Les femmes et le pouvoir…En France:

Les femmes et le pouvoir exécutif depuis 1981 : la France au regard du monde – Janine Mossuz-Lavau

… » Régulièrement, quand on traite des femmes et de la politique d’un point de vue comparatif, on parle de « l’exception française[1] ». À la fois parce que la France a été une des dernières grandes démocraties à donner le droit de vote et d’éligibilité aux femmes (1944 contre 1906 en Finlande, 1919 en Allemagne, 1920 aux États-Unis et au Canada, 1928 au Royaume-Uni pour ne citer que quelques exemples) mais aussi (et surtout) en raison de la faible place qu’elle leur concède dans son Parlement. À cet égard, elle est encore aujourd’hui (avec 12,3 % de députés depuis 2002) au 84e rang mondial. Alors que les Françaises sont devenues, pour ce qui concerne leur participation électorale, des citoyennes à part entière et que l’on peut dresser un bilan positif de leur exercice du droit de vote[2], il n’en va pas de même de l’éligibilité. Paradoxalement, elles sont un peu plus nombreuses à siéger dans les gouvernements qui se sont succédés depuis 1981.
Jusqu’à cette date, les Françaises ont été peu présentes dans les gouvernements[3]. Mais en 1981, quand la gauche arrive au pouvoir, plusieurs associations féministes ont le sentiment que leurs droits pourraient être mieux défendus, l’idéologie de l’égalité étant en principe au cœur des projets de cette famille politique « …(Extrait)

A lire en entier http://www.histoire-politique.fr/index.php?numero=01&rub=dossier&item=10

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y a encore du boulot ! 😉

Désolée, je ferai mieux demain !

( Pointez souris pour légendes).
Marcella la chanteuse de Garifuna et moi

Désolée, vous étiez 232 visiteurs hier, sur un blog « vide »

Mais j’ai eu de légers « contretemps », hahaha !

Un : j’ai été à un concert de garifuna (soirée/nuit) en taxi boat, sur une plage au fin fond du Nord de San Pedro sur Ambergris Caye

Deux: l’hôtel le plus proche où nous avons passé le reste de la nuit…N’avait pas d’Internet disponible

Trois: j’ai pris l’avion pour le Costa Rica le lendemain, afin de retrouver les filles qui rentraient du Sri Lanka…

Merci de votre fidélité!

PS- à demain il est tard !

Vagues de suicides…

Régis Soubrouillard -Journaliste

… » Selon une étude de l’Association de recherches économiques et sociales italienne, la crise économique ferait un suicide par jour dans le pays. Le nombre de suicides parmi les chômeurs aurait augmenté de plus de 30% en 2010. Mais depuis le début de l’année, les chefs d’entreprises et les travailleurs indépendants sont également beaucoup plus nombreux à mettre fin à leur jour » …

Anticipant les dépressions et troubles mentaux à venir, dès 2008, l’OMS invitait à ne «pas sous-estimer les turbulences et les conséquences probables de la crise financière».
A l’époque, c’est aux Etats-Unis que les centres d’appels de prévention des suicides connaissaient un important regain d’activité au rythme des fermetures d’usines et menaces d’expulsions . (Extraits)

Pour lire TOUT l’article http://www.marianne2.fr/L-Europe-confrontee-aux-suicides-par-crise-economique_a217027.html?TOKEN_RETURN

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En ce qui concerne les  » troubles mentaux à venir  »

Je confirme

Ils sont bien là:)

Amitié et trahison…

(Source Agen AFP)

…  » Le tribunal de grande instance d’Agen a décidé vendredi que deux ex-amis qui se disputaient un ticket gagnant d’Amigo devraient se partager le pactole d’un million d’euros, mais celui qui s’estime seul gagnant a décidé de faire appel et contre-attaque.

Les juges ont estimé que les attestations produites par sept témoins à l’audience, le 13 mars, corroborent les dires du patron du bar l’Ecrevisse, à Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne), qui affirme qu’il avait participé au pari sur le ticket gagnant du jeu de hasard » …

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Hâââhhhhhhhhhhhhhhh l’amitié ! 😉

L’appât du gain… La recherche de « notoriété »…

Fait commettre bien des saloperies :yes: !

Les souris et les fruits rouges…

Transmis par un ami:

« C’est la question que s’est posée une équipe de chercheurs américains dans une étude portant sur l’effet des baies sur le cerveau. Ces travaux, repris par de nombreux magazines (ici ou ici ou encore ici), ont démontré que certains composés présents dans les myrtilles, cassis, framboises et autres fruits rouges ont un effet protecteur et contribuent même à l’amélioration des fonctions cognitives dont la mémoire.

Pour information, les maladies neurodégénératives liées au vieillissement, qui touchent entre autres la mémoire, sont liées à une augmentation du stress oxydatif (agression des cellules par des radicaux libres) et à l’inflammation des cellules cérébrales. Les fruits rouges protégeraient les cellules du cerveau car elles contiennent précisément des composés aux propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires.

Cette étude apportent de nouvelles preuves quant aux effets bénéfiques des fruits sur la santé. Cependant, elle n’est pas suffisante pour affirmer que nous pouvons prévenir les risques de maladie neurodégénérative en ingurgitant de grandes quantités de fruits rouges, d’autant plus que le sujet de l’étude est la souris. » ..

Source : blog.santelog.com

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 » Propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires »

Et super bon en coulis, avec du fromage blanc 😉

PS- Il est 23 H 19 ici,

Bientôt 8 H du mat en France métropolitaine et 10 H chez moi !

" Une honte pour notre pays " ?

1444744_3_ea00_une-affiche-de-la-campagne-d-education-contre[1](Image de la campagne…)

 » Les violences sexistes ne sont pas, pour l’immense majorité d’entre elles, le fait de psychopathes, de malades qu’il faudrait soigner. Elles sont le fait d’hommes que tout le monde qualifierait de « banals », pour lesquels on dirait – on l’a d’ailleurs beaucoup entendu ces derniers mois – « je le connais bien, ce n’est pas possible ». Des patrons comme des employés. Des riches comme des précaires. Des Français comme des étrangers. Des noirs comme des blancs.

Les violences sexistes concernent, pour l’immense majorité d’entre elles, des femmes que tout le monde qualifieraient de « banales », pour lesquelles on dirait « tiens, je n’aurais pas pensé que… ». Des cheffes d’entreprise, des mères de famille, des étudiantes, des employées ou des cadres sup. Des femmes discrètes comme des grandes gueules. Des jeunes comme des personnes âgées. Des minces comme des rondes. Des hétérosexuelles comme des lesbiennes.

Ces violences sont une honte pour notre pays. Et tant que la chape de plomb qui pèse sur elle ne sera pas levée, l’égalité femmes hommes restera lettre morte »…

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 » En France, 75 000 femmes sont violées par an et plus de 150 meurent sous les coups de leur compagnon ou ex-compagnon. A peine 10 % des femmes violées portent plainte et environ 2 % des violeurs sont condamnés. Le harcèlement sexuel touche 40 % des femmes en Europe. Des chiffres qui dépassent l’entendement et qui ne bougent quasiment pas d’une année sur l’autre…

Parce que les responsables politiques refusent de s’attaquer réellement aux violences sexistes, les 25 novembre se suivent et se ressemblent.

Les crimes sexistes sont un fait social et politique qui nécessite un engagement qui aille largement au-delà des mesures spécifiques contre les violences. Nous ne sommes pas uniquement en présence d’une succession de faits individuels dramatiques : quand 75 000 femmes sont violées chaque année dans un pays, cela fait société. Les violences sont à la fois l’expression la plus dure de la domination qui persiste sur les femmes et le reflet d’une organisation sexuée de notre société, où femmes et hommes, s’ils ont légalement les mêmes droits, n’ont pas encore les mêmes statuts et les mêmes possibilités d’émancipation.

Les violences sexistes ne sont pas, pour l’immense majorité d’entre elles, le fait de psychopathes, de malades qu’il faudrait soigner. Elles sont le fait d’hommes que tout le monde qualifierait de « banals », pour lesquels on dirait – on l’a d’ailleurs beaucoup entendu ces derniers mois – « je le connais bien, ce n’est pas possible ». Des patrons comme des employés. Des riches comme des précaires. Des Français comme des étrangers. Des noirs comme des blancs.

Les violences sexistes concernent, pour l’immense majorité d’entre elles, des femmes que tout le monde qualifieraient de « banales », pour lesquelles on dirait « tiens, je n’aurais pas pensé que… ». Des cheffes d’entreprise, des mères de famille, des étudiantes, des employées ou des cadres sup. Des femmes discrètes comme des grandes gueules. Des jeunes comme des personnes âgées. Des minces comme des rondes. Des hétérosexuelles comme des lesbiennes.

Ces violences sont une honte pour notre pays. Et tant que la chape de plomb qui pèse sur elle ne sera pas levée, l’égalité femmes hommes restera lettre morte.

Que la droite refuse d’aborder les violences comme un fait social, cela se comprend aisément, elle qui n’a jamais intégré dans son programme politique l’analyse des rapports sociaux de sexe. Pour elle, les violences seraient une déviance qu’à force de réprimer, on devrait pouvoir faire disparaître. De plus, vouloir lutter contre un fait social d’une telle ampleur demande quelques moyens : pour éduquer, pour prévenir, pour accueillir, pour juger, pour soutenir les associations. Et puisque le gouvernement a fait de la rigueur et de l’austérité l’alpha et l’oméga de sa politique, on l’imagine mal annoncer des moyens financiers pour lutter contre des crimes qui au final, passent pour l’immense majorité d’entre eux totalement inaperçus. La droite fait le pari qu’annoncer en grande pompe des mesures sécuritaires ramènera sans doute plus d’électeurs du Front national.

C’est à la gauche de répondre à l’aspiration exprimée par des dizaines de milliers de citoyennes et citoyens dans les différents appels lancés par les associations féministes. Luttant pour l’émancipation des individus de toute forme d’oppression, la gauche sait que les violences envers les femmes dans la sphère privée et publique sont imbriquées dans les inégalités qui existent dans toutes les sphères de la société : économique, politique et sociale. La gauche sait aussi que c’est en parlant des violences, en faisant de la domination masculine un sujet politique qu’on permettra de lever le silence et d’entendre la parole des femmes, aujourd’hui bafouée. La gauche sait enfin que si elle veut transformer en profondeur la société, elle doit faire de l’égalité femmes-hommes une priorité de son mandat.

Si le nouveau gouvernement qui arrivera au pouvoir en 2012 prend des mesures immédiates pour enfin appliquer la loi votée en juillet 2010, engage un travail massif de prévention, d’éducation et de formation des professionnels, nous pourrons peut-être nous retrouver le 25 novembre 2012 pour faire la fête. Mais pour ceci, il y a une condition indispensable : intégrer dans les logiciels politiques une analyse des rapports sociaux de sexe et affirmer la volonté de les transformer pour aller vers l’égalité. Sur ce sujet, à gauche, le travail est devant nous. »

Caroline de Haas, fondatrive de l’association Osez le féminisme

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Une honte qui n’est pas prête de disparaître

Il n’y a qu’à lire la violence « verbale » que mes articles suscitent, articles qui DENONCENT …Les violences faites aux femmes !!!

Ou l’indifférence qui accueille ces violences « verbales » misogynes

On a le monde que l’on MERITE !