165 femmes s’immolant par le feu pour échapper à la …VIOLENCE !!!

Témoignages de militantes (Amnesty International):

[ Au nom de la tradition et de la religion, les attitudes culturelles et les codes sociétaux dominants sont invoqués pour justifier le fait de priver les femmes de la possibilité de jouir de leurs droits fondamentaux. En raison d’actes perçus comme des transgressions à ces codes, plusieurs femmes ont été incarcérées, voire tuées. Prêtes à tout pour échapper à des situations de violence comme le mariage forcé, 165 femmes se sont suicidées en s’immolant par le feu en 2007, d’après la CIDHA.

En Afghanistan, les violations à l’encontre des femmes et des jeunes filles, telles que les enlèvements, les viols et le trafic d’être humains, sont très répandues. Plus de 87 % des Afghanes font l’objet de violences familiales, selon les Nations unies, et entre 60 et 80 % des mariages sont des mariages forcés. Et ce, bien que le gouvernement afghan se soit engagé à protéger les droits des femmes et à promouvoir l’égalité entre les hommes et les femmes en Afghanistan.

La Stratégie intérimaire de développement national de l’Afghanistan, tout comme l’Afghanistan Compact (Pacte de l’Afghanistan) conclu en janvier 2006, s’attachent à renforcer le système judiciaire, protéger les droits humains et promouvoir l’égalité entre hommes et femmes.iEn dépit de ces fondations, Amnesty International craint que le gouvernement afghan ne soit pas en mesure de garantir l’accès à la justice pour les femmes dont les droits ont été bafoués. La police, les tribunaux et l’ensemble des représentants du secteur judiciaire traitent rarement les plaintes pour violences déposées par des femmes, y compris pour viol et autres violences sexuelles. Les femmes, qu’elles soient victimes ou accusées, ne peuvent guère recourir à la justice et font l’objet de discriminations au sein des systèmes judiciaires tant officiel que non officiel.

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Noor Marjan, 34 ans

Profession : directrice par intérim du Centre afghan de développement des compétences des femmes, qui gère différents projets pour les femmes, dont des centres d’accueil.

Près de 600 femmes ont été accueillies dans nos centres depuis avril 2003. Il s’agit de victimes de violences familiales, de la traite, de mariages forcés ou d’autres violences. Le problème est de savoir que faire de ces femmes une fois qu’elles sont dans nos centres.

Il est très difficile de défendre les droits de ces victimes ; la police et les tribunaux considèrent toujours que c’est la femme qui est fautive et ne nous sont d’aucune aide.

La réintégration de ces femmes dans la société est extrêmement compliquée. Nos lois ne sont pas appliquées, et les tribunaux ne sont pas coopératifs. Personne ne se soucie de ce qui est bien pour les femmes ni de ce qui est requis par la loi. Les juges, les policiers et les autres représentants de l’État se forgent leur propre opinion et suivent un code moral.

Nous n’avons pas encore réussi à réintégrer une seule fille pachtoune dans la société. Soit elles ont été tuées, soit les procédures les concernant n’ont jamais abouti.

Nos centres d’accueil sont importants car, dans les postes de police, il n’y a pas d’endroits réservés aux femmes. Dans les cellules de garde à vue, les femmes se font frapper et violer par les policiers.

Je suis harcelée par les policiers, les juges et les familles des victimes. Il m’arrive d’avoir à sortir de chez moi en plein milieu de la nuit pour aller chercher une femme dans un poste de police. Je fais ce travail parce que notre action est très importante. Nous protégeons les victimes pour qu’elles ne subissent pas de nouvelles violences.

Récemment, nous avons ouvert un centre d’accueil pour les policières ayant reçu des menaces en raison de leur travail, en particulier parce qu’elles avaient aidé des femmes à porter plainte ou les avaient protégées dans des situations de violence.

Bien que le gouvernement essaie sans cesse de recruter des femmes dans la police, il ne fait rien pour les protéger. Dans ce pays, si vous aidez une femme, vous devenez un ennemi pour sa famille car la violence domestique est considérée comme une affaire privée, qu’il est honteux de faire sortir du cercle familial.

Kamila Faizyar, 54 ans:

formatrice en droits humains pour la Women and Children Legal Research Foundation (WCLRF)

Lorsque je parle de violence conjugale, la plupart des hommes me répondent que le Coran dit que l’on peut battre une femme. La plupart des hommes qui citent le Coran en réaction à nos formations ne l’ont jamais lu, ils sont analphabètes. Ils ne font que répéter ce que disent leurs mollahs.

Nous allons souvent dans des villages où tout semble aller bien jusqu’à ce que nous découvrions, après avoir insisté, lors des sessions de formation, qu’il y a un grand nombre d’actes de violence et de mariages forcés.

J’ai été menacée et agressée verbalement, en particulier lorsque j’ai animé des formations dans des fiefs traditionalistes. Les villageois, surtout les hommes, n’aiment pas entendre les femmes parler de droits fondamentaux. Les mollahs que nous rencontrons se sentent menacés par nous. Les hommes nous disent que nous incitons les femmes à se retourner contre eux.

Dans la plupart des provinces, il n’existe aucun lieu sûr où les femmes peuvent porter plainte ou parler de leurs problèmes. Très peu de cas sont signalés.

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Toutes ces militantes riquent leur vie…Pendant que des musulmanes, qui vivent dans des pays « LIBRES »(!!!), se « PAVANENT » dans des burqas,

Au nom d’une religion qui…N’EXIGE nullement son port, d’après des responsables religieux de cette religion !!!

Il n’y a pas besoin de mecs pour POURRIR la vie des femmes

DES FEMMES font un travail de démolition remarquable en ce domaine !!!

Bref ! Avant de ME suicider, j’en aurais éliminé plus d’un, en volant une arme…Ou un lance-missile !

Que CHACUNE s’occupe de SON âme et l’Enfer sera bien gardé !(L’enfer c’est ICI et MAINTENANT!)

Quand la Police et la Justice ne "font qu’accroître" les violences subies!!!

Impuissante ( photo: l’omerta, en plus!)

Amnesty International:
…[ Dans les pays d’Europe du Nord, c’est le recours à la violence ou aux menaces de violences plus que l’atteinte à l’autonomie sexuelle d’une femme qui détermine la gravité du viol. Le viol et les droits humains dans les pays nordiques détaille le cas en Finlande d’un homme ayant contraint une femme à avoir un rapport sexuel avec lui dans des toilettes publiques, en lui cognant la tête contre le mur et en lui tordant le bras dans le dos Or, le juge a considéré qu’il ne s’agissait pas d’un viol étant donné que la violence utilisée était d’un faible degré, et l’homme a été reconnu coupable simplement de rapport sexuel contraint et condamné à une peine avec sursis de sept mois d’emprisonnement.

En comparaison, dans le droit finlandais, le refus d’effectuer son service militaire obligatoire, y compris sous la forme d’un service civil, est passible d’une peine d’emprisonnement d’au moins six mois.

Au Cambodge, les femmes ne font pas confiance à la justice et le coût des procédures policières les dissuade d’engager des poursuites. Les victimes doivent souvent payer des pots-de-vin à la police pour qu’une enquête soit lancée. Il leur faut aussi généralement de l’argent pour les soins médicaux, le transport et les appels téléphoniques pendant l’enquête.

Le rapport Cambodia: Breaking the silence: Sexual violence in Cambodia montre aussi comment la « solution » consiste parfois en un paiement négocié en-dehors de tout cadre judiciaire. Le plus souvent, un policier arbitre un accord financier entre la famille de la victime et celle du contrevenant, à la condition que la victime ne porte pas plainte devant la justice. Le médiateur reçoit alors une partie de la somme convenue.

« Pour trop de femmes, l’intervention de la justice ne fait qu’exacerber les violences et atteintes subies, a déclaré Widney Brown. Chaque violeur qui n’est pas sanctionné du fait de ces dysfonctionnements témoigne de l’indifférence des autorités au sort des victimes de violences sexuelles. »8 mars 2010

La violence contre les femmes demeure l’une des principales barrières empêchant l’égalité de genre. Amnesty International appelle les gouvernements à faire preuve de la diligence requise pour empêcher et punir les actes de violence, après avoir mené les enquêtes nécessaires. Pour ce faire, il faut veiller à ce que les femmes soumises à des violences puissent obtenir justice et réparation pour les souffrances endurées.
« Si la violence sexuelle n’est pas accompagnée de violence physique elle n’est tout simplement pas prise en compte, a déclaré Widney Brown. Une femme qui survit à un viol sans lésion physique significative est souvent blâmée ou considérée comme responsable du crime dont elle a fait l’objet, tandis que le violeur ne fait l’objet, éventuellement, que d’une sanction sociale ou peine de justice limitée… ]
Source Amnesty International.

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la Terre est devenue une zone de non droits, INSTITUTIONNALISEE (!!!), pour des millions de femmes !

Ces sont des mecs qui décident du PERIMETRE de LIBERTE des femmes, de ce qu’il faut leur AMPUTER pour correspondre à LEUR diktats, au nom de sociétés et coutumes formatées par eux

Et au nom de religions INVENTEES par EUX !

Si DIEU… EXISTE, alors les religions n’EXISTENT PAS : car PERSONNE ne PEUT…PARLER(!!!) au NOM de DIEU !

Un DIEU ne PEUT avoir, d’AUCUNE manière, de COMMERCE quelqu’il soit(!) avec un simple MORTEL, sauf dans les comptes et légendes…

Sinon ce n’est plus DIEU…Mais un simple mortel misogyne et pervers …DEGUISE en DIEU !

Manif SANS burqa ! L’ acide ou pire…

manif afghanes
Photo: SANS BURQA, Manifestation de femmes afghanes contre une loi discriminatoire à l’encontre des femmes en avril 2009(Pajhwok Afghan News)

Amnesty International 19 05 2010:

…«Les femmes afghanes sont celles qui ont le plus à gagner de la paix et le plus à perdre de toute forme de réconciliation qui transigerait avec les droits fondamentaux des femmes.
Il ne pourra pas y avoir de sécurité nationale sans sécurité des femmes, il ne pourra pas y avoir de paix tant que la vie des femmes restera marquée par la violence, que nos enfants ne pourront pas aller à l’école, que nous ne pourrons pas marcher dans la rue sans craindre des attaques à l’acide.»
Mary Akrami, directrice du Centre afghan de développement des compétences des femmes, janvier 2010.

Les droits humains, et notamment les droits des femmes, ne doivent ni faire l’objet de marchandages, ni être mis en péril lors d’éventuels pourparlers de réconciliation avec les talibans en Afghanistan.

À la suite de l’intervention internationale de 2001 destinée à chasser les talibans du pouvoir, le gouvernement afghan et ses partenaires internationaux se sont engagés à faire progresser les droits des femmes.
Depuis la chute du régime taliban, des progrès ont été constatés en matière de droits des femmes et d’égalité des genres, avec notamment la création d’un ministère des Affaires féminines, l’adoption d’une Constitution qui garantit l’égalité entre les hommes et les femmes, un meilleur accès à l’éducation et la représentation des femmes au Parlement.

Cependant, ces avancées gagnées de haute lutte pourraient être sérieusement remises en cause si le gouvernement afghan et ses partenaires de l’OTAN et de la Force internationale d’assistance à la sécurité (FIAS) revoyaient à la baisse leurs engagements en faveur de la protection et de la promotion des droits des femmes en échange d’accords militaires et politiques à court terme avec les talibans et d’autres groupes rebelles.

D’après des chiffres communiqués par les Nations unies, deux-tiers des quelque 2 400 victimes civiles du conflit en Afghanistan ont été tuées par les talibans en 2009, année la plus sanglante depuis la chute du régime taliban.

Dans les zones sous leur contrôle, les talibans restreignent gravement les droits des fillettes, des jeunes filles et des femmes, les privant notamment d’éducation, d’emploi, de liberté de mouvement, ainsi que de toute participation et représentation politique.

Des groupes de la société civile afghane, en particulier des groupes de défense des femmes, ont fait part de leur grande inquiétude à l’idée qu’un quelconque type de contrôle politique soit accordé aux talibans.

Tout effort diplomatique déployé dans le but de résoudre le conflit est un pas en avant, a renchéri mais les droits des Afghans ne doivent en aucun cas passer à la trappe dans le cadre des négociations.

Toute paix obtenue sans justice ni respect des droits humains n’est pas véritable et peut au bout du compte déboucher sur de nouveaux conflits.

Agissez Agissez en signant la pétition adressée au Président afghan Hamid Karzaï Sur le site Amnesty International

Signez aussi la pétition adressée au Ministre des Affaires étrangères français Bernard Kouchner… Sur le site Amnesty International ]
Source Amnesty International.

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« nous ne pourrons pas marcher dans la rue sans craindre des attaques à l’acide. »

Ce qui n’est pas le cas de toutes celles qui se « pavanent » en burqa dans des pays…LIBRES!!

Il n’y a pas besoin de mecs pour POURRIR la vie des femmes

DES FEMMES se montrent, en ce domaine, d’une efficacité rare…

L’ENNEMIE des femmes, ou…d’elle-même (!!!) se réfugie derrière l’alibi de la religion, qui pourtant ne l’EXIGE pas, d’après des responsables de cette religion

Pendant ce temps, d’autres femmes de la même religion qu’elle, subit des sévices horribles et même la mort…Pour refus d’ARBORER ce signe de soumission, d’infériorité, de maltraitances misogynes, de citoyenne de NON-DROITS, etc…

HHHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Les poupées qui disent oui ?

taille(photo : Avec !…Sauf si mon tour de taille augmente !)

Publié par Zigonet – 4-05-1O

[ France – Aussi incroyable que cela puisse paraître, il existe en France une loi interdisant aux femmes de porter un pantalon, si ce n’est pour pousser une bicyclette ou tenir les rênes d’un cheval. Cette loi sera peut-être (!)bientôt abrogée.

Plusieurs députés radicaux de gauche ont proposé l’abrogation des dispositifs réglementaires toujours en vigueur (bien qu’ils ne soient plus respectés) interdisant le port féminin du pantalon explique le Nouvel Obs.

Ainsi, Chantal Robin-Rodrigo, Gérard Charasse, Sylvia Pinel, Chantal Berthelot, Dominique Orliac, Paul Giacobbi, Jeanny Marc, Annick Girardin, Albert Likuyalu et Joël Giraud entendent répondre parfaitement à la demande du président de la République Nicolas Sarkozy qui avait demandé au Parlement de « dé-légiférer ».C’est donc une loi largement obsolète qui devrait être abandonnée, celle du 26 brumaire an VIII qui dit : « toute femme désirant s’habiller en homme doit se présenter à la Préfecture de police pour en obtenir l’autorisation ». A cette loi, deux circulaires sont venues préciser en 1892 et 1909 que les femmes pouvaient mettre un pantalon si c’était pour pousser le guidon d’une bicyclette ou tenir les rênes d’un cheval. De plus, il sera demandé également au Parlement la suppression de quelques références à la peine de mort.]
Source Yahoo actualités.

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AUCUN mec ne pourrait pourrir la vie des femmes…Sans l’ACCORD

ACTIF ou PASSIF de…ces dernières!!!

On a la SOCIETE, les LOIS et les assassinats/machos…que l’on MERITE ! Point !

PS- Merci ma puce, pour cet article et bon W-E à toi… (Cela fait un moment que des femmes/députées demandent l’abrogation de cette loi !)

" Que te queria no lo niego " : Niña de los peines (1928)

[ « La Nina De Los Peines » ( Pastora Pavon).
On a dit d’elle qu’elle était la plus grande chanteuse de flamenco de tous les temps. La Niña de los Peines (« la petite fille aux peignes ») porte vraisemblablement ce surnom par le fait qu’elle portait dans ses cheveux de grands peignes. Très liée avec Manuel de Falla et Federico Garcia Lorca, elle était la sœur du grand cantaor (chanteur de flamenco) Tomas Pavon.
Pendant la guerre civile, elle s’exila en Argentine, puis enregistra de nombreux disques, dans tous les genres : jondo, chico, avec une authenticité absolue.
On découvre ici sa voix particulière (« ce timbre de pur métal », disait Lorca) qui se caractérise par une attaque forte du chant et un sens du rythme inouï. Elle est la « cantaora festera », la chanteuse qui aime la fête, la « niña gigante », « la petite fille géante »… ]

Première cause de mortalité des femmes de 16 à 44 ans, en France ? Les violences des mecs!!!

Real men (Image: real men )

… [ Malheureusement classique : c’est en effet suite à une rupture que surviennent la majorité des meurtres de femmes. On retrouve dans ce récit tous les ingrédients classiques : la rupture, le refus de laisser la femme aller librement, la tentative de reconquête par la force, les menaces, la violence et finalement l’homicide.

Les violences dans les relations de couple constituent, en France, la première cause de mortalité des femmes de 16 à 44 ans. Le meurtre de Sohane n’est pas un cas particulier.

« morte brûlée vive » …Comme punition !
…A Vitry, beaucoup souhaiteraient que soit affirmée plus clairement les causes de l’assassinat de Sohane. Kahina Benziane, la sœur de Sohanne est choquée d’entendre les médias dire que sa sœur a été victime d’un accident au lieu de dénoncer ce crime odieux pour ce qu’il est : un crime sexiste, c’est-à-dire perpétré par les hommes, les petits caïds des cités, qui refusent à une femme la liberté de choisir, de vivre libre, et qui qui s’octroient le droit de la « punir ».

Cependant, la plaque commémorative fixée sur la pelouse, au pied de la tour où vivait la jeune fille, ne porte pas mention de la cause de sa mort. La mairie de Vitry s’oppose à l’inscription des mots « morte brûlée vive », sous prétexte de ne pas semer le trouble dans la population de la cité.

Taire le meurtre et son mobile, c’est donner raison à ceux qui, lors de la reconstitutions des faits, ont applaudit le criminel comme un héros. Ce n’est certainement pas en gommant la vérité des faits qu’on pourra progresser vers plus d’égalité, de mixité et de respect mutuel. ]
Source romy.tetue.net

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[ Sohane n’est hélas pas la seule. Juste après, une infirmiére, Pascale a été brûlée vive le 24 decembre 2002 dans l’indifférence des Fêtes.

La même année, une autre femme oubliée, Fabienne Guichard, avait été brûlée sur un parking en septembre dans le sud.

Et tout à fait récemment, Shérazade, étudiante de 18 ans, a été brûlée vive le 13 novembre dernier par un homme dont elle repoussait les avances, en France toujours…
Source Sisyphe.org

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[ Il y a 8 ans, elle déclarait : « je ne veux pas que ma sœur soit morte pour rien ». Bouleversante, Kahina a raconté aujourd’hui la douleur d’avoir perdu sa sœur. La souffrance de voir que d’autres femmes subissent toujours le même sort, en France, en 2010.
Kahina est la sœur aînée de Sohane, brûlée vive en 2002 à Vitry sur Seine. « Ce jour-là, une partie de moi est morte en même temps qu’elle ». Kahina a décidé de témoigner, à l’occasion de la clôture des Etats Généraux de la femme à Paris, et c’est « une façon de leur rendre hommage, une façon de lui rendre hommage ». « Ce n’est pas moi qui ait été enfermée dans un local à poubelles, non définitivement ce n’est pas moi qui ait été torturée par les flammes et des bourreaux ». Kahina a décidé de parler, lors de cette 4ème table ronde, consacrée aux violences faites aux femmes, car cette violence « est toujours d’actualité aujourd’hui, voire pire en période de crise ». Dans l’amphitheâtre de Sciences po, une autre participante rappelait qu’une marche blanche est organisée aujourd’hui à la Courneuve en mémoire d’une femme, victime de violences conjugales, par des amies qui veulent faire entendre à tous et à toutes que « mourir dans le silence ce n’est pas possible ».

Naky Sy Savané, comédienne d’origine africaine, se lève, prend le micro et chante. « C’est une chanson de combat que les femmes africaines chantent pour dire merci », explique-t-elle. Son témoignage est bouleversant : « Je viens d’un continent où les femmes sont encore emprisonnées pour avoir avorté. Je viens d’un continent où les femmes se cachent pour avorter. Je viens d’un continent où les femmes sont excisées ». Née au Mali, Naky, militante, est à Marseille depuis 6 ans Elle explique la douleur à vie de toutes les femmes excisées et qu’ « on ne peut parler de maternité si on ne parle pas d’excision ».

Les violences faites aux femmes, ce sont aussi les discriminations et la précarité. Comment peut-on encore en 2010 licencier une femme en congé maternité ? …]
Emilie Poyard et Armelle Thoraval – 07/05/2010
Source ELLE.

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COMMENT peut- on ? ? ?

Une société machiste, peut TOUT !!!

Avec la COMPLICITE de… femmes, de politiques…de TOUS, d’une façon ou d’une autre !!!

Associer crèches et femmes ? ? ?

Dady ( photo: Celui-là ? Il s’en occupe 24 heures/24 et de ses chemises aussi ! Avec son I,98 mètre et ses 120 Kg, il impose SA loi: respect et tendresse!)

[ Les 24 propositions des Etats généraux de la femme

Selon le sondage réalisé par le magazine Elle, l’égalité homme-femme est encore loin d’être acquise. Est-ce un sentiment que vous partagez au quotidien ? A quels obstacles avez-vous le sentiment de vous heurter au travail ou à la maison ?…

22-Création d’un Observatoire national sur les violences faites aux femmes.

23.Mise en place dans chaque département d’un guichet unique pour les victimes de violences, où police et parquet seraient présents, et où l’on peut trouver aides juridiques gratuites, assistance psychologique et sociale, associations d’aides aux victimes, entre autres.

24.Création et multiplication d’appartements autogérés, maisons citoyennes et foyers pour les femmes victimes de violences, afin qu’elles puissent continuer à vivre avec leurs enfants.
Marie Marvier 07/05/10 ( extraits, retrouver les 24 propositions sur le site).
Source France-Soir.

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Commentaires:

Egalité-Par Annalou le 07/05/2010
Pourquoi associer crèches « et femmes »? On a l’impression que les femmes font et élèvent seules les enfants.

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Religion -Par Taton le 07/05/2010
Etendre le point 16 aux religions, car une part des stéréotypes viennent de là. Les dignitaires religieux doivent s’engager au même titre que les enseignants (point 13) à promouvoir l’égalité homme=femme. Cet engagement devrait être écrit au fronton des lieux de culte et lieux publics. Et il s’agit bien d’EGALITE et non de RESPECT!
L’EGALITE homme=femme est un gage de paix pour l’humanité.

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Données « fausses » Par fabiennec le 07/05/2010
Comment peut-on prétendre arriver à une « situation »acceptable pour les femmes(comme pour les hommes) si on part du postulat(faux,mais postulat )que la femme A (=doit avoir), une double journée ,les « tâches » relevant de la « vie personnelle », lui incombant!?
Aménager ces INEGALITES ne fait pas avancer le schmilblick!
En 1848, on eut beau l’appeler « suffrage UNIVERSEL », le vote des femmes étant exclu,il ne s’agissait pas de suffrage universel.
ETC…
Des conditions de vie semblables pour (tou(te)s les Humaine(s) sont le minimum exigible, ce qui ne signifie pas nier l’existence de deux sexes…

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etc………………

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La vérité sort de la bouche des enfants ?…Pardon, des femmes !

ASSOCIER crèches et femmes ?

NORMAL de chez NORMAL!

Comme d’ASSOCIER, UNIQUEMENT, le NOM de la mère à celui de SON enfant ?

Rendons à César ce qui EST à César…Et les enfants seront bien gardés ?

La femme 2010 : un mari ? Pffff !

le RESPECT de l'AUTRE (photo: la vie de couple ? Too much !)

RTL info- 07 mai 2010

[ En 1980, elle avait réussi l’amalgame de l’autorité et du charme.

En 2010, elle est une femme accomplie sans vraiment besoin d’un mari.

Le 30 août prochain sortira « Etre une femme 2010 », le vingt-cinquième album studio de Michel Sardou. RTL vous propose en exclusivité d’en découvrir un premier extrait. Il s’agit de la chanson qui donne son nom à l’album. C’est une nouvelle version du succès « Femmes des années 80 ». ]

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[ « Femmes des années 80 et femmes jusqu’au bout des seins… » entonnait Michel Sardou, il y a une trentaine d’années. Et alors que le magazine ELLE clôture les États généraux de la Femme en ce moment à Sciences-Po, le chanteur de 63 ans s’est essayé à l’électro en sortant une nouvelle version de son tube « Femmes des années 80 » avec le DJ Laurent Wolf : « Être une femme en 2010 ». RTL a diffusé ce matin un court extrait du titre. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le morceau est très… énergique ! En tout cas, nous, à la rédac’, on a trouvé le résultat un peu ringard… Et vous ? K.M. ]
Source Elle -07/05/2010

PS- non, je ne suis pas une de ses fans !

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Un mari pourquoi faire ?

Pour :

– Perdre son indépendance financière et affective ?

– Toujours demander la permission de ?

– Demeurer une ASSISTEE…A vie ?

– Jouer le second rôle et le faire-valoir du Maître ?

– Se taper, QUAND MÊME, – encore plus (!), car Monsieur aime les petits plats, ses chemises bien repassées sans oublier les galipettes après la journée harassante…de Madame!-, la bouffe, le ménage, les courses, le repassage, les enfants, etc…?

– Coucher…MÊME quand on n’en a pas envie ?

– Se retrouver QUAND MÊME seule à 50 balais ?

– Accepter l’AUTORITE …NATURELLE (!!!) du mâle ?

– Le partager, éventuellement, ( de gré ou de force?), avec UNE ou PLUSIEURS autres ?

– Prendre le RISQUE de se faire dicter sa conduite et de vivre la vie du mari, ou pire: d’être humiliée, insultée, battue, ou…ASSASSINEE ?

– Zapper SES propres rêves ? D’abord mis entre parenthèses, croit-on, puis enterrés…SOUS la pression infernale de la vie familiale et sociale ( boulot, religion…)

– Pour vivre la vie du mari, des enfants ?…

– …Etc…

Mais il est vrai, que VIVRE…Pour SOI (AUSSI!!!),requiert un minimum d’amour de SOI(et de la vie!), de caractère, de confiance en soi, de fierté, d’esprit d’indépendance…

Ce qui n’exclut nullement la PRESENCE d’un mec…Qui DOIT savoir qu’il restera sur un siège éjectable…( Et non pas qu’il a fait l’ACQUISITION d’un « BIEN »…dans le cadre du mariage…)

La vie en couple (mariés ou pas)EXIGE le RESPECT absolu et non négociable, de l’INTEGRITE …Des DEUX composantes du couple

Cette vie de couple EXISTE, je l’ai rencontrée : TOO MUCH, depuis…35 ans!( Je SAIS, je touche du bois!).

( Heeuu…Après 13 ans d’ENFER conjugal, où la mort rôdait CHAQUE jour !!! )

The Avett Brothers – I and Love and You

( Texte et vidéo)
Avett: « Quand d’abord j’ai appris à parler. J’ai utilisé tous mes mots pour combattre.  »
Tingy: « Quand d’abord j’ai REPRIS ma LIBERTE. J’ai UTILISE tous mes MOTS pour COMBATTRE. »

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I and Love and You

Load the car and write the note.
Grab your bag and grab your coat.
Tell the ones that need to know.
We are headed north.

One foot in and one foot back.
But it don’t pay to live like that.
So I cut the ties and I jumped the track.
For never to return.

Ahh Brooklyn, Brooklyn take me in.
Are you aware the shape I’m in?
My hands they shake, my head it spins.
Ahh Brooklyn, Brooklyn take me in.

When at first I learned to speak.
I used all my words to fight.
With him and her and you and me.
Ahh, but it’s just a waste of time.
Yeah it’s such a waste of time.

That woman she’s got eyes that shine.
Like a pair of stolen polished dimes.
She asked to dance I said it’s fine.
I’ll see you in the morning time.
Ahh Brooklyn, Brooklyn take me in.
Are you aware the shape I’m in?
My hands they shake, my head it spins.
Ahh Brooklyn, Brooklyn take me in.

Three words that became hard to say.
I and Love and You.
What you were than I am today.
Look at the things I do.

Ahh Brooklyn, Brooklyn take me in.
Are you aware the shape I’m in?
My hands they shake, my head it spins.
Ahh Brooklyn, Brooklyn take me in.

Ahh Brooklyn, Brooklyn take me in.
Are you aware the shape I’m in?
My hands they shake, my head it spins.
Ahh Brooklyn, Brooklyn take me in.

Dumbed down and numbed by time and age.
You’re dreams that catch the world the cage.
The highway sets the travelers stage.
All exits look the same.

Three words that became hard to say.
I and Love and You.
I and Love and You.
I and Love and You.

Paroles de femmes…

fleurs sauvages (Huile sur toile).

…  » J’ai toujours eu une image lointaine de la femme française

Mon image de référence et de culte a toujours été une guerrière Jeanne d’Arc.

Aujourd’hui, je suis tranquille en sachant qu’il y a d’autres guerrières : des femmes françaises luttent pour défendre d’autres drapeaux qui se distinguent pour la justice et la liberté.

Alors Merci à vous TingyBisous.

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En cet instant, mon blog ressemble à un grand champ rempli de fleurs sauvages…

… OUI ! Beaucoup de femmes luttent pour la JUSTICE, L’EGALITE, la LIBERTE et le RESPECT des femmes du MONDE entier; et CONTRE le formatage social machiste…FEMININ !

Malgré l’indifférence, les railleries, les insultes et les médisances, un réseau très maillé de femmes/debout,…EXISTE ( blogs, sites, associations…Où figurent des hommes aussi), au grand dépit ou à l’extême fureur des machos mâles et…Femelles!

Merci! OK