Combattre la prostitution… infantile ? l’ECPAT, une plateforme de signalement sur Internet en mars 2014 !

« Il n’existe qu’une seule liberté, c’est celle de l’acheteur qui s’offre des prostituées parce qu’il a de l’argent », s’est indigné le député Guy Geoffroy ».

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Par Laurence Neuer:

 » L’un des moyens de combattre un tel fléau est de faire réagir la conscience collective. C’est précisément ce levier que l’ECPAT (End Child Prostitution and Trafficking) entend actionner au moyen d’un outil prometteur : une plateforme de signalement sur Internet. N’importe quelle personne confrontée à une situation d’abus sexuel pourra ainsi la signaler en ligne, de façon anonyme si elle le souhaite. Ce projet qui verra le jour en mars 2014 est mené en partenariat avec 16 autres pays européens et les polices locales. « L’objectif de ce site est à la fois de dissuader les éventuels auteurs et de faciliter les enquêtes policières, explique Guillemette Vuillard, responsable de programme. Le partage d’informations permet de recouper des éléments d’un futur dossier et d’obtenir des témoignages. L’objectif est aussi d’offrir un outil de réponse à des personnes qui ne connaissent pas le levier à activer pour partager leurs inquiétudes. » Une telle initiative a tout son sens dans un contexte où il est très difficile de lutter contre des réseaux qui se font de plus en plus discrets pour s’adapter à la mobilité du marché du sexe et qui recrutent leurs proies sur Internet…

À l’heure où la violence faite aux enfants devient grande cause nationale 2014, le rapport sur l’exploitation sexuelle des mineurs dresse un bilan alarmiste…(Extrait)

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« L’un des moyens de combattre un tel fléau est de faire réagir la conscience collective. »

OUAIP…

Mais elle est…Où, la « conscience collective » ? ? ?

On entend surtout parler de…LIBERTE – mot dévoyé- au prétexte d’avoir

-le « consentement »(?!), de… victimes* de traite, de précarité, de misère, d’enfances abusées, de jeunes vies au « futur barré »,…

-ou en les revêtant* des oripeaux de… »Pretty woman » !

Un « moyen » sûr de combattre ce fléau: une société… sans pénis, ni testicules ?