Un chef de la police, persuadé qu’un va-et-vient de viol procure un plaisir…automatique, à la victime !

Par Sérid Bellik:

« Quand le directeur de la police indienne incite  » à profiter des viols  » :

[« Si tu ne peux pas appliquer la prohibition pour les paris sportifs, cela revient à dire que tu peux profiter du viol si tu ne peux pas l’arrêter. », a-t-il lâché sur le ton de l’humour lors d’une table ronde organisée par un journal local.] …

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 » Le directeur de la police indienne, Ranjit Sinha, a récemment tenu des propos polémiques sur le viol. Politiques et associations sont unanimes pour exiger sa démission…

La dirigeante du parti Communiste Marxiste (CPM), Brinda Karat, a pour sa part directement demandé la démission du chef de la police indienne. « Je suis absolument indignée qu’une institution responsable fasse une analyse si offensante. C’est intolérable et il doit démissionner. », a-t-elle affirmé »…(extraits).

planet.fr

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Quand des femmes arrêteront de faire croire à des mecs que leur pénis est un joujou extra…en lui-même(!)vu du côté féminin

La sexualité humaine aura un peu progressé

Des prostituées pourraient confirmer que les « va-et-vient » de leurs clients ne leur « profite » pas, …sexuellement parlant 😉

Nous ne différons des autres femelles du règne animal, en ce domaine, que grâce à notre capacité à…simuler bruyamment(super!) et aussi grâce à celle d’accepter la copulation -même hyper crade(super!)- pour…FAIRE plaisir

 » Profiter des viols  » ?!

Peut-être, que ce « chef de la police indienne » pourrait donner un avis pertinent sur la question, après avoir expérimenté, lui-même, les « va-et-vient » d’un violeur homosexuel ? (Mais pas sûr : une infirmière avait mis en com sur mon blog, cette précision : « Le point G masculin (point P) se situe près de l’urètre et de la prostate, à l’intérieur du rectum, sur la paroi antérieure…)

Bref, comme pour l’antibiotique, l’orgasme/jouissance féminine, n’est pas… automatique-ment déclenché par les va-et-vient d’un pénis, violeur ou pas !

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Auteur : Tingy

Romancière féministe : je viens de publier " Le temps de cuire une sauterelle " :-)) Et de rééditer : "Le Père-Ver" et "Le Village des Vagins" (Le tout sur Amazon) ... et peintre de nombreux tableaux "psycho-symboliques"... Ah! J'oubliais : un amoureux incroyable, depuis 46 ans et maman de 7 "petits" géniaux...

9 réflexions sur « Un chef de la police, persuadé qu’un va-et-vient de viol procure un plaisir…automatique, à la victime ! »

  1. Si ce directeur de la police indienne a dit textuellement « Si tu ne peux pas appliquer la prohibition pour les paris sportifs, cela revient à dire que tu peux profiter du viol si tu ne peux pas l’arrêter. », il n’a probablement voulu promouvoir ni les viols, ni les paris sportifs truqués.

    La formulation est tarabiscotée, mais à mon avis elle dit le contraire de ce que lisent Sérid Bellik et planet.fr. Ce chef dit à ses subordonnés que les paris sportifs prohibés sont inacceptables et il faut les traquer comme on doit poursuivre le viol.

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    1. « La formulation est tarabiscotée, mais à mon avis elle dit le contraire de ce que lisent Sérid Bellik et planet.fr »

      Elle « POURRAIT » dire le contraire, en effet

      Mais elle dit EXACTEMENT ce qu’a dit, et pensé le chef de la police

      Attaqué de toute part, ce chef de la police ne l’a jamais… contestée !

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  2. Nous ne savons pas ce que le chef de police a dit réellement et si la traduction est correcte. Par conséquent, ma réflexion n’est pas sa défense – ni sa condamnation. Évidemment, s’il a vraiment encouragé ses policiers à violer il doit être puni – mais le texte cité dit le contraire.

    Je régissait à l’emballement de planet.fr qui reprend l’information de la seconde main, ne l’analyse pas et fonce la tête baisée là où on lui montre de foncer.

    Je connais trop de cas où la foule s’est engouffrée dans la brèche ouverte par une accusation fondée sur un malentendu, sur des préjugés, sur des haines personnelles, sur des intérêts politiciens ou autres… et a lynché l’accusé(e). Désolé de me faire donneur de leçons, mais de tels mouvements de la foule m’effraient. Les femmes, les Noirs américains, les Juifs et bien d’autres en ont souffert trop souvent pour qu’on n’essaie pas de s’arrêter un instant et de réfléchir.

    La justice institutionnelle est lente, mais quand elle fonctionne normalement elle nous protège contre ce genre de démons.

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    1. Lien ci-dessous:

      « Cette déclaration de Rajit Sinha, chef de la police indienne, a déclenché une vague d’indignation dans toute l’Inde en affirmant qu’il valait mieux «prendre du plaisir si un viol ne pouvait être évité».

      Selon l’information relayée par le site luxembourgeois l’Essentiel, les faits se sont produits lors d’une réunion consacrée à la culture et à l’éthique à New Delhi. Rajit Sinha, le chef de la police indienne, a déclaré qu’il fallait légaliser les paris illégaux car ceux-ci étaient impossibles à interdire selon lui. Jusque là rien d’anormal. Mais là où le bas a blessé, c’est quand il a continué son argumentation en effectuant une comparaison avec le viol en affirmant « si nous ne sommes pas capables d’interdire les paris, alors autorisons-les. C’est comme quand on ne peut éviter un viol, mieux vaut en profiter ».

      Cette comparaison plus que douteuse n’a pas tardé à enflammer la twittosphère où citoyens et politiciens se sont indigné du comportement du chef de police. Quant à l’intéressé, il s’est empressé d’adresser des excuses publiques et affirmait « ne vouloir blesser personne ».

      Le viol est un fléau qui frappe l’Inde de plein fouet ces derniers temps. Rien qu’entre janvier et la mi-octobre, les autorités ont recensé 1 330 agressions sexuelles.

      Retrouvez l’extrait de la déclaration en vidéo ci-dessous.
      RTBF :
      http://www.rtbf.be/info/societe/detail_si-le-viol-ne-peut-etre-evite-il-faut-en-profiter-le-chef-de-la-police-indienne-choque?id=8135386

      ——————

       » Quant à l’intéressé, il s’est empressé d’adresser des excuses publiques et affirmait « ne vouloir blesser personne ».

      Il a bien dit…CE qu’il a dit :

      « si nous ne sommes pas capables d’interdire les paris, alors autorisons-les. C’est comme quand on ne peut éviter un viol, mieux vaut en profiter ».

      Bonne nuit, visiteur 😉

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    2. La mise au point ci-dessus étant faite, je veux préciser que concernant ce paragraphe:

      « Je connais trop de cas où la foule s’est engouffrée dans la brèche ouverte par une accusation fondée sur un malentendu, sur des préjugés, sur des haines personnelles, sur des intérêts politiciens ou autres… et a lynché l’accusé(e). Désolé de me faire donneur de leçons, mais de tels mouvements de la foule m’effraient. Les femmes, les Noirs américains, les Juifs et bien d’autres en ont souffert trop souvent pour qu’on n’essaie pas de s’arrêter un instant et de réfléchir.

      La justice institutionnelle est lente, mais quand elle fonctionne normalement elle nous protège contre ce genre de démons.  »

      …Je suis entièrement d’accord avec vous :yes:

      D’autant plus que sur blog.fr, j’ai moi-même, fait les frais d’un « cas où des blogueurs(euses) se sont engouffrés dans la brèche ouverte par une tentative de dénigrement, fondée sur … des haines personnelles! »,

      Tentative rapidement, avortée ! 😉 !

      Il est 22 heures passées chez moi: faites de beaux rêves…

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    3. Lien ci-dessous:

      « Cette déclaration de Rajit Sinha, chef de la police indienne, a déclenché une vague d’indignation dans toute l’Inde en affirmant qu’il valait mieux «prendre du plaisir si un viol ne pouvait être évité».

      Selon l’information relayée par le site luxembourgeois l’Essentiel, les faits se sont produits lors d’une réunion consacrée à la culture et à l’éthique à New Delhi. Rajit Sinha, le chef de la police indienne, a déclaré qu’il fallait légaliser les paris illégaux car ceux-ci étaient impossibles à interdire selon lui. Jusque là rien d’anormal. Mais là où le bas a blessé, c’est quand il a continué son argumentation en effectuant une comparaison avec le viol en affirmant « si nous ne sommes pas capables d’interdire les paris, alors autorisons-les. C’est comme quand on ne peut éviter un viol, mieux vaut en profiter ».

      Cette comparaison plus que douteuse n’a pas tardé à enflammer la twittosphère où citoyens et politiciens se sont indigné du comportement du chef de police. Quant à l’intéressé, il s’est empressé d’adresser des excuses publiques et affirmait « ne vouloir blesser personne ».

      Le viol est un fléau qui frappe l’Inde de plein fouet ces derniers temps. Rien qu’entre janvier et la mi-octobre, les autorités ont recensé 1 330 agressions sexuelles.

      Retrouvez l’extrait de la déclaration en vidéo ci-dessous.
      RTBF :
      http://www.rtbf.be/info/societe/detail_si-le-viol-ne-peut-etre-evite-il-faut-en-profiter-le-chef-de-la-police-indienne-choque?id=8135386

      ——————

       » Quant à l’intéressé, il s’est empressé d’adresser des excuses publiques et affirmait « ne vouloir blesser personne ».

      Il a bien dit…CE qu’il a dit :

      « si nous ne sommes pas capables d’interdire les paris, alors autorisons-les. C’est comme quand on ne peut éviter un viol, mieux vaut en profiter ».

      Bonne nuit, visiteur 😉

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  3. Merci, Tingy, pour cette recherche et mise au point.

    J’apprécie beaucoup que vous vous êtes donnée la peine de faire ce détour et cela malgré l’avalanche d’informations négatives, encore pires et même tout à fait inimaginables de cruauté que vous voulez porter à la connaissance de vos lecteurs. Mais ce genre de détour n’est jamais inutile.

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    1.  » Mais ce genre de détour n’est jamais inutile.  »

      Comme l’a dit mon ami Andreas « rien n’est inutile, dans ce genre de combat  »

      J’apprécie vos… »appréciations » 😉

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