"Pute" un mot "tendre", d’après une magaZinière (personne qui tient un magazine)…

Pute déf. : « ancien français pute, sale, du latin putidus, puant »( Dico Larousse)

Synonymes:  » prostituée, putain, putasse, talonneuse,coureuse, femme de petite vertu, fille de joie, fille des rues, péripatéticienne, bagasse, catin, goton, gueuse, marie-couche-toi-là, morue, pouffiasse, poule, professionnelle, prostipute, ribaude, roulure, traînée » (Dico sensagent).

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D’après une magaZinière, le mot « pute »/putidus/puant, aux synonymes/noms d’oiseaux », si dégradants

Serait, pardon, EST un mot renfermant de la… »tendresse »!

D’une logique imparable, quand on sait que c’est le mot préféré et in-con-tour-nable, de mecs (et de nanas !),

Pour injurier, humilier, salir, dégrader, une femme (ou un mec!), qui leur déplaît pour X raisons

Je ne peux m’empêcher de songer aux paroles d’un sublime poème d’Istina:

« Ces êtres tellement conditionnées à être rabaissées qu’elles ne daignent plus le remarquer »…

Jusqu’à apprécier le… « puant » !

Douce nuit et bienvenue au Kenya (KE), à Seaford (Australie), à L’assomption (Canada)…

Rentrée au mouillage

Mardi 26 novembre :

– @ 17:37 : Kenya, KE
– @ 14:20 : Menlo Park, California, US
– @ 14:19 : Switzerland, Suisse
– @ 14:15 : Princeton, New Jersey, US
– @ 14:04 : Piéton, Belgique
– @ 13:53 : Strassen, Luxembourg
– @ 10:54 : Seaford, Australie
– @ 10:05 : L’assomption, Canada
– @ 10:05 : L’assomption, Canada
– @ 07:11 : Laval, Canada
– @ 04:42 : Rimouski, Canada
– @ 02:48 : Brussels, Belgique

Entre autres …

Douce nuit et merci pour la visite 😉
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"Et sinon, un "gros con" ça se soigne ? " Pas toujours !

 » Les Fatals Picards : Et sinon, un « gros con » ça se soigne ?

Najat Vallaud Belkacem : Oui. Certains – c’est rare – demandent eux-mêmes des soins. Le plus souvent, c’est la justice qui les conduit à suivre des soins, ou à participer à des stages de citoyenneté. Dans le projet de loi que j’ai présenté, je systématise ce que j’ai appelé des « stages de responsabilisation des auteurs » pour les mettre face a la gravité de leurs actes et les sortir du déni. C’est le meilleur instrument de lutte contre la récidive. J’ajoute, parce que c’est important, que la victime aussi peut avoir besoin de se soigner. Nous avons décidé, avec Marisol Touraine, d’améliorer ce parcours de soins pour les femmes victimes ».

LFP : Depuis votre nomination au poste de Ministre des Droits des femmes vous avez eu l’occasion de voyager beaucoup – notamment en Inde en octobre dernier – de rencontrer des personnes impliquées dans des combats que vous soutenez. Quelle influence ces rencontres ont-elles pu avoir sur votre lecture de la condition féminine ?

NVB : Je suis partagée entre la colère et la confiance. La colère que m’inspire la vie des femmes qui n’ont aucun droit, et la confiance que l’on peut avoir en elles pour se battre. J’ai rencontré des femmes déterminées, lucides et ambitieuses. Ce sont elles qui redonnent espoir. Et qui donnent du sens aux initiatives que nous menons contre les violences faites aux femmes dans les instances des Nations unies »… (Extrait).

http://www.huffingtonpost.fr/les-fatals-picards/journee-violences-faites-aux-femmes_b_4335536.html?utm_hp_ref=france

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« Je suis partagée entre la colère et la confiance. La colère que m’inspire la vie des femmes qui n’ont aucun droit, et la confiance que l’on peut avoir en elles pour se battre. J’ai rencontré des femmes déterminées, lucides et ambitieuses. Ce sont elles qui redonnent espoir.  »

Je confirme !

 » Et sinon, un « gros con » ça se soigne ?  »

Pas toujours, hélas !

ça a même parfois tendance à empirer,l’âge ne rajeunissant pas les neurones !

Un com :
… « je regardais sur canal+ hier Mme NVB et le reportage on l’on voyait le parcours du combattant pour une femme battue de trouver un foyer d’urgence ( 115 saturé, pas de place dans les foyers d’urgence, les services qui vous renvoie les uns vers les autres)….NON MAIS ALLO QUOI !!!!???? Les femmes battues sont des VICTIMES et ca serait encore à elles de devoir quitter leur foyer ???!! MAIS on va où ??? Quitter leur logement avec les enfants sous le bras pour aller je ne sais ou, avec la difficulté pour les enfants de poursuivre les cours dans leur établissement. Et l’on s’etonne que les femmes battues se taisent ….C’EST AU MARI VIOLENT DE QUITTER LES LIEUX. Sans quoi, vouspouvez toujours faire des campagnes, les femmes continueront de se taire. Elles sont des victimes mais sont traitées comme des coupables, c’est honteux  »

En effet !!!

" Les blagues cochonnes, les blagues de blonde… "courtoisie", blague et humour sexistes, peuvent être ressentis comme une agression sexuelle"…

Par Marie Pezé – Sylvie Ohayon – Yves Raibaud :

… »Selon les chiffres, d’une enquête sur les violences faites aux femmes en Seine-et-Marne, on s’aperçoit que 4% des femmes au travail, ont été violées, 4% ! Et un tiers a subi des attouchements !

…Il y a une tradition qui consiste à dire que l’espace public est l’espace des garçons. Là, où l’on aperçoit des femmes dans l’espace public, ce sont dans les parcs et les jardins d’enfants, parce qu’elles sont neutralisées par leur fonction de mère.

On va créer des équipements sportifs pour les garçons mais on va considérer que les filles n’ont pas à s’éclater, il y a une empreinte masculine dans la ville.

Et il y a une construction de l’identité masculine à travers ses lieux non-mixtes comme les stades de football, les gymnases, qui est basée sur la dévalorisation de tout ce qui est féminin. Chez les hommes on va dire : «Tu es une gonzesse, tu es un PD », cette homophobie est plutôt une « efféminophobie » puisque le problème n’est pas celui des relations sexuelles mais de l’apparence du féminin.

C’est typique des lieux masculins où il y a des échanges de conversations et une culture sexiste qui instrumentalisent et déshumanisent la femme et qui classent les hommes dans la hiérarchie du plus viril au moins viril…

…Selon nos études, lorsqu’elles se promènent dans la rue, elles sont victimes d’un certain nombre d’incivilités : insultes, mains baladeuses, dans les trams on retrouve ce que l’on appelle les frôleurs frotteurs. Ces actes ne sont pas répertoriés comme des violences faites aux femmes mais il s’agit de harcèlement permanent.

Lors de nos études, les femmes nous également fait part des problèmes qu’elles pouvaient rencontrer sur leur lieu de travail avec un patron insistant qui leur demandait de rester le soir ou qui voulait les emmener en week-end, les blagues cochonnes, les blagues de blonde. De même, lorsque l’on fait un compliment à une femme sur sa tenue vestimentaire sur son lieu de travail, cela va la déstabiliser. Ce qui peut être de la blague, de la courtoisie ou de l’humour, peut être ressenti comme une agression sexuelle…

La biodisponibilité des hommes pour le travail est assurée par les femmes. Qui s’occupe du linge ? Qui s’occupe des enfants ? Qui décharge le corps de l’homme pour qu’il puisse travailler ? Ce sont les femmes. Les femmes prennent la sphère privée et la sphère du travail en charge

…Et le dernier élément serait de travailler sur l’éducation des petits garçons en ne les éduquant pas comme des petites frappes, de travailler sur les relations garçons-filles à l’école »…

http://www.atlantico.fr/decryptage/violences-faites-aux-femmes-celles-qu-on-voit-celles-qu-on-ne-voit-pas-marie-peze-sylvie-ohayon-yves-raibaud-555862.html#e6G8MvubIuO7zDOZ.99

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« Ce qui peut être de la blague, de la courtoisie ou de l’humour -orientés sexiste, crade, et sur le dos des femmes, -peuvent être ressentis comme une agression sexuelle »…

Certains n’ont toujours pas compris que les temps changent !

La « connasse ou/et blonde » n’étant plus celle que l’on CROIT: « c’est celui qui dit qui EST », affirme le dicton

Y compris les blagues racistes: le « con » c’est toujours l’étranger… CROIENT-ils, alors qu’un dicton affirme, fort justement: « c’est celui qui dit qui EST »…

Pour être certain d’obtenir un succès franc et massif, peut-être les publier dans des fans clubs de… »gros(ses) nazes » ?(l’expression n’est pas de moi)

" Ma grand mère cannibale ", de France Bequette, publié aux éditions Prisma

 » Le cannibalisme est un tabou absolu. Dés lors, imaginez ce qui se passe quand un père demande à sa fille de le manger. C’est ce qui est arrivé à deux jeunes filles, aux États-Unis. Nous sommes en 1846, en pleine conquête de l’ouest. L’épisode le plus noir de la conquête de l’ouest selon le sous-titre.

1846. La famille Graves a construit de ses mains une petite ferme dans l’Illinois sur des terres attribuées à Franklin Graves pour services rendus dans l’armée. Franklin et Elizabeth ont trois garçons et cinq filles, dont Mary Ann, la cadette, se destine à l’enseignement. Ces gens ordinaires vont devenir des héros dont l’histoire est encore enseignée dans les écoles américaines. Car, cette année-là, tout devient extraordinaire. Des milliers de chariots, le plus souvent tirés par des bœufs, se lancent sur une piste à peine balisée par les pionniers.
C’est la ruée vers l’Ouest, la terre promise .
La famille Graves est intégrée au convoi des Donner, qui tente un raccourci à travers le Grand Lac Salé. Les bêtes deviennent folles de soif. Des migrants perdent leurs chariots, et avec eux tous leurs biens. Lorsqu’ils atteignent la Sierra Nevada, la neige tombe avec un mois d’avance jusqu’à atteindre la hauteur incroyable de dix mètres. Il n’y a pas de gibier. On mange les bœufs, puis on fait bouillir le cuir des attelages. On mange les livres, les chiens, les souris qui s’aventurent près du campement, au bord du lac Truckee. À bout de forces, les pionniers meurent les uns après les autres.
Franklin Graves décide d’aller chercher du secours en Californie. Quinze personnes parmi les plus valides, dont ses deux filles, Sarah et Mary Ann, et le mari de Sarah, l’accompagnent. Le groupe est appelé Forlorn Hope, la patrouille sacrifiée.
Le jour de Noël, un terrible blizzard les enveloppe. Franklin Graves se sent mourir. Il appelle ses filles et leur demande l’impensable : « Mangez-moi… » Il faut braver le plus inviolable des tabous, vivre pour chercher du secours en Californie et sauver ceux qui sont restés près du lac !

Ma grand mère cannibale de France Bequette est publié aux éditions Prisma. »

Article de Philippe Vallet.

http://www.franceinfo.fr/livre/le-livre-du-jour/%E2%80%9Cma-grand-mere-cannibale%E2%80%9D-de-france-bequette-538929-2012-02-25

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« Il faut braver le plus inviolable des tabous, vivre pour chercher du secours en Californie et sauver ceux qui sont restés près du lac ! »

Il y a eu aussi le cas des survivants d’un crash d’avion dans je ne sais plus quelle grande montagne enneigée…

Quand des vivants sont acculés à manger des morts pour tenter de survivre…

"Si tu me quittes je te tue"…Un refrain terrifiant pour les femmes en danger marital

« Si tu me quittes je te tue », écoutez le témoignage de Sylvie, ci-dessous.

http://www.franceinfo.fr/player/export-reecouter?content=1225873

Par Rédaction de France Info :

« Un meurtre sur cinq a lieu dans le cocon familial, et les femmes en sont le plus souvent les victimes. En cette journée contre les violences faites aux femmes, Sylvie s’est confiée au micro de Sophie Parmentier. Elle a été victime de violences conjugales pendant vingt cinq ans. Et elle a failli mourir, elle aussi »…(Extrait).

http://www.franceinfo.fr/faits-divers/quand-j-ai-entendu-la-phrase-si-tu-me-quittes-je-te-tue-sylvie-victime-de-1225875-2013-11-25

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« Si tu me quittes je te tue »…

Mais si tu restes je te tuerai un jour ou l’autre,

Ou bien, maltraitée, terrifiée et désespérée, tu te suicideras, comme la

femme du chanteur…

Douce nuit et bienvenue à Haedo (Argentine), Chlef (Algérie), Rose Hill (Maurice)…

(Pointez souris pour légende).

Noël approche , des flamboyants en fleur et bientôt des letchis

Lundi 25 novembre :

– @ 20:51 : Bordj Bou Arreridj, Algérie
– @ 17:15 : Palo Alto, California, US
– @ 17:00 : Madagascar, MG
– @ 16:21 : Princeton, New Jersey, US
– @ 16:06 : Europe, EU
– @ 16:00 : Rose Hill, Maurice
– @ 14:44 : Mamoudzou, Mayotte
– @ 14:44 : Baie-mahault, Guadeloupe
– @ 09:27 : Full, Suisse
– @ 07:55 : Québec, Canada
– @ 05:07 : Haedo, Argentine
– @ 04:03 : Morocco, Maroc
– @ 03:03 : Chlef, Algérie

Entre autres…

Douce nuit et merci pour la visite 😉

Le "Rapidom" ? Un condom…rapide ! ;)

« Plusieurs pistes vont donc être explorées pour fabriquer ce préservatif du futur. La plupart des bénéficiaires de la subvention cherchent actuellement à utiliser une autre matière que le latex. Les scientifiques de l’Université de l’Oregon travaillent au développement d’un préservatif ultra-mince fait de polymère de polyuréthane, une matière capable de s’adapter à la forme qu’elle contient. Plus mince, le matériau agirait comme une « seconde peau ».

Même idée du côté de l’Apex Medical Technologies, à San Diego, qui utilisera sa subvention pour produire un préservatif masculin à l’aide des fibrilles de collagène de tendons de vache. « La texture du collagène est très semblable à la muqueuse (…) il ressemble beaucoup à la peau », explique Mark McGlothlin.

D’autres bénéficiaires ont pour objectif de révolutionner la manière d’enfiler le préservatif. C’est ainsi qu’est né le « Rapidom », un préservatif qui se met à l’aide d’un applicateur que l’on tire avec les deux mains et qui se détache une fois la capote enfilée. « La séquence doit se dérouler logiquement et naturellement », explique l’inventeur du Rapidom. Le produit doit d’ailleurs être testé dans des régions africaines « pauvres en ressources »…(Extrait)

Lu sur New Republic

Read more at http://www.atlantico.fr/atlantico-light/sexe-bientot-preservatif-aux-tendons-boeuf-qui-ne-diminue-pas-plaisir-905173.html#hj4Fj6PcFD6GyldO.99

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« le « Rapidom », un préservatif qui se met à l’aide d’un applicateur que l’on tire avec les deux mains* et qui se détache une fois la capote enfilée. « La séquence doit se dérouler logiquement et naturellement * « , explique l’inventeur du Rapidom. »

Na-tu-relle-ment

Et sans fou-rire imprévu* ?

"L’agression indirecte des unes envers les autres" ?

… « Quelle solidarité féminine ? La salopitude grandissante des femmes les unes envers les autres.

Une étude réalisée par des chercheurs de McMaster University en Ontario souligne la tendance des femmes à médire les unes des autres (lire ici). En clair, à pratiquer l’agression indirecte. Les critiques se portant généralement sur les femmes aux mœurs considérées comme légères et sur l’apparence physique. Ces comportements sont-ils nouveaux ou ont-ils existé de tous temps ?

Sophie Bramly : …une situation qui est cocasse, en résumant de façon caricaturale : aujourd’hui les femmes se sont émancipées, mais une bonne partie de l’argent que beaucoup d’entre elles gagnent est ré-investit dans un nombre exponentiel d’armes de séduction massive : la mode qui s’est infiltrée partout mais aussi la chirurgie esthétique, coaching, bien-être, etc. Un argent que les hommes dépensaient autrefois pour elles !…

Si la société tente d’imposer ce modèle, les comportements des femmes changent et sont loin de tous se bâtir sur ce modèle…On voit chez les 20-30 ans deux mouvements divergents, entre celles qui veulent couvrir leur corps et celles qui veulent au contraire le découvrir un peu plus.
Dans le premier cas, on reste dans un schéma ancestral de séduction : « je me couvre pour que tu viennes me découvrir », dans l’autre cas au contraire c’est un modèle frondeur, presque dé-érotisé, où la femme choisit de faire à sa guise.

Les frondeuses font peur à celles qui ne s’accordent pas cette liberté là et sont donc dépendantes du désir du partenaire potentiel »…(Extraits).

Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/quelle-solidarite-feminine-salopitude-grandissante-femmes-unes-envers-autres-sophie-bramly-907692.html#qgD0wgvovvWMjK8C.99

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« Les frondeuses font peur à celles qui ne s’accordent pas cette liberté là et sont donc dépendantes du désir du partenaire potentiel »…

Les « frondeuses » VIVENT leur vie sexuelle et autres

Pendant que les « dépendantes » se contentent de la REGARDER(!)… passer, dans les yeux du « partenaire potentiel » !

« Les groupes qui se sentent vulnérables* ou injustement traités ont toujours la logique de se battre au sein du groupe pour essayer de s’en sortir plutôt que de se battre contre « l’ennemi ». La femme peut ainsi se révéler être un loup pour la femme. »

PS- On rencontre aussi des « vulnérables » sur blog.fr, dont l’agressivité se focalise sur… »l’apparence »(!) de certains articles 😉

Des millions de mecs formatés, même pas cons, ni avinés, ni paumés, juste des machos …ordinaires !

(Lien de la vidéo ci-dessous, pour celles et ceux qui l’ont ratée).

… »Du coup t’es tombée amoureuse

Puis t’es tombée aussi enceinte

Avant même de tomber heureuse

Tes espérances étaient défuntes

Il est comme ça gros con…

Des paires de gifles en rafales

Il est pour le cumul des mandales »…(Extrait).

Lien de la vidéo pour écouter TOUT le morceau: http://youtu.be/NeblITLCxOI

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Des millions de mecs sont « seulement »… formatés(!), même pas cons, ni avinés, ni paumés, non,

Juste des machos…

Ordinaires(!)

Formatés par la famille, la société, les religions…