" Faites Zemmour, pas l’avortement! "

Extraits:
[ La semaine dernière, le chroniqueur vedette de RTL s’attaquait à l’IVG. Décevant. Comme quoi, les histoires d’Zemmour finissent mal en général.

…En clair : si toutes ces salopes (1) n’avaient pas avorté, c’est Merkel qui mangerait dans la main de Sarko. Et non l’inverse.
Zemmour poursuit : 72% des femmes qui ont eu recours à l’IVG étaient sous pilule. Mais loin d’y voir la preuve que ces femmes, puisqu’elles étaient sous contraceptif, ne voulaient vraiment pas avoir d’enfant, il en déduit des « sentiments contradictoires » : « avoir un enfant sans le vouloir tout en le voulant ». C’est sûr, quand on prend la pilule, c’est qu’on veut un môme. Merci Eric Zemmour d’avoir enfin percé ce mystère : quand la femme dit non, elle pense évidemment oui.

Curieuse logique. Après tout, on aurait plutôt tendance à penser que le rapport de l’IGAS fait la nique aux pro-vie, puisqu’il démontre que, loin d’être devenu une méthode contraceptive, l’avortement reste ce qu’il était censé être : la solution de secours en cas d’accident (de pilule, de préservatif). Ce n’est pas l’avis d’Eric Zemmour, qui dénonce « la logique très française du droit à tout, qui fait qu’on est passé de la tolérance compassionnelle [la loi Veil, ndlr] à un droit acquis ». Ce qui, soit écrit en passant, en dit long sur ce que le chroniqueur de RTL pense des lois : de la « tolérance », de la « compassion ». Mais alors, un droit c’est quoi ? Un droit divin ?

Apparemment oui, pour Zemmour, qui poursuit: « Nous avons tous été des fœtus. Et le fœtus, il n’a pas de statut pénal, on peut le tuer tant qu’il n’est pas sorti du ventre de sa mère ». Ah oui ? Pourtant, l’IVG n’est autorisée que jusqu’à la 12e semaine. Sauf, effectivement, en cas d’avortement thérapeutique. Est-ce à dire qu’Eric Zemmour considère qu’une IVG pour raison médicale est un meurtre ?
« Donc, on se dit qu’on a beaucoup de chance d’être ici », conclut Zemmour, persuadé d’avoir échappé à une hécatombe de foetus. Qui a, en tout cas, fait une victime consentante : Zemmour.

(1) Pour ceux qui étaient trop jeunes à l’époque, les « salopes », c’est le nom que s’étaient donné les 343 femmes signataires, en 1971, du manifeste pour l’avortement rédigé en ces termes par Simone de Beauvoir : « Un million de femmes se font avorter chaque année en France. Elles le font dans des conditions dangereuses en raison de la clandestinité à laquelle elles sont condamnées, alors que cette opération, pratiquée sous contrôle médical, est des plus simples.On fait le silence sur ces millions de femmes. Je déclare que je suis l’une d’elles. Je déclare avoir avorté. De même que nous réclamons le libre accès aux moyens anticonceptionnels, nous réclamons l’avortement libre
. » ]

Source Marianne :Bénédicte Charles | Mardi 9 Février 2010 à 05:01

Hier, au JT de TF1 : les violences psychologiques du conjoint…

Au JT, petit rappel de la Vidéo: « La voix qui fait mal ».

[ Ces mots qui précèdent les coups:

Pas de sang, pas de larmes ni d’assiettes qui volent en éclat. Mais un thriller psychologique qui met en scène une femme dans son quotidien, dévalorisée par une voix qui la poursuit. Souriante, devant le miroir d’une boutique, la jeune femme essaye une jupe. La voix commente : « cette femme, c’est un vrai boudin, rien ne lui va ». Assise au zinc d’un bistrot, elle prend un café. La voix, toujours là, toujours péjorative : « Elle fait tout pour se faire draguer, c’est une vraie traînée »…

Pas de sang, pas de larmes ni d’assiettes qui volent en éclat. Mais ces mots qui font mal, ces mots qui précèdent les coups. Ces trente secondes de film ont été réalisées par Jacques Audiard pour la nouvelle campagne du gouvernement contre les violences conjugales, axée sur la violence psychologique. A la fin du court métrage, cette phrase : « Cette femme, c’est la mienne » et cette main qui rattrape la femme par l’épaule dans le parking. Gros plan sur les yeux apeurés de la jeune femme. Le message : « Ne laissez pas la violence s’installer. Réagissez ». Le 3919.

« Cette violence verbale et psychologique dans le couple est la plus ordinaire, mais à l’origine de toutes les autres », explique-t-on au cabinet de Valérie Létard, la secrétaire d’Etat à la solidarité. « La sape psychologique précède très souvent les coups, renchérit Françoise Brié, vice-présidente de la fédération Solidarité femmes et directrice de l’association l’Escale. Un jour, une femme s’entend dire: ‘la soupe est trop salée’ et le lendemain: ‘la soupe n’est pas assez salée’. Elle est dévalorisée à petit feu, prise dans une toile d’araignée, conditionnée pour recevoir les coups ». Cette domination psychologique d’une personne sur une autre comme un lavage de cerveau.

En France, en 2007, 166 femmes sont mortes frappée par leur compagnon. La violence psychologique détruit également : stress, dépressions, suicides… Depuis la mise en place du 3919, le numéro d’appel national destiné aux femmes victimes de violences conjugales, les plaintes ont augmenté. En 2007, selon l’Observatoire national de la délinquance, 47.500 plaintes ont été déposées pour violence volontaire sur une femme par son conjoint ou ex-conjoint. Selon le gouvernement, une femme sur 10 est victime de violences.
Source TF1.fr – Par Amélie Gautier Juin 2009.(campagne violences psychologiques )

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Ces violences existent : JE les ai rencontrées…

…Maîtresses occasionnelles et attitrée…Humiliations, injures, coups, viols, vêtements et objets personnels incendiés, lâchée du haut d’un escalier, strangulation interrompue, mise en joue avec un revolver, une 22 Long Rifle, menaces de défiguration à l’acide, d’être jetée du haut d’une falaise, suicide avorté, …Promesse de tuer nos 4 enfants si je divorce et les prends avec moi, au su et vu du Commissaire de la Police Judiciaire qui se déclare incompétent, etc…

Evasion, cachée dans les toilettes d’un avion…Impression d’être une survivante, la rescapée d’un séisme…

« Amputée », pansement des « fractures ouvertes », psychanalyses…Deux enfants rejoignent le nouveau foyer qq temps plus tard. Et les deux derniers renouent des liens encore plus tard…Tous ne veulent plus revoir leur « père »…

…TELLEMENT vivante et heureuse aujourd’hui: monamoureux adorable depuis 35 ans et nos trois amours d’enfants, tellement affectueux et attentionnés…Comme s’ils voulaient tous, « réparer » le mâle effet…

…Un amour de la vie et une pèche INCROYABLES…

…La vie PEUT être belle: il faut juste en PAYER le PRIX…

PS- JE ne laisserai plus JAMAIS, PERSONNE me faire du mal.

Article 214 du mariage…

vidéo sur le mariage

Article 214:
 » L’époux peut exprimer librement sa colère sur son épouse qui se doit d’accepter toutes sortes de violences et d’insultes. »

Commentaires de l’article de TF1 sur les violences psychologiques:

Fifi91,
ca fait dix ans que je vit avec un homme manipulateur, il me terrorise, il a une énorme emprise psychologique sur moi, je suis consciente de tous ça, j’ai 3 enfants et j’ai 28 ans, insultes et menace de mort devant les enfants. il essaye de m’isoler de ma famille qui me soutient et qui ne comprend pas pourquoi je reste avec lui. je sais qu’il ne changera jamais, j’ai peur de demander le divorce, de l’avenir. car je n’ai plus confiance en moi
le 21 Juin 2009 à 08h07

Viviane, le 15 Juin 2009 à 12h55
En voyant le spot tv pour la première fois bcp de choses me sont revenues en mémoire, à tel point quej ‘en ai fait un malaise.Mais, Monsieur Audiard, ce que vous avez montré n’est rien par rapport à la réalité, bien plus sournoise et insidieuse que ça. Pour tous ces manipulateurs, c’est un travail de destruction qui se fait sur des années, lentement, en silence, et dans l’indifférence. Voilà 7 ans que j’ai trouvé le courage de partir avec mes trois enfants avant qu’il ne soit trop tard et je n’arrive à me reconstruire, me retrouver, qu’aujourd’hui. Je travaille encore sur la confiance… car si je suis libre, je suis aussi seule. A toutes les femmes (ou les hommes) qui subissent ça, je dis : fuyez! Vous ne le changerez JAMAIS.

Pyrénées, le 12 Juin 2009 à 22h07
Mariée 2 ans avec un fou qui en public présentait charmant, qui me tenait par la ceinture le buste dans le vide, pliée sur la barre du balcon au 11èm étage d’une tour aux Mureaux ou qui tentait d’éteindre son mégot sur mon visage (j’ai grillé quelques couvertures) j’ai travaillé comme une folle pr mettre de l’argent de côté et divorcer. Et pourtant j’étais terrorisée moi aussi par les représailles annoncées mais pr ma santé mentale et celle de ma fille, je me suis barré, disposée à me défendre à fond. Non seulement ma famille ne m’a pas aidé mais elle m’a mme mis des batons dans les roues. Malgré tout, malgré un mauvais avocat. J’ai gagné en préservant ma fille, mme si j’ai failli en crever plusieurs fois.

Chris51, le 12 Juin 2009 à 14h53
battue et humiliée pendant 4 ans, je peux vous dire qu’il n’y a pas que la peur, mais aussi la honte… oui la honte de vivre cet enfer. Même si nous sommes victimes, lorsque l’on est prise dans l’engrenage on a honte de le dévoiler à notre entourage. alors parfois, on préfère même ne plus voir les gens devant lesquels on a été humiliée, voire violentée. Pourquoi? je ne sais pas, dix ans après je ne me l’explique toujours pas. je m’étais complètement laissée enfermer dans sa bulle et je ne pouvais en sortir puisqu’il avait réussi à me faire croire que « sans lui je n’étais rien , je serais perdue, ou une salope ». de toute façon on aura beau forcer une personne, à quitter son conjoint violent, elle ne le fera pas, il faut que la décision vienne d’elle. la seule chose à faire pour son entourage, être présent, l’écouter, sans l’obliger à faire quoi que se soit, sans juger même si c’est difficile de savoir qu’une personne que l’on aime souffre. Juste être là, pour qu’elle ne s’éloigne pas, honteuse de ce qu’elle vit.

Steph, le 12 Juin 2009 à 12h44
Nan: de toute évidence votre fille est malheureuse et certainement terrorrisée par son conjoint. Je ne pense pas qu’elle « accepte », comme vous dites, de se faire traiter ainsi mais elle a peur. Vous qui savez, aidez la! Comme vous écrivez, elle est surement aussi battue alors allez savoir ce qu’elle et ses enfants vivent au quotidien. Elle a besoin d’aide alors essayez de faire quelque chose. J’ai été battue pendant 3 ans par mon compagnon, j’étais pleinement consciente de ce qu’il me faisait subir mais voilà, il me terrorrisait alors je n’ai rien dit et personne n’a jamais rien vu! Ne laissez pas votre fille dans cet enfer.

Jacqueline, le 11 Juin 2009 à 16h14
Nan. Vous savez donc agissez et venez en aide à votre fille. Ouvrez lui les yeux, peut etre n’ose t elle pas vous parler, elle doit probablement se refermer sur elle meme et le temps n’arrangera rien.

Nan, le 11 Juin 2009 à 11h06
Depuis des années je vois ma fille se faire traiter plus bas que terre par son conjoint, même devant ses enfants, ça nous fait mal à mon mari et à moi, mais elle accepte. Je pense qu’elle en a peur et qu’il lui fait du chantage et peut-être de la manipulation, car maintenant on ne voit plus notre fille, il l’a éloignée de notre famille et elle reste avec lui. Je précise que depuis plusieurs années mon gendre ne travaille pas, c’est ma fille qui travaille, qui s’occupe de ses filles aussi bien au niveau scolaire qu’au niveau du sport, qui s’occupe même des papiers de son conjoint! J’espère qu’un jour elle ouvrira les yeux, car d’après l’ainée de mes petites filles il lui a déjà tiré les cheveux et peut-être plus…

Angie, le 11 Juin 2009 à 09h31
je veux bien entendre que les homme souffrent aussi de coups et d insultes, mais rarement ils meurent sous les coups .combien de femmes decedent tous les jours? meme avec des droits que ceux qu on attribut aux femmes , quoi qu on fasse on reste des esclaves. on eduque nos enfants parce que nous sommes des bonnes meres , mais on reste des faineantes parce que nous ne travaillons pas!!! et si on travaille on est des mauvaises meres. messieurs, quand comprendrez vous qu une femme ne peut pas tout faire ?

Noémie, le 11 Juin 2009 à 09h12
C’est vrai que les violences des femmes sur les hommes existent, mais il me semble que très rares sont les hommes qui meurent sous les coups physiques de leur femme. Et quand aux violences verbales, je pense qu’elles ne sont pas pires que celles infligées aux femmes. Un homme qui travaille a un statut minimum socialement. Les femmes qui choisissent ou qui acceptent d’arrêter de travailler n’ont plus aucun statut reconnu par la société et sont totalement dépendante ensuite de leur entourage dans ce domaine. Un homme méprisé par sa femme sait qu’au moins, il a sa place au travail, qu’il est quelqu’un avec de la valeur au moins dans ce domaine. Une femme à la maison qui n’est pas reconnue ni respectée chez elle, que lui reste-t-il ? Elle est complètement dévalorisée.

Noémie, le 11 Juin 2009 à 09h08
Effectivement, les violences verbales ne débouchent pas toutes sur des violences physiques : parfois les hommes s’arrêtent là (soit parce que ça leur suffit, soit parce qu’ils savent que passer aux violences physiques est dangereux), parfois les femmes demandent la séparation, parfois elles se suicident… Mais les violences verbales peuvent être aussi destructrices que les violences physiques, et c’est suffisant pour que les enfants sachent que le père méprise la mère (et puissent reproduire la situation, que ce soit avec des violences physiques ou non). C’est pourquoi il faut combattre ce fléau et protéger les femmes qui en sont victimes en leur offrant une porte de sortie.

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 » Monsieur Audiard, ce que vous avez montré n’est rien par rapport à la réalité, bien plus sournoise et insidieuse que ça. Pour tous ces manipulateurs, c’est un travail de destruction qui se fait sur des années, lentement, en silence, et dans l’indifférence. »

…L’in-di-ffé-ren- en en – ce !!!

" L’ indifférence"- G. Bécaud ( texte, paroles et musique ).

L’indifférence

Les mauvais coups, les lâchetés
Quelle importance
Laisse-moi te dire
Laisse-moi te dire et te redire ce que tu sais
Ce qui détruit le monde c’est :
L’indifférence

Elle a rompu et corrompu
Même l’enfance
Un homme marche
Un homme marche, tombe, crève dans la rue
Eh bien personne ne l’a vu
L’indifférence

L’indifférence
Elle te tue à petits coups
L’indifférence
Tu es l’agneau, elle est le loup
L’indifférence
Un peu de haine, un peu d’amour
Mais quelque chose
L’indifférence
Chez toi tu n’es qu’un inconnu
L’indifférence
Tes enfants ne te parlent plus
L’indifférence
Tes vieux n’écoutent même plus
Quand tu leur causes

Vous vous aimez et vous avez
Un lit qui danse
Mais elle guette
Elle vous guette et joue au chat à la souris
Mon jour viendra qu’elle se dit
L’indifférence

L’indifférence
Elle te tue à petits coups
L’indifférence
Tu es l’agneau, elle est le loup
L’indifférence
Un peu de haine, un peu d’amour
Mais quelque chose

L’indifférence
Tu es cocu et tu t’en fous
L’indifférence
Elle fait ses petits dans la boue
L’indifférence
Y a plus de haine, y a plus d’amour
Y a plus grand-chose

L’indifférence
Avant qu’on en soit tous crevés
D’indifférence
Je voudrai la voir crucifier
L’indifférence
Qu’elle serait belle écartelée
L’indifférence

Le sang menstruel : objet de peintures, sculptures, photos…

( Attention: les images peuvent paraître choquantes…A certains )

Sculpture de Kiki Smith Train 1993
Kiki Smith -« Train » 1993 (Sculpture).

O'Keeffe black irisIII 1926
O’Keeffe -« Iris III » 1926.

Vladislav Shabalin
Vladislav Shabalin – « Portrait d’un secret partagé » 1997.

Isa Sanz
Isa Sanz -Sangro pero no muero 2008

mimosa Palen pousse pousse
Mimosa Palen -« pousse pousse » 2008.

[ Le Sang menstruel dans l’art contemporain – L’ Art du Con.

Le flux menstruel, dans les sociétés primitives, apparaissait comme un phénomène manifeste bien qu’inexplicable. Les jeunes filles, un beau jour, grâce à une entente secrète et mystérieuse avec la lune, se mettent à perdre périodiquement du sang. Puis, de façon aussi mystérieuse, elles peuvent arrêter ce sang et en faire des bébés.
De cet état terrifiant de tabou, où elles refusent le contact et le rapport aux hommes, – état où la femme se sent simultanément sainte et impure -, fut initialement établi le noli mi tangere (ne me touche pas) des femmes pendant cette phase. La menstruation causant une certaine indisponibilité, sexuelle et sociale, les hommes réagirent immédiatement pour se venger d’être exclus ; les exemples de croyances populaires sont infinis ; en fait, il n’y a pas de limite aux maux qu’apporte la femme qui menstrue.

En Occident, les pouvoirs attribués à la femme sont presque systématiquement néfastes. “ L’approche d’une femme en cet état fait tourner les moûts ; à son contact, les céréales deviennent stériles, les greffons meurent, les plantes des jardins sont brûlées, les fruits des arbres sous lesquels elle est assise tombent ; l’éclat de miroirs se ternit rien que par son regard, la pointe du fer s’émousse, le brillant de l’ivoire s’efface, les ruches des abeilles meurent ; même le bronze et le fer sont attaqués par la rouille et le bronze contracte une odeur affreuse… ”.

Le corps des femmes est un corps étrangement dévastateur, un phénomène surnaturel, maléfique la plupart du temps. “ Fort heureusement, – écrit Briffault -, de même que tout poison peut avoir des applications bénéfiques, on voit, selon l’époque et le pays, des jeunes filles se promener à dessein au moment de leurs règles à travers bois et pâturages pour détruire, grâce à leurs miasmes toxiques, les chenilles, les sauterelles et autres insectes nuisibles des jardins”…

Cet étrange sang, magique et hors du contrôle des hommes, est un élément inquiétant ;. De là son statut bascule : cette femme incontrôlable qui, lorsqu’elle n’est plus la muse, lorsqu’elle ne jouit plus de la faveur de l’autorité des hommes, lorsqu’elle réfute sa mise en tutelle, ne peut être qu’un cadavre, une charogne, – les poètes l’ont assez dit -, une bête implacable et cruelle. Car en faisant d’elle une bête noire, une furie (une hystérique), en lui ôtant son humanité, l’homme souverain et créateur, blessé, la réduit et cherche à la soumettre, regagnant de fait son statut de mâle dominant…

Simone de Beauvoir nous dit : “ le sexe féminin est mystérieux pour la femme elle-même, caché, tourmenté, muqueux, humide ; il saigne chaque mois, il est parfois souillé d’humeurs, il a une vie secrète et dangereuse. […] Tandis que l’homme “ bande ”, la femme “ mouille ” ; il y a dans le mot même des souvenirs infantiles de lit mouillé, d’abandon coupable et involontaire au besoin urinaire ; l’homme a le même dégoût devant d’inconscientes pollutions nocturnes ; projeter un liquide, urine ou sperme, n’humilie pas ; c’est une opération active ; mais il y a humiliation si le liquide s’échappe passivement car le corps n’est plus alors un organisme, muscles, sphincters, nerfs, commandés par le cerveau et exprimant le sujet conscient, mais un vase, un réceptacle fait de matière inerte et jouet de caprices mécaniques. Si la chair suinte, comme suinte un vieux mur ou un cadavre, il semble non qu’elle émette du liquide mais qu’elle se liquéfie : c’est un processus de décomposition qui fait horreur »…

Du rapt à la reconquête du féminin : construire sur des ruines
“ Tant qu’elles ne le feront pas, tant qu’elles ne chercheront pas à se comprendre aussi passionnément et aussi profondément qu’il se peut dans leur différence d’avec les hommes – et tout d’abord exclusivement dans cette différence -, en utilisant à cette fin, scrupuleusement, les moindres indices de leur corps comme de leur âme, elles ne sauront jamais avec quelle ampleur et quelle force elles peuvent s’épanouir, en vertu de la structure propre à leur essence, et combien, en fait, les frontières de leur monde sont vastes. ”Kiki Smith
Source : extraits de l’article « le sang des femmes.over-blog.com »

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[ “Sangro pero no muero”
en 2008, avec son travail »Quand une femme saigne c’est un acte d’amour 31/1/2010
Exposition  » Du sang mais on n’en meurt pas », Isa Sanz dans le hall d’exposition du Teatro Calderón à Valladolid
Utilisant la photographie comme moyen d’expression essentiel, Isa Sanz transmet l’émotion et la profondeur de l’univers féminin dans un chemin jusque-là peu connus.

Une artiste poétiquement provocante qui a le droit de rendre son expérience de vie comme un cadeau à quiconque regarde son travail.]
LAGUIAGO.COM

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“ Tant qu’elles ne le feront pas, tant qu’elles ne chercheront pas à se comprendre aussi passionnément et aussi profondément qu’il se peut dans leur différence d’avec les hommes – et tout d’abord exclusivement dans cette différence -, en utilisant à cette fin, scrupuleusement, les moindres indices de leur corps comme de leur âme, elles ne sauront jamais avec quelle ampleur et quelle force elles peuvent s’épanouir, en vertu de la structure propre à leur essence, et combien, en fait, les frontières de leur monde sont vastes. ”Kiki Smith

…TELLEMENT vastes…

Il y a encore du boulot !

Pour "Elle" et pour…Celui qui veut se voir en femme…

( Very busy day…A + )
Photos : Tests en brune et blonde, court et mi-long entre autres…

miia
miii
miee
moii

 » NOUVEAU sur le site.
Testez de nouvelles coiffures Le studio de coiffure du Journal des Femmes vous permet d’essayer de nouvelles coupes et de les montrer (en toute discrétion * ) à vos ami(e)s.  »
( Tingy: * pourquoi donc ? ! )

Évidemment, les mecs devront se raser avant…Quoique…La femme à barbe peut être très originale, si,si !

Histoire de la serviette hygiénique…

[ Les menstruations à travers les âges

En 500 av. J.-C., Hippocrate écrit sur l’utilisation des tampons en Grèce antique. Voir : http://www.mum.org

L’histoire de la serviette hygiénique est intimement liée à celle des sous-vêtements. Au moyen âge, personne n’utilise ni l’une ni l’autre : les femmes portent toujours des jupes longues ( même lorsqu’elles travaillent dans les champs ). Elles utilisent probablement des serviettes de fortune ou des tissus comme protection, ou encore laissent simplement le flux couler.
Source: The Wesleyan Argus Features – February 13,
2007- History of underwear, Mike Repplier on
http://www.wesleyanargus.com/printable.
php?article_id=4555

À la même époque, les sous-vêtements longs et ajustés deviennent de plus en plus populaires, parce qu’ils collent à la peau et gardent les vêtements propres. Saletés, huile et sécrétions de l’organisme restent donc emprisonnées de longues périodes dans ces sous-vêtements. Assez dégoûtant.

Au XVIIIe siècle, en Europe, les femmes de la haute société commencent à porter des culottes longues sans entrejambe pour se couvrir : les jupes à la mode sont alors un peu plus courtes, et montrer ses chevilles est considéré comme trop sexy. Lorsqu’elles ont leurs règles, les femmes qui ont les moyens de se procurer du tissu s’en recouvrent l’entrecuisse pour absorber le flux menstruel.
Voir : http://www.mum.org

Au XIXe siècle, l’industrialisation mène à l’invention de l’égreneuse de coton et de la jenny ( machine à filer le coton ). Ces machines permettent la production de
masse de tissu en coton, avec lequel on fabrique les sous-vêtements.

Ce n’est que dans les années 1880, lorsque l’on associe médicalement les germes à l’infection, que l’on prend conscience de l’importance de l’hygiène. En ce qui concerne les menstruations, les médecins sont divisés :
certains croient qu’elles nettoient le corps féminin de ses impuretés, alors que d’autres les considèrent comme une maladie. Mais tous s’entendent pour dire que la menstruation est un signe de déséquilibre important chez la femme. Selon eux, « une femme ne devrait jamais avoir de règles »… aussi bizarre que ça puisse paraître aujourd’hui!
Source : Du sang et des femmes. Histoire médicale de la menstruation à la Belle Époque, Jean-Yves LE NAOUR et Catherine VALENTI danshttp://clio.revues.org/document114.html

À la même époque, l’Église soutient que les menstruations correspondent au châtiment subi par Ève pour le péché originel qu’elle a commis.

Au début du XXe siècle, dans les filatures de coton, on recouvre les planchers de paille pour que le flux menstruel des femmes qui travaillent debout de longues heures puisse être facilement ramassé à la fin de leur quart de travail.
Lorsque des suffragettes choquées de cette façon de faire suggèrent aux travailleuses d’utiliser des serviettes hygiéniques, les mères s’y opposent, affirmant que l’odeuret le sang séduisent les maris.
Source : Joy Shillaker à http://www.mum.org/whatwore.htm

Les serviettes à bande adhésive ne sont inventées que dans les années 70 ( ! ). Avant l’arrivée de cette bande, les serviettes sont attachées à une ceinture élastique qu’on
porte à la taille ( votre mère en a sûrement porté une ). Quant aux autres, elles arrivent sur le marché seulement dans les années 80. ]
Source: http://www.mum.org/paddir.htm

Article: Source stayfree

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 » À la même époque, l’Église soutient que les menstruations correspondent au châtiment subi par Ève pour le péché originel qu’elle a commis.

Elle soutient toujours tant de bêtises( le mot est faible !) sur les femmes…

…Et dire que les églises sont en MAJORITE fréquentées par des …femmes, qui gobent tout cet obscurantisme, de MECS, sans broncher !!! »

" Le coyotte impromptu"…

Une femme se rend chez son gynécologue.
Celui-ci lui demande :
– Madame, est-ce que vous fumez après avoir fait l’amour ?
– Je ne sais pas, je n’ai jamais regardé !

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Une femme arrive chez son gynécologue :
« Docteur, je suis enceinte
– De combien ?
– Euh… seulement de mon mari ! »

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« Docteur, j’ai accepté la sodomie et je ne vois pas comment faire marche arrière »

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« Mon mari ne connaît que la position du missionnaire et pourtant il n’a jamais été croyant ! »

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Une patiente de 26 ans vient d’avoir son sixième enfant. Le gynécologue lui demande si elle utilise un moyen de contraception. Elle lui répond :
– J’aime pas prendre des cachets… On préfère faire le coyote impromptu, ça marche bien ! (c’est plutôt le coït interrompu !

Source femmesplus

Mourir d’aimer.

Vidéo CNN : attention images terribles que l’on n’est pas obligé de regarder; on peut juste lire l’article.

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Tina Susman – © The Chicago Tribune :

[ Une mince jeune fille à la chevelure noire est traînée par la tête au milieu d’une populace vociférante. En quelques secondes elle est à terre, en position fœtale, tentant vainement de protéger sa tête d’une pluie de pierres.

Quelqu’un lance violemment un bloc de béton à l’arrière de sa tête. Une rivière de sang s’écoule de sous ses cheveux longs en désordre. La jeune fille cesse de bouger, mais les pierres continuent de tomber, en même temps que les cris de victoire des hommes qui les jettent.

Aux yeux de beaucoup de membres de sa communauté du nord de l’Iraq, le crime de Duaa Khalil Aswad, 17 ans, était d’aimer un garçon ayant une autre religion. Elle était membre de la secte religieuse marginale des Yezidis [1], et lui, un musulman sunnite. Pour l’oncle et les cousins d’Aswad, c’était une raison suffisante pour la mettre à mort, le mois dernier, dans le village de Bashiqa.

Des groupes de femmes disent que la vidéo montre le glissement vers l’arriération tandis que l’intolérance ethnique et religieuse se renforce.

« Il y a un nouveau contrôle Taliban de la vie des femmes en Iraq », affirme Hanaa Edwar, une activiste de l’association de femmes iraqiennes, Al-Amal, une organisation non gouvernementale de Baghdad. « Je pense, sans le moindre doute, que cette histoire se répétera. Je crois que si la sécurité n’est pas assurée, de telles choses deviendront très fréquentes. »

Le cas a des dimensions beaucoup plus larges en Iraq, où la colère qui en découle montre la discorde ethnique, religieuse et sectaire qui affecte virtuellement tous les problèmes, même le meurtre d’une jeune fille.

Cette colère a été alimentée par la diffusion d’images-vidéo prises avec un téléphone portable, qui figurent sur Internet et qui ont été le centre d’un reportage de CNN, durant le week-end.

Les Kurdes, dont font partie les Yezidis, soupçonnent les Arabes sunnites de répandre ces images effroyables pour alimenter la colère contre les Yezidis et ébranler la communauté kurde, qui bénéficie d’un certain degré d’autonomie au nord de l’Iraq et qui en désire davantage.

« Il semble qu’ils essaient de gonfler l’événement dans des buts politiques », affirme Mohsen Gargari, membre du parlement kurde.

Dans une interview, lui et deux autres parlementaires kurdes ont condamné le meurtre de Aswad. Mais ils ont fait remarquer qu’en février, une femme sunnite avait été tuée par des membres de sa famille pour avoir eu une relation avec un Yezidi. « Personne n’en a parlé. Personne n’a filmé la scène, ou n’en a fait grand cas », dit-il.

ONU : Les crimes d’honneur sont en hausse

Dans un rapport publié le mois dernier, les Nations unies affirment que les crimes d’honneur (meurtres de femmes) sont en hausse en Iraq. Selon le rapport, rien qu’en janvier et février, au moins 40 femmes ont été tuées pour une prétendue « conduite immorale », allant d’un voyage en voiture avec un homme qui n’est pas de sa parenté, jusqu’à un adultère.

Contrairement à la mort d’Aswad, aucun de ces crimes d’honneur n’a entraîné des représailles.

Deux semaines après la lapidation du 7 avril, des hommes armés ont extrait d’un bus 20 passagers yezidis, au nord de la ville de Mossoul, à environ 20 miles au sud de Bashiqa, les ont mis en ligne devant un mur et les ont abattus. Le jour suivant, un groupe sunnite insurgé, lié à Al-Qaeda, a revendiqué la responsabilité de l’explosion d’un car, visant les bureaux d’un parti politique kurde dans le nord de l’Iraq, affirmant que c’était pour venger la mort d’Aswad.

« Nous prévoyons davantage de violence, mais nous avons déjà payé le prix », dit Mahama Shangali, membre Yezidi du Parlement.

Shangali affirme que trois de ses cousins ont été tués récemment à Mossoul, qui compte une importante communauté yezidie. Edan Ashaik, un Yezidi vivant à Mossoul déclare que, le mois passé, des membres de la secte ont été avertis par des Arabes d’avoir à quitter la ville. Des étudiants d’un collège yezidi ont fui l’université de cette ville, par peur d’être agressés.

« Je dois recommencer mes cours l’année prochaine, ou bien me déguiser pour aller passer mes examens », dit Amal Jibor, jeune fille de 23 ans qui voudrait acquérir ses grades universitaires, et affirme qu’elle et sa famille ont quitté Mossoul et vivent avec des parents dans une maison trop étroite à Bashiqa. Jibor précise que la plupart des Yezidis s’opposent à la mort par lapidation, mais elle se fait l’écho de l’opinion des politiciens, selon laquelle l’affaire a été exploitée.

« C’était un problème ordinaire, mais il a été exploité et transformé en une cause politique », dit Jibor.

Shangali et beaucoup de Yezidis, ainsi que des Kurdes non-Yezidis, sont convaincus que la diffusion de la vidéo fait partie d’un complot pour diviser la communauté kurde du nord de l’Iraq. Ils affirment que cela va retarder la possibilité que les Kurdes procèdent à un référendum prévu pour cette année sur l’autonomie pour quelques régions du nord, incluant la ville de Kirkouk et des terres contestées en bordure de la région semi-autonome du Kurdistan. Les Arabes sunnites sont hostiles à l’autonomie kurde et s’opposent à la tenue du référendum.

« Pour empêcher qu’il ait lieu, ils ont utilisé cela [le lynchage de la jeune fille] pour constituer une opposition unie aux Yezidis », dit Shangali. Quand on lui demande qui se cache sous ce « ils », Shangali cite les partisans intransigeants de l’ancien dirigeant iraqien, Saddam Hussein, un Arabe sunnite dont la campagne pour « arabiser » la majeure partie du nord de l’Iraq a mené au déplacement de centaines de milliers de Kurdes.

Les représailles attirent davantage l’attention

Les récits de ce qui est arrivé à Aswad varient, mais certaines choses sont claires. Elle a noué une relation avec un jeune Arabe sunnite. Dans un effort pour séparer le couple et apparemment pour protéger Aswad de la rage de son oncle et de ses cousins, son père l’a emmenée chez un clerc à Bashiqa. Aswad est restée là une semaine, jusqu’au 7 avril, quand son oncle et au moins deux de ses cousins ont enlevé la fille.

Un membre de la famille qui ne veut pas qu’on l’identifie affirme que le père de Duaa Aswad, Khaleel Aswad, a essayé d’empêcher le meurtre et a accusé son frère, Saleem Aswad, de l’avoir organisé. Le général Wathiq Hamdani, de la police locale, affirme que Saleem Aswad fait partie des personnes recherchées en relation avec la lapidation.

Le récit de la lapidation n’a encore reçu que peu d’attention en Iraq. La nouvelle du meurtre des hommes Yezidis, deux semaines plus tard, apparemment en représailles pour la mort de Duaa Aswad, ont davantage attiré l’attention des médias locaux. Des femmes iraqiennes disent que c’est le signe de l’obsession du pays concernant les implications sectaires et politiques de la violence, aux dépens de la préoccupation pour les droits des femmes, et particulièrement de la mort d’une jeune fille.

« Je suis vraiment désolée que nous en soyons venus à traiter les problèmes de cette manière », déclare Ghazan Alyas, une enseignante yezidie vivant à Bashiqa.

« Il y en a qui disent que des forces extérieures sont à l’origine de ce qui s’est passé », dit-elle, se référant aux accusations d’ingérence arabe. « Mais je pense que c’est une illusion. La pensée qu’un tiers soit impliqué dans ce qui est arrivé n’est qu’un moyen de nous exonérer, nous et notre culture ignorante, de nos responsabilités. ]

Source Chicago Tribune. Traduit et mis en ligne le 22 mai 2007, par M. Macina, sur le site upjf.org

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Pour qu’Aswad « survive » dans nos coeurs…

La pilule pour homme ? Le congélateur !

La première pilule pour homme 100 % efficace

Développée par des chercheurs écossais, une pilule contraceptive testée sur 60 hommes à Edinbourg (Ecosse) et à Shanghai (Chine) s’est révélée efficace à 100 %. D’autres essais devront être conduits, mais les chercheurs envisagent sa mise sur le marché dans les cinq ans.
Doctissimo (juillet 2000)

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Nous sommes en… 2O10!

Mais où est-elle donc passée, cette pilule ?

Comment?

Ah! c’est vrai, un sondage avait montré qu’une majorité de…mecs la bouderait?

On les comprend, des nanas se sont toujours débrouillées toute seules, depuis la nuit des temps, avec les effets « pervers » du sperme !

….Avec « TOUT » d’ailleurs. Bref !…

Alors ? Alors rien: on prend les « mêmes » et on continue.

Le partage, la gestion des « soucis », comme des plaisirs, SYSTEMATIQUEMENT, par les DEUX partenaires ? Pfff !

…Et des bébés sont tués et mis au congélateur…

Ainsi va le monde !

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 » 98% des femmes semblent être favorables au partage des tâches en matière de contraception et seuls 2% estiment ne pas pouvoir faire confiance à leur partenaire. Deux tiers des hommes se déclarent prêts à essayer cette nouvelle méthode de contraception dès sa mise sur le marché. »
Source l’exode – Rédigé par so-me-from-06 : le 01/09/2007 à 17h03

Forum extrait:

[ Par foumimi le 19/06/2008 à 22h48

Mais et nous est-ce qu’on avait vraiment le choix quand la pilule est arrivée? Je ne pense pas ! Alors arrêtez de dire que les mecs ci les mecs ça ! Faut savoir un peu les obliger ! Moi je ne la prends pas, un préservatif ça suffit amplement, c’est moins contraignant et au moins mon corps est parfaitement clean !
A mort les idées reçues du style « les hommes voudront pas niania ! » ou « les hommes ne savent pas faire le ménage » : LAISSEZ LES FAIRE ! Arrêtez un peu de les prendre pour des bébés ! C’est vriament soulant ! Après on s’étonne de ne voir que des femmes à moitié dénudées dans les clips et jamais de mecs.. pff ! ]