Mais premier pour les bombes?

Amnesty International :Taux de mortalité maternelle consternant…Aux États Unislundi 2 août 2010 par Catherine B
« Se plaçant au 41e rang mondial lorsqu’il s’agit de mesurer le risque de mortalité maternelle, derrière presque toutes les nations industrialisées, les États-Unis ne sont pas parvenus à inverser la tendance à la hausse constatée depuis 20 ans en matière de décès évitables liés à la maternité, et ce malgré les engagements qu’ils ont pris en ce sens.

Le texte enregistré…
Le 12 mars 2010, Amnesty International a appelé le président américain Barack Obama à faire face aux taux de mortalité maternelle et de complications liées à la grossesse, en forte hausse aux États Unis.

Dans un récent rapport, Amnesty International réclame que des mesures soient prises face à une crise qui coûte la vie à deux à trois femmes par jour dans le pays.

Au total, 1,7 million de femmes, ce qui représente un tiers de l’ensemble des femmes enceintes, souffrent chaque année de complications liées à la grossesse.

Ce phénomène touche particulièrement les femmes issues de minorités, les femmes vivant dans la pauvreté, les Amérindiennes, les immigrantes et celles qui parlent peu ou pas anglais.

Le bilan extraordinaire des États-Unis en matière de progrès de la médecine rend leur approche peu méthodique de la santé maternelle d’autant plus scandaleuse et indigne.

Une santé maternelle digne de ce nom ne doit pas être considérée comme un luxe réservé à celles qui peuvent accéder aux meilleurs hôpitaux et aux meilleurs médecins.

Se plaçant au 41e rang mondial lorsqu’il s’agit de mesurer le risque de mortalité maternelle, derrière presque toutes les nations industrialisées, les États-Unis ne sont pas parvenus à inverser la tendance à la hausse constatée depuis 20 ans en matière de décès évitables liés à la maternité, et ce malgré les engagements qu’ils ont pris en ce sens.

Pour en savoir plus…
Dans la bibliothèque http://www.amnesty.org, quelques documents dont celui-ci » …
Source Amnesty International.

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Existe-t-il un endroit sur Terre où les lois sont faites, uniquement PAR des FEMMES ?

Oui! Au « Pays sans père ni mari » (Chine)

Et à « Tingy-Tanana, le Village des Vagins », Nosy Komba (Mada)

" Les galères d’un touriste australien à la Réunion"…

4 août 2010 .
 » Sans voiture de location, bloqué à l’aéroport, perdu sur la route des Tamarins… Récit des mésaventures d’un touriste australien en vacances dans l’île.
La Réunion est inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. Chiche. Les touristes du monde entier vont rappliquer, attirés par la splendeur de nos sites naturels. C’est du moins le grand espoir des professionnels du secteur. Pas gagné, loin de là. Dans l’euphorie ambiante, les mésaventures vécues par un touriste australien renvoient notre île à ses lacunes en matière d’accueil. Jugez plutôt. Encouragé par un couple d’amis réunionnais résidant en Australie, Bill (*), un habitant de Sydney, a posé ses valises à la Réunion avec femme et enfant il y a une semaine. Ce chirurgien de son état, la soixantaine, est rompu aux voyages. Il compte plusieurs destinations à son actif. Ses amis lui ont conseillé de louer un véhicule pour découvrir l’île, son volcan, ses cirques, etc.
Une carte Gold ou rien
Premier réflexe, Bill se rend chez un loueur de voitures à l’Ermitage, situé à proximité d’un hôtel trois étoiles. Sur place, mauvaise surprise. “Désolé, on ne prend pas les permis étrangers”, lui fait-on savoir. Le permis de conduire australien diffère du modèle français. Le document ne mentionne pas de date de délivrance. Un problème pour le commerçant. “Je ne peux pas savoir si vous êtes un jeune conducteur. Ça ne passera pas vis-à-vis de notre assureur”, justifie ce dernier. L’Australien a pourtant 60 piges et n’a pas l’allure d’un délinquant routier. Désappointé, Bill frappe à la porte d’un autre loueur, du côté du port de Saint-Gilles-les-Bains. Même punition. On refuse de lui prêter une voiture, au motif qu’il ne dispose pas d’une carte bancaire Gold, qui prend en charge une assurance en cas d’accident. Bill tombe des nues. Il a beau discuter. Rien n’y fait. Le loueur, qui n’avait plus qu’un véhicule en stock (une Peugeot 106 à 45 euros par jour !), maintient son refus.
Direction Maurice
Échaudé, le touriste australien décide alors de prendre un billet d’avion… pour l’île Maurice. En deux jours, il boucle les réservations, le transfert. Son séjour, dans un hôtel quatre étoiles, se déroule sans couac. Sans les difficultés de langue qu’il a pu connaître chez nous. Au moment de rentrer à la Réunion, nouvelle embûche. Bill se retrouve bloqué par la police des frontières à l’aéroport Roland-Garros. Motif : son passeport n’a pas été cacheté lors de sa première arrivée en provenance Sydney. Il n’y est pour rien. L’oubli provient de l’agent qui était alors en poste. Quoi qu’il en soit, le collègue qui a constaté l’absence de cachet ne veut rien entendre. Et refuse de laisser Bill et sa famille entrer sur le territoire. L’agent de la PAF demande à l’infortuné voyageur de présenter son billet retour ou un certificat d’hébergement. Pas de bol, aucun de ces documents n’est en sa possession. L’embrouille dure plus d’une heure. Il faudra finalement l’intervention d’un supérieur hiérarchique pour débloquer la situation. Enfin libérée, la famille australienne n’est pas au bout de ses peines. Elle finit par récupérer une voiture de location à Gillot, par le biais d’une agence de voyage. Ayant réservé à l’avance, Bill pensait ne plus rien avoir à régler. Mais le loueur lui présente une facture d’une trentaine d’euros, au titre de la taxe aéroportuaire. Encore une mauvaise surprise. Direction Saint-Paul, le quartier de Plateau-Caillou. Il fait nuit et le touriste australien va se perdre sur la route des Tamarins. Les naufragés de Sydney seront récupérés “épuisés, paniqués, au bord de la route”, du côté de l’Eperon. Sympa le séjour ! Bill et sa famille ont hâte de reprendre l’avion pour l’Australie demain. L’homme a prévenu ses amis de Saint-Paul. On n’est pas prêt de le revoir à la Réunion.  »
V.B.
Source Clicanoo.

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Il faut relativiser : en voyage, plus qu’ailleurs, le pire est toujours possible!!!

A Mada : impossible de payer avec la Carte Gold, ni de retirer des sous (ils n’ont pas le terminal) !!! Le proprio du « Vanilla Hôtel » un dentiste réunionnais heureusement en vacances dans son hôtel à ce moment là, nous a proposé de lui faire un chèque …en Euro. De retour à ma case, j’ai été me faire faire une Carte BLEUE, en plus de l’autre!
A Mada, toujours : lors d’un voyage suivant, Monamoureux ne pouvait plus quitter Madagascar, l’employé de la PAF avait oublié de signer son visa à l’arrivée! Etc, etc…

A Maurice: Réservation de deux chambres au « Blue Lagoon », près de l’aéroport et d’une voiture Avis.
Arrivée à 1H du matin de l’Indonésie (heure normale de transit !):
-Bloqués à l’aéroport par les douaniers parce qu’ils pensaient qu’on faisait de la contrebande avec…Une petite radio achetée à l’aéroport de Singapour. Deux heures de perdues: nos trois enfants dormaient debout!!!
-L’hôtelier, tout gêné, nous avait réservé une…single (je pense que vue l’heure tardive de notre arrivée, il avait loué nos résa à d’autres touristes!)
– Voiture de location pourrie; en plus, le capot se soulevait de façon intempestive et nous empêchait de voir la route et donc de conduire ! ( Le préposé s’était barré après nous avoir indiqué son emplacement dans un parking de l’aéroport et remis les clefs!). Nous avons dormi en rase campagne entre des champs de canne à sucre en fleurs. Le thé sucré et vanillé mauricien, dégusté devant un petit snack au petit matin, reste l’un de mes meilleurs souvenirs…
– Pluie torrentielle la nuit suivante où nous avons dormi dans un « campement »; Toutes nos affaires laissées dans le coffre surnageaient…Devant mon intention de demander des comptes à sa maison-mère (photos à l’appui), le préposé d’Avis ne nous a pas fait payer les trois jours de location !

Et beaucoup d’autres « incidents », partout dans le monde…

Mais il y en a eu de merveilleux aussi…( des petites loupiotes multicolores s’allument dans mes yeux…)

MOI ? J’adoooore toujours voyager: en premier lieu, parce que les voyages forment la jeunesse, dit-on !!!

Elle aurait 157 ans…

Avec AFP, publié le 07/06/10

 » Le recensement mené ces dernières semaines en Indonésie a permis de « découvrir » une femme affirmant être âgée de 157 ans dans un petit village de l’île de Sumatra, a annoncé lundi 7 juin un responsable du Bureau des statistiques. Des agents recenseurs jugent envisageable que Turinah puisse être née en 1853, comme elle le leur a dit en mai, même si le seul être humain connu ayant vécu plus de 120 ans est la française Jeanne Calment, décédé en 1997 à 122 ans.

« Il n’y a pas de documents authentiques pour prouver son âge mais, sur la base de ses déclarations et en prenant en compte l’âge de sa fille adoptive, qui a 108 ans, il est difficile d’en douter », a déclaré Jhonny Sardjono, un responsable des services du recensement. Turinah continue de s’activer autour de la maison où elle habite et a fumé des cigarettes aux clous de girofle toute sa vie, a-t-il indiqué.

Une excellente mémoire et une bonne vue

« Malgré son âge, elle conserve une excellente mémoire, une bonne vue et n’a pas de problème d’audition. Elle parle néerlandais presque couramment », a ajouté le responsable. L’Indonésie a été une colonie néerlandaise pendant plusieurs siècles avant la guerre de 1939-45 suivie de l’indépendance.

Sardjono a indiqué que Turinah avait brûlé tous ses papiers d’identité en 1965 afin d’éviter d’être liée aux communistes, dont un grand nombre ont été massacrés après avoir été accusés d’avoir fomenté un coup d’Etat.

Une autre Indonésienne a affirmé aux agents recenseurs être âgée de 145 ans. »
Source l’Express .

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Chez moi on vit vieux mais on meurt… »encore jeunes »,à 94, 96, 98 ans, etc…

Qui vivra verra!!!

Scorpions – Still Loving You…

Still Loving You

Time, it needs time
To win back your love again.
I will be there, I will be there.

Love, only love
Can bring back your love someday.
I will be there, I will be there.

Fight, babe, I’ll fight
To win back your love again.
I will be there, I will be there.

Love, only love
Can break down the walls someday.
I will be there, I will be there.

If we’d go again
All the way from the start,
I would try to change
The things that killed our love.

Your pride has build a wall, so strong
That I can’t get through.
Is there really no chance
To start once again?
I’m loving you.

Try, baby try
To trust in my love again.
I will be there, I will be there.

Love, your love
Just shouldn’t be thrown away.
I will be there, I will be there.

If we’d go again
All the way from the start,
I would try to change
The things that killed our love.

Your pride has build a wall, so strong
That I can’t get through.
Is there really no chance
To start once again?

If we’d go again
All the way from the start,
I would try to change
The things that killed our love.

Yes I’ve hurt your pride, and I know
What you’ve been through.
You should give me a chance
This can’t be the end.

I’m still loving you.
I’m still loving you,
I need your love.
I’m still loving you.
Still loving you, baby…

Japon: 35 OOO femmes centenaires…

35 000 femmes centenaires au Japon

 » Quelque 40.399 personnes ont plus de cent ans dans le pays, soit plus de 4.000 de plus que l’an passé, a annoncé le ministère de la Santé.

Près de 35.000 (87%) sont des femmes, selon l’étude.

La plus vieille femme du Japon (114 ans) vit dans l’île d’Okinawa, où les centenaires sont en proportion deux fois plus nombreux que dans le reste de l’archipel. Une alimentation saine, basée sur les légumes, et un climat doux sont réputés comme les secrets de la longévité des habitants d’Okinawa. »
Wikipédia)

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Bravo les petites nanas !

Je n’aimerais vivre si vieille, que si je conserve certaines facultés, mêmes largement amoindries: voir, entendre, marcher, se souvenir…

PS- Ces femmes avaient peut-être du chien… Heeuu non, non, du …Caractère, comme mes grand-mères presque centenaires ? 😉

l’ infanticide en Afrique noire : Le cas du Sénégal

 » Daniel Mbassa Menick
Centre Hospitalier Universitaire de Dakar, République du Sénégal, Afrique de l’Ouest , le Sénégal.

Objectif:
Au Sénégal, cette étude avait deux objectifs principaux .
Premièrement : tirer la sonnette d’alarme au sujet du grand nombre d’infanticides dans un pays où les gens considèrent généralement un enfant comme un trésor .
Deuxièmement : mettre en évidence les motivations profondes qui peuvent induire une femme africaine de tuer son enfant .

Méthode:
L’auteur a examiné les rapports psychiatriques des experts sur les crimes et délits variés acquis de CHU de Fann à Dakar au cours d’une période de 27 ans , à partir de Janvier 1968 to Décembre 1994.

Résultats :
Pour un nombre total de 164 rapports , 33 ou 20% infanticides concernés . Cela souligne l’importance du phénomène . pathologie mentale est apparue dans deux cas (3% ) mais 97% étaient censés être en bonne santé mentale .

Conclusion :
Ces résultats suggèrent que des raisons sociales et culturelles plus que médicaux expliquer la survenue des infanticides . Il semble que ce soit sous la pression des motivations sociales et culturelles que les femmes et les mères en particulier les jeunes , se déprécient devenir mère . »
Source Afrik.

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Un ami qui a longtemps séjourné chez des indiens d’Amérique du Sud, a vu des femmes aller accoucher seules au bord d’un cours d’eau.

Elles choisissaient de revenir avec le bébé…Ou pas!

Elles n’avaient de compte à rendre qu’à elles-mêmes.

Ce qui est admis comme normal pour une communauté apparaît comme barbare aux yeux d’une autre…

Chez eux il n’y avait pas d’inceste ni de viol…

Charybde et Scylla pour certaines femmes…

L’infanticide et l’avortement –

L’infanticide:

Après avoir interrogé 33 mères accusées d’avoir tué leur nouveau-né, Geoffrey McKee assure que c’est finalement un crime assez répandu, mais qui reste souvent impuni parce qu’on ne retrouve pas les corps. Les cas d’infanticides à répétition comme celui de Dominique Cottrez sont par contre assez rares, selon lui..(France 24)
Geoffrey McKee : professeur de l’école médicale de l’université de Caroline du Sud, aux Etats-Unis, et auteur du livre « Pourquoi les mères tuent ».

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…En 1556, un édit d’Henri II oblige les filles et les veuves à déclarer leur grossesse dès qu’elles en ont connaissance. Le roi leur interdit, sous peine de mort, d’« accoucher occultement », et de supprimer « leur fruit » en le jetant « en lieux secrets et immondes » ou en « l’enfouissant en terre profane ». Cette mesure vise à prévenir l’infanticide, ce « crime très énorme et exécrable, fréquent en notre royaume ». En cas de non-déclaration de grossesse, si une fausse couche se produit ou si l’enfant meurt à la naissance, la présomption d’homicide est systématiquement retenue contre la mère, qui risque la pendaison. La lecture de cet édit en chaire par les curés, quatre fois l’an, et sa répétition au cours du XVIIe siècle, indiquent bien la volonté de lutter contre un véritable fléau. ..

..Spécialiste de la période, l’historienne et archiviste Claude Dulong note qu’à Paris, en 1636, nombre de petits ossements sont trouvés lors d’une opération de nettoiement des égouts. Une découverte macabre qui se répète à la ville comme à la campagne, où fosses à purin, puits, mares et fossés recueillent les petits cadavres. Les mères accusées d’infanticide sont doublement coupables aux yeux de l’Eglise : pour avoir tué leur enfant et l’avoir privé de baptême. Les enfants non baptisés, condamnés selon les théologiens à errer dans les limbes, sont enterrés dans un terrain qui leur est réservé..

(Source l’indépendant

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Les statistiques sur l’avortement ont généralement un deux ans de retard. Les dernières statistiques, publiées en décembre 2009, portent sur l’année 2007. Le nombre d’avortement est évalué en France 227000 en 2007.( avortement IVG.com)

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Rappelons qu’environ, une Grossesse sur 5 est non désirée en France.

Chaque année 210.0000 femmes ont recours à l’avortement, un chiffre qui n’a pas évolué.

360 000 Grossesses non désirées en France, aboutissent ainsi à environ 210 000 IVG
(Santé médecine)

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Ces actes étaient effectués par des personnes incompétentes (faiseuses d’anges) sur des personnes voulant se débarrasser à n’importe quel prix de leur grossesse.

En général, les substances abortives populaires étaient inefficaces :

l’ ergot de seigle, le gaïac, le nièvre, la camomille, l’absinthe, le safran…
Il existait des substances actives mais toxiques qui provoquaient la mort du foetus : le plomb, le mercure, le phosphore, l’arsenic, des produits issus du potassium, du chloroforme…
Ces substances pouvaient provoquer des hémorragies utérines qui tuaient le foetus mais aussi mettaient gravement en danger la mère.

Des procédés mécaniques étaient également utilisés :

a- procédés populaires tels que des lavements répétés (à l’eau de javel par exemple) , des bains chauds, des saignées, des sauts à la corde,
b- traumatismes extra génitaux : chocs lors d’accidents provoqués ( voitures,…) , coups sur l’abdomen,
c- action directe sur l’appareil génital : touchers vaginaux répétés, coït abusif, injections vaginales chaudes, cauthérisation du col de l’utérus, massages violents abdominaux pour faire descendre l’utérus, avec comme conséquences des blessures du vagin, du col de l’utérus.

L’utilisation d’instruments divers pour perforer les membranes n’était pas rare :

aiguille à tricoter, tringle de rideaux, fil de fer, pointe de ciseaux, sondes de caoutchouc,…
Les avortées mouraient très souvent dans des conditions et des souffrances horribles; ces décès étaient le plus souvent liés à l’infection, à des perforations, parfois à un choc, une embolie pulmonaire foudroyante et une septicémie qui emportaient la femme en quelques heures après les manoeuvres abortives.
Vu que l’avortement était pénalement condamné, peu de médecins prenaient le risque de se voir interdire l’exercice de leur profession et de subir de lourdes peines ( 6 mois à 2 ans de réclusion et 5 ans de suspension, avant 1974).
Ce travail était donc laissé à des personnes dépourvues de toutes compétences et de tous diplômes.
Actuellement, depuis la légalisation en 1975 de l’avortement, celui-ci est un acte médical reconnu, effectué en milieu hospitalier ou dans des centres agréés par des gynécologues qui pratiquent l’extraction du foetus.
Ce sont des spécialistes qui possèdent un diplôme et qui, reconnus de tous, opérent dans de meilleures conditions.( au feminin.com)

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Et aussi :

… » L’association de ces deux produits permet un avortement avec expulsion complète de l’embryon, dans 95 % des cas4.
Les principaux effets indésirables de ces deux médicaments sont des saignements génitaux importants et des troubles digestifs divers. Cette combinaison médicamenteuse est par ailleurs contre-indiquée en cas d’insuffisance rénale, hépatique, surrénalienne5, d’asthme sévère5, de bronchite obstructive, d’anémie, de troubles de la coagulation, d’antécédent cardio-vasculaire et autres contre-indications à l’emploi de prostaglandines5, en cas d’allergie à la mifépristone5, et aussi en cas de suspicion de grossesse extra-utérine5. Un âge supérieur à 35 ans ou un tabagisme exposent à des risques cardio-vasculaires4.
En cas d’échec de l’avortement chimique, il reste possible de procéder à une IVG chirurgicale5. Si toutefois la patiente renonce alors à avorter et décide de poursuivre sa grossesse, il existe un risque de malformation du fœtus4.
En France, tout médecin pratiquant des IVG médicamenteuses doit avoir signé une convention avec un établissement de santé autorisé à pratiquer des IVG. L’IVG médicamenteuse nécessite au moins 5 consultations médicales : deux consultations médicales préalables, séparées par un délai de réflexion d’une semaine (réduit à 48h en cas d’urgence), une consultation pour la prise de la mifépristone, une autre pour celle du misoprostol, et enfin un rendez-vous de contrôle 15 jours après. La prise médicamenteuse s’effectue en présence du médecin, ou d’une infirmière dans le cadre d’un centre d’orthogénie4. L’IVG doit être pratiquée en établissement de santé si la femme enceinte souhaite garder son anonymat.

Voie chirurgicale
La principale méthode chirurgicale consiste à aspirer l’embryon à l’aide d’une canule introduite dans l’utérus. Cette opération nécessite une dilatation préalable du col de l’utérus, dilatation douloureuse et nécessitant donc une anesthésie qui peut-être locale ou générale6. Le taux de succès de cette méthode chirurgicale est de 99,7%3.
Le curetage (plus précisément « dilatation et curetage ») est une autre méthode chirurgicale, qui consiste à utiliser une curette à la place d’un aspirateur. Cette technique apparue au milieu du XIXe siècle tend à être remplacée de nos jours, dans les pays riches, par la méthode par aspiration, nettement plus sure et confortable7. Elle est cependant toujours très utilisée dans les pays en développement, souvent par des praticiens non compétents et avec une curette non ou mal aseptisée, ce qui peut entraîner de graves complications (hémorragies, perforations de l’utérus, infections) entraînant parfois la stérilité voire la mort.

Anesthésie
Tous les centres d’IVG ne pratiquent pas les deux modes d’anesthésie, il convient donc de vérifier que l’anesthésie souhaitée est pratiquée dans le centre où l’on prend rendez-vous. Le choix de l’anesthésie sera pris en concertation entre la patiente et le médecin anesthésiste, en prenant en compte les contre-indications éventuelles. L’anesthésie locale est effectuée par injection intra-cervicale et para-cervicale.
L’avortement sous anesthésie locale est peu douloureux[réf. nécessaire] ; néanmoins les patientes préfèrent généralement l’anesthésie générale (75% contre 20% d’anesthésies locales en France[réf. nécessaire]) afin de ne pas « assister » à l’opération » (Wikipédia).

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« En France, le taux d’utilisation et de diffusion de la contraception est l’un des plus élevés d’Europe. Malgré cela, le nombre d’IVG reste élevé, autour de 200 000 chaque année. On estime même que plus de la moitié des femmes ayant eu recours à un avortement utilisaient des contraceptifs théoriquement efficaces.  » (Doctisimo).

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L’ IVG, un « crime » commis par… Procuration ?

Tout est TERRIBLE, INJUSTE, VIOLENT, et affreusement COMPLIQUE dans la vie de beaucoup de femmes…Gardons-nous de les JUGER : CHACUNE à un moment CRUCIAL pour ELLE, fait ce qu’elle PEUT avec CE qu’elle A …A CE MOMENT là !!!

Pour Martine et toutes celles qui ne SAVENT pas !

RENSEIGNEZ-VOUS d’abord, faites-vous VOTRE opinion ensuite !

Courrier de l’UNESCO :

Cent ans de féminisme-Sophie Bessis, journaliste indépendante (Paris).

Tout au long du XXe siècle, des femmes ont bataillé pour leurs droits. Au cours des dernières décennies, leur combat est devenu vraiment mondial. Il continue, partout.

Tout au long du XXe siècle, des femmes ont bataillé pour leurs droits. Au cours des dernières décennies, leur combat est devenu vraiment mondial. Il continue, partout.

On entend souvent dire que le xxie siècle sera celui des femmes, tant a été rapide l’évolution de leur condition dans les dernières décennies de celui qui s’achève. S’il est bien tôt pour confirmer cette prédiction, on ne prend guère de risques en affirmant que le XXe siècle aura été celui de leur combat pour sortir du foyer, où l’ancestrale division sexuelle des rôles les avait confinées. Partout dans le monde, il a été rythmé par les luttes que les femmes ont menées pour acquérir les droits dont elles étaient privées et pour construire — avec les hommes — l’avenir de la planète.
Certes, l’Histoire avait déjà connu de telles luttes, bien que ses versions officielles aient pris le parti de les occulter. Mais les brèves révoltes de cette «minorité» particulière, qui compte dans ses rangs plus de la moitié de l’humanité, n’ont nulle part changé la place des femmes au sein de leurs sociétés. Elles pouvaient régner sur la maison, bénéficiant parfois d’égards non négligeables; elles n’en restaient pas moins nées pour servir les hommes et mettre au monde la descendance de leurs époux.

Leur premier combat: l’éducation
Au XXe siècle en revanche, alors qu’elle paraissait figée, légitimée par tous les dieux ou par un ordre «naturel» tout aussi contraignant, la répartition traditionnelle des rôles commence à craquer de toutes parts sous le double effet de la modernisation du monde et des combats des femmes pour leur émancipation collective. Elles ont conduit bien des batailles pour obtenir progressivement, de conquêtes en régressions, une évolution de leur statut qui est loin d’être achevée.
Leur premier combat du siècle est celui de l’éducation. De France où la première bachelière sort du lycée en 1861, au Japon où la première université féminine est créée en 1900, à l’Egypte où les filles accèdent à partir de 1900 à l’école secondaire, ou à la Tunisie où la première école pour filles ouvre ses portes la même année, les femmes qui le peuvent s’engouffrent dans la brèche que l’instruction leur entrouvre. Pas seulement pour être de meilleures gestionnaires du foyer et de bonnes éducatrices de leurs fils, comme le suggèrent les discours dominants de l’époque, mais pour faire autre chose que ce qu’elles ont toujours fait, pour investir l’espace public et accéder aux sphères qui leur sont interdites, de l’exercice de la citoyenneté à celui de la politique.
Tout au long du XXe siècle, les femmes ont mené leurs luttes sur deux fronts, se battant pour obtenir des droits et participant aux grands mouvements d’émancipation sociale et politique qui l’ont ponctué. Croyant au pouvoir libérateur de ces derniers, elles n’ont souvent repris leurs combats spécifiques que quand les nouveaux maîtres de leurs pays les renvoyaient dans leurs foyers. De la Russe bolchévique Alexandra Kollontaï, première femme à faire partie d’un gouvernement en 1917, à l’Américaine noire Rosa Parks qui refuse en 1955 de céder sa place à un Blanc dans un autobus d’Alabama, déclenchant le mouvement des droits civiques, ou à Djamila Boupacha, héroïne de la guerre algérienne d’indépendance, elles ont pris part à toutes les luttes qui ont voulu mettre fin à toutes les oppressions, dont la leur, pensaient-elles. L’intimité qu’elles ont entretenue avec les révolutions a, toutefois, rarement payé les femmes de retour, et c’est en se battant sur le front de leurs propres droits qu’elles ont, en fait, engrangé leurs plus grandes victoires.

Lutte pour le droit de vote
Les premiers mouvements féministes, qui apparaissent en Occident dès la fin du XIXe siècle, concentrent leurs actions dans le domaine du travail et des droits civiques. L’industrie a besoin d’une main-d’œuvre féminine qu’elle sous-paye par rapport à leurs homologues masculins. A travail égal, salaire égal, revendiquent les ouvrières américaines et européennes qui commencent à créer leurs propres syndicats et à multiplier les grèves. Si les progrès sont indéniables, on sait qu’après plus d’un siècle de batailles, l’égalité des salaires n’est pas encore acquise pour la majeure partie des femmes du globe.
Le second mot d’ordre des pionnières du siècle concerne la participation à la vie civique, qui passe d’abord par l’obtention du droit de vote. La lutte est longue pour l’obtenir. Elle est parfois violente, comme celle des «suffragistes» britanniques qui descendent dans la rue pour tenter de l’arracher, ou des Chinoises, qui envahissent en 1912 le tout nouveau Parlement pour le réclamer. Acharnées partout, les résistances du monde politique cèdent progressivement devant la détermination des mouvements de femmes.
C’est dans les pays scandinaves qu’elles deviennent le plus tôt, dès 1906 en Finlande, électrices et éligibles. La Première Guerre mondiale les ayant propulsées sur le devant de la scène, la plupart des Européennes obtiennent le droit de vote en 1918 et en 1919. Les Françaises et les Italiennes doivent attendre les lendemains de la seconde pour être enfin des citoyennes. Hors d’Occident, les femmes s’organisent aussi pour réclamer des droits. En Turquie, en Egypte, en Inde, des associations féminines voient le jour. En 1930, le premier congrès des femmes d’Orient se réunit à Damas pour revendiquer l’égalité. Durant toute cette période, des femmes proclament partout que, hors la maternité, elles veulent être «des hommes comme les autres» et que les hommes, les vrais, ne sauraient leur dénier ce droit.

Retrouver la maîtrise de leur corps
La Seconde Guerre mondiale et les luttes de libération dans le Tiers-Monde font passer un temps au second plan leurs combats spécifiques. L’heure est aux luttes contre le fascisme, puis contre le colonialisme, qui mobilisent toutes les énergies. Des femmes s’y distinguent, ce qui ne suffira pas à établir les droits de leur sexe. Le monde continue pourtant de bouger. Avec les indépendances, de nombreuses femmes du Sud accèdent à l’école, au travail salarié et certaines, exceptionnellement, au monde fermé de la politique. Dans les pays occidentaux, l’après-guerre les voit investir massivement le marché du travail. Le décalage est de plus en plus considérable entre les réalités et des lois discriminatoires défendues par des pouvoirs exclusivement masculins.
Modernité oblige, c’est encore en Occident que naît, dans le sillage du mouvement libertaire de 1968, la seconde génération du féminisme. Reprenant le flambeau des aînées, elle élargit leurs revendications. Car les féministes fin de siècle n’aspirent plus à être «des hommes comme les autres». Contestant au «mâle blanc» sa prétention à représenter l’universel, elles ont pour ambition de devenir égales en demeurant des femmes. Né dans la classe moyenne américaine, le Mouvement de libération des femmes (Women’s Lib ou MLF) veut leur rendre la maîtrise de leurs corps. L’heure est à la lutte pour le droit à la contraception et à l’avortement dans les nombreux pays où l’une ou l’autre sont interdits, à l’autonomie, à l’égalité au sein du couple. «Le privé est politique» affirment les femmes en se réclamant du marxisme et de la psychanalyse. «Travailleurs de tous les pays, qui lave vos chaussettes?» scandent les manifestantes des années 70 dans les rues de Paris. En France, la loi Veil qui autorise l’avortement déchaîne les passions en 1974.
S’ils provoquent l’hostilité de nombreuses femmes du Tiers-Monde qui ne se reconnaissent pas dans ces combats «d’Occidentales» et veulent mener leurs propres luttes à leur rythme, les mouvements féministes ont toutefois donné un second souffle aux luttes des femmes dans le monde. Prenant acte des évolutions et proclamant leur intention de les accélérer, les Nations unies font de 1975 «l’année de la femme» et organisent à Mexico la première conférence internationale qui leur est consacrée.
Déjà proclamée dans la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, l’égalité des sexes est réaffirmée par la Convention internationale de 1979 sur l’abolition de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, qui devient un précieux outil d’émancipation au Nord comme au Sud. Au fil des conférences organisées par l’ONU, à Copenhague en 1980, à Nairobi en 1985, à Pékin en 1995, femmes du Nord et du Sud trouvent des terrains d’entente, pour réclamer «un enfant si je veux, quand je veux» en refusant les injonctions des natalistes comme des malthusiens, pour revendiquer leur place dans des instances politiques qui décident sans elles de l’avenir du monde, pour lutter contre les régressions religieuses qui menacent leurs modestes conquêtes.

Misogynie de la classe politique
Bien sûr, le combat des Koweïtiennes à qui l’on refuse le droit de vote ou des Indiennes contre l’infanticide des filles in utero ne peut être le même que celui des Américaines contre leurs fondamentalistes ou des Françaises contre la misogynie de leur classe politique. Empruntant des cours différents d’un continent à l’autre, n’ayant pas forcément les mêmes priorités, la lutte des femmes n’en est pas moins devenue mondiale au cours des dernières décennies. Depuis un quart de siècle, elles ont accru leur présence dans les espaces publics dont l’accès, cependant, ne leur est pas encore franchement ouvert. De l’Afrique à l’Asie, leurs organisations se sont multipliées et ont acquis de l’expérience.
Mais leurs victoires restent incomplètes et l’avenir incertain. Du cauchemar des femmes afghanes aux résistances à l’égalité qui se manifestent dans les pays dits les plus avancés, les obstacles qu’elles rencontrent indiquent le chemin qui reste à parcourir. En verront-elles le terme au cours du siècle qui commence, et qui est censé être le leur?

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OUI! Il existe DES féministes qui n’aiment pas les HOMMES, (pour de justes raisons souvent: société sexiste et injuste à plusieurs niveaux, inceste, viol, brutalités, violences paternelles envers la mère et les enfants, violences maritales…etc )

Tout COMME il EXISTE des millions de mecs qui n’AIMENT pas les FEMMES…Juste leur CUL ( elles l’ont bien compris celles qui écrivent des textes chaudasses ).

Et ALORS ?

C’est LEUR droit, aux DEUX « clans » ennemis !

Le FEMINISME prône l’EGALITE FEMME/HOMME et non pas la HAINE des MECS

SEULEMENT la HAINE du MACHISME !!!

POUR les mecs « biens »:

Pour les machas ? Je crois qu’il est trop tard: il faudrait TOUT reformater depuis le premier biberon; dur dur…Mission imposible !

" Elle ne voulait PLUS avoir d’enfants" !

La mère soupçonnée d’avoir tué huit de ses nouveau-nés, vient de passer sa première nuit en prison.

Le père a déclaré à la Police, que le ciel lui est tombé sur la tête. Il est LIBRE.

Encore un mec qui ne sait pas qu’un spermatozoïde + un ovule, peut « fabriquer » un bébé ? ? ?

Que celles( les Yakacis, les Yakaças), qui n’ont jamais avorté, d’une manière ou d’une autre, lui jette la première pierre !!!

Dans un article, j’ai lu qu’il y aurait des …Milliers de bébés enterrés, depuis la nuit des temps, dans les « campagnes » françaises…Et partout dans le monde…

Normal..Avec les ruisseaux de sperme qui s’y déversent, sans AUCUNE « retenue », sans aucun RESPECT de soi et de l’autre …Juste pour satisfaire à tout prix, un petit fûhrer exigent…

QUI peut imaginer qu’une femme… »Normale » est satisfaite d’accoucher de 18 ou 23 enfants, comme cela se faisait il n’y a pas si longtemps! ( Je ne parle même pas de la terreur de ces femmes confrontées à l’indigne « devoir conjugal », ou permis de violer sa femme).

Dans une société de femmes, gouvernée PAR des femmes, AVEC des lois de femmes, POUR des femmes, le GENITEUR qui aura mis enceinte une femme qui ne voulait plus avoir d’enfants, sera déclaré CONJOINTEMENT COUPABLE, pour TOUT ce qui en résultera, par la suite POUR cet enfant!

Quel homme, NORMALEMENT constitué, peut se FOUTRE(!) complètement du sort de SES spermatozoïdes ?

Il DOIT, lui AUSSI, prendre en charge l’écrasante responsabilité de CREER la vie ou PAS: ce qui fait la différencie avec un comportement animal, brut de décoffage…( Comportement animal responsable de tant de vies détruites).

Heeuu…Les poules auront des dents, AVANT ?

Sans aucun doute!

Blog…visité !

tingy-tanana_blog_fr-world(Photo: Merci aux « Visteurs du Monde »)

Mois Juillet 2010 – Total des pages vues: 8026 – Total des visiteurs: 5138– Et 90 pays l’ont visité(bienvenue au dernier arrivé: la Syrie)) .

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PS- J’oubliais: encore un nouvel abonné, hier ; bienvenue Pierre!