Peintes comme des minibus haïtiens et habillées de façon putassière…

Vidéo de l’incident: Arruda , l’étudiante Brésilienne, par qui le scandale arrive:

Arruda a 20 ans !
Que dire de ces mamans françaises qui ne voient RIEN à redire quand leurs petites filles dès 12/13 ans vont en classe vêtues de façon racoleuse, peintes comme des minibus haïtiens et décorées comme des sapins de Noël…
J’ai eu des filles qui voulaient, à 15 ans, imiter leurs petites camarades en se rendant en classe le nombril à l’air, la jupe au ras de la cucunette et les seins débordant du petit haut.
Après une petite explication de texte, elles ont parfaitement compris que le collège et le lycée sont des lieux où on va acquérir le SAVOIR et nullement des endroits d’apprentissage du PARAÎTRE; elles étaient là pour apprendre, et non pas pour favoriser des érections intempestives chez leurs profs et leurs petits camarades.(Je sais ils n’ont pas besoin de ça, raison de plus!)
Par contre, elles s’habillaient à la « mode » (!), le reste du temps. Chez nous, il y a belle lurette que se baigner les seins nus sur les plages, ne provoque plus d’émeute. Le climat favorise le port du short, des minijupes et des dos nus , parfaitement tolérés et…Adoptés largement par la population…Si ce n’est par l’Église!

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[ L’université privée Bandeirante de Sao Bernardo do Campo, en périphérie de Sao Paulo, affirme que la jeune Geisy Arruda, âgée de 20 ans, a manqué de respect aux « principes éthiques, à la dignité académique et à la moralité ».

Arruda avait fait les gros titres le mois dernier parce qu’elle avait eu besoin d’une escorte policière lorsqu’elle avait voulu aller en classe dans cet accoutrement minimal. Elle était repartie revêtue d’un imperméable blanc emprunté à un professeur, sous une bordée d’insultes de ses camarades.

Une vidéo de l’incident a été postée sur YouTube, et relayée par les réseaux télévisées brésiliens. Depuis, la jeune fille apparaît régulièrement sur les écrans de TV, où elle dit se battre pour retrouver une vie normale après cette humiliation.

La page de publicité de l’université soutient qu’Arruda s’est rendue en classe dans une tenue inadéquate, avec une attitude provocante incompatible avec l’environnement de l’université. Sous le titre « responsabilité éducative », le collège précise qu’il a prévenu l’élève en lui demandant de changer de comportement, et décidé de l’expulser après concertation avec le corps enseignant et les étudiants. Il l’accuse d’avoir posé pour des photos et d’avoir provoqué les autres jeunes.

Arruda dit son incompréhension. « J’ai été la victime. Comment peuvent-ils m’expulser? » proclame-t-elle sur Fohla Online. Elle dit aussi avoir appris son renvoi par les médias. Les autorités universitaires lui avaient indiqué la semaine précédente qu’elle pourrait seulement retourner en classe accompagnée d’un garde du corps.]
Source le Matin.ch