Le sex-shop : arme dans les luttes municipales01/03/2009 /
[ « Vous membêtez
? Jouvre un sex-shop ! : cest ainsi que Michael Zarlenga a réagi récemment, daprès un article du Washington Post …
Dans le quartier dOld Town Alexandria, Zarlenga voulait agrandir son magasin. La commission locale des monuments historiques a refusé. En réponse, il a loué lespace à un sex-shop …
Cela rappelle une affaire similaire en France, où, dans le petit village de Saint-Béat, un boulanger a ouvert un sex shop pour protester.
Les arts de la résistance suivent parfois des règles structurelles. ]
Source Baptiste Coulmont.
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Avec très peu de moyens, des femmes pourraient, elles AUSSI, par des actions spectaculaires, changer leur propre vie et celles de millions d’autres , dans le monde:
– familial
– Social
– Du travail
– Des arts…
Je sais, « ELLES » ne VEULENT pas !
AMEN!
SAMBO NANAS 
je ne vois pas pourquoi l’ouverture de sex shop gêne autant que ca, si il y en a c’est qu’il y a des acheteurs, quelle hypocrisie ! mais bon si ca marche pour faire du chantage aux politiques, cest bel et bien un moyen de résistance pacifique très appréciable.
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J’ai cliqué sur ton lien et j’ai atterri où ?
Dans ton sex-shop ! :yes:
Ce n’est pas mon truc, cependant, si cela pouvait inciter des mecs à agresser une poupée gonflable plutôt qu’un vrai vagin, ce serait super pour les nanas
Mais hélas, les viols ne sont pas une sexualité violente mais bien des violences/domination exercées sexuellement
Bonne continuation ! 😉
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En fait, quand j’écris ce genre d’article c’est pour mettre en lumière la…PASSIVITE(!) d’une majorité de femmes!
La phrase qui revient sans cesse: qu’est-ce que tu veux c’est comme « ça » !!!
Alors que c’est faux: les femmes peuvent toujours faire comme si, heu pardon, -comme « si » elles le font tout le temps!- non, faire comme « ci », et non plus comme « ça » ! 😉
Douce journée Anne !
NB- tu as le même prénom qu’une amie qui était chère à mon coeur…
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