Le curé violeur était séropositif…

Source : La Réunion (IPR)

 » Le père Jacky Hoarau,a été reconnu coupable de viols et agressions sexuelles commis entre 2008 et 2009 sur un enfant de choeur alors âgé de 14 ans. L’ancien curé de la paroisse de Sainte-Marie a été condamné à 8 ans de prison. Le parquet avait requis au minimum 7 ans d’emprisonnement.

Lors de son procès, l’accusé a reconnu les faits qui lui étaient reprochés. Ce vendredi, il a demandé pardon à la victime, et à la famille de l’adolescent, mais également à l’Eglise et à la société.

Au cours de la première journée d’audience, la matinée a d’abord été marquée par l’irrecevabilité de la demande du syndicat ecclésiastique du diocèse de La Réunion, qui voulait se constituer partie civile.

Pour rappel, le jeudi 26 avril 2012, la mère de la victime a annoncé que la hiérarchie de l’Eglise, qui voulait se constituer partie civile, voulait régler l’affaire en interne, et aurait tenté de la dissuader de porter plainte. Appelé à la barre en après-midi en tant que témoin, Gilbert Aubry a lui regretté que la famille ait subi des pressions.

On a également appris que le père Jacky Hoarau avait dû suivre une thérapie au Canada, durant quatre mois en 1990. « Il m’avait fait part de ses doutes sur sa sexualité, c’est pourquoi il a été envoyé au Canada », a expliqué Gilbert Aubry, avant d’assurer qu’à son retour, le prêtre allait beaucoup mieux, et qu’il ne laissait pas supposer un comportement à risque.

Cette affaire de viols a démarré le 8 janvier 2010. C’est en fin d’année 2009 que la victime, un adolescent alors âgé de 14 ans, s’était confié à sa mère. Entendu par les gendarmes, l’adolescent avait expliqué comment le prêtre lui avait imposé des attouchements puis des fellations. Les faits se sont déroulés entre mai 2008 et juin 2009, à la cure, après la messe du samedi et du dimanche.

Autre fait qui avait choqué : l’instruction avait révélé la séropositivité de l’accusé, et le fait qu’il n’avait pas utilisé de préservatifs lors de ses relations avec l’enfant de choeur. La maladie n’a heureusement pas été transmise à la victime.  »

*********************************************************

L’arbre qui ne cache même plus la forêt de viols commis par des prêtres, partout dans le monde !!!

Le pape a été OBLIGE de le reconnaître, enfin, sous la pression des catholiques australiens qui menaçaient d’annuler les JMJ qui allaient avoir lieu dans ce pays- alors que la terre entière le savait déjà par les médias qui en parlaient régulièrement depuis des années…

Comme quoi: on constate là aussi le pouvoir infini de l’argent

Quand la morale ELEMENTAIRE est impuissante !

PS- La MORALE n’a RIEN à voir avec les RELIGIONS

HEUREUSEMENT !!!

Statut des femmes au Costa Rica…

…  » Les femmes du Costa Rica sont traditionnellement respectées. La fête des mères est un jour férié.

Depuis 1974, le code de la famille stipule que mari et femme ont des droits et des devoirs identiques. Les femmes peuvent établir des contrats, obtenir des prêts et hériter des biens; la discrimination et le harcellement sexuels sont illégaux.

En 1996 le Costa Rica a voté une loi des plus progressiste d’Amérique Latine contre la violence domestique…

Pourtant malgré des progrès le machisme perdure. Les lois anti-discrimination sont rarement appliquées, les femmes sont généralement moins bien rémunérées et ont des difficultés à obtenir des postes de direction. Elles ont également plus de mal à obtenir un prêt, même si les statistiques prouvent qu’elles les remboursent mieux que les hommes. Dans les campagnes, nombre de femmes conservent un rôle traditionnel : élever les enfants, cuisiner et tenir la maison »…(Extraits).

Source : Lonely Planet

*********************************************************

On pourra toujours voter un train de lois « féministes »

Allant de la Terre à la Lune

Si les mentalités ne suivent pas

RIEN ne changera !!!

Il n’y a que l’EDUCATION qui fera BOUGER les lignes MACHISTES

-Dans la famille

-Et à l’école

-Et SURTOUT par la PAROLE et les ACTES des FEMMES, confortées par les articles des « Droits de l’Homme », qui sont AUSSI les DROITS des FEMMES !!!

Dont certaines en sont encore à dire que :  » A vouloir les mêmes droits que les hommes, c’est normal que l’on reçoive des « coups de bâtons » au propre comme au figuré »

Pour le figuré j’ai eu mon compte -mâle et femelle,- sur blog.fr 😉

D’où la nécessaire présence de « Sambo nanas » ?

Un homme battu…à mort…

AFP (lyon)

…  » Une femme a été condamnée jeudi à Lyon à dix ans de réclusion pour avoir provoqué la mort de son compagnon, un « homme battu », lors d’une violente querelle en novembre 2008, avant de cacher son corps dans son salon, dans un congélateur, à côté duquel elle a vécu 21 mois.

Les jurés des assises du Rhône se sont montrés plus cléments que l’avocat général, Christian Roussel, qui avait requis 12 ans de réclusion criminelle à l’encontre de Guylaine Collober, 53 ans, décrite comme une femme « jalouse et dominatrice » et un « tyran domestique qui se transforme en meurtrière ».

« On parle toujours de femmes battues, mais la particularité de ce procès c’est qu’ici c’est un homme », a déclaré dans son court réquisitoire Christian Roussel.

« Vous n’êtes pas une victime des hommes, vous êtes un bourreau. On est dans un cadre de violences habituelles et de privation de soins », a-t-il poursuivi, rappelant que nombre de témoins avaient fréquemment vu la victime avec « des traces de coups et de blessures » et des « signes de maltraitance ».

Tour à tour éplorée ou pugnace lors des deux jours et demi de procès, l’accusée, petite femme séduisante, aux longs cheveux poivre et sel, n’a pas nié la violence de sa « relation tumultueuse » avec cet ancien restaurateur de 20 ans son aîné. Mais, a-t-elle assuré, il s’agissait de « coups réciproques », ce que conteste la famille du défunt pour qui c’était une « bonne pâte avec le coeur sur la main ».

« Elle a assis une domination complète sur la victime » qui s’est toujours tue dans « le mutisme de l’homme humilié », contraint de couper les ponts avec sa famille, a-t-il dit.

Secouée de sanglots, l’accusée avait raconté comment le soir du 9 novembre 2008, son compagnon lui avait « mis une gifle » car elle voulait le quitter et qu’elle avait répondu avec « un ou deux coups de poing » dans le plexus avant d’entendre un « craquement ».

Souffrant de graves problèmes cardiaques, le septuagénaire avait succombé peu après. L’autopsie révélera un fracture avec hémorragie pulmonaire mais aucune lésion létale, d’où la requalification du chef en « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ».

« Il n’y a pas d’appel à la police. Vous avez uniquement pensé à faire disparaître le corps », a lancé l’avocat général faisant allusion à l’appel téléphonique de l’accusée à son demi-frère, à qui elle avait demandé de découper le cadavre et louer un camion réfrigéré. Ce qu’il avait refusé, incrédule.

Renonçant à se suicider, elle s’était alors fait livrer un congélateur dans son salon, dans lequel elle avait enfoui le cadavre sous des victuailles, après l’avoir lavé à l’eau de javel.

« Si votre fille n’avait pas contacté la police », en août 2010, « je me demande si le corps aurait été découvert », a poursuivi le magistrat, alors que l’accusée assure qu’elle comptait se dénoncer.

Mais pour son avocat, Me Yves Sauvayre, reprenant les termes d’un psychiatre, si elle a agi ainsi c’est parce que « la disparition de son compagnon n’était pas possible à accepter ».

« Elle reste parce qu’il y a eu un huis-clos particulier et que tant qu’il est dans ce cercueil, les choses s’arrêtent », a-t-il plaidé, estimant que son appel à son frère, « c’est pour commencer à semer les cailloux » conduisant à la découverte du corps.

Jugeant « excessive » la sanction requise, il a demandé à la cour une « dynamique d’espoir » pour sa cliente marquée par une « enfance délirante et bancale ».

Mais pour l’avocat des parties civiles, Me Jean-Marie Perinetti, si l’accusée « manipulatrice, affabulatrice et dénuée d’affect » a laissé le corps dans le congélateur c’est simplement « qu’elle a pas pu s’en débarrasser ».

********************************************************

Je n’aurais pas l’indécence de demander:

« Pourquoi n’est-il pas parti de chez lui, puisqu’il était régulièrement battu ?

Comme on le fait trop souvent concernant les nanas battues

Sous-entendant qu’elles AIMENT ça !!!!

.C’est leur dernier mot Jean-Pierre !

… » Quelque 150 féministes, issues de la société civile, ont lancé mercredi une campagne de mobilisation en vue du second tour de la présidentielle, estimant que « les droits des femmes passent par la gauche » et appelant à voter pour François Hollande.

Dans un texte publié sur le site de Libération, elles estiment que l’arrivée de la gauche au pouvoir « est une condition importante de l’égalité entre les femmes et les hommes ».

Rédigé à l’initiative de Caroline de Haas, fondatrice d’Osez le féminisme et soutenu par les militantes « historiques » Françoise Picq et Martine Storti, il a déjà été signé par plusieurs personnalités, telles l’écrivain Laure Adler, la réalisatrice Zabou Breitman, l’avocate Gisèle Halimi ou le comédien Philippe Torreton.

Le texte salue notamment la promesse de François Hollande, s’il est élu, de rétablir un ministère du droit des femmes.

« Sa volonté de lutter contre la précarité pour revaloriser les métiers dits féminins et d’instaurer un forfait contraception pour les mineures sont également des points déterminants », indique Caroline de Haas.

« Nous serons là pour lui rappeler ses engagements », prévient le texte. Car « la bataille pour faire reculer les oppressions et les stéréotypes sera rude, y compris si la gauche gagne », estime Mme de Haas.

Le texte peut être signé sur le blog : Il devrait être relayé via les réseaux sociaux. »

Source Orange Run

*****************************************************************************************************************

C’est sûr, ce n’est pas la droite chrétienne et conservatrice qui donnera plus de droits aux femmes

Mais une promesse n’est qu’une…Promesse

L’enfer est, dit-on, pavé de bonnes… Intentions 😉

Powertabs et crise cardiaque ?

Le « jeu » ne vaut pas le « bout de chandelle » ?

… » Selon l’Agence France Presse (AFP), l’avis publié par la DGCCRF souligne que le Powertabs, « présenté comme un mélange de plantes naturelles et un tonique sexuel destiné aux hommes, contient, selon les analyses réalisées, une substance, le dithio desmethyl carbodenafil ». Une substance, qui note toujours la DGCCRF, est « non autorisée et considérée comme dangereuse pour la santé, notamment en raison des troubles cardiovasculaires qu’elle peut entraîner »…
Source Orange run

********************************************************

Ce qu’il y a de « bien » avec les nanas, c’est l’absence de prise de risques en ce domaine

Un médoc super efficace invisible et pas cher: la simulation

Médicament génial pour lui, mais destructeur pour elle: à force de faire semblant elle n’arrive plus du tout à « apprendre », COMMENT, OU, et QUAND déclencher la petite mort

Je parle de la vraie dont on se demande à chaque fois, comment on a pu faire pour réintégrer le monde des… Vivants :yes:

Disparition d’enfants…

( Pointez souris pour légendes ).

Une annonce avec photos et N° de téléphone, parue dans le dernier Magazine de la compagnie « Taca » reliant le Belize au Salvador.

A faire circuler ? On ne sait jamais !

Pour eux et pour les parents…

Comment fait-on pour survivre à « ça » ? Comment empêcher que des images plus atroces les unes que les autres n’envahissent la pensée ? ( Si c’était pour une rançon, on le saurait déjà…)

Ces enfants ont disparu depuis Juillet 2011

à diffuser autour de vous !

Feminicide en Amérique Centrale:

Amérique centrale:

Le « féminicide » … -par Francesca Gargallo

… « Elle avait 23 ans, avait fait des études secondaires et était manager dans une maquila [1]. Elle venait d’avoir 39 ans et travaillait dans la police. Elle était l’une des vingt jeunes filles qui ont été retrouvées démembrées à l’intérieur d’un tonneau. Elle avait 18 ans et vendait des produits cosmétiques pendant les vacances pour financer ses études. C’était une fille de bonne famille. Elle était célibataire. Elle était mariée et s’occupait de ses trois enfants. C’était des militantes qui animaient des ateliers sur la violence intra-familiale. Ou bien elles étaient professeurs, paysannes, dirigeantes syndicales, employées de maison, commerçantes ou encore exerçaient des professions libérales. Elles ont toutes été assassinées entre 2001 et mai 2005 : 1 780 au Guatemala, 462 au Honduras, 117 au Costa Rica, environ cinq par mois au Salvador. Les données sont inexistantes au Panama, à Belize et au Nicaragua car une façon d’empêcher que justice soit faite est de ne pas reconnaître le délit. Il n’y a que des indicateurs. Au Nicaragua, par exemple, un cas de mauvais traitement au sein de la famille a lieu toutes les dix minutes : en 2003, 51.000 jeunes filles et femmes ont été victimes d’abus dans un pays qui compte cinq millions quatre cent mille habitants, dont 79% sont pauvres. Au Panama, en 2004, l’Alliance du mouvement des femmes s’est organisée face à l’augmentation des féminicides et, d’après la féministe et philosophe Urania Ungo, « face à l’indifférence et la négligence des pouvoirs publics »…

http://risal.collectifs.net/spip.php?article1541

*********************************************************

A lire absolument !!!