Opinions diverses et variées…

Par h…. :

 » C’est très français d’excuser la violence physique. L’affaire Cantat en fut un révélateur formidable.

Un repas de famille trop arroser, les enfants sont fatiguer et le Robert s’énerve. La mère s’interpose et reçoit les coups. Bien sûr, les témoins n’iront pas dénoncer Robert aux autorités, parce qu’en France on ne dénonce pas, ou plutot on ne dénonce plus. La mère de toute façon doit aimer ça ou du moins s’en accomoder vu qu’elle reste avec Robert. Et puis à jeun, le Robert, ce n’est pas un mauvais bougre.

Ce genre de truc est arrivé dans ma famille, comme dans de nombreuses familles. J’ai depuis quitté la France et je dois avouer que le traitement de la violence faite aux femmes au Québec est beaucoup plus efficace.(parce qu’il faut pas inverser les rôles non plus, les hommes battus ne sont pas les plus nombreux.

Les personnes violentes suivent des thérapies. Un geste violent sur le lieu de travail et c’est le licenciement. Les juges ne sont pas cléments avec les personnes violentes.

D’ailleurs, l’émancipation de la femme québecoise (par rapport à la femme française) est certainement dû à cette tolérence zéro. »

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Par d…..

« sans en tirer les conséquences, la plupart de ses violences (54 %) sont consécutives à une dispute, donc à un acte de violence partagé, et non pas, comme on le laisse entendre, à un acte de domination de la part de l’homme. »

Scandaleux de lire ce genre de préjugés ici ! Si ce n’est pas un acte de domination alors qu’est-ce que c’est ?
Comment expliquez-vous qu’aux urgences 90% des victimes des « scènes conjugales » soient des femmes ?
A moins de penser que les hommes ne soient que des bêtes incapables de contrôler leurs pulsions reptiliennes ?

Bien sûr que nous vivons encore sous la domination du mâle incapable de considérer les femmes comme des êtres humains (regardez un peu le comportement de nos élites, écoutez-les parlez des femmes lorsqu’ils sont entre eux – nombreux sont ceux qui ne supportent pas d’avoir une supérieure hiérarchique…) !

Pour les frappeurs et les tueurs, la femme n’est qu’un objet qu’ils manipulent, si « l’objet » n’est pas d’accord on frappe et l’on ira jusqu’à casser cet objet histoire de démontrer que la mâle a toujours raison d’elle !

Ces hommes se ridiculisent dans leur rôle de primate décérébré frustré de sa petitesse… femme éternelle bouc-émissaire sur tous les continents… ces hommes démontrent leur incapacité à respecter, à aimer et à vivre avec une femme.
Pourquoi ?  »

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Par d…..

 » En France l’émancipation des femmes régressent… la culture judéo-chrétienne et musulmane ont enfermé la femme dans un statut de machine à pondre, d’esclave sexuelle et de boniche.
Au 21ème siècle, de part le monde, la majorité des femmes sont encore emprisonnées dans cet horrible statut.

En France, après plusieurs millénaires de machisme, la culture sociétable ambiante conduit toujours les filles à faire des études peu intéressantes et qui déboucheront vers des filières professionnelles encombrées et aux salaires peu rémunérateurs. Le culte du corps sexé à outrance (chirurgie siliconée) laisse à penser que les femmes se considérent encore comme devant être sexy et des aimants à mec et non des êtres sexués moteurs d’évolution dans tous les domaines d’une société !).

Et quide de l’autre pendant pathétique « la maternité d’abord, mais seule – l’homme étant un simple géniteur pour avoir leurs enfants tout à elle.
Une maternité mythifiée depuis l’enfance, un graal pour nombre de femmes, bien avant les études et la carrière ! au point que nombre d’entre elles se retrouvent coincées comme leur mère à élever une progéniture qu’elles ont voulu certes ! comme unique faire-valoir social et déchantent devant l’ampleur de la tâche !

Les filles pensent trop à leur uterus et oublient leur cerveau dans leur trousse à maquillage ! L’imprégnation culturelle est telle que les femmes n’osent même pas imaginer une vie sans la sacro-sainte maternité et organise leur « petite » vie autour du potentiel de leurs ovules et l’élevage intensif de leur production interne.

Les femmes battues sont en majorité des femmes qui dépendent financièrement d’un conjoint mâle, elles ont misés sur leur uterus d’abord et leur potentiel de boniche à défaut d’avoir utilisé leurs neurones pour tracer leur route jusqu’au sommet de la société et pouvoir se libérer d’un conjoint violent dès la première gifle ! »

Agora Vox

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No comment !

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Auteur : Tingy

Romancière féministe : je viens de publier " Le temps de cuire une sauterelle " :-)) Et de rééditer : "Le Père-Ver" et "Le Village des Vagins" (Le tout sur Amazon) ... et peintre de nombreux tableaux "psycho-symboliques"... Ah! J'oubliais : un amoureux incroyable, depuis 46 ans et maman de 7 "petits" géniaux...

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