
…Pendant que le pénis jubile, sans entraves !
» Des femmes qui nont pas dautres solutions que lavortement clandestin:
(Par Vitraulle Mboungou).
Les femmes qui tiennent absolument à mettre fin à des grossesses non désirées se tournent souvent vers des « avorteurs » clandestins dans les cliniques de rue. Beaucoup dentre eux utilisent des techniques rudimentaires et extrêmement dangereuses. Ainsi, elles acceptent de « senfoncer des cintres dans le vagin, un tesson de bouteille ou un mélange de verre pilé », ou alors, elles demandent à leur compagnon de « piétiner leur ventre », ont rapporté à la presse certains gynécologues présents à la première conférence africaine sur lavortement, qui sest déroulée à Addis Abeba, en Ethiopie (20-23 mars 2005). Ce faisant, ces femmes risquent davoir leurs utérus perforés, subir une importante hémorragie, ou être victimes dinfections pouvant conduire à la mort. Selon lOrganisation mondiale de la santé, 4,2 millions davortement à risque se produisent tous les ans en Afrique, entraînant près de 300 000 décès. Au niveau mondial, 44% des femmes qui meurent suite à des complications dues à un avortement non médicalisé, sont africaines. Il représente même en Ouganda et au Ghana, lune des premières causes de mortalité.
La méconnaissance des textes de loi par les médecins conduit également beaucoup de femmes africaines à avorter clandestinement. »
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Ainsi va le monde de femmes
Et de mecs !