« Lorsque nous participons à des actes sexuels POUR notre agresseur, actes que nous trouvons révoltants (par la contrainte, la menace ou même juste pour essayer de garder la paix), alors nous risquons d’être plus verbalement ou physiquement abusées pour nous être conformées à cela. »
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» L’agresseur sexuel considère que les femmes ont été mises sur Terre pour lui fournir des rapports sexuels et ne prend donc pas compte de nos sentiments, et surtout ne tient pas compte notre droit de refuser tout acte sexuel qu’il exige de nous.
« Il m’a fait me sentir comme si j’avais perdu ma capacité de choisir, il me disait toutes les insultes imaginables, il me prenait par les cheveux et disait «une chienne permet qu’on la baise, c’est ce que font les putes », et je l’ai laissé. » ( Louise )
Si nous apprécions les rapports sexuels, nous sommes appelées une pute ou une salope.
Si nous n’apprécions pas, nous sommes appelées frigides ou lesbienne, ou sommes accusées de tricherie.
«Je ne savais pas comment me comporter pour l’arrêter, je n’ai jamais pensé que ce n’était pas normal que parfois il disait qu’il le faisait parce que j’étais une pute, et à d’autres moments, parce que j’étais prude. » ( Rachel )
Lorsque nous participons à des actes sexuels POUR notre agresseur que nous trouvons révoltants (par la contrainte, la menace ou même juste pour essayer de garder la paix), alors nous risquons d’être plus verbalement ou physiquement abusées pour nous être conformées à cela.
«J’ai été violée pour avoir refusé des rapports sexuels et contrainte à des actes sexuels auxquels je ne voulais pas participer, pour m’être soumise à eux. » ( Belinda )
Dans une relation de violence, l’abus sexuel subtil est utilisé comme une forme de contrôle, de domination et de dégradation. Voici quelques-uns des indicateurs qui montrent que l’abus sexuel peut être un problème avec quelques exemples d’abus sexuels subtils…
…Il y a d’innombrables exemples de la façon dont l’agresseur sexuel cherche à nous influencer à changer notre apparence en fonction de son fantasme auquel nous devrions ressembler. Il ne veut pas que nous allaitions notre bébé afin que nos seins ne soient pas gâtés pour lui, donc nous ne le faisons pas.
Il nous dit que nous sommes trop grosses ou trop maigres, il nous dit quoi porter. Il ne cesse de comparer nos poitrines avec celle qu’il a vu dans un magazine, jusqu’à ce que nous soyons d d’accord pour une augmentation mammaire. Il nous dit notre vagin est trop lâche et ne lui donne pas le plaisir qu’il veut, si nous ne lui permettons pas de nous enculer place.
Cette forme d’abus sexuel subtil nous laisse un sentiment de honte de notre corps, suivi des régimes constants, et nous développons des troubles alimentaires ou recourons à la chirurgie esthétique pour essayer d’atteindre son idéal de ce que nos corps devraient être. Nous oublions que notre corps nous appartient »…
Lire tout l’article http://www.hiddenhurt.co.uk/subtle_sexual_abuse.html
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Beaucoup de femmes ont goûté, plus ou moins, à ces formes d’abus sexuel…subtiles !
Me too !
Une rengaine machiste/misogyne connue : » Si nous apprécions les rapports sexuels, nous sommes appelés une pute ou une salope.
Si nous n’apprécions pas, nous sommes appelés frigide ou lesbienne, ou sommes accusées de tricherie. »
Elles sont encore un trop grand nombre à les subir, sans rechigner au nom de …l’amooour !
Ou tout simplement pour tenter de garder la paix du ménage et aussi ménager les enfants !
« Lorsque nous participons à des actes sexuels POUR notre agresseur, actes que nous trouvons révoltants (par la contrainte, la menace ou même juste pour essayer de garder la paix), alors nous risquons d’être plus verbalement ou physiquement abusées pour nous être conformées à cela.
Dont acte !