Seulement des ALIBIS fournis par la religion, la culture, les traditions…

Les femmes naissent LIBRES et EGALES, comme les hommes.(Webcam ce jour).

 » Voix de Femmes »:

… »Depuis des siècles et des générations, la culture (ou la religion), et les notions d’identité culturelle/religieuse, servent d’alibi pour contrôler la sexualité des femmes, tout particulièrement.

D’après l’anthropologue indienne Umah NARAYAN, le concept d’identité culturelle est instrumentalisé. La résistance de femmes et d’hommes aux violences et aux discriminations faites aux femmes sont alors qualifiées de trahisons culturelles. Cette identité exclusive enferme les femmes dans une identité dite culturelle totalement figée. Elle fait peser sur elles une sorte d’interdiction de s’émanciper de  » pratiques dites culturelles  » les maintenant sous domination, alors qu’en réalité, il s’agit de discriminations et de violences sexistes.

Le juriste égyptien See Lama ABU-ODEH dénonce l’instrumentalisation des notions d’honneur et de passion par les auteurs de violences sexistes :  » la violence faite aux femmes en contexte conjugal peut porter le cachet absolvant de la passion en Occident et de l’honneur en Orient « .

Le sociologue français Smaïn LAACHER définit quant à lui le crime dit d’honneur, tout comme le mariage forcé, comme le contrôle obsessionnel du corps et de la sexualité des femmes, ce contrôle pouvant aller jusqu’à l’anéantissement de toute sexualité ou de la vie.

L’honneur, la passion, la tradition, la religion, la culture ou la coutume ne peuvent en aucun cas justifier la violence faites aux enfants, aux femmes et aux hommes.
Les mots ayant leur importance, il est essentiel d’utiliser les termes  » crime DIT d’honneur « , ou  » crime possessionnel  » d’une part, et d’autre part, d’exclure les appellations  » crime d’honneur « ,  » violence culturelle « ,  » violence coutumière « ,  » pratique traditionnelle  » ou bien  » crime passionnel « .

Que ce soit le mariage forcé, le crime dit d’honneur (ou la violence conjugale ou encore le harcèlement sexuel), il ne s’agit pas d’une simple coutume, d’une tradition ou d’une pratique culturelle/traditionnelle.

Les mentalités sexistes et tribales perdurent …

 » Je suis contre le mariage forcé, mais moi, ma sœur, elle a été mariée comme ça, je sais que ce n’est pas bien mais tout de même, elle a donné sa virginité à son mari, donc maintenant elle lui appartient « … affirme ainsi un jeune homme lors d’un débat organisé par Voix de Femmes.

…. Heureusement, partout dans le monde, la lutte s’organise »…

Ecoutez des témoignages:
Source :  » Mariage forcé, la fin du silence  » de Pascal TESSAUD, France Culture, émission Surpris par la nuit du 3 mars 2003.

Sur ce lien http://www.association-voixdefemmes.fr/de-quoi-parle-t-on-__4_et-la-tradition-la-religion_25.html

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 » L’association Voix de Femmes a pour but de lutter contre le mariage forcé, le crime dit d’honneur et toute autre violence en lien avec le contrôle du choix amoureux et de la sexualité.
Voix de Femmes accueille, écoute, soutient et accompagne les filles et les garçons confronté-es à ces violences.
L’association mène également des actions de prévention en direction des jeunes et des familles. Elle forme les professionnels amenés à soutenir les victimes et travaille en partenariat avec les pouvoirs publics en France et à l’étranger pour améliorer la prise en charge et la protection des victimes. »
Permanence téléphonique anonyme et confidentielle 01 30 31 55 76

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« Que ce soit le mariage forcé, le crime dit d’honneur (ou la violence conjugale ou encore le harcèlement sexuel), il ne s’agit pas d’une simple coutume, d’une tradition ou d’une pratique culturelle/traditionnelle. »

Mais d’une forme d’esclavage et de crime contre l’humanité (Bein oui, les femmes en composent la seconde moitié )…Socialement et étatiquement admis, ici ou là!

HONTE aux alibis fournis par la religion, la culture, les traditions…

Et à leurs utilisateurs !

Le porno et l’hypersexualisation de très jeunes filles…

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… » la pornographie en nous bombardant d’images de jeunes filles hypersexualisées a
affecté la culture en profondeur. Son influence domine les désirs, les fantasmes, mais également les pratiques sexuelles et corporelles. Désormais, on sexualise les jeunes filles en même temps qu’on infantilise les femmes. Dans l’imaginaire collectif, il faut que la femme soit toujours plus jeune pour être belle. Preuve de l’intériorisation de ces nouveaux codes : l’universalisation de l’épilation totale chez les jeunes femmes. A Ottawa, 87 % des étudiantes en sont adeptes. Mais cela n’est pas phénomène proprement canadien. Je me souviens avoir été choqué en tombant sur un exemplaire du magazine 20 ans, qui, dès 1994, recommandait l’épilation totale. Plus choquant encore, la recrudescence des opérations de nymphoplastie, opération des lèvres qui visent à « rajeunir » le sexe féminin. Cela représente aujourd’hui près de 10 % des opérations de chirurgie esthétique au Canada »…
(L’hypersexualisation des jeunes filles, « résultat de l’influence du porno ». Alors que la sénatrice UMP Chantal Jouanno remettait ce lundi 5 mars un rapport sur l’hypersexualisation des jeunes filles, deux sociologues livrent au Monde.fr leurs analyses sur la question. Richard Poulin revient sur l’influence de la pornographie, la cause du phénomène selon lui.)

Propos recueillis par Pauline Pellissier

Lire tout l’article http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/03/05/l-hypersexualisation-des-jeunes-filles-resultat-de-l-influence-du-porno_1652120_3224.html#ens_id=1651770

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« La femme et la jeune fille ressentent l’obligation d’être sexualisées pour plaire »…

Nous le valons bien ?

La mappemonde de tous mes voyages…

Ce que j'ai vraiment parcouru ( les étoiles rouges).(Les petites étoiles rouges vous guideront- cliquez pour agrandir la carte.)

Je referai un jour, la traversée de l’Australie d’ouest en Est et le tour des États Unis de la Floride…à la Floride(!), en y incluant une petite virée au Canada ( Québec, Montréal, Ottawa, Toronto, les Grands lacs et Niagara Falls…)

J’ai adoré les safaris au Kenya ainsi que le vieux train -aux couverts en argent et au « maître d’hôtel » black stylé, en livrée immaculée,- reliant Nairobi à Mombasa

L’Afrique du Sud est inoubliable et saisissante d’authenticité sauvegardée

Je retournerai au Laos pour séjourner dans les  » Quatre mille îles « , dans cette chambre surplombant le sauvage et envoûtant Mékong…

J’ai toujours le regret de n’avoir pu visiter le Machu Pichu, terrassée par le « manque d’air »(altitude)associé à une forte grippe, alors que je me trouvais à Agua Calientes(à seulement quelques encablures du site)…

Je suis allée 3 fois au Mexique et j’aimerais bien y refaire un saut…

Mais il y a tant d’endroits à découvrir encore…

Et tant de rencontres inoubliables à faire…

Les voyages ne « forment » pas que la jeunesse 😉

L’Île des rêves écrasés (Chantal T. Spitz)

« Brisant les habitudes, en colère contre tous les silences, Chantal T. Spitz participe à l’aventure de la revue littéraire Littérama’ohi débutée en 2001″…(Patrick Sultan).

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 » Enfin un roman polynésien !

… Un langage « maohi » à la sensualité poétique qui nous rappelle que notre « pito » nous rattache à la Terre Mère. Chantal Spitz nous emmène à la découverte de l’âme maohi en recherche de son identité et de sa culture noyées par l’apport « papaa ».

Cette œuvre forte et violente, vibrante de sensibilité, va trouver une place d’honneur dans la liste des livres écrits sur la Polynésie.

Un roman enrichissant et captivant.

Chantal Spitz est née en 1954 à Paofai où elle grandit dans la famille de sa mère. Maman de trois garçons. Quitte l’agitation de Tahiti pour se plonger dans la magie du motu Maeva à Huahine. Elle vit dans un fare niau sur la plage, isolée du monde. Le vent de la mer et de la terre lui chante les paroles du premier roman màohi au creux du ventre. »
NOTE DE L’ÉDITEUR.

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Un com:

« J’aime ce que nous dit Chantal Spitz. On ressent encore aujourd’hui, si on ouvre les yeux et le coeur, tout ce que nous avons infligé et imposé à ce peuple polynésien et les dégâts irréparables que cela lui a causé !
« …
Pascal.

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 » La publication en 1991 de L’Île des rêves écrasés a suscité de nombreuses réactions dans la société tahitienne, variant des félicitations les plus élogieuses aux condamnations les plus frénétiques. De courriers anonymes en appels non identifiés, la violence des attaques a été à la mesure des désordres que la lecture de ce roman a provoqués à une époque où le conformisme tenait lieu de pensée.
Douze ans après, la réédition de cet ouvrage, épuisé depuis longtemps, apparaît comme une urgente nécessité.

Biographie de l’auteur
Née en 1954 à Paofai, Chantal T. Spitz vit actuellement à Huahine. Elle signe avec » l’île des rêves écrasés », le premier roman écrit par un polynésien. Elle a publié des chroniques dans le magazine Vea Porotetani, des essais dans la revue Hermès et dans le bulletin de la Société des études océaniennes. En 2002, elle publie aux éditions Te Ite Hombo, transcription d’une biographie. Elle participe à la revue Littéramaohi.  »
Amazon.

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Résumé :

 » Tematua grandit paisiblement sur l’île Ruahine, dont les habitants vivent en harmonie malgré l’invasion occidentale. Un jour, ils reçoivent la visite d’un étrange militaire, qui leur demande de venir combattre l’Allemagne pour aider une mère patrie qu’ils n’ont jamais vue et qui ne leur a apporté que du malheur. Tematua doit quitter ses parents pour aller combattre. »

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… » En colère contre tous les silences »…

Heureusement qu’il existe des « femmes en colère, contre tous les silences  »

N’en déplaise à certains(es)

"A une femme" (Victor Hugo)

Sorry, vous étiez 279 visiteurs, hier, sur mon blog « vide » 😉 Je n’ai pas encore d’Internet mais j’applique le proverbe réunionnais : « La patience y guérit la gale ». Merci de votre fidèle présence…

 » A une femme

Enfant ! si j’étais roi, je donnerais l’empire,
Et mon char, et mon sceptre, et mon peuple à genoux
Et ma couronne d’or, et mes bains de porphyre,
Et mes flottes, à qui la mer ne peut suffire,
Pour un regard de vous !

Si j’étais Dieu, la terre et l’air avec les ondes,
Les anges, les démons courbés devant ma loi,
Et le profond chaos aux entrailles fécondes,
L’éternité, l’espace, et les cieux, et les mondes,
Pour un baiser de toi !

Victor Hugo, Les feuilles d’automne »

Inès Ortega et Valentina Rosendo ? Super NANAS !

Vidéo: Valentina raconte son viol par des militaires et lance un message à toutes les femmes agressées:

 » Mexique : deux jeunes femmes autochtones ébranlent le système de justice mexicain
[07/03/2012]- Amnesty International.

Un énorme pas en avant a été franchi le 15 décembre 2011. Le 6 mars 2012, l’Etat mexicain a présenté ses excuses à Inés Fernández Ortega pour sa responsabilité dans l’aggression commise par des militaires en 2002. Cette démarche fait suite à la décision de la Cour interaméricaine des droits de l’homme qui avait ordonné à l’Etat mexicain de reconnaitre publiquement sa responsabilité.

Près de dix ans après avoir été agressées par des militaires, deux jeunes femmes autochtones obtiennent la reconnaissance publique de la responsabilité de l’Etat mexicain : un pas énorme dans la lutte contre l’impunité dans le pays.La cérémonie, hautement symbolique et émouvante, a eu lieu dans l’Etat de Guerrero, en présence de hauts représentants du gouvernement, de nombreux représentants de la communauté internationale ainsi que des medias.

Cet acte intervient quelques semaines après une cérémonie similaire pour Valentina Rosendo Cantú, également agressée en 2002.

Cette reconnaissance symbolique était essentielle pour les deux jeunes femmes qui avaient expressément demandé à Amnesty International de relayer cette demande auprès des autorités de leur pays.

Le chemin n’est pas fini ! La justice civile doit encore poursuivre et condamner les responsables directs des crimes commis il y a près de 10 ans.

Le centre pour les droits humains Tlachinollan, partenaire local d’Amnesty International dans cette lutte, a adressé des remerciements à tous ceux qui les ont accompagnées et soutenues depuis bientôt 10 ans.

« La route est encore longue, cependant nous voudrions saisir cette opportunité pour vous remercier sincèrement pour votre soutien ; sans vos lettres, votre action et votre solidarité, nous n’en serions pas là.
A chacun de vous, Nomaá (merci en langue Me’phaa). (…)
Le cœur de Valentina et celui de tous les membres de Tlachi sont joyeux de savoir qu’une justice est possible.
A présent, nous avons toujours autant besoin de votre soutien pour obtenir dans les prochains mois l’Acte public de reconnaissance de responsabilité pour Inés Fernández Ortega et pour assurer la stricte application des jugements de la Cour“.

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Et dire qu’il y a encore des…Femmes pour penser qu’en cas d’agession VERBALE, physique ou sexuelle

Il faut la BOUCLER !!!

PS- Je ne vais pas faire des gorges chaudes sur « la Journée des femmes », je me bats TOUTE l’année contre les violences et les injustices faites aux femmes

Ne vous laissez plus tripoter: non, c’est NON !

 » Le 26 octobre 2011, la Cour d’appel de Paris a confirmé la condamnation pour agressions sexuelles d’un cadre d’’un grand hôtel parisien sur une de ses collègues. La Cour de cassation, saisie d’’un pourvoi contre cet arrêt, a rendu une décision de non-admission le 28 février 2012. La condamnation est donc devenue définitive.

L’AVFT, saisie par la victime en octobre 2009, était partie civile dans la procédure

Mme P. a été victime d’’agressions sexuelles dans le cadre de ses fonctions de coordinatrice « Groupes » dans un grand hôtel parisien de la part d’’un directeur de service avec qui elle travaillait en étroite collaboration. Celui-ci lui avait à deux reprises imposé des baisers sur la bouche et des attouchements sur les seins, les fesses et le sexe, en l’’empêchant de sortir de son bureau. Il avait également tenté de lui imposer de nouveaux attouchements dans une des chambres de l’’hôtel, notamment en s’’allongeant sur elle alors qu’’elle était couchée dans son lit.

Elle avait déposé plainte en juin 2009 et à la suite d’’une enquête rapidement et sérieusement menée par le commissariat de police du premier arrondissement, le parquet avait décidé de poursuivre M. M. pour agressions sexuelles.

Lors de l’’audience du 25 aout 2010 devant le Tribunal correctionnel de Paris, M. M avait été condamné à 8 mois d’emprisonnement avec sursis. Il était également condamné à indemniser le préjudice de Mme P. à hauteur de 8000 euros et à 1500 euros au titre de l’article 475-1 CPP [1]. Il était aussi condamné à verser 1000 euros de dommages et intérêts à l’’AVFT qui était partie civile dans la procédure, ainsi que 500€ au titre de l’’article 475-1 CPP.

M. M. a relevé appel de cette décision. A la suite d’’une audience éprouvante pour la victime, le 26 octobre 2011, la Cour d’appel de Paris a confirmé sa condamnation et a augmenté le montant des sommes attribuées au titre de l’article 475-1 CPP (1000 euros supplémentaires pour Mme P. et 500€ supplémentaires pour l’AVFT).

Cet arrêt illustre encore une fois qu’une condamnation est possible même en l’absence de preuves directes et matérielles (témoin direct, enregistrement, écrits, traces d’ADN…), en dépit des dénégations de l’auteur, par une mise en œuvre rigoureuse de la technique du faisceau d’indices concordants »…
AVFT Libres et égales .

Selon la philosophie Soufie…

 » Ëtre ensemble:

Selon la philosophie Soufie, l’une des premières règles du bonheur consiste à s’asseoir avec des amis ou des gens qu’on aime

On s’assied, on ne dit rien, on ne fait rien

On se regarde ou on ne se regarde, pas

Toute l’extase vient du plaisir d’être entouré de gens avec lesquels on se sent bien.

Plus besoin de s’occuper ou d’occuper l’espace sonore

On se contente d’apprécier cette muette coexistence. »

Bernard Werber « Encyclopédie du savoir relatif et absolu. »

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A essayer…

Le plus dur, pour certains(es) : « la muette coexistence » :DD:

Coucou !

Vous étiez 227 hier sur mon blog … »Vide » 😉

J’ai une bonne raison, non deux, pour expliquer mon absence:

– J’ai déménagé (Un aperçu des lieux dès que possible)

– Je n’ai pas encore de téléphone, encore moins d’Internet !

Mais…J’adore votre présence

Merci à tous !merci

La violation la plus répandue ?

Stop !( Illustration: »Stop »).

Juin 2011 :

… »une question au cœur de nos activités et de celles de nos membres, qui ont identifié la lutte contre toutes les formes de violence masculine envers les femmes comme la priorité numéro un du LEF pour la période 2011-2015. En effet, la violence contre les femmes reste la violation la plus répandue des droits humains des femmes dans le monde entier et dans tous les pays de l’Union européenne (UE). Chaque jour, sept femmes meurent dans l’UE de violence conjugale. Le LEF demande des mesures décisives pour mettre un terme à ce phénomène de la part de l’UE, qui devrait jouer un rôle de leadership dans la protection des droits humains, y compris les droits des femmes.

Le but de cette édition de European Women’s Voice est de présenter une mise à jour de différents sujets de recherche et analyses sur les violences envers les femmes dans l’UE. Les pages suivantes montrent comment les droits des femmes font face à de nouveaux défis et à de nouvelles formes de violence envers les femmes, mais aussi comment les organisations de femmes ont construit de nouveaux horizons d’action vers une Europe libérée de la violence masculine envers les femmes. Les témoignages et les projets montrent des formes cachées de violence envers les femmes, malgré l’illusion d’une prise de conscience générale de la question en Europe, et démontrent la nécessité d’une vigilance et d’actions quotidiennes de la part des décideur-se-s politiques. En outre, les articles de European Women’s Voice permettront de mieux comprendre la nature structurelle des violences contre les femmes et de mettre en valeur ses racines profondes dans nos sociétés patriarcales, plaidant pour des solutions structurelles »…(Extraitt)

Pour lire tout l’article http://www.womenlobby.org/spip.php?article1815&lang=fr

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« les articles de European Women’s Voice permettront de mieux comprendre la nature structurelle des violences contre les femmes et de mettre en valeur ses racines profondes dans nos sociétés patriarcales, plaidant pour des solutions structurelles »…

Y a du boulot…