Franchement ? Shame on them…

No limit :  » Adultification and Sexualization of Girls in French Vogue  »

Quelqu’un de « NORMAL », ressent un indéniable malaise à visionner ces photos; « tout » y est : la pose, le regard par en-dessous, la lèvre pendante, les cuisses haut croisées, les « chaînes » aux chevilles, les peaux de bêtes, les paupières les ongles et les lèvres outrageusement fardés…

« NON À LA PUTANISATION DES PETITES FILLES !

…Nous sommes des millions à nous sentir agressé-es par le sexisme des publicités, notamment des affiches imposées dans l’espace public !…

…Le magazine Vogue-France a publié dans le n° de décembre 2010 des photos de fillettes habillées et maquillées comme des adultes, et prenant des poses de séduction…
Une lettre ouverte, signée par 150 pédiatres, médecins de l’Éducation Nationale et de la Protection maternelle et infantile, a été adressée au magazine pour protester contre cette instrumentalisation d’enfants à des fins commerciales, et alerter sur les dangers de l’hypersexualisation dont sont particulièrement victimes les petites filles.
Une pétition « contre l’érotisation des images d’enfants dans toutes les formes de publicité » a été lancée pour demander aux pouvoirs publics français de fixer des limites à lÕutilisation de l’image des enfants.
La Meute se joint à cete action. Nous vous invitons à signer cette pétition : http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2011N6214

Vous pouvez voir les photos ici : http://www.detouragebreizh.com/images/vogue/voguedecembre2010.html

Chiennement vôtres,
Les responsables des Chiennes de garde

DES NOUVELLES DE LA MEUTE DES CHIENNES DE GARDE
N° 149 9 février 2011
ACTION N°35 :NON À LA PUTANISATION DES PETITES FILLES !

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Si vous n’avez pas encore adhéré (ou réadhéré pour 2011) aux Chiennes de garde, nous vous invitons à le faire, car vous contribuerez ainsi à l’indépendance d’une association qui ne compte que sur ses propres forces. Seul-es les adhérent-es peuvent voter pour élire le Macho de lÕannée, dont le nom sera proclamé autour du 8 mars 2011.
La cotisation annuelle est de 20 euros, et vous pouvez manifester votre soutien en donnant davantage (par virement électronique sur le site http://chiennesdegarde.com/, ou par chèque à l’adresse : Chiennes de garde, Maison des associations, boîte n°11, 5 rue Perrée 75003 Paris).

Pour vous joindre au réseau « Encore féministes ! », qui organise des actions dans d’autres domaines, signez le Manifeste « Encore féministes ! » sur le site http://encorefeministes.free.fr

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Je sais, sur une radio « jeunes » célèbre, une petite fille de 12 ans S’INQUIETAIT de la meilleure façon de s’y prendre pour faire une FELLATION à son petit morveux de copain,-élevé sans respect et déjà « abîmé » par la « nouvelle » sexualité pornographique,- qui le lui demandait.

Raison de plus, pour ne pas enfoncer le clou (sans jeu de mots!)

A quand le tour des bébés filles encore au sein ?

Freud et l’orgasme vaginal …MDR !

Mortes de Rire(Freud ? Mortes de rire!)

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… » Le clitoris n’a donc d’autre fonction que le plaisir sexuel » ? YES SIR !

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« Les hommes ont généralement défini la frigidité comme l’incapacité d’une femme à ressentir l’orgasme vaginal. Or, la région vaginale n’est pas hautement sensitive et n’est pas conformée pour produire un orgasme. Le centre de la sensibilité sexuelle est le clitoris, équivalent féminin du pénis.(Dans les discussions sur l’orgasme et la frigidité féminins, une fausse distinction est faite entre l’orgasme vaginal et l’orgasme clitoridien. )
A mon avis, cela explique pas mal de choses : avant tout, le fait que la proportion de dite frigidité parmi les femmes est extrêmement élevée. Plutôt que de montrer que la frigidité est due à des assertions erronées sur l’anatomie féminine, nos « experts » ont appelé frigidité un problème purement psychologique. Les femmes qui en souffraient étaient dirigées vers des psychiatres afin de tirer au clair leur « problème » – et celui-ci était alors généralement défini comme une incapacité d’accepter leur rôle de femme.

Les faits anatomiques et sexuels nous disent tout autre chose. S’il existe de nombreuses zones érogènes, il n’y en a qu’une pour la jouissance : cette zone est le clitoris. Tous les orgasmes sont des extensions de la sensation à partir de cette zone. Et comme le clitoris n’est pas nécessairement assez stimulé dans les positions conventionnelles, nous restons « frigides ».

A côté de la stimulation physique, qui chez la plupart des gens est la cause habituelle de l’orgasme, il existe une stimulation qui passe d’abord par un processus mental. Certaines femmes, par exemple, parviennent à l’orgasme au moyen d’images sexuelles ou de fétiches. Quoi qu’il en soit, même dans le cas où la stimulation est psychologique, l’orgasme n’en est pas moins physique. Si donc la cause est psychologique, l’orgasme est physique, et se situe nécessairement au niveau de l’organe équipé pour la jouissance sexuelle – le clitoris. Le degré d’intensité de l’expérience orgastique peut aussi varier – parfois elle est plus localisée, parfois plus diffuse ou plus vive. Mais ce sont tous des orgasmes clitoridiens.
Cela nous amène à d’intéressantes questions sur la sexualité conventionnelle et sur le rôle que nous y tenons. Les hommes éprouvent l’orgasme essentiellement par friction contre le vagin, et non la zone clitoridienne, qui est externe, et ne saurait créer cette friction comme le fait si bien la pénétration. Les femmes ont donc été définies sexuellement en fonction de ce qui fait jouir les hommes ; leur physiologie propre n’a pas été proprement analysée. Au lieu de ça on leur a collé le mythe de la femme émancipée avec son orgasme vaginal – un orgasme qui en fait n’existe pas.

Il nous faut donc définir notre sexualité. Il faut rejeter les idées « normales » de sexualité, et nous mettre à penser en fonction d’une satisfaction sexuelle mutuelle. L’idée d’une satisfaction mutuelle est défendue avec libéralité dans les manuels conjugaux, mais non poussée jusqu’à ses conséquences logiques. Pour commencer, si des positions données comme classiques ne dispensent pas l’orgasme aux deux partenaires, nous devons exiger qu’elles ne soient plus tenues pour classiques. De nouvelles techniques doivent être recherchées ou inventées afin de modifier cet aspect particulier de notre exploitation sexuelle courante.

Freud, père de l’orgasme vaginal

Freud soutenait que l’orgasme clitoridien était infantile, et qu’après la puberté, dans les rapports hétérosexuels, le centre de l’orgasme s’était transféré au vagin. Le vagin, prétendait-on, était le lieu d’un orgasme parallèle, plus complet que le clitoris. De nombreux travaux ont concouru à l’édification de cette théorie ; bien peu a été fait pour en réfuter les présuppositions.

Un rappel de la position générale de Freud sur les femmes fera pleinement goûter cette incroyable invention. Mary Ellman, dans Thinking about women, la résume ainsi : « Tout ce qu’il y a de paternaliste et de craintif dans l’attitude de Freud à l’égard des femmes provient de leur manque de pénis. Mais c’est seulement dans son essai La psychologie féminine, qu’il exprime clairement [ … ] le mépris des femmes implicite dans toute son œuvre. Il leur prescrit alors de renoncer à la vie de l’esprit, qui gêne leur fonction sexuelle. Quand le patient est un homme, l’analyste s’attache à développer les capacités masculines ; mais si c’est une femme, la tâche consiste à la faire rester dans les limites de sa sexualité . M. Rieff dit : ‘Pour Freud, l’analyse ne peut éveiller chez les femmes des forces pour réussir et s’ac­complir, mais seulement leur enseigner une résignation raisonnable.’ »

Le sentiment que les femmes étaient inférieures et secondaires fut donc le fondement des théories de Freud sur la sexualité féminine.

On ne s’étonnera pas qu’après avoir pondu la loi de la nature de notre sexualité, Freud découvrît un épouvantable problème de frigidité chez les femmes. En cas de frigidité, les soins d’un psychiatre étaient indiqués : le mal leur venait d’une incapacité mentale à s’adapter à leur rôle « naturel » de femme. Frank S. Caprio, disciple contemporain, déclare : « Lorsque, son époux étant un partenaire convenable, une femme ne parvient pas à l’orgasme dans le coït, et préfère la stimulation clitoridienne à toute forme d’activité sexuelle, elle peut être considérée comme frigide, et relève des soins d’un psychiatre. 1 » L’explication était qu’une telle femme enviait les hommes – « refus de féminité ». On diagnostiquait alors un phénomène anti-mâle.

Il faut bien préciser que Freud ne fonda point sa théorie sur une étude de l’anatomie féminine, mais sur sa propre conception de la femme comme appendice et inférieure de l’homme, et du rôle social et psychologique qui en découle.

Au cours de leurs tentatives pour résoudre le problème fatal d’une fri­gidité massive, les freudiens se livrèrent à des gymnastiques mentales très poussées. Marie Bonaparte, dans Sexualité Féminine, n’hésite pas à appeler la chirurgie au secours des femmes pour les aider à rentrer dans le droit chemin. Ayant découvert un rapport curieux entre la non-frigidité et la proximité du clitoris et du vagin, elle écrit : « Il m’apparut alors que, si chez certaines femmes ce fossé était trop large, et la fixation sur le clitoris endurcie, une réconciliation vagino-clitoridienne pouvait être effectuée par des moyens chirurgicaux, pour le plus grand bien de la fonction érotique normale. Le professeur Halban de Vienne, chirurgien et biologiste, se montra intéressé par cette question et mit au point une technique opératoire très simple : les ligaments maintenant le clitoris étaient coupés, le clitoris, conservant ses structures internes, était fixé plus bas, avec éventuellement une réduction des petites lèvres. » Mais le plus grand dommage n’était pas localisé du côté de la chirurgie où les freudiens se livraient à d’absurdes tentatives pour changer l’anatomie féminine afin de la faire entrer de force dans leurs conceptions. Le dommage était pour la santé mentale des femmes, qui, ou bien s’accablaient elles-mêmes en secret, ou bien se pressaient chez les psychiatres, désespérément en quête du fameux refoulement qui les excluait de leur destin vaginal.

Pas d’évidences ?

A première vue, on peut regretter que ce soient là des régions inconnues et inexplorées, mais à y mieux regarder, ce n’est sûrement plus vrai de nos jours, si ce le fut jamais. Par exemple, les hommes n’ignoraient pas que les femmes étaient souvent frigides dans les rapports ; là était donc la question. Et il y a une autre évidence très spécifique. Les hommes savaient que le clitoris était et est l’organe essentiel de la masturbation, tant pour les fillettes que pour les femmes adultes. Donc, quand les femmes pensaient que leur sexualité était localisée, elles ne se trompaient pas. Les hommes étaient, éga­lement, parfaitement au fait des possibilités du clitoris, lorsque, durant les préliminaires, ils désiraient exciter les femmes et lubrifier leurs propres voies d’accès.

« Préliminaires » est une notion créée pour les besoins mâles, mais tourne au désavantage de pas mal de femmes, car, lorsque sa partenaire est « chauf­fée », l’homme passe à la stimulation vaginale et la laisse à la fois excitée et insatisfaite. On savait aussi que durant les interventions chirurgicales à l’intérieur du vagin l’anesthésie n’était pas nécessaire, ce qui montre bien qu’en vérité le vagin n’est pas une région hautement sensitive.

Aujourd’hui, avec le progrès des connaissances anatomiques, avec Kinsey, avec Masters et Johnson, pour ne citer que quelques sources, on est sorti de l’ignorance dans ce domaine. Cependant, pour des raisons sociales, cette connaissance n’a pas été popularisée. Nous vivons dans une société mâle, où le rôle des femmes demeure inchangé.
Evidence anatomique

Plutôt que de partir de ce que les femmes devaient ressentir, il eût été plus logique de partir des faits anatomiques concernant le clitoris et le vagin.

Le clitoris est un pénis en plus petit, avec la différence que l’urètre n’y passe pas. Son érection est analogue à l’érection mâle, et l’extrémité du clitoris a le même type de structure et de fonction que le gland. G. Lombard Kelly dit, dans Sexual Feeling in Married Men and Women : « La tête du clitoris est constituée également de tissu érectile, et possède un épithélium ultra-sensible, irrigué par des terminaisons nerveuses spéciales appelées corpuscules génitaux, et particulièrement adaptées aux stimulations sensorielles qui, dans de bonnes conditions mentales, aboutissent à l’or­gasme. Aucune autre partie de l’appareil génital féminin ne comporte de tels corpuscules. »

Le clitoris n’a donc d’autre fonction que le plaisir sexuel.

Le vagin. – Sa fonction est rattachée à la fonction de reproduction. Principalement : 1) menstruation ; 2) recevoir le pénis ; 3) garder la semence ; 4) le passage de l’enfant. Les parois du vagin, qui, selon les champions de l’orgasme vaginal, est le lieu d’origine du plaisir sexuel, est « […] comme à peu près toute autre paroi interne du corps, pauvrement pourvu de terminaisons tactiles. A cet égard, l’endoderme interne de la paroi vaginale est semblable au rectum et aux autres parties de l’appareil digestif. » (Kinsey, Sexual Behaviour in the Human Female.) Le seuil de sensibilité de la paroi vaginale est si élevé que « parmi les femmes qui ont été examinées au cours de notre enquête gynécologique, moins de 14 % ont senti qu’on les avait touchées » (Kinsey). On a découvert que, même comme centre érotique (et non pas comme centre orgastique), l’importance du vagin était secondaire.

Autres zones : Les petites lèvres et le vestibule vaginal. – Ces deux zones sensibles peuvent transmettre un orgasme clitoridien. Et comme en effet elles peuvent être stimulées durant le coït « normal » bien que rarement, cette forme de stimulation a pu être interprétée comme un orgasme vaginal. Il est toutefois important de distinguer entre des zones susceptibles de stimuler le clitoris, mais non susceptibles elles-mêmes d’orgasme, et le clitoris : « Compte tenu des moyens d’excitation employés pour amener l’individu au stade de la jouissance, la sensation est perçue au niveau des corpuscules génitaux et localisée là où ils sont stimulés : à l’extrémité du clitoris ou du pénis. » (Kelly.)

Orgasme d’origine psychique. – Outre les stimulations directes ou indi­rectes du clitoris mentionnées ci-dessus, l’orgasme peut être obtenu d’une troisième façon : au moyen d’une stimulation mentale (corticale), lorsque l’imagination excite le cerveau, qui à son tour stimule les corpuscules génitaux pour aboutir à l’orgasme.

Les femmes qui disent avoir un orgasme vaginal

Confusion. – Par ignorance de leur propre anatomie, il est des femmes qui acceptent l’idée qu’un orgasme ressenti durant le rapport « normal » est d’origine vaginale. Cette confusion est due à deux facteurs : 1) l’incapacité de localiser le centre de l’orgasme ; 2) le désir de ces femmes de faire concorder leur expérience avec la conception/définition mâle de la normalité sexuelle. Tromperie. – La grande majorité des femmes qui affirment à leurs partenaires qu’elles jouissent avec eux truquent ; comme le dit Ti-Grace Aktinson : « get the job ». Dans un nouveau best-seller danois, J’accuse (traduit par moi), Mette Ejlersen se penche précisément sur ce phénomène très courant, qu’clle appelle « comédie sexuelle ». Cette comédie a de nombreux motifs. D’abord, la femme, est soumise à une très forte pression de la part de l’homme, qui place souvent très haut ses propres talents amoureux. Pour ne pas blesser sa vanité, la femme endosse le rôle qui lui est imparti et simule l’extase. Parmi les femmes danoises mentionnées, il en est qui, restées frigides, sont dégoûtées du sexe, et font semblant de jouir pour abréger le coït. D’autres reconnaissent qu’elles ont simulé l’orgasme vaginal pour s’attacher un homme. Dans l’un de ces cas, la femme feignit d’éprouver un orgasme vaginal et amena ainsi son partenaire à quitter sa femme qui, elle, s’avouait frigide. Elle fut obligée par la suite de continuer la duperie, car elle n’osait demander à son partenaire de stimuler son clitoris. De nombreuses autres femmes, ayant constaté que l’acte sexuel était surtout satisfaisant pour l’homme, et le plaisir qu’une femme y pouvait prendre un petit « extra » en supplément – ont simplement peur de revendiquer le droit à un plaisir égal. D’autres, assez fermes pour repousser le conseil d’un traitement psychiatrique, refusent de reconnaître leur frigidité. Elles ne veulent pas se sentir en faute, mais, ignorantes de leur propre physiologie, ne savent pas comment en sortir. Celles-là se trouvent dans un complet désarroi.

Un des résultats les plus révoltants et les plus désastreux de tout cet imbroglio fut peut-être que des femmes sexuellement saines furent persuadées qu’elles ne l’étaient pas. Si bien qu’elles étaient privées de plaisir et il fallait encore qu’elles en portent le blâme quand il n’y avait rien de leur fait.

Chercher la guérison d’une maladie qui n’existe pas peut amener une femme au dernier degré de la haine de soi et de l’insécurité. Car son analyste lui raconte que le seul et unique rôle qui lui revient dans la société mâle – rôle de femme -, elle n’est même pas capable de le remplir. Elle est placée en position d’accusée, devant l’absurdité, donnée comme une évidence, d’avoir à être encore plus femme, et surmonter son dépit de n’être pas un homme. Et celle-là c’est la meilleure, baby …

Pourquoi les hommes entretiennent le mythe

1 – Ils préfèrent la pénétration

Le meilleur stimulant pour le pénis est le vagin. Il fournit le frottement et la lubrification nécessaires. D’un point de vue strictement physiologique, ce procédé offre les meilleures conditions de jouissance pour l’homme.

2 – La femme invisible

Une des composantes du chauvinisme mâle est le refus ou l’incapacité de voir la femme comme un être complet et autonome. Mieux, les hommes ont jugé préférable de définir strictement les femmes en fonction de leurs propres avantages. Sexuellement, la femme n’est pas perçue comme un individu désirant prendre part au plaisir à égalité, pas plus qu’elle ne l’est comme une personne douée de désirs autonomes lorsqu’elle veut exercer une quelconque activité dans la société. Il est donc aisé d’en décider selon la commodité. La société étant par-dessus tout au service des intérêts masculins, les femmes n’ont jamais reçu aucune formation susceptible de leur permettre même une opposition purement verbale face aux experts mâles.

3 – Le pinacle de la masculinité

Les hommes expriment leurs vies en termes de masculinité. C’est une exaltation de l’ego, commune à tous les hommes. L’essence du chauvinisme mâle ne tient pas aux services, matériels et économiques, que les femmes assurent : elle tient à sa « supériorité » psychologique. Une telle définition du moi, négative, et non fondée sur un accomplissement ou un développement de l’être, a évidemment aliéné aussi bien l’oppresseur que la victime. Mais des deux, la victime est de beaucoup la plus maltraitée. Il y a analogie avec le racisme, où le raciste blanc compense son sentiment de n’être rien en fabricant une image d’homme (c’est primitivement un affrontement mâle) noir, biologiquement inférieur à lui. Dans une organisation où le pouvoir appartient à l’homme blanc, il lui est permis de renforcer socialement cette division mythique.

Quand les hommes essaient de rationaliser et de justifier la supériorité mâle par une différenciation physique, la masculinité est symbolisée par le fait d’être le plus musclé, le plus poilu, d’avoir la voix la plus grave, et la plus grosse queue. Les femmes, elles, seront appréciées (i.e. dites féminines) si elles sont faibles, petites, glabres, ont la voix flûtée et pas de pénis.

Le clitoris étant à peu près identique au pénis, il se trouve, dans des sociétés diverses, beaucoup d’hommes qui essayent ou de l’ignorer et de privilégier le vagin (comme le dit Freud), ou, comme dans certains pays du Moyen-Orient, qui pratiquent l’excision. Freud voyait dans ce rite ancien, encore pratiqué, un moyen de rendre la fille plus « féminine » en supprimant ce vestige majeur de sa masculinité. Notons aussi qu’un gros clitoris est considéré comme laid et masculin. Certaines traditions conseillent de verser un produit dessus pour le réduire à une dimension décente.

En vérité, il est clair pour moi que les hommes craignent le clitoris comme une menace pour leur masculinité.

4 – L’homme sexuellement facultatif

Si le clitoris détrône le vagin comme centre de la jouissance féminine, les hommes peuvent craindre de cesser d’être sexuellement indispensables. En fait, si l’on considère seulement l’anatomie, c’est tout ce qu’il y a de plus vraisemblable. La position du pénis à l’intérieur du vagin, bien que parfaite pour la reproduction, ne provoque pas nécessairement un orgasme chez les femmes, parce que le clitoris est situé dehors et plus haut. Dans la position « normale », les femmes ne peuvent compter que sur une stimulation indirecte. Les relations saphiques représentent un exemple, reposant sur des données anatomiques, de l’inutilité de l’organe mâle. Albert Ellis dit à peu près qu’un homme sans pénis peut être un excellent amant pour une femme. Sur un plan purement physique, le vagin est hautement désirable pour un homme et on commence à entrevoir quel sale coup pourrait leur porter la pleine reconnaissance du clitoris. Et nous voilà nous-mêmes forcées d’écarter bien des arguments « physiques » expliquant les raisons pour lesquelles les femmes ont des rapports avec les hommes. Il me semble que ce sont d’abord des raisons psychologiques qui poussent les femmes à prendre des hommes comme partenaires sexuels, et non des femmes.

5 – Femmes rigoureusement contrôlées

On invoque comme motif de l’excision pratiquée au Moyen-Orient ; la nécessité de préserver les femmes de la perdition. En supprimant l’organe de l’orgasme, on est assuré que ses débordements sexuels seront amoin­dris. Quand on sait combien les hommes considèrent leurs femmes comme leur propriété, spécialement dans les nations où le poids de la tradition est grand, on commence à bien comprendre pourquoi les hommes n’ont pas inté­rêt à laisser les femmes courir librement. Le « double standard », pratiqué par exemple en Amérique latine, est destiné à maintenir la femme comme propriété absolue de l’homme tandis que ce dernier est libre d’avoir toutes les aventures qu’il désire.

6 – Saphisme et bisexualité.

A côté des raisons strictement anatomiques qu’ont les femmes de cher­cher également d’autres femmes pour faire l’amour, il existe chez les hom­mes une crainte que les femmes se mettent à rechercher, dans la compagnie des autres femmes, des relations complètes et réellement humaines. La pro­motion de l’orgasme clitoridien serait une menace pour l’institution hétéro­sexuelle. Car montrer que le plaisir sexuel peut être atteint avec d’autres hommes ou femmes ferait de l’hétérosexualité non un absolu, mais une op­tion. Ainsi serait posée au-delà du présent système féminin-masculin la ques­tion entière de relations sexuelles humaines.]

Publié dans le n° 54-55 de la revue française Partisans, « Libération des femmes. Année zéro ».
Anne Koedt a fondé le Mouvement féministe radical à New York (NY Ra­dical Women, The Feminists, NY Radical Feminists), publie « Notes » , et travaille actuellement à un ouvrage traitant de la sexualité féminine.
Source : Alternative libertaire.
Publié le 24 janvier 2008 par Commission Antipatriarcat

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Ce que je retiens:
…[ Les femmes ont donc été définies sexuellement en fonction de ce qui fait jouir les hommes :

Il nous faut donc définir notre sexualité.

M. Rieff dit : ‘Pour Freud, l’analyse ne peut éveiller chez les femmes des forces pour réussir et s’ac­complir, mais seulement leur enseigner une résignation raisonnable.’ »

Le sentiment que les femmes étaient inférieures et secondaires fut donc le fondement des théories de Freud sur la sexualité féminine.

Nous vivons dans une société mâle, où le rôle des femmes demeure inchangé

Le clitoris n’a donc d’autre fonction que le plaisir sexuel
Le vagin. – Sa fonction est rattachée à la fonction de reproduction

« Compte tenu des moyens d’excitation employés pour amener l’individu au stade de la jouissance, la sensation est perçue au niveau des corpuscules génitaux et localisée là où ils sont stimulés : à l’extrémité du clitoris ou du pénis. » (Kelly.)

L’homme sexuellement facultatif:
Si le clitoris détrône le vagin comme centre de la jouissance féminine, les hommes peuvent craindre de cesser d’être sexuellement indispensables. En fait, si l’on considère seulement l’anatomie, c’est tout ce qu’il y a de plus vraisemblable .La position du pénis à l’intérieur du vagin, bien que parfaite pour la reproduction, ne provoque pas nécessairement un orgasme chez les femmes, parce que le clitoris est situé dehors et plus haut.

Le clitoris étant à peu près identique au pénis, il se trouve, dans des sociétés diverses, beaucoup d’hommes qui essayent ou de l’ignorer et de privilégier le vagin

Les hommes expriment leurs vies en termes de masculinité

En vérité, il est clair pour moi que les hommes craignent le clitoris comme une menace pour leur masculinité ] …

EN CONCLUSION ? Il existe des mecs qui ne zappent pas cette EVIDENCE féminine, quand « ça » ne « marche » pas: ils font JOUIR leur partenaire(JOUIR, pas seulement les exciter!).
Ensuite, ils jouissent EUX* ! Ou en même temps « hors champ », pour les plus excités par le spectacle en 3D, ou pour les plus « impatients » 😉 ! ( *Les femmes etant dotees d’orgasmes multiples, pourront re-jouir AVEC eux)…
PROBLEME ? Le conditionnement des… Nanas à reformater! Dur dur!
Mission impossible ?

PS- J’allais oublier: « montrer que le plaisir sexuel peut être atteint avec d’autres hommes ou femmes ferait de l’hétérosexualité non un absolu, mais une op­tion. Ainsi serait posée au-delà du présent système féminin-masculin la ques­tion entière de relations sexuelles humaines. »

Pour MOI, relations sexuelles…HU-MAINES ?
-Homosexualite ? Oui!
-Adeptes de pornographie? Non!
-Clients de prostitution? Non!
-Viols « consentis » de la compagne? Non!
-« Double standart »? Non!
-Sans un minimum d’estime, j’allais dire de…Respect… mutuel? Non!…

" Complexe et fascinante "…

le couple Cathédrale de Violences(Monotype).

 » La perception de la violence conjugale selon que l’on est une femme ou un homme.
(Claire Chamberland, Sophie Léveillé et Rosanna Baraldi)

…Ce feuillet d’information résume quelques-uns des résultats d’une recherche novatrice réalisée au Québec sur la façon dont les femmes et les hommes perçoivent la violence familiale…

Les liens potentiels entre la perception et le comportement suscitent bon nombre de questions tant complexes que fascinantes. Un des sujets qui intéressent les chercheurs est la relation entre les comportements liés à la violence conjugale et la perception de la violence, tant chez les agresseurs que les victimes.

Objectif

L’objectif de la recherche était de mieux comprendre les façons dont les femmes et les hommes reconnaissent, définissent, tolèrent et expliquent la violence conjugale à la lumière de leurs antécédents de violence.

Participants

Trois groupes de femmes et d’hommes ont participé à la recherche. Ces groupes ont été tirés d’un échantillon de personnes ayant signalé avoir vécu diverses expériences de
violence conjugale. Un total de 83 hommes et de 98 femmes ont participé à l’étude.

Composition des groupes d’hommes :

1. Des hommes qui ont récemment fait usage de violence physique et qui recevaient, au moment de l’étude, de la thérapie pour réduire leurs comportements violents;
2. Des hommes qui ont fait usage de violence physique par le passé, ont effectué une thérapie et qui ne sont plus violents;
3. Des hommes tirés de la population en général qui n’ont jamais fait usage de violence physique.

Composition des groupes de femmes :

1. Des femmes ayant récemment été victimes de violence physique qui vivaient dans un refuge pour femmes victimes de violence au moment de l’étude et recevaient du counselling;
2. Des femmes ayant été victimes par le passé de violence physique, qui ont déjà vécu dans un refuge et qui ne sont plus victimes de violence physique;
3. Des femmes tirées de la population en général qui n’ont jamais vécu dans un refuge.

Procédure

Les chercheurs ont comparé les perceptions liées à la violence conjugale à l’aide de questionnaires fiables et d’un nouvel outil audiovisuel,Évaluation de la violence parmodalité audiovisuelle (ÉVA).

L’ÉVA est un instrument audiovisuel à deux volets qui permet d’observer comment des hommes et des femmes identifient et évaluent la sévérité de comportements violents. Le volet reconnaissance de l’ÉVA est composé de six courts films. Chaque film met en scène des acteurs qui interprètent une situation où une femme et son conjoint
vivent un conflit. Les participants à l’étude devaient identifier des comportements .
Qu’est-ce que la violence conjugale?

La violence conjugale porte plusieurs noms, y compris la violence à l’égard des femmes dans les relations intimes, labrutalité conjugale et la violence familiale. Il ne s’agit pas d’un unique comportement, mais d’habitudes comportementales adoptées par un actuel ou ancien partenaire intime pouvant être de nature physique, sexuelle et/ou psychologique.

Dans le cadre de cette étude, la violence conjugale a été définie comme soit de la violence physique, où des sévices
physiques sont commis sur une conjointe, soit de la violence psychologique. La violence psychologique a été divisée en deux
sous-groupes :

: les sévices émotionnels, où un partenaire dénigre, blâme ou cause des torts psychologiques à son conjoint;
: la domination, où un des partenaires fait usage d’une influence négative sur son conjoint pour obtenir de l’obéissance ou de la dépendance, ou isole le conjoint des membres de sa famille et de sa communauté.
Ce feuillet d’information résume quelques-uns des résultats d’une recherche novatrice réalisée au Québec sur la façon dont les femmes et les hommes perçoivent la violence familiale. violence physique ou à de la violence psychologique. Un score élevé à l’ÉVA-Reconnaissance indique une bonne reconnaissance des comportements violents. Le volet sévérité de l’ÉVA est composé de 36 extraits de films qui mettent en scène des comportements violents et des comportements non violents. Les participants devaient évaluer sur une échelle de 1 à 6 la gravité du comportement. Plus le score à l’ÉVA-Sévérité est élevé, plus la personne juge les comportements observés comme de la violence sévère On a demandé aux participants d’évaluer diverses formes de comportements violents dans un contexte
conjugal. Ils ont visionné des extraits où ont été mises en scène 10 situations de violence physique et 20 situations de violence psychologique, dont 10 comportant des sévices émotionnels et 10 des formes de domination.

Comment les femmes perçoivent-elles la violence conjugale?

Les recherches antérieures ont démontré que les femmes ayant une probabilité élevée de vivre une relation intime violente, et d’y demeurer, ont une attitude tolérante à l’égard de la violence, une faible estime de soi, des idées traditionnelles sur les rôles assignés à chacun des sexes, un engagement intense et un attachement excessif. Ces facteurs sont également associés à un risque élevé de se retrouver seul et pauvre. Les résultats de cette étude ont confirmé quelques uns de ces facteurs, notamment

: Toutes les femmes de l’étude ont reconnu les comportements associés à la violence physique plus facilement que ceux associés à la violence psychologique;
: La violence physique a été évaluée comme étant plus grave que les formes de domination, et la domination plus grave que la violence émotionnelle;
: Les femmes ayant récemment été victimes de violence conjugale qui vivaient dans un refuge étaient moins critiques dans leur évaluation des comportements de violence physique (c.-à.-d.,elles étaient plus tolérantes face à la violence Les concepts utilisés dans la perception de la violence.

Nous avons tendance à nous fier à des idées préconçues de la violence pour juger de la gravité d’un comportement violent. Par exemple, avec une conception étroite de la violence, il serait « acceptable » de dire à un enfant que « vous souhaitez vous en débarrasser », puisqu’il « ne s’agit que de mots ». Les personnes ayant une conception étroite de la violence peuvent être incapables de reconnaître que ce genre d’affirmation consiste en de la violence psychologique ou peuvent être réticentes à l’avouer.

L’attitude d’une personne à l’égard de la violence est liée à son niveau de tolérance des comportements violents. Quelqu’un ayant une attitude tolérante envers la violence peut, par exemple, considérer « qu’une bonne tape sur les fesses ne peut pas faire du tort ».

On entend par attribution d’une intention, les façons dont une personne s’explique les causes de son comportement, les comportements des autres ou des facteurs externes. Dans les situations de violence conjugale, l’agresseur a souvent tendance à blâmer quelqu’un d’autre. Par exemple, un agresseur peut croire que sa femme « l’a délibérément rendu à bout » ou qu’un enfant « a mérité de se faire secouer ». Il attribue donc l’intention aux victimes, ce qui lui permet de justifier son comportement et de les blâmer pour la violence exercée.

-que les femmes n’étant plus victimes de violence et les femmes ayant récemment été victimes de violence conjugale qui vivaient dans un refuge avaient généralement tendance à évaluer moins sévèrement la violence émotionnelle que les femmes qui n’étaient plus victimes de violence.
Un phénomène inquiétant a été observé chez les femmes qui avaient vécu dans un refuge et qui étaient toujours victimes de violence conjugale. Quelques-unes ne semblaient pas être conscientes de
l’impact négatif de la violence conjugale sur leur vie. Même si, en principe, elles reconnaissaient les risques associés au fait de retourner vivre avec leur conjoint violent, en pratique, elles n’entrevoyaient pas ces risques comme étant applicables à elles-mêmes.

Comment les hommes perçoivent-ils la violence conjugale?

Des recherches antérieures ont démontré que la thérapie cognitive peut être très efficace dans la réduction des comportements violents chez les hommes. Habituellement, les hommes violents minimisent la gravité d’un comportement violent en le tolérant, en le justifiant, en y trouvant des prétextes ou en blâmant leur conjoint.

Les approches thérapeutiques les plus efficaces permettent aux hommes de :
: reconnaître les diverses formes physiques et psychologiques de la violence; reconnaître leurs propres comportements violents;
: reconnaître que la violence est une violation de pouvoir et un instrument de contrôle; diminuer leurs comportements violents;
: prendre la responsabilité de leurs comportements violents; apprendre des solutions de rechange à la violence, telles que l’amélioration des habiletés de communication;
: apprendre à respecter leurs conjointes;
: acquérir une gamme complète d’habiletés sociales.
Les recherches antérieures ont également démontré que les hommes violents qui participent à une thérapie cognitive ont moins tendance à récidiver que les hommes violents n’ayant pas reçu de traitement. Les résultats de la présente recherche appuient globalement cette conclusion.

Dans la présente étude, un échantillon d’hommes ayant été violents par le passé a reçu de la thérapie cognitive dans le cadre de leur rééducation. Ce groupe a été comparé à un groupe d’hommes de la population en général qui n’a jamais été violent et à un groupe d’hommes ayant récemment agressé leurs conjointes.
L’analyse des perceptions de ces trois groupes d’hommes a révélé ce qui suit

: Règle générale, les hommes ont reconnu les comportements associés à la violence physique plus facilement que ceux associés à la violence psychologique;
: Les hommes ont évalué plus sévèrement la violence physique que les formes de domination, et ils ont évalué la domination plus sévèrement que les formes de violence émotionnelle;
: Les hommes ne faisant plus usage de violence qui ont effectué de la thérapie pour de la violence conjugale ont mieux réussi à identifier les comportements violents que les agresseurs qui commençaient à suivre une thérapie et que les hommes de la population en général;
: Les hommes ne faisant plus usage de violence qui ont effectué de la thérapie ont davantage reconnu un phénomène négligé mais dangereux : la violence psychologique.

Pour plusieurs, la violence conjugale est synonyme de violence physique. En réalité, la violence physique est habituellement précédée d’une forme très destructrice de violence psychologique visant à humilier, à dénigrer, à blâmer et à faire de la peine à une personne. La violence psychologique comprend également les comportements dominateurs où l’agresseur tente de contrôler son conjoint ou de l’isoler de sa famille et de ses amis.

Plusieurs chercheurs avancent que l’impact de la violence psychologique peut être plus grave que la violence physique. Pour les hommes, cette forme de violence détruit, blesse, décourage, provoque le doute de soi et peut même mener au suicide. Pour les femmes, leur identité profonde en est ébranlée, de même que leur estime de soi.

Comparativement à la violence physique, les chercheurs s’entendent moins sur ce qui constitue de la violence psychologique. De manière générale, tant les femmes que les hommes ont signalé vivre et infliger plus de violence psychologique que physique.
la violence psychologique que les autres groupes d’hommes, de même que l’ensemble des femmes;

: Les hommes ne faisant plus usage de violence qui ont effectué de la thérapie ont évalué plus sévèrement toutes les formes de comportement violent mises en scène dans la vidéo, comparativement aux autres groupes d’hommes; Les hommes ne faisant plus usage de violence qui ont effectué de la thérapie ont identifié plus facilement la violence psychologique que les agresseurs qui commençaient une thérapie et que les hommes tirés de la population en général; Dans l’échantillon d’hommes violents qui commençaient une thérapie, le plus les hommes étaient physiquement violents, le moins ils étaient en mesure d’identifier les comportements violents, et ils les évaluaient comme étant moins graves.
La violence physique plus facilement identifiée que la violence psychologique chez les deux sexes

D’autres résultats de l’étude démontrent que les deux sexes partagent des perceptions similaires quant à la violence physique.

:La violence physique a été la forme de violence la plus identifiée par les hommes et les femmes; Autant les hommes que les femmes ont considéré la violence physique comme étant plus grave que la violence psychologique. Les deux sexes diffèrent toutefois dans leur évaluation de la violence psychologique, les femmes l’ayant considérée plus grave que les hommes.

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Au sujet des auteures : Claire Chamberland est professeure à l’École de service social de l’Université de Montréal et codirectrice du Centre d’excellence pour la protection et le bien-être des enfants. Sophie Léveille est coordonnatrice scientifique au Centre d’excellence pour la protection et le bien-être des enfants. Rosanna Baraldi est rattachée à la Direction Santé Québec, Institut de la statistique du Québec.

Le Centre d’excellence pour la protection et le bien-être des enfants (CEPB) est l’un des Centres d’excellence pour le bien-être des enfants financés par l’Agence de santé publique du Canada. Les opinions exprimées dans le présent document ne sont pas nécessairement conformes à la politique officielle des organismes qui financent le CEPB.  »

Lien http://www.cecw-cepb.ca

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« L’objectif de la recherche était de mieux comprendre les façons dont les femmes et les hommes reconnaissent, définissent, tolèrent et expliquent la violence conjugale à la lumière de leurs antécédents de violence. »

… à la lumière de leurs antécédents de violence !!!!

"Notre poison quotidien"…

Poison quotidien Mort de poison quotidien !
« J’ai le plaisir de vous informer que mon film « Notre poison quotidien « sera diffusé le : 15 mars sur ARTE, à 20 heures 40.
…Et pour illustrer et vous couper l’appétit : la « Recette de la tarte aux cerises »
Voici, la liste des produits chimiques utilisés pour la fabrication d’une tarte aux cerises de supermarché, depuis le champ de blé jusqu’à l’usine agro-alimentaire. Bon appétit!

Histoire de la Pâte
Pour obtenir la farine, les grains de blé ont été enrobés d’un fongicide avant semis.Pendant sa culture, le blé a reçu de 2 à 6 traitements de pesticides selon les années, 1 traitement aux hormones pour raccourcir les tiges afin d’éviter la verse et 1 dose importante d’engrais: 240 kg d’azote, 100 kg de phosphore et 100 kg de potassium à l’hectare, tout de même !Le blé moissonné, dans le silo, après récolte, les grains sont fumigés au tétrachlorure de carbone et au bisulfide de carbone, puis arrosés au chlopyriphosméthyl.Pour la mouture,La farine reçoit du chlorure de nitrosyl, puis de l’acide ascorbique, de la farine de fève, du gluten et de l’amylase.Ensuite, il faut faire lever la pâte. La poudre levante est traitée au silicate de calcium et l’amidon est blanchi au permanganate de potassium.Pas de pâte sans corps gras. Ceux-ci reçoivent un antioxydant (pour éviter le rancissement) comme l’hydroxytoluène de butyl et un émulsifiant type lécithine.

Histoire de la Crème
La crème sur laquelle vont reposer les cerises se fait avec des oeufs, du lait, et même de l’huile.* Les oeufs proviennent d’un élevage industriel où les poules sont nourries avec des granulés contenant des : – antioxydants (E300 à E311),- arômes,- émulsifiants: alginate de calcium,- conservateurs : acide formique,- colorants : capsanthéine,- agents liants: lignosulfate- et enfin des appétants : glutamate de sodium, pour qu’elles puissent avaler tout ça. Elles reçoivent aussi des antibiotiques, bien entendu, et surtout des anticoccidiens. Les oeufs, avant séchage, reçoivent des émulsifiants, des agents actifs de surface comme l’acide cholique et une enzyme pour retirer le sucre du blanc.* Le lait provient d’un élevage industriel où les vaches reçoivent une alimentation riche en produits chimiques :- antibiotiques : flavophospholipol (F712) ou monensin-sodium (F714)- antioxydants : ascorbate de sodium (F301), alphatocophérol de synthèse (F307), buthyl-hydrox-toluène (F321) ou éthoxyquine (E324),- émulsifiants : alginate de propylène-glycol (F405) ou polyéthylène glycol (F496),- conservateurs : acide acétique, acide tartrique (E334), acide propionique (F280) et ses dérivés (F281 à E284),- composés azotés chimiques : urée (F801) ou diurédo-isobutane (F803),- agents liants : stéarate de sodium,- colorants : F131 ou F142- et enfin des appétants pour que les vaches puissent manger tout ça, comme le glutamate de sodium.* Les huiles, quant à elles, ont été :- extraites par des solvants comme l’acétone,- puis raffinées par action de l’acide sulfurique,- puis lavage à chaud,- neutralisées à la lessive de soude,- décolorées au bioxyde de chlore ou au bichromate de potassium- et désodorisées à 160°C avec du chlorure de zinc.- Enfin, elles ont été recolorées à la curcumine.La crème de la tarte, une fois fabriquée, reçoit des arômes et des stabilisants comme l’acide alginique (E400).

Histoire des Cerises(complété d’après des éléments de « Aromathérapie » Jean Valnet 1990, Maloine)
Les cerisiers ont reçu pendant la saison entre 10 et 40 traitements de pesticides selon les années.* Les cerises sont :- Décolorées à l’anhydride sulfureux- et recolorées de façon uniforme à l’acide carminique ou à l’érythrosine.- Elles sont plongées dans une saumure contenant du sulfate d’aluminium- et à la sortie, reçoivent un conservateur comme le sorbate de potassium (E202).Elles sont enfin enduites d’un sucre qui provient de betteraves qui, comme les blés, ont reçu leur bonne dose d’engrais et de pesticides. Ce sucre est extrait par :- défécation à la chaux et à l’anhydride sulfureux,- puis décoloré au sulfoxylate de sodium,- puis raffiné au norite et à l’alcool isopropylique.- Il est enfin azuré au bleu anthraquinonique.Par ces traitements, les cerises ayant donc perdu tout leur goût, il est nécessaire d’ajouter un parfum artificiel alimentaire. Ce parfum est une recréation synthétique du goût et de l’odeur à partir d’éléments artificiels issus de la chimie du pétrole aux prix de revient extrêmement faibles- par économie d’échelle – en comparaison du parfum naturel de fruit.L’exemple développé est ici la cerise, mais de tels composés servent à recréer aussi bien des parfums artificiels de fraise, d’ananas, de framboise, de miel, de caramel, de muguet.. etc.* Le parfum artificiel de cerise se compose donc des molécules synthétiques (donc à la stéréochimie inversée) suivantes :- Acétate d’éthyle- Acéthyl méthylcarbinol.- Butyrate d’isoamyle- Caproate d’éthyle- Caprylate d’isoamyle- Caprate d’ethyle- Butyrate de terpenyle- Géraniol- Butyrate de geranyl – acetylacetate d’ethyle- Héptanoate d’éthyle- Aldéhyde benzoïque- Aldéhyde p-toluique- Vanilline- Essence artificielle d’amande amère SAP- Essence artificielle de girofle Bourbon- Essence artificielle de cannelle Ceylan- Essence de lie de vin.

Ce texte, consacré à « la tarte aux cerises de supermarché » a été rédigé par Claude Bourguignon, un ingénieur agronome qui travailla à l’INRA, avant de quitter l’honorable maison pour cause de désaccord. Spécialiste de la microbiologie des sols, c’est lui qui démontra, pour la première fois, que les sols cultivés à grand renfort d’engrais chimiques et de pesticides, étaient biologiquement … morts. Tout ce qui fait la vie, et donc la qualité des terres, à savoir les populations microbiennes et fongiques, est détruit par les produits chimiques, conduisant à une perte des nutriments et à l’érosion des sols. Membre de la Société américaine de microbiologie – En France, il n’ y a plus aucune chaire de microbiologie des sols, y compris à l’INRA! – Claude Bourguignon a créé avec sa femme le Laboratoire d’analyse microbiologique des sols, qui intervient dans de nombreux pays, pour aider les agriculteurs à retrouver la fertilité de leurs sols.
le : 15 mars sur ARTE, à 20 heures 40. Le même jour mon livre éponyme sera dans les librairies ainsi que le DVD. »

Source et des infos http://robin.blog.arte.tv/category/notre-poison-quotidien/ Marie-Monique robin

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Et AUCUNS comptes à rendre à qui que ce soit !

Un AUTRE Monde…Sans AUCUNE forme de dictature ?

Vidéo reçue par mail, ce jour; époustouflante de… »réalisme » !!!

A voir absolument par ceux qui ne l’ont pas vue passer!

On y pense un bon moment après l’avoir visionnée…

Too much!

Bravo aux concepteurs ! Il en faudrait d’autres.

Dont une sur…La « Dictature du machisme » !

Sur le site: « Parodie du film « La Chute » montrant le monde après la victoire du peuple. C’est en effet aussi simple que çà. La DÉSOBÉISSANCE a apporté la victoire au peuple. Leur pouvoir ne tient qu’à un fil. Car si nous ne nous laissons plus gouverner, ils ne gouvernent plus rien. »

En effet: si nous ne laissons plus des MECS (politiques, religieux, compagnons, frères, pères, oncles…)formater la vie des FEMMES pour leur bon plaisir (ménager, sexuel, reproductif, dominatif…) ils ne gouverneront plus RIEN…

Même plus… »EUX »-mêmes !!!

Vidéo publiée par « On sait ce que l’on veut qu’on sache ».

Lien http://www.facebook.com/video/video.php?v=153941754645608

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La parodie? Tout est dit !

Violences gratuites ?

Vidéo reçue par mail: pourquoi me fait-elle penser aux « méthodes » de certains mecs avec leurs compagnes…

« La raison du plus « fort » est TOUJOURS la meilleure ?

Qu’importent les moyens utilisés ?

Écouter l’autre, discuter, expliquer, rassurer, faire des compromis, trouver ENSEMBLE une solution ?

Non!

Avoir raison, faire respecter la loi à TOUS prix; SA loi ?

« ILS » ont apparemment « gagné »!

En REALITE le « fossé » entre les forces de l’ordre et le peuple s’est ENCORE agrandi!

Sans oublier celui avec les « commanditaires » de l’intervention musclée: l’Etat dirigé par M. Sarkozy!

La vidéo: 3min40

Manipulation millénaire…

Depuis la femme de Cro-Magnon !
L'empreinte du père(Monotype).

Ni muses ni soumises ! !
Par Nicolas Mikailoff

 » La malédiction dont souffrent les femmes artistes a assez duré. Transparentes… ou presque, elles ont trop longtemps fait de la FIGURATION…

…Est-ce un rapt, une illusion d’optique, pire, une manipulation qui dure depuis des millénaires, depuis que le premier être humain, peut-être une femme de Cro-Magnon, eut l’idée de donner une forme à une pensée sur le mur d’une caverne ? Les artistes femmes sont transparentes. Ouvrez un livre d’histoire de l’art. Entrez dans un musée. Interrogez votre mémoire. Les grandes créatrices sont aussi peu visibles que les étoiles du ciel quand le soleil est au zénith. Pourtant, elles sont bien là, cachées derrière les colosses masculins du panthéon des arts. Tout au long de l’Histoire, elles ont peint, sculpté, inventé, dans une plus grande précarité, mais avec la même énergie que les hommes : Rosalba Carriera, Élisabeth Vigée-Lebrun, Angelica Kauffman, Berthe Morizot, Suzanne Valadon, Romaine Brooks, Natalia Gontcharova, Sophie Taeuber-Arp, Niki de Saint-Phalle, Aurélie Nemours, Annette Messager, Joan Mitchell, on en passe… Pourquoi leurs noms ne s’impriment-ils pas avec évidence dans la mémoire collective ? »…
Source le Figaro.fr
Lien pour lire tout l’article http://www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2008/11/22/01006-20081122ARTFIG00016–pie-xii-le-jugement-de-l-histoire-.php

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… » peut-être une femme de Cro-Magnon, eut l’idée de donner une forme à une pensée sur le mur d’une caverne ? »

Pas « peut-être », c’est CERTAIN !!!

Mais, encore une fois un mâle en est « proclamé » l’auteur, d’office!!!

C’est…  » un rapt, une illusion d’optique, pire, une manipulation (entre beaucoup d’autres!), qui dure depuis des millénaires, depuis le premier être humain.  »

Ainsi va le monde des femmes

PS- l’article est écrit par un mec…

DES nanas, quant à elles, ne trouvent rien à redire de cette discrimination négative, ni de toutes celles véhiculées par des sociétés* et par TOUTES les religions ** (normal: formatées* et inventées **…Par des mecs) :

« Que veux-tu, le monde a toujours été comme cela! »

…Emigrer sur une autre planète ?

Ou à : Tingy Tanàna, le Village des Vagins !!!

Briser son" destin" de femme…

couleurs de femme

« Ce que je sais de Vera Candida » de Véronique Ovaldé- Ed. L’Olivier.
 » Quelque part dans une Amérique du Sud imaginaire, trois femmes d’une même lignée semblent promises au même destin : enfanter une fille et ne pouvoir jamais révéler le nom du père. Elles se nomment rose, violette et vera candida. Elles sont toutes éprises de liberté mais enclines à la mélancolie, téméraires mais sujettes aux fatalités propres à leur sexe. Parmi elles, seule vera candida ose penser qu’un destin, cela se brise. Elle fuit l’île de vatapuna dès sa quinzième année et part pour lahomeria, où elle rêve d’une vie sans passé. Un certain itxaga, journaliste à l’indépendant, va grandement bouleverser cet espoir. Un ton d’une vitalité inouïe, un rythme proprement effréné et une écriture enchantée. C’est ce qu’il fallait pour donner à cette fable la portée d’une histoire universelle : l’histoire des femmes avec leurs hommes, des femmes avec leurs enfants. L’histoire de l’amour en somme, déplacée dans l’univers d’un conte tropical, où véronique ovaldé a rassemblé tous les thèmes – et les êtres – qui lui sont chers. « (Mot de l’éditeur ).
« Ce que je sais de Vera Candida » de Véronique Ovaldé- Ed. L’Olivier.
Source filigranes TV

Vidéo:

Filigranes.tv, Véronique Ovaldé, Ce que je sais de Vera Candida, L’Olivier from Filigranes Tv on Vimeo.

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Briser son « destin » de femme

TOUJOURS possible:

Just DO IT !
Le « prix à payer » sera FINALEMENT moins « cher » que celle d’une vie au rabais( on n’en a qu’une!), décidée à NOTRE place, par des…Mecs manipulant les sociétés, les religions, les traditions…

Destin assumé SANS maternité…

Maternité

Docu-Auteur : ISABELLE MOEGLIN
« La libéralisation de la contraception et de l’avortement, la maîtrise de la fécondité sont le fondement même de l’émancipation des femmes. Leur identité n’est plus aujourd’hui fondée exclusivement sur la maternité et l’enfantement et ne se résume plus à une fonction biologique qui façonne et détermine leur existence.

Elles sont belles et bien dans leurs baskets. Célibataires ou en couple, elles ont dépassé la quarantaine, l’âge fatidique où le tic-tac de l’horloge biologique s’insinue dans l’esprit des femmes, quelles qu’elles soient et quoi qu’elles aient accompli au cours de leur existence.

Mais alors que certaines ont trouvé leur bonheur dans la voie toute tracée de la maternité, ou concilient vie professionnelle et familiale, d’autres, comme Edith, Cathy, Claudine ou Malika, s’épanouissent sans enfant.

Aléas de la vie, réflexion lentement mûrie, absence de désir maternel, qu’est-ce qui a déterminé leur choix ? La réalisatrice Isabelle Moeglin leur donne la parole…
Auteur : ISABELLE MOEGLIN
Durée du docu : 51 minutes

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Destins de femmes, sans enfant

« Contre-nature, égoïste, sans cœur, frustrée, incomplète », tout a été dit sur les femmes sans enfant. Elles ne représentent que 10 % des femmes de plus de trente ans, et pourtant leur originalité intrigue et gêne la société. …

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Choisir SON destin de femme et non pas SUBIR les diktats des sociétés et des religions…

Moi? J’ai CHOISI d’avoir 7 petits 😉 [J’interrompais provisoirement la pilule].

CHACUNE doit choisir SA vie…

Liens entre viols et pornographie…

(A partir de l’analyse des appels reçus par le CFCV )
… »La pornographie est une violence:

Les récits mettent en évidence l’objectif des agresseurs : au-delà de la violence sexuelle, il s’agit d’humilier la victime afin de l’anéantir moralement et de s’assurer de son silence. Dans ce que rapportent les victimes, on peut relever différents éléments montrant comment la pornographie vient fournir une base à la volonté de dégrader l’autre :

Les vêtements, les tenues imposés par l’agresseur à la victime et matérialisant la soumission (cuissardes, jarretelles)

Les prénoms qu’ils leur donnent en référence aux productions pornographiques

La pratique spécifiquement dégradante et typique de la pornographie, ou comment l’agresseur leur fait subir fellation- sodomie- éjaculation faciale

Les menaces d’agressions sexuelles à plusieurs et les viols en réunion (« je vais te faire prendre par plusieurs mecs »- bulle 1) ;

Les actes de barbarie : toujours dans le même sens, des actes douloureux des agresseurs sur leur victime : pénétrations sexuelles par des animaux (bulles 4- 33), introduction d’objets « gros si possible » (bulle 25) ;

Les insultes (« pute », « salope »- et les humiliations (cracher sur la victime)

La possession et l’instrumentalisation du corps de la femme (« je l’aurai en premier »- bulle 27). A l’extrême, on voit que dans certains récits, l’agresseur recourt à l’alcool ou aux drogues pour réduire la victime à un corps sans volonté ni libre arbitre.

Les nombreuses violences associées : frapper ou fouetter la victime lui pincer les seins, la séquestrer, lui tirer les cheveux, arracher ses vêtements, lui donner des coups de poing, la harceler et la mettre sous pression, exhibition d’armes à feu, l’exploiter professionnellement, la jeter d’un pont où elle manque de se noyer , voire prostituer sa propre fille…
La violence sexuelle s’inscrit dans un contexte global de violences, et contrairement aux arguments des agresseurs, ces pratiques ne sont pas une forme déviante de sexualité, mais bien une violence.

Parce que la pornographie véhicule l’idée que les femmes aimeraient être dominées, la pornographie est une violence. Et un tel discours ne laisse aucune place à la reconnaissance du viol. Il vient même légitimer ce crime.

D’autre part, la fabrication de films pornographiques implique de facto que ces actes ont été infligés à une femme et donc qu’il existe une victime. »…

Dossier de l’CFCV(*Collectif féministe contre le viol).

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Définition de la pornographie
 » Les représentations pornographiques sont axées presque exclusivement sur les actes sexuels et les organes génitaux. Il peut s’agir d’images, de films, d’objets, d’enregistrements sonores, de productions ou de textes. Le dictionnaire définit la pornographie comme suit: «Représentation (par écrits, dessins, peintures, photos) de choses obscènes destinées à être communiquées au public» (Le Nouveau Petit Robert, 1996). La pornographie montre et décrit l’acte sexuel en le simplifiant, le vulgarisant et le détaillant à l’extrême. Les représentations pornographiques réduisent souvent les personnes à leur seule sexualité. Aussi importants qu’ils soient dans la vie réelle, les sentiments, le contexte et la relation unissant les partenaires de l’acte sexuel n’y sont absolument pas évoqués. La pornographie se distingue en cela des productions à contenu érotique.

En bref
– Presque exclusivement des actes sexuels et des organes génitaux
– Représentations très simplifiées et irréalistes des actes sexuels
– Absence de sentiments, de relations et de contexte »
Source Pro Juventus

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le Petit Robert parle de… « choses obscènes »
Beurk !!!

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« LES VIOLENCES MASCULINES A L’ENCONTRE DES FEMMES :
LA HONTE DOIT CHANGER DE CAMP ! »

Une é-vi-dence !!!