Courez-y !!!

un parfum de lavande(Comme un parfum de femmes?)

Un ami/blog exceptionnel, m’a fait connaître ce portail…EXCEPTIONNEL ;): (lien ci-dessous)

Dans les « Messages » du site, celui d’Ann Loridan, des États-Unis – 13.06.2011( parmi beaucoup d’autres, dont un de…Gérard Biard: Charlie Hebdo).

« Bonjour des US,

« Je n’ai pas le temps de scanner tout votre site, mais si vous n’avez pas déjà un lien avec l’avocat de la victime de DSK (ou autre concombre ambulant genre Dr. Jekyll and Mr. Hyde du pouvoir, de sa griserie, de son gonflement d’ego, ou tout simplement l’opposé Jekyll/Hyde des angoisses, de la peur inconsciente d’avoir à assumer une fonction angoissante et qui vous prive de vraie liberte ce dont il est très friand, ou de ne pouvoir dire non au bling-bling facile sans contraintes, à sa femme mante religieuse et contrôleuse (car il n’est pas tout seul dans la ‘photo’…; dans la photo des présidentielles éventuelles à l’époque), qui le soutient encore pour ne pas perdre la face elle-même vis-a-vis des autres mais aussi de ses propres mensonges a elle-même (certains peuvent confondre cela avec ‘l’amour’! Et il y en a beaucoup malheureusement).

Donc, ce serait bien si vous mettiez un lien complet (internet, téléphone, email, adresse) de l’avocat de la victime (la dernière d’une nombreuse liste), Kenneth Thomson à New York.

Il a été interviewé sur TV5 Monde le 08 juin (en plus des actualités françaises) où il fait appel à toutes les femmes qui auraient été ennuyées ou abusées par DSK. Les femmes françaises et africaines (puisqu’il fait appel à ces femmes aussi), toutes ces femmes qui ont été abusées d’une façon ou d’une autre, ont la possibilité, grâce au système américain (et les moyens financiers et stratégiques–syndicats, presse, etc…, l’opposé du grand tapis français!) pour un cas actuel et réel, de faire sauter les couvercles des marmites du silence, le couvercle des vieilles histoires enfouies, le couvercle de la sollicitude et l’empressement pour leur vie et confort privés de la part des autorités FRANCAISES (pays où le tapis est grand, pour les grands; ainsi que pour l’Afrique ou le viol est monnaie courante dans les conflits sectaires) envers des hommes en général et surtout des gens en position (financière, politique, etc.) coupables, elles ont donc la possibilité de s’amarrer sur ce fait de proportions internationales et d’en faire un exemple pour le futur de cette foutue planète ou les égos, la griserie du pouvoir, le contrôle d’un petit nombre sur le plus grand est une drogue trop répandue et tue.

Pour moi, ces hommes n’en sont pas. Je n’ai aucun respect ni apitoiement pour eux. Ils sont la victime consentante de leurs problèmes psychologiques qu’ils connaissent mais qu’ils ne veulent pas adresser, régler ou traiter. Ils choisissent la route de la facilité, la route du couard. Et j’ai encore moins de respect pour les femmes qui les soutiennent (car elles le font en connaissance de cause de soutenir un ‘addict’) au lieu de pratiquer ce qu’on appelle en anglais ‘tough love’ (l’amour dur mais vrai’): les renvoyer à eux-mêmes et tant qu’ils ne se soignent pas, ce qui veut dire « NO DEAL! GOOD BYE jusqu’à ce que tu prouves que tu te prennes en main, que ton problème est réglé et bien réglé, et on reverra la situation à ce moment-là ».

Et cela vaut pour l’inverse (une femme a la place d’un homme) : permissivité (qui perpétue la/les tares, et qu’on finit par trouver cette/ces tare(s) normale(s) aussi) au lieu de fermeté (mettre la personne en face de ses responsabilités, la renvoyer à elle-meeme, ce qui est la vraie réhabilitation). Mais… (dans ce cas présent) le veut-elle vraiment ?!!! Elle le tient mieux dans la condition présente et perpétuée, elle le contrôle totalement et les gens tombent dans le panneau de la femme dévouée. Et son attitude n’est pas d’hier, mais d’autres enjeux etaient certainement plus importants que la couardise, le respect de soi-même, des autres).

Encore une fois, cela vaut aussi pour l’inverse (le mari dévoué). Donc, chacun y trouve son compte dans la perversité.

Si on ne vous a pas entendu lors de votre propre aggression, NOW IS THE TIME. Ressortez vos griefs et mettez-les sur les bureaux concernes; vos interlocuteurs auront mauvaise presse, litteralement, de ne pas vous entendre cette fois-ci. Et puis vous pourrez compter (vous voulez parier!?) sur les politicos pour rejoindre le dernier wagon pour que des mesures publiques, officielles soient prises pour une procédure efficace et respectueuses des VICTIMES femmes.

A savoir ce que vous voulez, Mesdames. Y compris les voilées (car là aussi, le voile arrange, et j’en connais un peu….).

Une bi-culturelle qui est partie de la France il y a longtemps car la France était ‘trop poussiéreuse et fossilisée’ (même aujourd’hui, il y a encore des domaines, des mentalités qui y sont dures à mourir… au pays des droits de l’humain (‘l’homme’: on devrait changer ce terme, ca leur donne un faux sentiment de posséder la terre et tout avec), le droit de cuissage et ses dérivées y est toujours inconsciemment normal, intouchable, une institution qu’on n’ose remettre en question, vieille différence de perspective entre société catholique (égalitaire dans la forme/les mots, pas dans le fond) et société protestante plus égalitaire dans le fond et la forme) ; il y a changement–non pas par elle-même, mais grâce aa l’Europe et aux… US, mais c’est lent, frileux; c’est d’ailleurs pour ça que les français ne s’y retrouvent pas, ils n’ont plus d’identité car le phénomène d’évolution a été trop longtemps réprimé; elle a perdu 2 ou 3 tournants majeurs depuis le dernier referendum de De Gaulle, et pour finir (le sabotage) les 35 heures ont fini de la foutre par terre. « Vous avez dit 35 heures? » Mais c’est une mesure de DSK; je jure je ne l’ai pas fait exprès car jusqu’à très récemment je n’accordais pas beaucoup d’intérêt à ce personnage et n’ai su que récemment qu’il en est l’auteur et qu’il avait refilé le bébé à Aubry que je tenais jusqu’à présent pour seule responsable).

Ainsi il en va des faits et des humains…

Bonne route. »

Source Les Terriennes- Lien http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/Terriennes/p-16242-Salut-les-Terriennes-.htm

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Partout, des femmes(et des mecs « bien ») »bougent pour VOUS », les nanas,…et par ricochet pour les mecs 😉 ?

Rejoignez-les, témoignez, pour changer les sociétés sexistes, machistes et misogynes: même combat que le racisme !

ET…OUVREZ-LA (je parle de la parole, là !)

TOUT le temps que régnera les injustices, les inégalités, l’absence de RESPECT* du féminin( Je ne parle pas du *vagin(!) mais de l’INTEGRITE HUMAINE…Féminine), dans les relations femme/homme le monde ne sera JAMAIS apaisé

JA-MAIS !!!

Too…TOO MUCH !!!

A ne pas rater : un blog GENIAL de…MECS qui parlent de Nanas 😉 et de mecs peu ordinaires…

Lorsque vous ouvrirez le lien ci-dessous, vous verrez la mappemonde s’étaler sous vos yeux, et là, un petit curseur vous promènera de l’an… – 2 700 à l’année 2004…

Vous sauterez alors d’un pays à l’autre pour y découvrir des faits et des personnages, que vous pensiez tout à fait…Improbables dans ces parties du monde

Vous pourrez aussi cliquer sur des petits renvois, pour une documentation très pointue, si vous le désirez.

c’est sobre, passionnant, et très révélateur du fait que…Les femmes ne sont pas toutes celles que vous « croyez »…

Vous pourrez ensuite, découvrir d’autres articles tout aussi passionnants et très édifiants…

Bravo Andrey et Andreas

Et agréable retour parmi nous !

PS- COMMENT vous oublier 😉 MERCI pour « ELLES » Lien http://andreyandreas.blog.fr/2011/06/19/la-condition-feminine-voyage-a-travers-le-temps-et-le-monde-en-multimedia-11343685/

Le macho KO : 3 sets à zéro !!!

« Le match des sexes »

Proposé par Hamath Gning :

 » Quand Bobby Riggs, ex champion de tennis bat sèchement Margaret Smith Court (6-2 6-1), il lance un défi à la numéro un mondiale Billie Jean King.
L’Américaine refuse d’abord de jouer contre Riggs, retraité des courts pour qui les femmes sont nettement inférieures aux hommes.
Dans son costume de provocateur, le macho soutenait mordicus qu’aucune tenniswoman ne pouvait le battre.
Billie Jean King finit par céder ensuite contre une proposition d’argent importante.

Le match a lieu à Houston devant 30 472 spectateurs et environ 50 millions de téléspectateurs! Riggs arrive déguisé dans un caddie poussé par une femme. Bille Jean King n’est pas en reste et arrive dans un chaise à porteur dont l’équipage est bien sûr masculin!
Tout cela sent un peu le cirque, mais le match a quand même lieu normalement. Billie Jean King l’emporte trois sets à zéro 6-4, 6-3, 6-3 au cours d’un match sans suspense.
Riggs est touché et coulé!  »
Source Live2Time.

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 » La joueuse de tennis américaine possède un très beau palmarès : 57 titres en simple, dont 12 victoires en Grand Chelem, et 89 titres en double.

Mais Billie Jean King est aussi restée dans l’histoire pour un match de légende : « La bataille des sexes ».

En 1973, la rencontre oppose Billie à Bobby Riggs,
n°1 mondial au milieu des années 40, reconverti dans les matchs-exhibitions lucratifs et alors âgé de 55 ans. Le tennisman critique régulièrement le tennis féminin « inférieur à celui pratiqué par les hommes ». Il prétend même « qu’aucune joueuse en activité ne pourrait jamais venir à bout d’un retraité ». Pour étayer ses propos, il avait proposé quelques mois plus tôt à Margaret Court de jouer un match et a pu « valider » son hypothèse en battant la joueuse 6-2, 6-1.

La Bataille des sexes a contribué à valoriser le tennis féminin
Cette fois-ci, c’est à Billie Jean King qu’il propose un duel. Le 20 septembre 1973, à Houston, devant 30 000 spectateurs et des millions de téléspectateurs, la Californienne de 30 ans va s’imposer en 3 sets (6-4, 6-3, 6-3) et ridiculiser le machiste invétéré Bobby Riggs. Ce match, connu sous le nom de « Bataille des sexes », a contribué à valoriser le tennis féminin. »
Source l’Internaute.

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A méditer les petits chéris…;)

" Pires entre elles ? "

origine du monde2

Com d’Estelle suite à l’article ci-dessous :
… » Moi je vous garantis que je préfère travailler avec des hommes plutôt qu’avec des femmes, et je parle d’expérience ! Faut arrêter de nous la jouer les femmes sont formidables, les femmes sont « plus », elles peuvent être pires entre elles que les hommes ! [ « Solidarité féminine, quand tu les tiens…Tingy :## ]

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Valérie Trierweiler – Paris Match

La plus belle histoire des femmes, quatre intellectuelles dialoguent pour interroger un monde dominé par les hommes. Et bousculer bien des idées reçues.

 » Elles se sont mises à quatre pour écrire cet ouvrage passionnant sur l’histoire des femmes. Un sujet sur ­lequel elles travaillent depuis toujours, chacune à ­titres divers. Françoise Héritier est ­anthropologue, Michelle Perrot historienne, spécialiste de l’histoire des femmes, ­Sylviane Agacinski, philosophe, et ­Nicole Bacharan historienne et politologue. Fichtre. Cette ­dernière s’est muée en intervieweuse pour l’occasion. Il en ressort que partout, dans toutes les ­sociétés, « le partage sexuel des rôles ­avantage le sexe ­masculin » bien que les femmes aient « le privilège exorbitant d’enfanter ». Bref, dans les sociétés ­archaïques, les femmes sont là pour donner des fils et du plaisir. D’autres sociétés préféreront dissocier la femme destinée à être mère et celle dédiée au plaisir de la chair. Le chapitre sur « le pouvoir par la violence » explique ­comment la domination masculine s’est exercée. Michelle Perrot retrace « Deux mille ans dans la vie d’une femme ». Avec l’inévitable sentence : « C’est une fille hélas ! » Tout est dit. La femme longtemps n’a pas disposé de son corps ni de ses sentiments. Pas même de sa dot. Perrot décortique l’idée de bonne ou mauvaise mère et aussi le viol ordinaire. « De tout temps, le danger, c’est le viol. » L’historienne explique qu’« il a régné un ­extraordinaire silence sur le viol. La jeune fille, qui n’a pas réussi à se défendre, est considérée comme coupable. » Ce qu’elle ajoute fait froid dans le dos. « Le viol fait partie de la conquête ».

Le rêve d’un monde mixte
Sylviane Agacinski réfléchit quant à elle à « un monde mixte ». En attendant ce monde rêvé, elle tente de nous éclairer sur le fait que « le discours philosophique est ­masculin ». Elle analyse le rôle joué par Simone de Beauvoir dans l’émancipation des femmes. Agacinski, qui s’était ­battue pour instaurer la parité, penche toujours pour une meilleure mixité parce qu’elle « se révèle civilisatrice ». La philosophe ­revendique le droit pour les femmes d’être ­ambitieuses et propose de « réinventer le couple ». Elle ­revient également sur les mères ­porteuses, principe auquel elle est fortement opposée : « Gestatrice, ce n’est pas un nouveau métier… La gestatrice doit faire abstraction de sa propre existence corporelle et morale, elle doit transformer son corps en moyen biologique du désir d’autrui. » Allant jusqu’au bout de son ­raisonnement et de son ­combat, elle dénonce cette ­marchandisation des corps. Si l’ensemble de cet essai est parfaitement réussi, on peut ­regretter qu’aucun homme n’ait été associé à la réflexion. Le vrai progrès sera atteint le jour où les femmes ne seront plus traitées ­uniquement par des femmes. »

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 » « le partage sexuel des rôles ­avantage le sexe ­masculin » bien que les femmes aient « le privilège exorbitant d’enfanter ».

Ce n’est pas la réalité indiscutable qui compte, mais la raison du plus fort…PHYSIQUEMENT, il a TOUS les moyens de l’imposer!!!

« La femme longtemps n’a pas disposé de son corps ni de ses sentiments. »

Pour de nombreux cerveaux reptiliens contemporains: le corps et les sentiments féminins appartiennent TOUJOURS au… mâle !

Comme un « objet » créé, par la nature, dans l’UNIQUE et INCONTOURNABLE but de satisfaire leurs désirs et leurs besoins…

Réinventer…Les DEUX : mâle et femelle

Pour un monde d’E-GA-LI-TE, de JUSTICE, de…RESPECT de soi et de l’autre, incontournables d’une société apaisée

Où AUCUNE domination de genre ne sera tolérée.

Solidarité masculine sans faille…

( Pour celles et ceux qui ne l’ont pas lu ).

Stéphanie Marteau

 » Harcelée par Georges Tron et lâchée par sa hiérarchie. L.C, l’ancienne commissaire de police de Draveil, a supporté pendant des mois les pressions du secrétaire d’état à la fonction public, par ailleurs maire de la ville sans que ses supérieurs, tous avertis, ne lui témoignent le moindre soutien« …

… » Quand L.C est revenue de congé maternité, en septembre 2010, Georges Tron disait partout qu’elle « ne reprendrait pas son poste à Draveil ». De fait, la jeune femme a demandé sa mutation, en dépit du « témoignage de satisfaction » signé par l’ensemble de ses effectifs fin décembre 2010. « Un geste symbolique, pour lui manifester notre soutien », explique un fonctionnaire. Mais qui a, une fois encore, rendu Tron furieux : « le maire a appelé notre direction pour demander à ce que l’on soit poursuivi disciplinairement », se souvient un gardien de la paix. Au mois de janvier, alors qu’elle avait annoncé son départ, le directeur central de la sécurité publique de l’Essonne, Jacques Fournier, lui a accordé une prime exceptionnelle pour ses bons résultats en matière de lutte contre les vols et effractions (meilleurs résultats du départements en 2010). Une prime que L.C a utilisé pour acheter le matériel qui manquait au commissariat, et pour lequel l’administration lui refusait le budget…
Il est vrai que la police, en Essonne, passe après la politique « ….
Marianne | Samedi 4 Juin 2011
Lien http://www.marianne2.fr/Draveil-les-policiers-accusent-Tron-d-avoir-pourchasse-la-commissaire_a206886.html?preaction=nl&id=5917719&idnl=26352&

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Et la solidarité féminine ?

Oui elle existe, surtout… contre une des leurs, qui représente un « danger » quelconque, avéré ou supposé pour leur égo 😉

Dont le moindre est d’être un mirroir qui leur renvoie une image peu flatteuse de la « femme » qu’elles sont devenues.

Un exemple: vous voulez rapidement vous faire des amies blogs: répétez que vous êtes carrément stupide, que vous avez besoin de leur aide pour fabriquer votre blog. N’écrivez pas des articles qui peuvent intéresser un large public ou qui défendent une cause, non, suppliez-les de mettre un commentaire sous ceux que vous publiez.

Même des mecs accourront: ce que vous laissez voir de vous agit illico sur leur cerveau reptilien …

Quand, et SI un jour, dans un million d’années, les nanas cessaient de se bouffer la gueule comme elles le font depuis la préhistoire, pour accaparer l’attention du mâle qui voudra bien leur laisser un os à ronger:##

Alors, elles pourront changer le sort de millions de femmes dans le monde…

Mais, pas besoin de « faire un rêve » comme Martin, parce que dans ce cas précis, il le restera:))

Libido compulsive des nanas ?

… » Si l’homme possède, en général, une plus forte libido que la femme, il éprouvera généralement un profond malaise lorsqu’il sera confronté à la sexualité compulsive de sa partenaire. S’il est à l’aise avec une femme « bien dans sa sexualité », il sera rapidement déboussolé par celles qui prennent souvent l’initiative.
Il faut bien l’avouer, depuis la nuit des temps, l’homme est le chasseur, le conquérant. Même s’il fantasme sur la femme ayant une libido plus prononcée, il se retrouvera rapidement mal à l’aise lorsqu’il trouvera cette femme émancipée dont il rêve pourtant depuis des lunes. Ce n’est plus lui, mais bien sa partenaire, qui réclame l’union charnelle. Souvent, sa libido sera à la baisse. Il manifestera moins d’appétit. Des tensions risquent de s’accumuler dans le couple.
En fait, l’homme n’est pas habitué à devenir la proie. Généralement, ce sont ses besoins qui régissent, la plupart du temps, la vie sexuelle du couple. Lorsqu’il est confronté à un rôle d’objet, il perd souvent confiance en lui. Il craint que ses performances au lit soient comparées à celles d’autres partenaires.
Face à une sexualité compulsive, l’homme se sentira souvent en perte de contrôle. Il lui faudra une bonne dose d’humilité et de compréhension s’il est confronté à l’infidélité de sa compagne pour qui le sexe n’est qu’un exutoire. Celui qui compose facilement avec ses propres galipettes se sentira trahi si sa partenaire saute la clôture avec un, ou une, inconnue. Car il n’est pas rare que, pour satisfaire ses désirs, la femme se tourne vers un partenaire du même sexe qui « connaît mieux le corps féminin et ses zones érogènes ».
Mais au-delà des besoins exacerbés, une sexualité saine demeure gage de succès chez la plupart des couples. C’est aux deux partenaires de trouver un équilibre qui permettra, à l’un et à l’autre, de mieux répondre à ses besoins personnels et à ceux de son (sa) partenaire  » …
Henri Michaud, rédacteur Canal Vie

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« ce sont les besoins de l’homme qui régissent, la plupart du temps, la vie sexuelle du couple. »

Bein oui, quand on a mal au ventre on va aux toilettes

Et quand les bourses sont pleines, il faut les soulager…Dans un récipient à sperme: la nana. Tu as envie, tu n’as pas envie, tu couches quand même ?

Quand on parle de rapports sexuels on sous-entend toujours : éjaculation ! La féministe Susan Sontag, confirme dans « Réflexions sur la libération de la femme » :… « nous devons
nous-mêmes, redéfinir la sexualité (féminine). Car, ni les rapports sexuels en soi, ni les aventures à la chaîne ne nous satisfont »

Chou blanc ? Aveu ?

( Pour celles et ceux qui ne l’ont pas lu ).

Frédéric Ploquin – Mercredi 15 Juin 2011

« Les avocats de Dominique Strauss-Kahn, William Taylor et Benjamin Brafman, viennent d’annoncer qu’ils n’ont aucune intention de « salir » la plaignante. Un moment de pédagogie à l’intention du public et de la presse française, priés de comprendre pourquoi l’absence de juge d’instruction dans le système américain les oblige à enquêter sur la jeune femme de chambre guinéenne. Peut-être aussi un premier aveu, car au fond, comment « salir » une femme qui ne présente, à première vue, aucune faille digne d’être exploitée ?
On a beau fouiller, déranger ses voisins, pister ses proches, Nafissatou Diallo présente obstinément l’image lisse d’une immigrée africaine obligée de multiplier les heures supplémentaires pour survivre à New York, dans cette Amérique où l’a précipitée la mort prématurée de son mari, alors qu’elle n’avait même pas 18 ans. De 30 ans la cadette de celui qu’elle accuse, elle ne compte que sur elle même et cumule tellement d’heures sup’ dans l’hôtel français qui l’emploie, à 45 minutes de métro de chez elle, qu’elle peine à entretenir la moindre amitié.

DSK est l’homme de tous les réseaux DSK ; Nafissatou est la femme sans relation. Il est quelqu’un ; elle n’est personne. Il est un people, elle est le peuple. Il est connu de toutes les chancelleries ; on ne se souvient de Nafissatou que dans son bidonville, ce tas de paillotes qui l’a vue grandir, en Guinée. DSK est attendu en France comme le Père Noël par des milliers d’électeurs ; elle n’est guettée que par sa fille de 15 ans, à laquelle elle consacre son énergie.

Il est une star globale ; elle n’a pas laissé de trace dans le foyer où elle a atterri en arrivant à New-York, il y a 7 ans. Les seules à vaguement voir qui elle est sont les clientes de la laverie automatique du coin, et ses voisines dominicaines au 4ème étage de l’immeuble où elle a déniché un logement social dans le Bronx, à l’angle de Gerard Avenue et de la 161ème rue, bâtisse en briques qui abrite quelques malades du sida, avec vue sur le métro aérien. Et aussi les habitués de cette gargote aux parfums de mafé où elle faisait le service et la plonge avant de dégoter ce boulot au Sofitel, à 23 dollars de l’heure –un bon plan, la plupart plafonnent à 10 dollars. La porte de son petit rêve américain à elle. De quoi se nourrir, se coiffer, envoyer des sous à la famille, un destin qui n’aurait jamais du mettre DSK sur son chemin.

Les avocats de DSK jurent aujourd’hui qu’ils ne la saliront pas, mais c’est peut-être parce qu’ils ne trouvent aucune aspérité. Rien que la vie trop normale d’une africaine sans le sou à New-York. Comment transformer Miss Nobody en Mata Hari ? Comment faire de cette travailleuse plutôt soumise une comploteuse ? Ils vont cependant continuer à fouiller. Comment est-elle arrivée en territoire américain ? A-t-elle « loué » un passeport pour l’occasion, comme cela se pratique chez les « je-me-débrouille » de toute l’Afrique ? A-t-elle laissé une ardoise quelque part ? A-t-elle déjà eu affaire à la justice ? Qui est ce garçon, « Blacky », restaurateur de son état, qui s’est fait passer pour son frère ? Ses mœurs plaident-ils pour une relation consentie, voire tarifée ? Est-elle saine de corps et d’esprit ?

Face aux détectives, la femme sans visage est démunie : l’Euro RSCG (boite de com’ de DSK) du pauvre n’a pas encore vu le jour. Elle n’a pas que des supporteurs, de nombreuses africaines la traitant de « voleuse » ou de « menteuse », comme pour conjurer leur honte. Elle commence cependant à devenir quelqu’un, et cela pourrait compliquer la tâche de la défense. Elle devient « le héros invisible d’une communauté invisible », selon les mots de ce Togolais, travailleur social à Manhattan. Elle est érigée en symbole de toutes les femmes de ménage harcelées, avec le concours du syndicat de l’hôtellerie, Local 6, très implanté dans le Sofitel élu par DSK, ce qu’il ignorait certainement.

« Il est multimillionnaire, mais ce qu’il a fait le ramène à zéro », proclame une syndiquée. N’en déplaise à ceux qui affichent leur soutien à la « victime du système judiciaire américain », « Nafi » recevrait elle aussi des dizaines de messages de sympathie qui pourraient la transformer en symbole du peuple sans domestique, en patronne de celles qui n’osent pas, qui ne peuvent pas parler. Un nouvel avocat est entré en scène depuis une semaine pour l’épauler, Kenneth P. Thomson, spécialiste de la discrimination qui présente sa cliente comme « une femme dévastée, mais courageuse, digne et respectable ». « L’influence de DSK ne changera rien à ce qui s’est passé dans cette chambre », insistait-il alors que le « frenchy » venait de plaider non coupable. « Elle le dira au monde entier ». Propos d’un calibre du barreau, noir comme sa cliente, qui après avoir balayé deux confrères annonce une défense aussi politique qu’offensive.

Miss Nobody, que ses voisines dans le Bronx disent « calme, tranquille et travailleuse », ne s’était fâchée qu’avec une personne, sa sœur, qui l’avait accueillie à son arrivée en Amérique. Elle n’avait probablement jamais sollicité la police, cela ne se fait pas dans la communauté africaine, trop précaire pour s’exposer. Demain, elle sera « la femme qui a dit non » et pourrait attirer autant de caméras que celui qui se voyait en haut de l’affiche. Surexposée, tous ses petits et grands secrets éventés, jusqu’aux causes de la mort de son mari avant son départ pour l’Amérique, elle offrira le seul visage que l’on entrevoit d’elle en enquêtant dans les rues de son quartier : celui de la survie.

Au jour du procès, « he said, she said », ce sera parole contre parole. Les avocats de DSK plaideront la transaction qui a mal tourné, une relation habituelle ou la simple atteinte aux mœurs, tout en traquant le vice de forme, par exemple du côté des conditions de son arrestation dans l’avion, où il voyageait comme patron du FMI, non comme simple citoyen ; elle tentera de raconter sans se contredire comment leurs deux ADN ont été retrouvés sur la moquette de la désormais célèbre suite 2806.  »
Source Marianne.

" La queue devant ‘ …

Mamita(pub des 3 Suisses détournée- Cliquez pour lire les prénoms).

« …Tous derrière et lui devant », Le petit cheval de Georges Brassens?

Non, le pénis!

… » Voilà ma tragédie : je suis un homme. Autrement dit, le seul animal de la Création qui a sa queue devant et qui ne cesse de courir après » (Franz-olivier Giesberg).

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Article d’Agnès Leclair :

… » Aujourd’hui,…aucun regret. Au contraire. « J’aurais dû prendre cette décision plus tôt. Cela m’aurait permis de mettre mon énergie au service des choses plus intéressantes que le contrôle de ma libido », estime-t-il. Cependant, il tient à souligner que «les castrations physique ou chimique obligatoires sont des aberrations. Ces opérations ne peuvent être bénéfiques que si l’intéressé les réclame pour entamer sereinement un travail psychiatrique, l’intellect jouant un rôle essentiel». Touché par le sort de ceux qui doivent lutter contre leurs pulsions sexuelles, Henri Monod s’investit depuis trois ans pour aider et soutenir moralement un Français qui réclame lui aussi une castration physique, lassé de sa lutte permanente contre un éventuel dérapage. «Nos nombreux courriers à des responsables politiques sont restés sans réponse. Dès que ce sujet est abordé, on nous parle de dignité humaine. Ce discours cache une éthique poussiéreuse et un grand manque de courage», regrette Henri Monod. ] …
Source le Figaro.

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Apparemment la « tragédie » de beaucoup de mecs ?

Freud avait tout faux: les nanas, en général, n’ont aucune envie de posséder un pareil engin ! On veut juste le POUVOIR que Freud lui a ATTRIBUé d’office!

Le pouvoir de gérer notre vie et CELLE des MECS ? Non! Juste le pouvoir de gérer NOTRE vie comme bon nous semble, sans dictateur avéré ou…Déguisé !

J’aurais été horrifiée et furieuse de me laisser conduire la vie par quoique ce soit

Même par un pénis !

Par contre, j’ai été heureuse au-delà de tout, de donner – volontairement– 7 fois la vie (Si, si, la pilule existait et je ne suis pas Kato!).

A chacun(e) son truc 😉

Née enragée …

le chemin de la haine (Fusain et pastel).

Reçu dans mes messages hier:

 » Drogues, alcool et fantasmes

Sur un air de violence, la haine aux trousses, je cavale pour éviter l’implosion.
Débordement latent d’une colère trop longtemps enfouie.
Colère dominante, parfois terrifiante, dont je redoute les limites…
Mal-être profond dont je ne connais ni la source, ni l’issue.

Je m’adonne à de futiles remèdes : drogues, alcool et fantasmes, parsemés de méditations en tout genre pour apaiser cette rage destructrice qui me consume.
On m’a pourtant tout donné pour être heureuse, je n’y parviens toujours pas.
J’ai du rater le coche quelque part…

Ça fait si longtemps que ce sentiment dévastateur m’habite que j’ai l’impression d’être née enragée.

Lorsqu’elle me prend au corps la raison s’effondre;
je suis à court de souffle, seule, en équilibre sur mon sort.
Il est temps de déposer les armes avant de commettre l’irréparable,
avant qu’un sentiment détestable ne s’installe en moi et prenne le pas sur mon quotidien.

Je m’use dans cette perfide partie où je ne suis qu’un pion
addict d’une profonde colère passible de perdition.
Une question demeure : où ai-je dérapé ? « 

Yem

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…ou amour généreux méprisé ?

J’ai vu récemment un petit casse-tête: il fallait réunir 9 points en carré par un trait continu: tout le monde part du… »carré » de points, et échoue, alors qu’il faut s’en éloigner !

Bref, il ne faut pas partir de…SOI, mais de « l’autre » !

Ce n’est pas la « bonne » personne…pour SOI

Même s’il s’agit de sa mère, de son père, d’un frère ou d’une soeur, d’un amoureux…

Il faut savoir lâcher prise…AVANT de se détruire !

Il y a tant de gens qui nous aiment et qui ont tant de choses à nous offrir…

La vie est belle si on sait s’adapter à …Elle 😉

Bisou à toi Yem.

On nous conseille un romancier…

Un voilier pour une île

zazabeytiaanao (Visiteur)

…  » Roman passionnant et émouvant de Tamim Karimbhay, Année 2043 : Autopsie D’une Mémoire qui vous entraînera dans les entrailles de l’Histoire et de la Littérature…et offrez vous cette plongée géopolitique imaginaire dans le monde du XXIème siècle…

Amith Khan est un jeune retraité de la fonction publique. Il vient d’avoir 67 ans. Il vit sur l’île française magnifique de La Réunion, région ultra-périphérique de l’Europe dans l’océan Indien. Il a voyagé partout dans le monde. Toutefois, un endroit a été omis volontairement. Mais un jour, le voile est levé. Ses enfants lui offrent un séjour complet de trois semaines, pour partir à destination de l’île de Nosy-Bé (Madagascar) – espace insulaire dans le canal du Mozambique, qu’il n’a pas revu depuis ses 18 ans – où il a passé les premières années de sa vie. Après avoir fait escale à Tananarive (la capitale), et avoir survolé la baie de Diégo-Suarez, il rencontre là-bas, son ami d’enfance, Roger qui est devenu entre temps un taxi-man.

Un demi-siècle s’est écoulé entre son enfance et sa retraite.

Que lui réserve ce voyage hors du commun à travers les couloirs du Temps à la découverte des secrets de la Mémoire, enfouis dans les labyrinthes de cette île splendide, de sa capitale Hell-Ville et de ses villages alentour ?

A la fin, l’écrivain vous réserve une sacrée surprise à travers son innovante « dédicace romanesque » insolite, lorsque le narrateur sort du livre pour s’adresser à l’auteur avec une voix sortie d’outre-tombe… »

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