Il était une fois, une religion misogyne… La foi religieuse : « un pari » sur Dieu ? (Pascal)

Par Benoît Dubos:

… » Une équipe de chercheurs a révélé un anachronisme récurrent dans la Bible. Le chameau, très présent dans de nombreuses histoires contées, n’avait pas encore été domestiqué à l’époque. Lumière sur cette découverte.

Un groupe d’archéologues israéliens a fait une découverte pouvant contester l’historicité de la bible. Tandis que l’Ancien Testament mentionne les chameaux comme montures d’Abraham, de Joseph et de Jacob, histoires étant datées entre 1500 et 2000 avant Jésus Christ, ces animaux n’auraient en réalité été domestiqués qu’environ 1000 ans plus tard, en -900.

Science et Religion, ennemis jurés

Les auteurs de la recherche, Erez Ben-Yosef et Lidar Sapir-Hen de l’Université de Tel-Aviv, ont utilisé une technique de datation au radiocarbone sur le plus ancien ossement de chameau domestique retrouvé dans la péninsule Arabique, dans la vallée d’Aravah, entre la Mer Morte et la Mer Rouge »…(Extrait).

http://www.planet.fr/technologies-science-

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La foi de chacun(e) en DIEU est respectable

Mais les religions, toutes misogynes, ne le sont pas: pour mériter le respect il faut respecter l’intégrité des autres « différents » de soi !

DIEU -s’il existe,- est un… « ESPRIT »(!),inaccessible à l’humain, comme aux autres animaux

Et n’a rien à voir avec tous ces dieux barbus/mâles(!), guerriers,
persécuteurs, intolérants, vengeurs, misogynes, dépendants du diable pour « exister »…

Inventés par des hommes/mâles pour créer des religions transmises par les « écritures » rédigées par des… hommes/mâles(!) qui prétendent parler en son nom, pour pourrir la vie de milliards de femmes, partout dans le monde

 » Les Ecritures nous révèlent que Dieu est omnipotent – ou « tout-puissant » – de sorte que rien, dans la création, ne peut échapper à Son contrôle ou à Son autorité. Nous avons vu que Dieu – par Son Esprit – est omniprésent, et qu’aucune partie de la création ne peut échapper à Sa présence. « (http://www.mondedemain.org/articles/dieu-et-les-trois-o-f274

On a bien compris: des…« écritures »(!)renfermant de « nombreuses histoires contées », écrites par des mecs(!), nous révèlent que leur dieu est ci et ça …

Et précisent ceci: « de sorte que rien, dans la création, ne peut échapper à Son contrôle ou à Son autorité »

Le piège des religions se referme sur des âmes sensibles et craintives, grâce à l’invention* du « diable »(!), sans laquelle*, elles ne pourraient disposer du pouvoir de terroriser grave les récalcitrants et les pécheurs…

Les religions se réclament toutes d’un dieu

Mais DIEU, -s’il existe- n’a rien à voir avec les religions

Car par essence DIEU EST… inaccessible aux humains

Dans le cas contraire ce n’est pas DIEU

Juste des dieux/mâles(!): des « copies », faites par des… imposteurs ?

La foi en Dieu de chacun(e) est respectable

Mais « La foi n’est pas une conviction rationnelle, elle est une conviction intime »

et non pas une vérité objective pour tous:

« La foi, écrit le Vocabulaire technique et critique de la philosophie d’André Lalande est un acte de la volonté par lequel on adopte comme vraie une vision du monde « qui n’est ni rationnellement démontrable ni évidente.»

Je ne suis pas contre les religions, mais contre leur misogynie, cause de dégâts collatéraux aux répercussions sociétales planétaires, fémininement dommageables et…infinies !:##

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Auteur : Tingy

Romancière féministe : je viens de publier " Le temps de cuire une sauterelle " :-)) Et de rééditer : "Le Père-Ver" et "Le Village des Vagins" (Le tout sur Amazon) ... et peintre de nombreux tableaux "psycho-symboliques"... Ah! J'oubliais : un amoureux incroyable, depuis 46 ans et maman de 7 "petits" géniaux...

Une réflexion sur « Il était une fois, une religion misogyne… La foi religieuse : « un pari » sur Dieu ? (Pascal) »

  1. La dimension spirituelle du monde,
    – sa raison et son mode d’être –
    que les religions traduisent par le mot Dieu
    (ou dieux et,
    pourquoi pas ? disait-on à la préhistoire – déesses
    n’a de sexuée que l’image qu’on s’en fait.

    À l’évidence celle-ci est très sociétale.
    Autre société, autre image et autre divin.

    Dans les sociétés malades,
    cette image ne l’est pas moins, hélas.

    Dans trop de sociétés passées
    ou actuelles et dépassées,
    le germe du machisme est tout à fait endémique.

    L’image de dieu en prend alors pour son rhume !

    Dieu est le seul être qui, pour règner,
    n’ait même pas besoin d’exister
    .
    Charles Baudelaire

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