société mépriser… pour avoir donné la vie, la VIE, merde(!!!), seule, comme l’a prévu la nature dans son logiciel ? Le père étant une pure invention sociétale

Le diable, n’est décidemment pas celui qu’on croit !:##

Bienvenue à Ouagadougou (Burkina Faso), Toronto (Canada), Tanger-Tetouan (Maroc), Al Mahdia (Tunisie)…

La plage de Flic en Flac à la tombée de la nuit !

Mardi 18 février:

-@ ‎21‎:‎50 : Abymes, Guadeloupe
-@ ‎21‎:‎30 : Ouagadougou, Burkina Faso
-@ ‎21‎:‎24 : Fort-de-france, Martinique
‎-@ ‎18‎:‎59 : Saint-jérôme, Canada
‎-@ ‎18‎:‎53 : Menlo Park, California, US
-@ ‎16‎:‎19 : Graubunden, Suisse
-@ ‎15‎:‎36 ‎: Al Mahdia, Tunisie
-@ ‎15‎:‎16 : Tanger-Tetouan, Maroc
-@ ‎14‎:‎59 : United Kingdom, GB
‎-@ ‎08‎:‎50 : Toronto, Canada
‎-@ ‎08‎:‎40‎ : Rose Hill, Mauritius
‎-@ ‎08‎:‎26 : Laval, Canada
‎-@ ‎08‎:‎17 : Lavaltrie, Canada
‎-@ ‎06‎:‎43 : Québec, Canada
‎-@ ‎06‎:‎17 : Ashburn, Virginia, US
‎-@ ‎05‎:‎44 : Trois-rivières, Canada
‎-@ ‎05‎:‎27 : Le Gosier, Guadeloupe

Entre autres…

Merci pour la visite et douce nuit 😉

"Quand des femmes font le mur", "ça en touche une aux mecs, sans faire bouger l’autre " !

… » Bombes à la main, les graffeuses laissent libre cours à leurs imaginations et déploient une énergie impressionnante au milieux des voitures garées dans l’entrepôt.

Le but de la manœuvre: parler de la condition des femmes à travers des graffitis. « C’est comme si on ouvrait une porte et qu’on donnait à voir l’étendue des problèmes auxquelles les femmes sont confrontées, soutient Angy Balata, l’une des responsables du projet. Les graffitis ont la force de mettre en lumière des sujets ou des thématiques bien précis. De là peut naître une réflexion qui s’inscrit dans le temps.

Graffitis dans le garage de la rue Bustan
dans le centre-ville du Caire »…(Extrait)

http://blog.slateafrique.com/nouvelles-du-caire/2014/02/14/les-femmes-font-le-mur/

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Et elles retournent ensuite se coltiner toujours seules et en vrai à « l’étendue des problèmes auxquelles les femmes sont confrontées » ?

Moi, J‘ai toujours trouvé un peu dérisoire en tant que moyen de lutte efficace et productif, ce genre d’initiative -louable dans ses intentions et bénéfique dans l’instant pour le moral, – un peu comme de l’eau sucrée appliquée sur une immense plaie à vif, pour la guérir

…Je visionne, à chaque fois, une vidéo en noir et blanc où en sortant du garage, on leur donne de quoi se défendre pour de vrai, contre le mari super con/ violent/violeur, le piéton agresseur, le frère dictateur, le policier complice, le juge laxiste, le politique indifférent, le père indigne/marieur/d’office, etc…

Un rassemblement féminin, qui grossit de plus en plus, se met alors en marche: des… justicières(!) vont demander des comptes à chacun de leurs persécuteurs, voter à main levée pour la peine* à appliquer et l’exécuter* sur le champ, sans circonstances atténuantes…

Elles passent au crible chaque rue, chaque immeuble et ne laissent aucune femme aux mains de ses mal traitants, repoussant aux frontières tous les mâles dominants, condamnés à s’exiler…

Elles instaurent une état de Droits…Humains(!), qui respecte et protège tous ses citoyens : femmes, homosexuels, y compris les… mecs(!) qui respectent scrupuleusement, les Droits humains des FEMMES(!) et non plus les lois d’une société misogyne ou d’un Etat aux ordres de diktats religieux/préhistoriques/misogynes, injustes, liberticides et féminicides…

Un psychiatre connu, – responsable d’une unité psychiatrique hospitalière -disait avec justesse ceci, concernant les cas de « possessions » à la Réunion: la médecine et ses médicaments peinent à les guérir vraiment, mais les guérisseurs/charlatans/exorcistes, de tous poils, y parviennent!

Guérir un « mal/incompréhensible » par… un « procédé/incompréhensible »!

Concernant le mauvais sort…humainement(!) incompréhensible inventé/réservé aux femmes, partout dans le monde, il ne faudra pas compter sur la compréhension/aide/lutte des mecs, encore moins des religions

Mais sur une détermination farouche des femmes elles-mêmes !

Qui relève -pour l’instant- de l’utopie

Car ce sont elles les indéfectibles courroies de transmission(!) de toutes les saloperies misogynes religieuses, qu’elles relayent ad vitam aeternam, auprès de leurs petits

« Quand des femmes font le mur », « ça en touche une aux mecs, sans faire bouger l’autre  » !!!

Bienvenue à Victoria (Australie), Arenys De Mar (Espagne), Kirksville, Missouri / Ashburn, Virginie/ Simi Valley, Californie (US), …

Un jour s'en va !Lundi 17 février :

-@ ‎18‎:‎33 : Mountain View, Californie, US
-@ ‎17‎:‎43 : Liège, Belgique
-‎@ ‎17‎:‎32 : Doukkala-Abda, Maroc
‎-@ ‎17‎:‎29 : Dambovita, Roumanie
-@ ‎15‎:‎41 : Budapest, Hongrie
-@ ‎15‎:‎37 : Toamasina, Madagascar
‎-@ ‎14‎:‎57 : Arenys De Mar, Espagne
‎-@ ‎14‎:‎48 : Viseu, Portugal‎
‎-@ ‎14‎:‎44 : Victoria, Australie
-@ ‎13‎:‎55 : Al Mahdia, Tunisia
-@ ‎13‎:‎10 : Menlo Park, Californie, US
‎-@ ‎11‎:‎00 : Simi Valley, Californie US
‎-@ ‎10‎:‎56 : Abidjan, Côte d’Ivoire
-@ ‎09‎:‎06 : Ashburn, Virginie, US
-‎@ ‎07‎:‎26 : Kirksville, Missouri, US
‎-@ ‎06‎:‎54 : Québec, Canada
-@ ‎04‎:‎51‎ : Batna, Algérie

Entre autres…

Merci pour la visite et douce nuit 😉

Assez de contraception presque exclusivement … féminine! Vasectomie pour tous ?

Com de philippe (Visiteur), sur l’article « Avis aux pro-vie: la vasectomie, une solution radicale pour contrer l’IVG – avec congélation de sperme! »(de Tingy Pro) :

« bonjour…..tres bon article qui j’espere responsabilisera les hommes, effectivement pour ne plus avoir d’ivg la meilleure solution a la fois simple et efficace est la vasectomie avec ou sans congelation de nos zozos…..
je tiens a signaler que mr djerassi inventeur de la pilule s’est fait vasectomisé pour soulager les femmes….qd a moi j’y suis passé a 40 ans
 »

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Lutter pour que l’on cesse de promouvoir, uniquement ou presque,la contraception… féminine(!)

Et militons pour que les assoce, gynéco, spécialiste sexuel en tous genres et autre planning familial conseillent, enfin aux mecs: la vasectomie

100 % efficace contre les…IVG : plus de spermatozoïdes plus d’IVG !!!!!!

Rappelons que les mecs baisent… »pareil » qu’avant (mieux ?), sauf que la sauce n’est plus dangereuse 😉

Merci pour ton com, et témoignage, Philippe

Douce journée… ensoleillée, à toi !

L’ancêtre des femen ? " Au XI éme S, Lady Godiva a traversé à cheval et entièrement nue, les rues de Coventry"

On écoute Don’t Stop Me Now de Freddie Mercury ?

« … Les paroles de la chanson mentionnent Lady Godiva, une noble dame anglo-saxonne du XIe siècle qui selon une légende a traversé les rues de Coventry à cheval, entièrement nue, pour convaincre son époux de diminuer les impôts qu’il prélevait sur les habitants : « I’m a rushing car passing by like lady Godiva ». »

Les légendes racontant les réalités passées, comme chacun le sait 😉

On se dit que les nanas de l’époque montraient un sacré tempérament

Quand elles défendaient leur cause !

L’ancêtre des femen ?

http://www.gamaniak.com/video/7961VideoFreddie Mercury – Don’t Stop Me Now en dessin

« dans les vieilles chansons avec cette musique de Queen illustrée par des dessins d’un fan de Freddie Mercury, et sur la chanson Don’t Stop Me Now. (assez court, dommage)  » : http://www.gamaniak.com/video-7961-freddie-mercury-dont-stop-me-now-dessin.html

Aïe aïe aïe, encore un "Maître"… barbu(!) pour la "Grand-messe des… Athées " !

(Si vous l’avez raté)

« Un dimanche d’hiver sur Red Lion Square, dans le centre de Londres. Bravant le froid, ils sont quelque 500 à converger vers un imposant immeuble. Un barbu accueille ses ouailles d’une poignée de main, le sourire aux lèvres. Des jeunes, des moins jeunes, des enfants rejoignent un à un la congrégation.

A l’intérieur, sous un plafond haut, un vaste espace avec estrade, balcon, et bancs le long du mur. A 11 heures tapantes, le maître de cérémonie apparaît, salué par un public enthousiaste. Quelques minutes plus tard, les premières notes de l’hymne d’accueil retentissent : « Don’t Stop Me Now », du dieu du glam-rock, Freddie Mercury. Le public, debout, reprend en choeur les paroles.

Bienvenue à la survitaminée Sunday Assembly. On l’a baptisée « l’Eglise des Athées ». Elle est née au début de l’année dernière dans une chapelle déconsacrée d’Islington, au nord de la capitale, avant d’essaimer ailleurs dans le pays, et même à l’étranger – des Etats-Unis à l’Australie. Et bientôt, qui sait… en France. « Live better, help often, wonder more » (« Vivre mieux, aider souvent et s’émerveiller/réfléchir plus »), telle est la devise de cette « congrégation sans dieu qui célèbre la vie ».

C’est une « messe » très particulière. Comme à l’église, il y a des chants, un sermon, des moments de réflexion et d’introspection mais aucune référence à Dieu.

Mini-raves et détournement malicieux

« En lisant l’annonce parue à l’époque dans le magazine ‘Time Out’, beaucoup ont cru qu’il s’agissait d’un show de comédie gratuit », raconte Nick un fidèle de la première heure. Sans doute parce que les deux trentenaires fondateurs sont des « stand up comedians » à la manière de l’humoriste et acteur américain Jerry Seinfeld. C’est en se rendant à un show que Sanderson Jones et Pippa Evans ont trouvé la clé de voûte de cette assemblée, après avoir réalisé qu’il y a des choses bien à l’église. Dès lors, pourquoi ceux qui ne croient pas en Dieu en seraient-ils privés ? se sont-ils demandés.

Nous avons calqué sans vergogne notre célébration sur le déroulé d’une messe anglicane », affirme Jones.

Dans le public, ce dimanche, on rencontre d’ailleurs, à la surprise générale, un vicaire anglican. Il est venu de Guildford, au sud-ouest de Londres, « par curiosité ». Steve, en charge de la formation des futurs prêtres, est venu voir la concurrence. Pendant soixante minutes, on va beaucoup taper dans les mains, lire des poèmes, chanter des chansons qui donnent la pêche comme « Wake Me Up Before You Go-Go » du groupe Wham !. Comme dans un vrai karaoké bon enfant, les paroles défilent derrière les « officiants ».

A voir le sourire de Steve chantant « Waterloo » d’Abba, ça lui plaît bien. Après tout, « l’Eglise n’a pas le monopole de l’idée d’Eglise », constate-t-il. Heather, « d’éducation pentecôtiste », est venue elle aussi « voir la dynamique ». L’Assemblée du Dimanche, on l’a compris, n’en manque pas. De mini-raves – où l’on danse comme des dingues pendant quelques minutes – s’inscrivent dans l’étonnante liturgie. Il y a aussi ce jeu où il faut courir dans la salle afin de serrer le maximum de mains en un temps donné, détournement malicieux de la « paix du Christ ».

« C’est une bonne communauté, surtout pour les timides »

A cause de ses béquilles, Kathelyn, la cinquantaine, a opté pour la travée le long du mur. C’est une quaker de l’île de Jersey, venue avec ses filles « athées » et membres assidues de l’Assemblée du Dimanche « depuis le mois de mars ». Sara, les quakers, elle trouvait ça « trop ennuyeux, vraiment ! ». « Ici, elle s’amuse, et ça lui fait beaucoup de bien », explique son petit ami. « C’est une bonne communauté, surtout pour les timides comme moi », dit-il. Dans la course frénétique d’une grande ville anonyme comme Londres, c’est un bonheur « de s’arrêter un peu, le temps de rencontrer des gens qui comme nous veulent faire le bien ».

Des mécréants qui s’associent, ce n’est pas nouveau. Depuis des décennies, les libres-penseurs, les bouffeurs de curés, se retrouvent à Conway Hall, haut lieu de la sécularité, sur Red Lion Square. Mais l’esprit et l’esthétique de l’Assemblée du Dimanche, avec son logo en triangle qui forme une pyramide, sont résolument modernes, très « love and tech(nology), tea and cake », note Sanderson Jones.

Son potentiel de recrutement s’annonce prometteur. Selon le dernier recensement de 2011, le nombre de Britanniques se déclarant chrétiens a chuté de 37 millions à 33 millions en dix ans. Parallèlement, les athées déclarés ont vu leurs rangs s’étoffer de plus de 6 millions, atteignant aujourd’hui les 14 millions.

Trop de références à l’Eglise

L’Eglise-de-ceux-qui-n’en-ont-pas semble en majorité blanche, issue de la classe moyenne, et compte nombre de trentenaires branchés à lunettes d’intello. Déjà, les critiques et les polémiques pointent. Certains athées ne s’y se retrouvent pas : trop de références à l’Eglise, justement. L’élitisme de l’Assemblée du Dimanche est aussi pointé du doigt. Linda Woodhead, une professeur d’université, est venue délivrer le sermon du jour. Son thème ? Les rituels et ça vole assez haut. On fait le même reproche à la School of Life lancée à deux pas d’ici par l’écrivain Alain de Botton. Sur Marchmont Street, c’est une boutique avec des ateliers de réflexion pour citadins en mal de spiritualité. « Toute société a besoin d’un refuge contre le matérialisme », explique-t-il souvent, et la nôtre « cherche encore une façon de replacer les bienfaits qui vont de pair avec la pratique d’une religion : un endroit pour réfléchir, pour trouver une communauté, un refuge ».

Dans un monde où beaucoup s’arc-boutent sur leurs croyances respectives, l’Assemblée du Dimanche ne veut donner ni dans le prosélytisme ni dans l’injonction. Sa mission : « Aider tout le monde à trouver et réaliser son potentiel. » Son aspiration : « Avoir une congrégation sans dieu dans chaque bourgade et chaque ville qui en veut une »…(Extrait).

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20140216.OBS6557/la-grand-messe-des-athees.html?cm_mmc=EMV-_-NO-_-20140217_NLNOACTU08H-_-la-grand-messe-des-athees#xtor=EPR-1-%5BActu8h%5D-20140217

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«  Un barbu accueille ses ouailles d’une poignée de main »

Aïe aïe aïe, Encore un barbu !

Oui à une « l’Eglise des Athées », comprenant « des mécréants qui s’associent »,
pour une Eglise(!)…SANS Dieu: « un endroit pour réfléchir, pour trouver une communauté, un refuge »

Mais, pour changer des Eglises traditionnelles, stop aux « Maîtres » barbus pour faire place aux « Maîtresses* de cérémonie  »

Une… nana*, quoi !

Et fonder une « Eglise des athées… féminines » ?

“ Meilleur Pipe de toute ma vie”

 » La zone  » ?

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Par Teddy Ward:

 » Vous avez sûrement déjà entendu parler de “la zone”… Ce concept de psychologie décrit l’état mental d’une personne totalement immergée, concentrée dans une action, et qui développe un sentiment de contrôle très grisant.

Pourquoi cette leçon de psycho ? Si vous avez regardé Kelly Slater lors du Volcom Pipe Pro, vous n’avez pu que constater combien le King était en état de grâce. Mais au fait, la question serait plutôt : “Quand ne l’est-il pas ?” (Extrait).

http://www.redbull.com/fr/fr/surfing/stories/1331632285038/kelly-slater-le-meilleur-pipe-de-toute-ma-vie?utm_source=outbrain&utm_medium=cpl&utm_campaign=outbrain2013

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 » C’était l’une des meilleures journées à Pipe que j’ai connue de toute ma vie « …( Kelly Slater lors du Volcom Pipe Pro)

On lui souhaite de connaître encore beaucoup de meilleures journées à pipe 😉 !