![Fournaise1860[1]](https://tingytanana.com/wp-content/uploads/2009/10/3967804_182cb2edd5_m.jpg?w=840)
( Beau dessin datant de…1860 ; l’un des volcans les + actifs du globe ! Voir ci-dessous )
» Les éruptions de la Fournaise :
Latitude : 21°22 Sud ,Longitude : 55°71 Est ; Altitude : 2631 m( Eruptions en :2008, 2007, 2006, 2005, 2004, 2003, 2002, 2001,2000, 1999… En 1977, une éruption fissurale se produisit hors de lenclos Fouqué, et un village, Piton-Saint-Rose, fut détruit, en partie, par une coulée de lave. (Les éruptions, depuis 1800, se produisent soit dans les deux cratères sommitaux du cône central (le cratère Dolomieu et le cratère Bory) soit à lintérieur de lenclos Fouqué). Un observatoire volcanologique fut donc créé deux ans plus tard à une vingtaine de km du volcan dans la Plaine des Cafres. En 1986, une nouvelle éruption fissurale a lieu hors de lenclos Fouqué et elle détruisit quelques habitations du village de Tremblay.
LES DERNIERES ERUPTIONS
Après une période dinactivité de plus de cinq années et demie (entre 1992 et 1998), le Piton de la Fournaise est de nouveau un des volcans les plus actifs de la planète avec le Kilauea, l’Etna et le Stromboli. Depuis léruption de mars 1998 (196 jours), les éruptions se sont succédées, avec du plus récent au plus ancien :
–Le 21 septembre 2008 (11 j) :
L’éruption s’est produite dans le cratère Dolomieu. Une petite boucle s’est ouverte à mi pente dans le flanc interne du Dolomieu et une petite coulée est descendue dans le cratère du Dolomieu. Nous entrons dans la phase de remplisssage du cratère. lmors de cette éruption. Le volume émis est de 850 000 m3. L’éruption s’arrête le 2 octobre.
Le 2 avril 2007 (30 j) :
l’éruption redémarre au matin du 2 avril avec une nouvelle fissure qui s’ouvre dans le secteur de la rupture de pente du Grand Brûlé, près du rempart du Tremblet. Des fontaines de lave de près de 200 m de haut s’élèvent au début de l’éruption avec des cheveux de Pelé. Les coulée de lave dévalent la pente est très rapidement (dans l’après-midi) elles coupent la N2 puis les laves se déversent dans l’océan Indien. Le débit est important puisquil est estimé par moment entre 100 et 200 m3/s.
–Le 6 avril,
lobservatoire qui continue à enregistrer des séismes sous le Dolomieu constate un début deffondrement du cratère sommital. Un panache opaque, sous la forme dun champignon, se dégage au-dessus du sommet. Résultat : un trou béant de 300 m de profondeur et une fissuration intense des parois du cratère. Les 7 et 8 avril, le trémor faiblit et les fontaines de lave disparaissent ; le débit des coulées se ralentit.
Entre le 8 et le 13 avril,
lactivité du volcan diminue. Le 13 avril , le cratère du Dolomieu seffondre une deuxième fois, emportant une partie de la zone de la Soufrière. Les coulées de lave entre le cône à 650 m daltitude et environ 250 à 300 m progressent essentiellement dans un tunnel de lave, dont le plafond sest rompu, formant un hornito par débordement de la lave.
Du 13 avril au 1er mai,
les coulées montrent des variations beaucoup plus fortes. Des séismes sont toujours enregistrés sous le sommet et des éboulements de la paroi du Dolomieu sont observés, sans toutefois former de panaches de cendres. Le 1er mai l’eruption est terminée. La profondeur du cratère Dolomieu, suite aux effondrements qui se sont produits dès le 6 avril, atteint environ 350 m .
–Le 30 mars 2007 (9h) :
une fissure s’ouvre dans la nuit du 30 mars sur le flanc du Cône central vers 1900 m d’altitude ; mais l’éruption avec flot de lave ne dure que 9 h.
–Le 30 août 2006 (124 j) :
l’éruption se déroule dans le Dolomieu, qui au fil des jours se rempli de lave par l’intermédiaire du Piton de la Fraternité (La Wouandzani). Le 9 octobre un nouveau cratère (le Moinama) s’installe dans le Dolomieu à 100 m au sud-ouest du Wouandzani. Les coulées ont ensuite débordées des lèvres du Dolomieu. L’éruption s’arrête le premier janvier 2007, vers 0h57.
–Le 20 juillet 2006 ( 26 j) :
deux fissures s’ouvrent à 4h et 4h50 (heure locale) sur le versant sud-ouest du cratère Bory. La première, la plus élevée, cesse de fonctionner très rapidement. L’activité se mainteint sur un seul point avec l’édification d’un petit cône volcanique. Les coulées s’étalent au fond de l’Enclos. L’éruption s’arrête le lundi 14 août.
–Le 26 décembre 2005 (24 j) :
après plusieurs jours d’activité sismique importante, le Piton de la Fournaise est entré en éruption à 17h10. La fissure éruptive s’est ouverte sous le Piton Magne sur le flanc nord et d’importantes fontaines de lave en sortent. Quelques heures plus tard une nouvelle fissure s’ouvre à 22h40 dans les Grandes Pentes, à 1600 m d’altitude. Des fontaines de lave en jaillissent, alimentant les coulées qui se dirigent vers la mer. L’éruption s’arrête le 18 janvier 2006 dans l’après-midi.
–Le 4 octobre 2005, (13 j) :
l’éruption commence et au bout d’une quinzaine de jours s’arrête le 17 octobre à 13h10 en corrélation avec la disparition soudaine du trémor volcanique. Plusieurs événements de longue période, signes de mouvements du magma, avaient été enregistrés dans les heures qui ont suivi, avant de s’estomper eux aussi.
-Le 13 août 2004 au matin (22 j + 5 j) :
après une activité sismique très importante, une fissure s’ouvre à l’intérieur du cratère Dolomieu et se poursuit à l’extérieur. Les coulées se dirigent vers l’est et la partie basse de l’Enclos. Le 25 août la lave atteint l’océan Indien. Les laves qui arrivent sont très fluides car elles se sont écoulées dans des tunnels de lave. Dans la nuit du 30 au 31 août, leau est en contact directement avec le tunnel de lave et des explosions phréatomagmatiques se produisent. En quelques heures, un petit cône de 5 m se forme sur la plateforme née au bord de locéan Indien.
Léruption sarrête le 2 septembre, vers 19h. Mais, dans la nuit du 4 au 5 septembre, la Fournaise est réactivée. Des coulées très fluides recouvrent facilement les Grandes pentes. Une accalmie apparaît à partir du 9 septembre.
–Le 2 mai 2004 (16 j) :
Cette éruption a débuté, suite à une série de trémor à partir de 19h36, le 2 mai, dans le cratère Bory. Avec éruption dans l’enclos vers 2050 m d’altitude (Entre le Piton de Bert et le Château Fort ).
Le 15 mai
se produit de grosses fontaines de lave. Puis l’éruption se termine brutalement le 18 mai. A 16h15, toute trace du trémor avait disparu.
–Le 9 janvier 2004 (24 h) : l’éruption s’arrête le 10 janvier à 12 h. L’éruption se situe au Nez Coupé de Sainte Rose. Une fissure longue de 300 m coupa le cratère Haug, mis en place en 1931, au-dessus de la Plaine des Osmonde, avec la production d’une coulée de lave de 2 km de long.
–Les épisodes du Dolomieu (mai-décembre 2003) :
°Vendredi 30 mai 2003 (quelques minutes !) : après une brève crise sismique de 30 s, durant la nuit du 29 au 30, de la lave sort à 11h55 du cratère Dolomieu. L’endroit où se déroule l’éruption correspond à la zone où s’était produit un affaissement brutal à la fin de léruption de novembre 2002. Mais à 14h15, à l’arrivé des volcanologues de l’observatoire, l’éruption était déjà terminée.
°Mercredi 4 juin 2003 (1 j) : des trémors sismiques étaient enregistrées depuis lundi 1er juin. A 11h20, le 4 juin, des fontaines de lave jaillissent (sur la même fissure du 30 mai 2003) dans le cratère Dolomieu, et une coulée s’étend vers la paroi est du cratère. Le volume émis est plus important et un petit cône (le piton Kaf) s’installe sur la paroi interne du Dolomieu. Le lendemain plus rien.
°12-13 juin 2003 (2 j) : dans la nuit, léruption redemarre dans le même secteur avec des fontaines de lave de 50 m de hauteur atteignant les bords du Dolomieu. Le spectacle s’arrête le 14 juin au soir
°Le 21 juin 2003 (17 j) : le Piton Kaf se remet à émettre de la lave qui continue de remplir le fond du cratère Dolomieu. La phase éruptive se termine le 7 juillet.
°Le 23 août 2003 (36 h) : à 18h48 à l’intérieur du cratère Dolomieu se produit une succession de séismes et à 21h20 une première fissure s’ouvre dans le cratère Bory, puis à 22h10, une nouvelle fissure s’ouvre sur le flanc nord du volcan à 2 450 m altitude. Les fissures furent actives quelques temps. A 23h30, une fissure s’ouvre sur le flanc nord, à 2 200 m d’altitude, à environ 50 m à l’est du piton Kapor (éruption de 1998). Un cône au fil des explosions se construit, il sera nommé : Piton Payankë (Paille enqueue) du nom d’un oiseau tout blancassocié au littoral est caractéristique de la Réunion.Une lave très fluide descend dans la plaine des Osmondes. L’éruption s’arrêtera brutalement le 27 août à 21h50. Cette éruption a fait une victime, un jeune étudiant qui est tombé dans une fissure associée au cratère en éruption.
° Le 30 septembre-1er octobre 2003 (12 h) : à 22h15, une forte crise sismique débute et le trémor 1h15 plus tard. Léruption est localisée à 2 350 m daltitude sous le sommet du cratère Bory, laisse échapper des flots de lave sur les pentes, mais aux premières heures du 1er octobre, le trémor disparait et l’éruption se termine.
°Le 7 décembre 2003 (24 h) : La crise sismique a débuté à 14h29, est le trémor est apparu à 15h25 et la phase éruptive a commencé à 15h30 dans le cratère Dolomieu. Des fontaines de lave d’une dizaine de mètres de hauteur ont jailli de deux fractures dans la partie SE du cratère. Mais dès la nuit l’activité diminue et le lendemain soir l’éruption est arrêtée.
–Le 16 novembre 2002 (17 j) : dès le 12 novembre, l’observatoire décrète une préalerte. Quatre jours plus tard, le piton de la Fournaise entrait en éruption, avec l’ouverture, au matin, de 4 fissures éruptives. Elles étaient localisées sur le flanc est, à 1600 m d’altitude dans la zone du Grand Brûlé. Le cône éruptif, qui s’était formé sur l’une des fissures éruptives, fut dénommé piton Guanyin, du nom d’une déesse chinoise vénérée, comme « donneuse denfants », dans quelques lieux de culte de l’île de la Réunion. Le soir de l’éruption, les coulées avaient atteint, du fait de la pente importante de cette zone et de la fluidité des laves, l’altitude de 500 m. Le dimanche après-midi, le front des coulées se trouvait à une altitude de 400 m, dans la zone de végétation, soit à environ 2 km de la route nationale 2. Cependant, la lave étant parvenue dans la zone de replat du Grand Brûlé, le front de coulée était presque arrêté. Le dimanche soir, 2 fissures seulement étaient encore actives avec des fontaines de lave d’une trentaine de mètres de hauteur.
Le mardi 19 novembre, en soirée, le front des coulées ne se trouvait plus quà 1,2 km de la route. Durant plusieurs jours, la lave s’écoula le long de la pente et quelques coulées sétalent en brûlant la forêt en contre-bas, mais le front était stabilisé.
Le 30 novembre la situation change très rapidement :
le matin des fontaines de lave émergent du cône éruptif, et un torrent de lave descend très rapidement la pente, et au matin du 1er décembre la coulée arrive dans l’océan, construisant en quelques heures une plate-forme. Au même moment, un autre bras de lave coupe la route 200 m plus au nord avant datteindre le bord de mer le 2 décembre en fin daprès-midi (les coulées qui atteignent locéan sont rares au XXe siècle, ce fut le cas en 1931, 1943, 1961, 1977, 1986, et le 5 janvier 2002).
Le 3 décembre il n’y a plus de trémor, léruption est terminée.
–Le 5 janvier 2002 (4 j + 5 j) :
une crise sismique débute à 16h37. Les séismes lors de cette crise migrent vers le nord nord-est, en direction du Nez Coupé de Sainte-Rose. Le risque était donc une éruption hors Enclos. En fait, l’éruption démarre à 23 h avec quatre fontaines de lave vers 1850 m daltitude.
Dans la nuit du 6 au 7, les fontaines de lave sont plus fortes, mais au matin lactivité a diminué .
Pendant 36 h la météo empêche toute observation visuelle. La diminution du trémor témoignerait d’un arrêt de l’éruption et le 9 au matin une observation par hélicoptère montre quil ny a plus de coulée active.
Cependant, durant la nuit du 11 au 12, le trémor augmente de nouveau et vers 23 h, le 12, une lueur apparaît qui éclaire les nuages au fond de la Plaine des Osmondes. Une nouvelle coulée de lave « suinte » du volcan. Le 14, au matin, la coulée nest plus quà 500 m de la route. La mairie de Sainte-Rose déménage rapidement « la Vierge au Parasol ». Vers midi la coulée traverse la route côtière et détruit le site de la « Vierge au Parasol ». La coulée se dirige vers la mer à 500 m de distance, brûlant la forêt très dense et difficilement pénétrable qui sépare la route de locéan.
Vers 15 h 30 la coulée atteint le haut des falaises qui surplombent dune vingtaine de mètres locéan Indien. Le soir du 15 , la coulée a construit un delta de lave dune dizaine dhectares.
Le 16, vers 16 h, léruption s’arrête.
-11 juin 2001 (27 j) (Le Madore) :
depuis la fin du mois de mai l’activité sismique augmentait et le 11 juin, après une série de courte crise sismique, une nouvelle éruption commence à 13h50. Les fissures les plus élevées sont situées sur le flanc est-sud-est à 2 500 m d’altitude (à environ 200 m sous les lèvres du cratère Dolomieu). Les laves sortaient à 1800 m d’altitude d’une fissure d’environ 200 m de long. Des coulées de lave s’ épanchent vers le Grand Brûlé et quelques heures plus tard, le front de coulée est à 1450 m. Le 13 juin, au soir, le front de coulée est à l’altitude de 380 m. Le 26 juin, léruption est toujours présente avec 2 bouches actives et l’émission d’une coulée d’environ 1 km. Le 6 juillet, une coulée de lave coupe la nationale 2 reliant Sainte-Rose à Saint-Philippe. La coulée de type aa est passée sur la route en deux endroits sur 100 et 80 m de long pour une épaisseur de 4 à 5 m.
Le 7 juillet l’éruption se termine brusquement dans l’après-midi.
–27 mars 2001 (8 j) :
suite à une très brève mais intense crise sismique (120 événements sismiques), l’éruption débute vers 13h20 et une coulée de lave est émise sur le flanc est-sud-est du Dolomieu. Une fissure en échelon se met en place, elle est à 200 m au nord de la précédente éruption (le piton Morgabim), vers 1900 m d’altitude. Le front de coulée, très rapide, s’est arrêté à 400 m d’altitude.
Un petit cône s’installe, le piton « Tourkal », mot dorigine indienne désignant les deux vases où brûlent la braise et lencens. Le 4 avril, l’éruption se termine avec une série de dégazages brutaux du cône mis en place en 8 jours.
–12 octobre 2000 (34 j) :
après quatre semaines d’intense activité sismique, l’éruption débuta à 5h 05 du matin (le premier séisme qui a amorcé la crise sest produit à 4h09) sur le flanc sud-est du Piton de la Fournaise. Une fissure éruptive s’ouvre entre 2 200 m et 1 900 m d’altitude entre le cratère Château-Fort et au-dessus du piton Parvédi (juin-juillet 2000). Un nouveau cratère s’installe, le piton Morgabim, du nom de l’île de la Réunion sur les premières cartes marines du XVIe siècle. Ce piton de 20 m de hauteur est situé à 1900 m d’altitude. L’éruption se termine le 14 novembre dans la soirée.
–23 juin 2000 (33 j) :
après deux semaines dactivité sismique, l’ éruption débuta sur le flanc sud-est du cratère Dolomieu ; entre le cratère Château-Fort et le Signal de lEnclos. Laccès à lEnclos était interdit au public mais les secours sont intervenus plusieurs fois, par hélicoptère, car des randonneurs s’étaient égarés du fait qu’ ils navaient pas tenu compte des interdictions et des mises en garde (voir recommandations au paragraphe suivant).
–14 février 2000 (20 j) :
une crise sismique débutait à 23h25 le 13 février. A 0h18, le 14 février, de la lave sortait sur le flanc nord ou nord-ouest du volcan. Les conditions météorlogiques sont très mauvaises, empêchant une observation de visu. Quelques jours plus tard il apparaît que l’éruption a donné naissance à deux cônes. Les jours suivants, l’observatoire volcanologique enregistre de manière quasi-continue un trémor qui témoigne de l’arrivée de magma, mais aussi des séismes. L’éruption se termine apparamment le 4 mars dans la soirée.
–28 septembre 1999 (26 j) : les volcanologues en mission sur le terrain observent, suite à un appel de l’observatoire, à 11h58, louverture dune fissure nord-sud, à lintérieur, à l’ouest, du cratère Dolomieu. Elle mesure 400 m de long et des fontaines de lave de plusieurs dizaines de mètres jaillissent immédiatement. A 12h15, une seconde fissure souvre, 100 m sous la lèvre du cratère, sur le flanc sud du Dolomieu, La coulée issue de cette fracture sétale et descend vers le sud-est sur 1 km en moins de 15 minutes. Dans la nuit elle » lèche » le pied de quelques cônes adventifs en se dirigeant vers le cratère Château-Fort et le Gros Bénard. Mais 8 h après l’activité diminue largement.
Le 8 octobre alors que l’éruption s’essoufle, il y a une recrudescence du tremor et de la vapeur s’élève au sud de l’Enclos, vers 1 900 m d’altitude. Le 11 octobre au matin, une coulé de lave est alors observée au sud-est, près du cratère Villelle. Uns semaine plus tard, la coulée fait 1,5 km de long . L’éruption se termine vers 18h, le 23 octobre .
–19 juillet 1999 (13 j) : le 14 juillet, un séisme de magnitude 2,5 est enregistré. Le 17 et 18 juillet quelques séismes sont également enregistrés et le 19 juillet à 18h52, se produit l’éruption. Une fissure est-nord-est s’ouvre au fond du cratère Dolomieu et celle-ci se prolonge vers lest sur le bord du cratère. De ce fait, une coulée de lave sépanche dans lEnclos et se dirige vers les Grandes Pentes. Une semaine plus tard, le 21 juillet, le trémor a diminué et plus aucun séisme nest détecté. Les coulées n’avancent plus et lactivité n’est plus qu’à lintérieur du cratère Dolomieu sur son bord est-sud-est. »
Site Des volcans et des hommes.
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» Le piton de la Fournaise est en état de vigilance volcanique depuis 16 heures ce dimanche 4 octobre 2009. La préfecture a pris cette décision après lenregistrement, dimanche matin par lobservatoire volcanologique dune sismicité croissante sous le cratère Dolomieu. « Ces signes de reprise dactivité pourraient éventuellement se traduire par une éruption dans les jours à venir » note la préfecture. « ( Site clicanoo ) .
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