Par Tina Karr:
… » Les femmes préfèreront, dans la plupart des cas, se caler au fond de leur lit avec un roman pimenté de scènes torrides… Elles privilégieront sans doute encore longtemps les mots qui les entrainent dans des histoires qui peuvent être parfois très «hardcore», mais où elles maitrisent les images…
Si les baisers langoureux et les membres bien tendus des héros de romans érotiques font monter la température des femmes, la vue du pénis en pleine éjaculation sur le visage d’une femme comble les fantasmes du mâle ordinaire! Pourtant, c’est cette même catégorie qui se retrouve en bas de la liste des préférences féminines…
Étrangement, le personnage provoquant le plus d’intérêt sexuel chez l’homme ne s’avéra être ni une actrice célèbre, ni une esclave soumise, ni une petite écolière coquine, mais une « Shemale »! Aussi invraisemblable que ça puisse paraitre, cette mystérieuse Aphrodite du net présente tous les signaux visuels susceptibles de satisfaire l’imaginaire de la majorité des mâles de ce monde, peu importe leur pays ou leur culture : délicatesse des traits du visage, fesses, seins, petits pieds et le fameux pénis.
Le pénis. Cet organe est omniprésent dans le désir masculin. Qu’il soit accroché entre les cuisses d’une «T-Girl» ou qu’il soit au premier plan des prouesses des stars du porno, ou qu’il s’agite devant une bouche en arrondi, il est un élément incontournable des stimuli masculins. Alors que peu de femmes avouent être excitées à la vue des parties génitales masculines, les hommes, hétéros ou gays, veulent voir des queues!
À la lueur de ces constats, comment hommes et femmes peuvent-ils se rencontrer dans l’intimité sans pour autant se sentir complètement incompris ou insatisfaits? « …
Le plus grand obstacle à l’harmonie sexuelle est l’ignorance. Ne pas connaitre les différences entre le désir féminin et masculin, ne pas chercher à savoir ce qui allume l’autre ne fait qu’amplifier le fossé immense qui nous sépare »…(Extraits).
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» À la lueur de ces constats, comment hommes et femmes peuvent-ils se rencontrer dans l’intimité sans pour autant se sentir complètement incompris ou insatisfaits? « …
Le plus grand obstacle à l’harmonie sexuelle est l’ignorance. Ne pas connaitre les différences entre le désir féminin et masculin, ne pas chercher à savoir ce qui allume l’autre ne fait qu’amplifier le fossé immense qui nous sépare ».
En fait, la question* ne se posait pas (ne se pose pas?), pour des mecs: je bande, je cherche « où » me soulager, j’éjacule. Point !
Concernant des nanas* non plus : JE fais semblant, IL éjacule, IL est satisfait. Moi aussi. Point !
Et tout le monde est content ?
En apparence seulement: « Ne pas (RE ?)-connaitre les différences entre le désir féminin et masculin, ne pas chercher à savoir (à prendre en compte ?) ce qui allume l’autre ne fait qu’amplifier le fossé immense qui nous sépare ».
SAMBO NANAS 
PB
Tina Karr écrit :
« Shemale »! Aussi invraisemblable que ça puisse paraitre, cette mystérieuse Aphrodite du net présente tous les signaux visuels susceptibles de satisfaire l’imaginaire de la majorité des mâles de ce monde, peu importe leur pays ou leur culture : délicatesse des traits du visage, fesses, seins, petits pieds et le fameux pénis. » « La majorité des mâles de ce monde » voudraient accrocher un pénis sur le corps des femmes?
Mais sur quoi donc fondez-vous cette opinion ?
Une auteure anonyme commente :
« la question ne se posait pas (ne se pose pas?), pour des mecs: je bande, je cherche « où » me soulager, j’éjacule. Point !» Bis repetitia : mais sur quoi fondez-vous cette opinion ?
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Ce qui « allume » les hommes et les femmes est à peu près évident, cela sa gâte ensuite (= allusion à : « Ne pas (RE ?)-connaitre les différences entre le désir féminin et masculin, ne pas chercher à savoir (à prendre en compte ?) ce qui allume l’autre… »)
Serai-je traité d’hérétique si j’écris qu’aujourd’hui les hommes (pas tous, bien sûr) tentent de comprendre le plaisir, et la nature des femmes bien plus souvent que ces dernières ne le font à leur propos? Les citations ci-devant le confirment d’une manière qui frise la caricature.
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