
( photo : pour moi, c’est…LUI !)
» Dans les cabinets, les thérapeutes voient de plus en plus dhommes se plaindre du comportement de leur femme.
Ils rapportent quelles sont de plus en plus exigeantes sur leur relation, veulent que leurs hommes sinvestissement plus dans léducation des enfants, des tâches ménagères et quils respectent plus leur indépendance.
Parfois certaines demandes sont contradictoires rapporte julien : « ma femme veut que je la réconforte et que je la soutienne dans ces initiatives professionnelles. Quand jessaie de le faire, elle me reproche que je my prend mal ».
Dans ces propos, on voit donc que les femmes ont changé, ceux qui obligent donc les hommes à reconsidérer leur position dans la famille. En effet, les liens amoureux ne sont plus codifiés par la famille, la religion ou le statut social. Ces notions sont révolues et les femmes souhaitent surtout plus dentraide et de soutien car leur travail ne leur permet plus de soccuper toute seule des tâches de la maison.
Ce changement de mentalité bouscule les hommes dans leur rôle traditionnel de père et les poussent dans leur dernier retranchement.
Aujourdhui, le couple nest plus un endroit ou le moi sefface au service de la famille, bien au contraire, elle doit servir à lépanouissement personnel de CHACUN.
Alors comment réaliser ce grand écart ?
Pour pourvoir concilier vie de famille et épanouissement individuel, il faut que chaque membre de la famille accepte de perdre un de son confort personnel, sur le plan de lavoir pour gagner sur le plan de lêtre.
Pour cela, il est nécessaire de mettre des limites à ce « moi » et établir un pont à limage du « pont-levis ». Cette passerelle permet de respecter lindépendance de chacun en alternance avec des moments dintimité conjugale. En dautres termes, de faire coexister le « moi » et le « nous »
Facile à dire, nest ce pas ? Mais au quotidien, comment sy prendre pour faire coexister ces deux notions.
Cela se passe évidement par un dialogue sincère entre les deux personnes concernées pour trouver un terrain dentente.
Au final, chacun doit puiser un certain nombre de satisfaction à côté des contraintes de gestion de la vie conjugale : temps libre pour soccuper de soi, respect de lespace personnel etc.
Ensuite, il faut toujours dénouer les points de stress lorsquils apparaissent. Cet état de stress trouve le plus souvent son origine au travail. Il faut donc être très attentif car le stress peut engendrer des conflits et des disputes.
La famille aussi est source de dispute, pour être constructif, le conflit doit rester circonscrit au sujet de départ.
Pensez aussi être attentionné envers votre femme et ne pas hésiter à lui faire des compliments. Cela se passe par des petites surprises de temps en temps et des moments de complicité à deux. Le physique compte aussi beaucoup dans un couple.
Lhomme doit donc pouvoir prendre soin de son corps afin de susciter le désir et lattirance.
Tous ces signes doivent apaiser latmosphère à la maison et renouer une bonne relation conjugale avec votre femme.
L’homme idéal ou le prince charmant n’existe pas, celui doit juste essayer d’exprimer ses émotions, savoir séduire, gérer les conflits à la maison, subvenir au besoin de la famille si nécessaire et respecter l’intimité de sa conjointe. »
Source portail conseil
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» Lhomme doit donc pouvoir prendre soin de son corps afin de susciter le désir et lattirance. »
Bein oui, les kg en trop, la bedaine , le cheveu rare, les rides, la peau flasque,l’haleine écoeurante,le caleçon fatigué, etc,…Il n’y a que les hypocrites ou les intéressées pour faire croire que cela ne compte pas .
Le drame, c’est que l’on a des YEUX nous aussi…
L’amour, c’est une chose. La sexualité, en est une autre ! Tout comme pour les mecs, elle exige…Le DESIR, l’ATTIRANCE !
Oups, pardon ! J’avais oublié la capacité phénoménale qu’ont beaucoup de femme pour…IMITER l’orgasme; beaucoup plus « vrai » que nature !
Une chance pour elles, qu’on ne voit jamais leur « calme plat »…Il leur suffit de faire semblant! Ce n’est pas grave pour lui: plus elles « geignent », plus il prend son pied ! Mais il est très difficile pour elles de sortir un jour de ce schéma…
Avec un autre, peut-être, en s’interdisant ABSOLUMENT de tricher…A nouveau ?
C’est TELLEMENT…GEANT quand c’est TOUJOURS pour de vrai, pour…ELLES ! 😉
J’entends là enfin dites, des vérités fondamentales qui nous concernent tous, nous les hommes et les femmes. J’ai eu la chance de connaître une belle femme qui n’a jamais triché avec moi. Nous nous cherchions parfois douloureusement mais sans nous contenter d’à peu près. Quelle découverte pour moi .Quels progrès j’ai fait je l’avoue. Cette belle exigence peut porter très haut. Elle est pourtant un parcours difficile ou l’homme peut se fragiliser au point d’y perdre sa virilité. ou, si tu vois ce que je veux dire, ce qu’il croit être sa virilité.
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« J’ai eu la chance de connaître une belle femme qui n’a jamais triché avec moi »
C’est » pourtant un parcours difficile « … Pour une femme !!!
Parce que beaucoup ( presque toutes ? 95 fois sur cent prétend Brassens!) de femmes trichent pour diverses raisons:
-Ne pas se faire taxer de frigide
-Passer pour un super coup
-Ne pas être à la ramasse, alors que TOUTES les autres grimpent soi-disant aux rideaux
– Ne pas oser s’affirmer: « non, je n’en ai pas envie,là »
-Vouloir TOUJOURS faire plaisir à son mec en occultant son propre plaisir; quitte à jouer en boucle une frustrante comédie…Pour elle!
-Etc…
Bref!
… »Cette belle exigence peut porter très haut »…
Je ne te le fais pas dire: bien au-delà du 7ème ciel…pour tous les deux !!!
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C’est vrai qu’il y a comme un asservissement dégradant à un « mauvais pacte » qu’ils auraient signé en secret et qui les obligeraient l’un et l’autre à se taire et à subir. Elle pour toutes les raisons que tu as si bien et crûment dites et Lui pour
– ne pas se faire soupçonner d’être impuissant ou seulement un peu mou.
– passer pour un super baiseur.
– pouvoir l’épater par ses performances (nb. de fois,résistance, longueur de son sexe, durée de son érection)
– ne pas oser dire « non là j’en ai assez » « je fatigue ».
– vouloir à tout prix la faire jouir comme une folle et l’entendre crier.Quitte à s’essouffler et à la travailler comme un boeuf poussif et de petite inspiration.
Voilà ce tout ce dont j’ai pu me débarrasser ou presque ( j’aime encore trop quand elle jouit, qu’elle geint, qu’elle crie, mais faut que ça vienne naturellement).
Le parcours a été difficile Toute une ré-éducation.C’est parce qu’elle a lâché ses trucs que j’ai pu lâcher les miens.
Enfin j’ajoute qu’il y a des grâces inexplicables et des partenaires ( enfin pour moi au moins une) avec qui rien de tout cela n’entre en jeu.
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Waouhh !
Rien à rajouter !
J’ ai un frisson de plaisir* quand je te lis ( *non, non ,pas celui-là -rires!- J’ai ce qu’il faut à la maison…)
Plaisir de communiquer sur un « mauvais pacte », signé par…la société à notre place !
Ces mauvais jeux de rôles dont on nous a affublés d’office qui conviennent à certains(es), mais qui représentent pour beaucoup d’autres un carcan qui peut aller jusqu’à nous enfermer dans une vie…schizophrène !
Après, on s’étonnera de la grande difficulté que rencontre la majorité des couples à vivre ensemble !
La frustration, l’insatisfaction, le non-dit, la non-comunication
trouvent un exutoire dans l’agressivité et diverses formes de… violences !
PS- Honnêtement, dans ce domaine, beaucoup de femmes gagneraient à « baliser » le parcours sensuel de LEUR mec, concernant ce qui les électrise, ELLES !
Mais là aussi, la société a tout perverti: comment ne pas être réduite à une « grosse salope » ou à une « petite coincée du Q » ?
» Enfin j’ajoute qu’il y a des grâces inexplicables et des partenaires…avec qui rien de tout cela n’entre en jeu ».
EXACT ! Souhaitons le même…Nirvana à tous !!!
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