Garifuna people ?

Garifuna
par Jean-Philippe Soul

« Toutes les communautés noires vivant sur la côte caraïbe de l’Amérique centrale sont communément appelés Garifuna ou Carib Noire, ou, comme ils s’appellent eux-mêmes, Garinagu. Au cours des trois derniers siècles, en dépit de nombreuses migrations, re-colonies et les interactions avec les Indiens, Britanniques, Français et Espagnol, ils ont conservé une grande partie de la culture de leurs deux branches principales de l’ascendance. Le Garinagu sont les descendants des Indiens Caribes et d’esclaves africains noirs. Les Caraïbes étaient des peuples autochtones à l’origine d’Amérique du Sud. Ils parlaient la langue Arawak indiennes et sont soupçonnés d’avoir laissé les jungles Orinoco du Venezuela à s’installer dans les Caraïbes. Ils ont habité différentes îles des Caraïbes, mais ont plus tard été poussé par les colons européens et ont pu garder seulement deux îles, la Dominique et Saint Vincent.

En 1635, deux navires espagnols transportant des esclaves vers les Antilles étaient des navires naufrage près de Saint-Vincent. Les esclaves se sont échappés et ont été accueillis et protégés par les Indiens Caraïbes. Leur mariage a formé les personnes Garinagu (aujourd’hui connu sous le nom Garifuna). Le Garinagu parlait encore Arawak. Ils sont restés sur ces deux îles où ils commerçaient avec les Français. En 1795, les Britanniques ont pris le contrôle de leurs îles pour commencer les plantations de canne à sucre. En 1797, British déménagé tous les prisonniers Garinagu avec quelques esclaves noirs à l’île de Roatan au Honduras. De Roatan ils se sont déplacés vers le fort espagnol de Trujillo et se sont installés tout au long de la côte du Belize par le biais du Honduras au Nicaragua.

Au dernier recensement en 1974 la population garifuna a cru d’environ 77 000, dans 51 communautés, la plupart d’entre eux, sur les rives des Caraïbes du Honduras. Leur langue, l’agriculture (manioc), et la religion restent semblables à ceux trouvés chez leurs peuples ancestraux de l’Amazonie, tandis que leurs danses, la musique du tambour et le patrimoine artistique montre une forte influence africaine »…(Extrait).

http://www.nativeplanet.org/indigenous/garifuna.htm

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A lire en entier 😉

Le Garifuna au féminin? Une musique étonnante! !

Vidéo… »Umalali: Songs of Garifuna Women… à danser !
Publié par jacobbogie :

 » Ceci est un aperçu visuel d’un CD du projet Umalali, qui sera publié prochainement sur le label Cumbancha nouvelle. Il se concentre sur la musique étonnante des femmes de la communauté garifuna de l’Amérique centrale »….

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Ecoutez et regardez la joie de vivre de ces femmes, entres elles…

Des mecs l’aiment…TEL QUEL !!!

Féministe for ever( Webcam ce jour, dans la chambre d’hôtel à la cloison tableau!)

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 » LASTIROKOI –

bonjour,

totalement en accord avec tt ce qui est ecrit dans ce blog…

Voici un article que j ai publié il y a 2 ans environ

http://LASTIROKOI.blog.fr/2010/11/02/pas-de-haiku-aujourd-hui-on-assassine-sakineh-9894639/

bonne soirée et continuez

Last Irokoi « 

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Hé bé ! MERCI LAST IROKOI !

Cool, I love it too, hahaha !

Je CON-TI-NUE… Parce que je ne peux pas m’arrêter !

Abandonner « mes »…160 PAYS ? JAMAIS ! :yes:

Tant pis pour les vieux et vieilles schnocks de blog.fr

L’âge souvent(!), (+ un peu-beaucoup de méchanceté et de bêtise ?), leur fait commettre et débiter…Des conneries, hahaha !

Super ton lien : à voir par tous !

Merci BEAUCOUP et

Bonne continuation à toi!

PS- Ah, puisque je t’ai là, LAST IROKOI, pourrais-tu, de temps à autres te désticker de « Blog-de-Littérature » ? Seulement de temps en temps ?
J’aime bien MOI aussi, quand je poste là, voir MON post en tête de gondole(!), l’espace d’un jour ou deux, tu comprends ? 😉

(Surtout ne te fâche pas pour ça, j’ai déjà la MINI meute malveillante et… Intolérante, accrochée à mes basques, comme des « tiques su tété boeuf » (!)- proverbe réunionnais.

Merci encore !

Chico et Rita "rencontrés" dans l’avion…

You know...

 » Résumé : Film d’animation pour adultes, (mais visible par de jeunes enfants). Un beau dessin, mais pas léché, très spontané donne le ton à cette histoire qui raconte les amours et les carrières de deux musiciens de Jazz. Chico, un pianiste de la Havane dans les années 50, est un fan du be-bop et travaille le piano avec une petite formation qui a du mal à percer. Rita est une chanteuse très belle. L’essentiel du boulot ce sont les bals, faire danser les habitants des quartiers populaires, et si on est chanceux être dans l’orchestre d’un hôtel où séjournent des américains en goguette. Le film montre cette période avec le départ du jazz cubain et sa percée à New York ou Paris. Il montre aussi un peu le milieu du Jazz Newyorkais en faisant figurer des grands comme Dizzy Gillespie, Charlie Parker mais anecdotique. De même que la révolution Castro est évoquée. Le sujet c’est vraiment la musique de Jazz des années 50 à Cuba que Bebo Valdès a vraiment pratiquée et dont il nous livre une bande sonore sans laquelle le film aurait moins d’intérêt. Les héros sont suffisamment glamour pour emmener notre adhésion, le trait parfois un peu tremblotant est un péché de jeunesse qui ne masque pas l’art de raconter de Mariscal. Un petit tour par la bande annonce du film vous donnera envie d’y aller…

…Réalisateur : Fernando Trueba né en 1955 à Madrid est un réalisateur, producteur et scénariste espagnol, et Javier Mariscal né en 1950 à Valence est un graphiste, auteur de bande dessinée.
Pays : Espagne UK Année : 2011

Scénario : Fernando Trueba et Ignacio Martínez de Pisón
Dir. Musique :Bebo Valdès, pianiste et compositeur cubain né à La Havane en 1918…

Avis : Film d’animation sur la musique de Jazz et son époque de démarrage. Peut être vu par tous, mais enchantera les amoureux du Jazz Cubain.  »
Rédigé par Jacquie (Cinetoile).

http://cinetoile-91.blogspot.com/2011/11/chico-et-rita.html

De caye en caye …

Au moins 10 bonnes raisons de visiter le Belize :

« Le Belize abrite le deuxième plus grand récif du monde, qui fait pas moins de 360 kilomètres de long et abrite 350 espèces de poissons. Seule la Grande Barrière d’Australie est plus grande.

Passez de ‘caye’ en ‘caye’ pour une ronde des îles. Il y en a pas moins de 200. Autant de lieux idylliques où il fait bon s’évader du quotidien. Ambergris Caye – ‘La Isla Bonita’ de Madonna! – est la plus grande d’entre elles et mesure 40 sur 7,2 kilomètres.

Aller nager avec les requins et les raies est une expérience unique. Cherchez un guide local qui vous emmènera au bon endroit. A Caye Caulker, Salvador ou Rasta Ray seront ravis de vous aider. Et qui sait, ils vous laisseront peut-être caresser les requins !

Les possibilités de plongée ne manquent pas au Belize. The Blue Hole notamment est spectaculaire. Cette cavité circulaire a un périmètre de 300 mètres et une profondeur de 130 mètres. Stalactites, stalagmites, requins corail et requins taureau vous y attendent.

Vous n’avez pas peur du noir? Visitez les nombreuses grottes et les nombreux complexes de grottes. Depuis les années 60, plus de 150 kilomètres de galeries ont déjà été recensées. Cebada et Petroglyph sont deux grottes parmi les plus grandes du monde.

Les ruines Maya les plus connues au Belize sont Caracol, Lamanai et Xunantunich. A partir du temple El Castillo de Xunantunich, vous avez une vue époustouflante sur la dense forêt vierge qui entoure le site.

La jungle préservée représente pas moins de 45 pourcent de la superficie du pays. Outre les arbres, plantes et fleurs, vous y découvrirez des centaines d’espèces d’oiseaux, des serpents, des jaguars, des margays, des pumas, des porcs-épics et des singes hurleurs. A visiter à vos risques et périls.

Vous avez emmené vos petits en voyage? Laissez donc les dangers de la jungle de côté et tournez-vous plutôt vers le Belize Zoo. Ce zoo se situe entre Belize City et Belmopan, à la lisière de la forêt vierge. Vous n’y verrez que des espèces indigènes.

Et puisque vous êtes dans l’intérieur du pays, rien ne vous empêche de parcourir en canot les dizaines de rivières jusqu’aux lagunes d’eau douce. Vous pourrez notamment admirer depuis le canot des babouins de la réserve naturelle Community Baboon Sanctuary.

Et rien de tel qu’une petite fête pour finir vos vacances en beauté. Si vous avez la chance d’assister à un concert de Garifuna, ne la laissez pas passer. Ce style de musique originale combine rythmes africains et caraïbes sur des guitares électriques. Shake your hips ! »
Guide de voyage.Belize.

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« Shake your hips ! »

Yes !

Statut des femmes au Belize ?

…  » 241. Dans les communautés mayas traditionnelles, le mariage de femmes âgées de moins de 14 ans est encore courant…

228. Dans la culture maya, les stéréotypes sexosociaux ont réduit les femmes au rôle de « reproductrices » et les hommes au rôle de « producteurs ». En vertu d’une
répartition très stéréotypée des tâches, les hommes sont chargés de l’agriculture « Milpa », de l’administration de la communauté et de la prise de décisions alors que, dans leur grande majorité, les femmes sont cantonnées aux tâches domestiques et autres services de garde ou de soins.

…En 1999, le Code pénal a été modifié pour prendre en compte le délit de viol conjugal :

68A(1). Un époux se rend coupable de viol conjugal sur la personne de son épouse s’il a des rapports sexuels avec son épouse, dans l’une quelconque des
circonstances spécifiées dans la sous-section 2)77 :

a) Sans le consentement de l’épouse;
b) En sachant que l’épouse ne consent pas à l’acte sexuel ou en agissant

Article 16:
Égalité dans la législation sur le mariage et la famille
Les États parties prennent toutesles mesuresappropriées pour éliminer la discrimination à l’égard des femmes dans toutes les questions découlant du mariage et dans les rapports familiaux et, en particulier, assurent, sur la base de l’égalité de l’homme et de la femme : » (Extraits)

Cliquer pour accéder à N0552550.pdf

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A lire en entier 😉

1 Américaine sur 5 victime d’un viol…

« Près d’une Américaine sur cinq a été victime de viol ou de tentative de viol dans sa vie, affirme une enquête des Centres de contrôle et de prévention des maladies.

L’étude a été réalisée auprès de 10.000 femmes jointes par téléphone en 2010. Près d’une Américaine sur cinq a été victime de viol ou de tentative de viol dans sa vie, affirme une enquête des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) publiée mercredi. 18,3% des femmes ont été « violées à un moment de leur vie »…

..Ce rapport montre l’impact terrible que ces actes violents ont sur les vies de millions d’Américains », a déclaré la ministre de la Santé Kathleen Sebelius dans un communiqué, ajoutant qu’il allait servir à mettre en place des mesures contre les violences domestiques et les agressions sexuelles.

Le rapport précise que 5% des hommes américains ont été violés dans leur vie, l’enquête ayant été réalisée auprès de 7.400 hommes. Plus d’un quart des victimes (27,8%) ont été violées avant l’âge de 10 ans « …

http://lci.tf1.fr/monde/amerique/etats-unis-1-femme-sur-5-confrontee-au-viol-dans-sa-vie-6877478.html

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Quand on voit les violences déchaînées par des… Articles (!!!) dénonçant les injustices et violences faites aux femmes…

Et ses acteurs s’étonnant et se plaignant de la…Haine prospérant dans le monde

Alors qu’ils la sèment, à longueur de blogs

Le plus comique ? Leur « bonne »(!) conscience

Ils tentent (en vain) de faire de la « liberté de penser », leur pré carré, et font de l’agression verbale, leur style préféré

C’est grave docteur ?

Non : Les chiens aboient, la caravane passe 😉

Le Belize (Amérique Centrale)

Au  Bélize en attendant les bagages! (Photo perso: un petit orchestre pour patienter devant le tapis roulant des bagages !)

 » Le Belize donne une réelle impression de port des Caraïbes au temps des flibustiers.
Ce morceau de forêt tropicale ouvert vers la mer des Caraïbes était le paradis des pirates avant que les Anglais ne viennent tout gâcher en le transformant en une colonie de la Couronne : le Honduras britannique.

Au Belize, on se retrouve donc en terre anglo-saxonne, un îlot de langue anglaise perdu dans un océan latino-américain hispanophone. Il n’y a plus moyen de jouer les pirates …

…250 km de côte, des centaines de petites îles, les cayes, qui s’étendent le long d’une magnifique barrière de corail, site exceptionnel pour la plongée et le snorkelling »…

http://www.routard.com/guide/code_dest/belize.htm

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Sans oublier les nombreux et très anciens sites Mayas…

Un orchestre jouait la musique du pays en attendant que les passagers récupèrent leurs bagages

Too much !