C’ est une "poupée"…Qui dit NON ! non,non, non,…

les afganes ( Photo : Afghanes qui « protestent » le 8 mars, Journée des Femmes)

Pour un ami/blog:

Celles qui la SUBISSENT et la REJETTENT…En CONNAISSANCE de cause !!!

 » …Tout est parti d’une photo publiée le 9 mars dans Le Figaro et relayée par Arrêt sur Images. Le Figaro évoque la journée internationale de la femme, dimanche 8 mars.
On y voit des femmes en burqa porter un foulard bleu sur leur tête « pour signifier leur appel à plus de justice ».
« J’ai été frappée », confie au Post.fr Miss Rainette, alias Bénédicte dans la vraie vie.
« Ces femmes ont été courageuses de nous envoyer un signe et je me suis dit que ce serait chouette qu’elles aient une réponse. »
Sur Le Post, Miss Rainette précise que « ce n’est pas une opération contre le voile, c’est juste une réponse à ces femmes en burqa ».
Vous pouvez envoyer une photo de vous avec un foulard bleu autour du cou à : foulardsbleus@laposte.net  »
Par La rédaction du Post le 06/04/2009 à 16:33.
Source Le Post.

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Que d’hypocrisies … Surtout ne pas « stig-ma-ti-ser  » (!)…Les « OPPRESSEURS » !!!(religieux, sociétés formatées par des mâles, etc…)

Les VRAIES stigmatisées, sont ces femmes, « emmurées » vivantes, et CONTRE leur gré, au soi-disant nom de Dieu…

Ce ne peut être, en AUCUN CAS, une TRADITION (!), que de DISPARAÎTRE « corps et biens » , dans une burqa…APPAREMMENT, même pas en Afghanistan !!! (Si on tient compte du vouloir de ces femmes).

Mais la « tradition »(!), concernant le mauvais sort des femmes, a encore de beaux jours devant elle . Une…FEMME(!), :Wangari Maathai, Prix Nobel de la Paix 2004 (re-forestation), a déclaré :« l’excision est au cœur de l’identité des Kikuyus, dont toutes les valeurs* sont construites autour de cette pratique ».
* Des valeurs FORMATEES par des mecs, pour conforter leur machisme triomphant: le plaisir sexuel leur est UNIQUEMENT réservé. La femme reléguée UNIQUEMENT, au rôle de latrines à sperme et à celui d’usine à descendants…masculins, de préférence !

Au « Village des Vagins », TOUTES les traditions, font une vie LIBRE, PACIFIEE et RESPECTUEUSE pour les femmes.

Quant aux lois ? Ce sont des FEMMES qui font les lois ..POUR ELLES-MÊMES et non plus DES mecs qui leur dictent LEURS PROPRES lois machistes, injustes et…VIOLENTES !

Bises…Sans burqa ! :no:

Et bon W-E à toi, avec ou sans…poupée qui dit oui 😉 !

La veinarde !!!

Julie (photo: assise)
Julia( photo: couchée )

Julia est trop mignonne avec ses cheveux roux ébouriffés, ses yeux étonnés, ses taches de rousseur et sa jolie petite bouche en coeur.
Elle a vu le jour dans un bœing 777 Paris/ Réunion. J’ai accouché d’elle, au petit matin,… sur le siège côté couloir, après 10h30 de travail intensif.
Ma voisine, compatissante, m’aidait de ses conseils…Entre deux sommeils.
J’ai dû mettre à Julia un petit pull et une écharpe, car il faisait froid dans la carlingue.
Ah ! J’oubliais : elle a le droit de voyager gratuitement sur « Air Austral », car elle est née en plein ciel : quelle veinarde !

" Ces êtres fantômes"…« Belphégor » ?

1726793-Burqa-Beach-Babes-1[1] (Photo: Burqa sun and sea).

Anne-Marie Le Pourhiet, professeur de droit public à l’Université Rennes 1.

[ Au nom de la sécurité et de la protection de l’ordre public, pensez-vous qu’il est
utile, voire nécessaire de réglementer ou interdire le port de la burqa
?

Oui, c’est une affaire d’ordre public et rien que cela, laissons tomber la dignité et la liberté religieuse qui ne sont pas en cause. Nous sommes en présence d’une façon « extrême » de se vêtir qui choque la population française d’une part et qui pose un réel problème de sécurité d’autre part. Il y a d’abord un problème de moeurs : ces êtres fantômes qui ressemblent à celui que le feuilleton « Belphégor » décrivait autrefois dans le musée du Louvre, font peur et impressionnent la population française.

Comme on n’admet pas qu’une personne se promène nue dans la rue, notre civilisation ne peut non plus supporter des personnes qui n’existent pas physiquement.
Je me suis trouvée récemment dans un grand magasin de Londres à côté de deux individus (qui me dit que ce sont des femmes, puisque même les mains sont gantées ?) en burqa et m’en suis éloignée spontanément parce qu’ils me gênaient et m’indisposaient terriblement.

Je vois dans cette provocation une atteinte à ce que nous appelons traditionnellement les bonnes moeurs. On ne choque pas délibérément une population.

Je vous renvoie à la jurisprudence abondante en la matière. On peut prescrire des uniformes à des salariés du secteur public ou privé, interdire de venir travailler en short et tongs, ou de rentrer torse nu ou en slip dans un commerce, on doit aussi, bien sûr, pouvoir interdire une tenue qui choque profondément la majorité des gens d’un pays.

Il y a ensuite un problème d’ordre public matériel manifeste dans la mesure où vous ne pouvez absolument pas identifier ces individus.
Le braquage récent d’une banque par deux hommes en burqa qu’un employé a laissé passer dans le sas d’une succursale d’Athis-Mons résume à lui seul la menace évidente pour la sécurité publique que représente cet accoutrement (Le Monde, 9 février 2010). L’employé a sans doute voulu éviter de se faire accuser de discrimination religieuse et a eu la sottise de les faire entrer. Mais rien ne me disait aussi, à Londres, que les femmes (ou hommes) qui m’entouraient ne cachaient pas une arme ou n’avaient pas l’intention de fourrer de la marchandise volée sous leur voile en se disant (2) qu’un agent de sécurité n’oserait pas les fouiller au nom du respect d’Allah.

Un député a voulu récemment aussi interdire les capuches sur la tête qui sévissent dans une certaine jeunesse et cela se rapporte également à une question de sécurité évidente. Lorsque vous êtes témoins d’une agression ou d’un accident on vous demande de donner le signalement de l’individu, mais ici vous décrivez quoi ou qui ? Ni le sexe, ni l’âge, ni la corpulence ni la longueur, ni la couleur des cheveux ne peuvent être décrits, ni le front, ni le nez, ni les mains, rien, absolument rien.’idée d’interdire uniquement dans les services publics, c’est bien gentil mais comment nos femmes en burqa vont-elles savoir manier les critères du service public que les étudiants en droit administratif ont déjà du mal à identifier ? Elles ne vont pas trimbaler le Chapus sous leur voile pour savoir si une banque, une poste, un bus ou une infirmerie sont un service public ou pas. Et on ne peut pas non plus les contraindre à s’habiller et se déshabiller toute la journée selon le lieu qu’elles fréquentent. Il est clair qu’une interdiction dans tous les lieux publics (au sens de « ouverts au public ») s’impose.

Les députés ont peur du Conseil constitutionnel ou de la Cour européenne des droits de l’homme mais ces juges n’ont jamais eu à trancher une question de ce type et leur appréciation de la conciliation entre l’ordre et de liberté n’a, en tout état de cause, pas plus de légitimité que celle des représentants de la nation. Un parlement d’une nation souveraine ne peut pas vivre dans la hantise du gouvernement des juges, il doit savoir s’affirmer. Sinon il faudra un référendum. ]
Source Marianne.

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LIBERTE! Que de saloperies sont commises CHAQUE seconde en TON nom !!!

PS- Une que l’on adore détourner, à des fins méprisables ? La « liberté d’expression »(!)…Accomodée à toutes les sauces…Même à la plus puante comme celle d’Orelsan par ex ! Qui n’accorde même pas à DES femmes la…LIBERTE de la CONTESTER (la « sauce »!!!)

Une artiste féministe et bisexuelle…

(vidéo du tango de nanas, très sensuel)

Frida Kahlo(tableau « la colonne brisée)

[ Membre du parti communiste, Frida Kahlo refuse le destin promis aux Mexicaines. Tout de suite, elle cherche à voyager, s’enrichir intellectuellement, à se faire connaître dans un milieu artistique très masculin. Ce qu’elle fera d’ailleurs. Frida deviendra même par la suite une icône féministe. Côté vie privée, elle épousera le peintre Diego Rivera, mais aura de nombreuses aventures, avec des hommes et… des femmes.
(1907-1954), dont la vie a été marquée par de graves problèmes de santé. Renversée par un bus à l’âge de 18 ans, elle s’en sort par miracle mais avec de multiples fractures. Sa jambe gauche, son bassin, ses côtes et surtout une partie de sa colonne vertébrale ont été brisés par la violence du choc, son abdomen transpercé.
Elle restera alitée pendant près de trois mois. Un an après l’accident, ses douleurs au dos l’obligent à se rendre de nouveau à l’hôpital. Immobilisée pendant des mois, contrainte de porter une série de corsets en plâtre, elle commence à peindre. On place un miroir au-dessus de son lit. C’est le début d’une série d’autoportraits dans lesquels il est souvent question de ses souffrances. Suite à son terrible accident, elle ne pourra jamais avoir d’enfants et fera de nombreuses fausses couches – autre thématique incontournable dans son œuvre.
Frida est morte à 47 ans seulement avec cette phrase superbe, demandant d’être incinérée, « car même dans un cercueil, je ne veux jamais être couchée« …

L’omniprésence de la douleur
Peinte en 1944, La columna rota est l’expression du mal physique et psychique profond dans la vie de Frida Kahlo. Cette année-là, elle doit porter un douloureux corset en acier durant 5 mois. Cette œuvre, l’une des plus connues de l’artiste, dévoile une colonne ionique brisée au centre de son corps déchiré et planté de clous. Comme dans tous ses autoportraits, le visage de Frida Kahlo
Ill. : Frida Kahlo, La columna rota (La colonne brisée), 1944, huile sur masonite, 39,8 x 30,5 cm (©Collection Museo Dolores Olmedo, Xochimilco, México).
Source

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Je suis tombée raide dingue de Frida, de son « village » Coyoacàn, de sa case bleue où je l’ai « vue » sur son lit, de son jardin où j’ai entendu ses pas, de son musée , de ses tableaux, de son histoire personnelle…
En plus, des amis mexicains chez qui on séjournait ( Un journaliste et sa compagne universitaire), n’ont pas tari d’anecdotes, lors de la visite…