Test du quotient sexuel …

Test du quotient sexuel

Cet été, assumez votre libido !
En vacances, l’esprit est plus disponible et le soleil échauffe les sens. Vous aimeriez vivre une période estivale torride, mais votre sexualité est-elle vraiment à la hauteur de votre libido ?
Déterminez votre personnalité sexuelle grâce au test du mois.
( Orange newsletter)

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Il s’adresse aux nanas, car la majorité des mecs ne doute pas que : « leur sexualité soit à la hauteur de leur libido »…

Quant à savoir si elle est à la hauteur de la libido de certaines nanas ? Pffff, quelle question ?
Pour certaines, qu’elles apprécient ou pas, elles…couchent quand même: la simulation n’est pas faite pour les chiens !

 » Les hommes ont besoin de baiser pour aimer, les femmes ont besoin d’aimer pour baiser »
entendu dans l’émission:  » Ça se discute » de Delarue.

Hommes- Femmes…Femmes-Hommes

Hommes-Femmes:
L’abbé de Choisy (François-Timoléon, 1644-1724), de l’Académie française, s’habilla constamment en femme. Il eut des maîtresses et un enfant.
Le chevalier d’Éon (Charles de Beaumont, dit ; 5-10-1728/21-5-1810) entretint le doute sur son sexe. Il fut lecteur d’Élisabeth de Russie, puis vécut à Londres. Louis XVI le fit rentrer en France en lui intimant l’ordre de ne plus se présenter qu’en habits de femme. Il demanda à reprendre du service comme officier en 1778, mais on le condamna à l’apparence féminine qu’il avait choisie dans sa jeunesse…

Femmes-Hommes:
James Barey († 1865, à 65 ans), docteur britannique ayant exercé aux Indes et en Afr. du Sud, était une femme. (Les femmes n’avaient alors pas le droit d’exercer.)…

…" Nous expliquer votre fascination pour des femmes qui mettent la loi divine au dessus de tout". ..

[Un engendrement matériel des différences
Lettre ouverte à nos amies féministes:

Nos chères amies
Militantes et/ou chercheuses, porteuses des valeurs féministes, nous n’arrivons pas à concevoir, à comprendre ni à accepter votre engagement aux côtés de celles qui se nomment « féministes musulmanes et/ou voilées », au dépend des féministes laïques…
Nous sommes arrivées avec les mêmes désirs de liberté, les mêmes regards portés sur le présent et l’avenir. Un avenir d’égalité hommes-femmes, d’égalité hétérosexuel-le-s/ homosexuel-le-s et d’égalité sociale ; mais, voilà, aujourd’hui, vos regards se détournent de nous, vos mains se tendent à celles et ceux qui nous obligent à l’exil, votre fascination va vers celles et ceux qui placent les « lois divines » au dessus de tout.
Des « lois divines » où charité ne peut pas rimer avec solidarité citoyenne. L’égalité des sexes ne peut pas se conjuguer avec patriarcat et suprématie de l’homme. Homosexualité et libre désirs ne peuvent pas se retrouver dans le même lit que procréation et soumission.
L’adage qui énonce que « l’ennemie de mon ennemie est mon amie » ne peut être l’apanage des féministes, souvenez vous des conséquences de l’alliance : Islamiste et communiste en Iran et ce qui arriva à ces derniers une fois les islamistes au pouvoir. Au quotidien, des femmes sont menacées, emprisonnées, arrêtées, lapidées, meurtries. Entendez-vous leurs cris de liberté ? Ou seulement leurs échos, écoutez… !
Aujourd’hui, il est encore temps de nous ressaisir, de redonner au féminisme ses véritables fondements et sa vocation universaliste en tant que femmes de gauche luttant pour les droits de toutes les femmes, où qu’elles soient et quelles que soient leurs origines ou leurs couleurs en ayant toujours à l’esprit que les lois doivent être là pour garantir les libertés de conscience et empêcher que les lois et les règles communautaristes ne redonnent toute sa place au patriarcat.
N’existe t-il pas des lieux, des structures et des groupes qui portent différentes luttes quelles que soient les valeurs que nous défendons ? Aujourd’hui, au nom des valeurs et des luttes et du projet de société que nous partageons avec vous, nous vous interpellons haut et fort pour nous répondre et nous expliquer votre fascination pour des femmes qui mettent la loi divine au dessus de tout. Au nom de ces dernières, les femmes sont tout simplement niées dans leur existence.
Est ce de l’exotisme ? Nous ne pouvons croire cela, est ce de la naïveté politique ? Nous n’osons croire cela, est-ce une alliance conjoncturelle contre l’impérialisme et le capitalisme américain ? Si c’est le cas nous nous demandons où en est l’indépendance et l’autonomie des femmes par rapport aux partis. Il nous arrive, parfois de nous questionner sur la place des chercheuses féministes, leurs démarches par rapport aux appels à projets et aux commandes des institutions, la laïcité étant menacée de toute part.
Nous vous interpellons, car notre place est avec vous et votre combat est avec nous.
Nous Féministes laïques.
Chères amies, à bientôt…
Féministes Laïques Algériennes et Iraniennes
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Contact : Féministes Laïques
Mai 2009
Site genre en action. ]

Julio " m’a tuer"…Enfin les paroles de sa chanson…

Sur le conseil d’un visiteur, j’ai été écouter les PAROLES de « Vous les femmes »…Heeuu…
Moi, je suis de l’avis de Catherine:

[ Quelle est selon vous, la plus belle chanson dédiée à la femme ?

Catherine , Paris :
C’est « La femme est l’avenir de l’homme » ,Jean Ferrat et Aragon!
Pourquoi ? Ecrite à une période ou l’homme se pensait supérieur à la femme, elle est prémonitoire des luttes féministes, tout en insistant sur la complémentarité des deux sexes. Une révolution en douceur et en poésie!

et aussi un mec :
 » Robert Meurger

Tellement d’accord avec Catherine. Les hommes ont muselé les femmes depuis des temps immémoriaux et continuent à le faire presque partout. La chanson de Jean Ferrat est un pur joyau poétique et musical que nul ne devrait ignorer « .]

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Catherine commet juste une petite erreur: Il y a ENCORE des légions de:  » PETITS mâles sans envergure et passablement ridicules qui sont persuadés de leur supériorité et ne doutent jamais »…

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« Le chanteur espagnol Julio Iglesias est devenu papa pour la huitième fois, la semaine dernière, à 63 ans. Le chanteur à succès, est déjà père de trois garçons et de deux filles (des jumelles) qu’il a eus avec le mannequin néerlandaise Miranda Rijnsburger, âgée de 41 ans. Il a également eu trois enfants avec Isabel Preysler. Ils répondent aux noms de Chabeli, Enrique et Julio, ce dernier exerçant le métier de chanteur lui aussi. »
Site LCI people

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Julio aime les femmes c’est sûr!(Nombreux articles people.)

Quand beaucoup d’hommes disent aimer les femmes, souvent, ils oublient juste de préciser que c’est de leur sexe dont ils parlent.

Il n’y a qu’à lire les com désabusés qui fleurissent sur les forums…Et sur blog.fr!!!

En fait la plupart des femmes le savent, mais elles se font leur cinéma et s’imaginent qu’ELLES seront aimées pour elles-mêmes!

D’autres plus réalistes demandent dans la seconde :  » On va chez toi ou chez moi » ? Et aussi:  » Je ferme la porte en partant ? », juste après le sexe( certains appellent ça « faire l’amour »!) .
Cette nouvelle attitude féminine en choque plus d’un : bein oui , recevoir en pleine poire leur propre manière d’agir n’est pas de mise:  » l’homme agit, la femme subit », a dit je ne sais plus quel type dans la Bible.
Notre idole nationale en était à…3000 (femmes), il y a qq temps; qui dit mieux ?
Ils aiment sauter des femmes, c’est sûr! Quant à l’amour…Ah! C’est la même chose ????…

Le "fady kambana": jumeaux, donc maudits…à Mada, même aujourd’hui!.

[ Les jumeaux maudits de Mananjary .
MANANJARY (MADAGASCAR)
:
Dina et Diari, 5 mois, entrelacent leurs doigts délicats. Allongés sur le dos, côte à côte, au centre d’un vieux lit à barreaux à la peinture écaillée, ces deux frères jumeaux fixent les visiteurs de leurs grands yeux noirs et brillants. Ils ont été recueillis par le Centre d’accueil et de transit des jumeaux abandonnés (Catja), à Mananjary, ville froide et humide de la côte sud-est de Madagascar, à 450 kilomètres de la capitale, Antananarivo. Il y a un siècle, leur crâne aurait été fracassé sous les sabots des zébus. Aujourd’hui encore, Dina et Diari sont jumeaux, donc maudits.
Ainsi le veut l’implacable coutume des Antambahoaka. Cette ethnie, l’une des dix-huit de Madagascar, compterait 22 000 âmes – chiffre approximatif, car aucune statistique ethnique n’est autorisée – sur 18 millions d’habitants. « On fait ainsi parce que nos parents l’ont toujours fait, et nous devons nous y soumettre », admet une habitante de Mananjary.
Connus pour le « fady kambana », ou « tabou des jumeaux », les membres de l’ethnie Antambahoaka sont tenus à l’écart par les autres castes. « Il ne faut pas leur parler de cette histoire, assure Georges-Antoine Rajaonarivelo, 67 ans, un ancien habitant de Mananjary, membre d’une autre ethnie. La malédiction frappe uniquement leurs jumeaux. Ceux d’une autre ethnie, élevés à Mananjary, ne seront pas condamnés à y vivre en parias. »
Les origines de la malédiction se perdent dans la nuit des temps. A son arrivée à l’embouchure du fleuve Sakaleona, au nord de Mananjary, le premier Antambahoaka aurait choisi son épouse parmi les femmes de la région. Enceinte de jumeaux, elle décéda en couches. Le malheur frappa sa deuxième, puis sa troisième épouse. Le chef du clan jura alors que sa descendance n’élèverait jamais de jumeaux.
Au XIXe siècle, un astrologue persuada Ranavalona Ire (1828-1861), l’autoritaire reine de la Grande Ile, que les enfants nés sous le signe des gémeaux, signe puissant mais violent, étaient voués à une destinée exceptionnelle. Craignant sa déchéance, la souveraine imposa aux parents de les tuer ou de les déposer à la porte d’une étable. S’ils échappaient au piétinement des zébus, les nouveau-nés pouvaient vivre. Enfin, une légende, plus proche des soucis alimentaires quotidiens, raconte la difficulté d’un chef de clan à nourrir ses jumeaux lors d’une disette.
Aucune pluie diluvienne, aucun raz-de-marée de l’océan Indien, n’a jamais lavé les terres de Mananjary de la malédiction. Une mère se souvient de l’immense tristesse dans sa famille au moment du départ des jumeaux pour une adoption internationale : « Comme si nous vivions un funèbre départ mortuaire. » Devant son désarroi, son mari fit sur- le- champ le serment de passer outre le tabou pour sa descendance.
Aujourd’hui, cette femme ne sait pas où vivent ses enfants. Elle admet que « la tristesse et la nostalgie provoquent des perturbations en elle ». Une voisine se souvient de son accouchement : « Elle s’appliquait à tourner la tête en fermant les yeux pour ne surtout pas garder un seul souvenir des enfants emportés. » D’autres femmes acceptent la malédiction et privilégient le respect des coutumes : « On ne doit pas se séparer des autres. »
A Mananjary, dans le quartier Andovosira, le « palais » du mpanjaka, le chef de clan, ne paie pas de mine. Derrière un garage automobile, rien ne distingue cette case d’une autre, hormis les quatre oiseaux en métal fixés dos à dos sur le toit. Derrière cette façade sur pilotis, les coutumes préservées par le chef traditionnel ont plus de poids que n’importe quelle directive internationale. Accompagné de son épouse, un homme âgé à la peau tannée, en short et bras de chemise, sort, s’avance pour vous serrer la main, puis disparaît par la porte de son « palais ». Impossible de lui arracher un mot sur les jumeaux. Une spécialiste reconnaît : « Ces chefs sont de petits dieux. »
L’index pointé vers le ciel, un vieil habitant de Mananjary assure qu' »il n’y a que les chiens pour avoir des portées multiples. Et ici, sur la côte, être traité de chien, c’est la pire des insultes ! » La coutume insinue aussi qu’un homme engendre un enfant à la fois. Si deux naissent en même temps, l’épouse lui aura été infidèle.
A l’école de service social d’Antananarivo, Gracy Fernandes, professeur de sciences sociales et auteur d’un rapport sur l’abandon des jumeaux à Mananjary, explique la mécanique et les méandres des coutumes. « Il ne faut pas chercher une logique basée sur la rationalité, analyse-t-elle, mais sur l’expérience, vraie ou supposée, de la malédiction. » Du bout des doigts, la sociologue déroule une carte de Mananjary. Elle localise, quartier par quartier, les dix tranobe, les « palais » où vivent les raiamandreny, les chefs coutumiers, et les mpanjaka, les chefs de clan.
Pour que les chefs Antambahoaka n’aient jamais à croiser les petits damnés, un orphelinat a été bâti au-delà des eaux saumâtres du canal des Pangalanes. C’était en 1987. Auguste Simintramana, un chrétien étranger à ce territoire, prit l’initiative de fonder le Catja, l’un des deux orphelinats de la ville. On lui attribua un curieux terrain couvert de plantes grasses. Un sage de Mananjary, du haut de son 4×4, se souvient de l’odeur pestilentielle que cette « forêt » de népenthes exhalait à l’époque. Au fond de leur urne, ces plantes carnivores digéraient lentement les cadavres d’insectes et d’oisillons.
Aujourd’hui, une distance demeure entre les pensionnaires et la ville. Loin des bâtisses coloniales aux façades vermoulues, trois bâtiments propres, construits de plain-pied, abritent les quatre-vingt-cinq résidents, dont vingt jumeaux. La pouponnière du Catja est une pièce simple et chaleureuse. Au centre, quatre jumeaux de 10 mois, garçons et filles, tournicotent sur une mélodie égrenée par une berceuse électrique. Quelques peluches élimées sont posées aux coins des lits. La directrice, Julie Rasoarimanana – la veuve d’Auguste Simintramana -, ne s’inquiète pas pour l’avenir de Dina et Diari : « Ils seront rapidement adoptés, mais pas dans une famille Antambahoaka. »
Linda Caille ]
LE MONDE | 05.09.08 | 14h25 • Mis à jour le 05.09.08 | 17h17 ]

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Partout dans le monde les croyances et les religions ont des effets pervers sur la vie d’êtres humains!!!

Entre autres, les femmes doivent aux religions d’être des citoyennes de seconde zone et les homosexuels d’être traités en pestiférés!!!Etc…

Par contre, les mecs leur doivent la naissance du machisme, de la phallocratie et de la misogynie, c’est à dire de la « Voie Royale » ! Youpiiiii!

Mère à l’âge de cinq ans, sept mois et vingt-et-un jours…

[Lina Medina (née le 27 septembre 1933 à Pauranga au Pérou, dans l’actuel district de Capillas, Région de Huancavelica), est devenue la plus jeune mère dans l’histoire de la médecine, à l’âge de cinq ans, sept mois et vingt-et-un jours. Ce record mondial est suivi de près par un cas similaire en Russie (six ans).

Description du cas
Ayant remarqué chez sa fille l’augmentation anormale de son abdomen, Tiburcio Medina fit appel à des guérisseurs de son village pour en avoir l’explication. Ceux-ci tout de même rejetèrent les superstitions locales (comme celle qui veut qu’un serpent, Apu, grandisse peu à peu à l’intérieur de la personne, finissant par la tuer), et ils recommandèrent aux parents de conduire l’enfant à l’hôpital de la ville de Pisco. Alors que ces derniers croyaient qu’il s’agissait d’une tumeur, les médecins diagnostiquèrent une grossesse de sept mois. Le docteur Gerardo Lozada emmena la fillette à Lima, la capitale du Pérou, pour que d’autres spécialistes confirment la grossesse avant de recourir à la chirurgie. Un mois et demi plus tard, le 14 mai 1939, elle mit au monde un garçon par césarienne, il le fallait en raison de la taille trop petite de son pelvis. L’opération fut conduite par le docteur Lozada et le docteur Busalleu, assistés du docteur Colretta pour l’anesthésie.

Ce cas a été rapporté en détail par le docteur Edmundo Escomel pour La Presse médicale[1], avec des détails supplémentaires (ses premières règles auraient eu lieu à l’âge de 3 ans et ses seins, bien formés, auraient commencé à se développer quand elle avait 4 ans. À 5 ans, son apparence montrait un élargissement pelvien et une maturation osseuse avancée, et une taille de 1,15 mètre). Son fils, qui pesait 3,2 kg à la naissance, a reçu le prénom de Gerardo, en hommage au médecin qui avait réalisé l’opération. Malgré sa maturité physique, Lina préférait jouer avec des poupées plutôt que de s’occuper de son fils, alimenté par une infirmière.

Élevé comme le frère de Lina, Gerardo fut amené à croire que celle-ci était sa sœur. Mais, à l’âge de dix ans, après que l’on se fut moqué de lui à l’école, il apprit qu’en réalité il s’agissait de sa mère. Il atteignit l’âge adulte en bonne santé mais mourut en 1979, à 40 ans, des suites d’une maladie de la moelle osseuse. Jamais on n’a pu établir un lien quelconque entre sa maladie et le fait qu’il fût né d’une mère aussi précoce.

Le mystère de l’histoire ne réside pas dans la précocité de Lina, puisque celle-ci peut s’expliquer comme le résultat d’un déséquilibre hormonal, mais dans l’identité du père de l’enfant, puisque la Péruvienne n’a jamais révélé ce secret et se refuse à en parler jusqu’à aujourd’hui, allant jusqu’à refuser une interview avec l’agence Reuters en 2002. Emprisonné après la naissance de l’enfant, sous l’inculpation d’inceste, le père de Lina fut libéré après quelques jours par manque de preuves. Les soupçons se sont alors portés sur un frère de Lina qui était déficient mental.

Souvent, au Pérou, cette fille a été associée à la Vierge Marie, qui avait conçu son fils sans relations sexuelles, par l’opération du Saint-Esprit. Quelques personnes de la région croient encore aujourd’hui que Gerardo est le fils du dieu Soleil.]…

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Il y a-t-il un endroit au monde où naître fille est un bonheur total ? Oui! Au « Village des Vagins »!

…"des petits mâles sans envergure et passablement ridicules qui sont persuadés de leur supériorité et ne doutent jamais… "!!!!!!!!

jean-michel (Visiteur)
lundi, 13. jui, 2009 @ 20:39:40

[ Effectivement la domination masculine n’est pas naturelle mais construite dans le mental, tant chez l’homme que chez la femme.
Le vieux cerveau de la femme dominée subsiste parfois même chez celles qui objectivement ont tous les atouts de l’indépendance,de la culture, de la puissance, de la réussite et pourraient légitimement se représenter comme dominantes; à l’inverse, on observe souvent de petits mâles sans envergure et passablement ridicules qui sont persuadés de leur supériorité et ne doutent jamais (ce n’est pas Audiart qui disait qu’un con ne doute jamais et ose toujours ? finalement la connerie paye on le voit tous les jours !) .
Quand les mâles doutent c’est mal vu, ce n’est pas viril même chez les femmes « conditionnées » qui les fuient; même les artistes et intello mâles ne doutent jamais de leur talent ou de leur « génie », pourtant rarement à la hauteur de leur prétention.

Au fond, ce qui manque à beaucoup de femmes c’est un « gros » brin de saine connerie, une affirmation primaire de soi, une expression de puissance animale sans nuance qui ose tout,qui s’étale joyeusement et avec confiance sur tous les « territoires masculins » qui sont aussi les « siennes ». ]

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« On observe souvent de petits mâles sans envergure et passablement ridicules qui sont persuadés de leur supériorité et ne doutent jamais »

Trrrrrrèèèèèèèèès drôôôôôôles, d’ailleurs…Surtout sur blog .fr !!!!!!

Prostitution: un droit… des hommes ?

[ Prostitution : un droit des hommes
Appel à entrer en résistance contre l’Europe proxénète

L’Union Européenne affirme, en effet, vouloir dorénavant « combattre le trafic illégal des personnes », reconnaissant ainsi qu’il peut y avoir un commerce légal des êtres humains.
Les associations, partis politiques, syndicats, personnes signataires du présent appel refusent de vivre dans une Europe proxénète dans laquelle le sexe des êtres humains et leur corps deviendraient l’objet de transactions licites.
Nous refusons que des êtres humains deviennent des « travailleurs et des travailleuses du sexe ».
Nous refusons que les violences physiques et sexuelles imposées aux personnes prostituées fassent, en toute légalité, partie intégrante de leurs conditions de « travail » et de vie.
Nous refusons que la prostitution devienne une « activité économique » – indépendante ou salariée – un « métier ». Bientôt sanctionné par un diplôme ?
Nous refusons que la prostitution devienne un « service » offert à des « consommateurs ».
Nous refusons que les proxénètes soient reconnus comme des « entrepreneurs » et que seuls « les trafiquants » soient dorénavant criminalisés.
Nous refusons l’ouverture de bordels en Europe et demandons la fermeture de ceux qui existent.
Nous refusons que l’organisation « Payoke » ouvre, à Anvers, son « école de la prostitution » et demandons sa fermeture immédiate.
Nous refusons que nos gouvernements et nos élu-es cautionnent et organisent un système économique qui intègre les profits de la vente des sexes des êtres humains – venant majoritairement des pays pauvres – pour alimenter notre croissance et créer des emplois.
Nous refusons que l’Union Européenne limite son action à la « traite des femmes » et nous refuserons toute nouvelle convention sur la « traite », le « trafic », mais aussi, sans clarification politique, sur « le crime transnational organisé ».

NOUS REFUSONS L’INACCEPTABLE
 » Pour combattre le système prostitutionnel et la barbarie qu’il légitime, nous appelons à entrer en résistance.
Se taire, c’est être complices de tous les dénis de droits et des violences des Etats, du marché, des individu-es. C’est accepter que le droit à disposer du corps d’autrui soit reconnu comme un « droit de l’homme».

La prostitution doit disparaître.
La meilleure politique de prévention est d’en poser le principe.
A cet égard, la politique suédoise, est pour nous un modèle. Le gouvernement suédois est en effet le seul, à ce jour, en Europe, à avoir proclamé que la prostitution est une violence contre les femmes. C’est le seul à avoir intégré cette réalité dans un projet politique et législatif « pour la paix des femmes ». La ministre de l’Egalité des sexes, Margaretha Wimberg, a affirmé : « Traiter une personne comme une marchandise, fût-ce avec son consentement, est un crime ».
Nous demandons donc à l’Europe qu’elle affirme solennellement sa volonté de lutter :
– pour le droit enfin reconnu à chacun-e de vivre sans être prostitué-e
– pour la suppression de toute pénalisation à l’encontre des personnes prostituées
– pour la réintégration des personnes prostituées dans leurs droits bafoués de femmes d’hommes et de citoyen-nes
– pour la mise en œuvre d’importants moyens, notamment mais non pas exclusivement financiers, qui leur permettront de vivre dignement
-pour la pénalisation des clients, après une période de transition
– pour une pédagogie active qui affirmerait la dignité de tous les êtres humains et ledroit
pour tous et toutes de vivre librement, hors de toutes violences sexuelles
contre tous les proxénètes et contre toutes les formes de proxénétisme
Nous voulons vivre dans une Europe, dans un monde, qui affirmerait le principe, jamais encore reconnu par aucune déclaration des « droits de l’homme » :
LE CORPS HUMAIN EST INALIENABLE
Copie aux 626 député-es européen-nes
C.P.L (Comité permanent de liaison des associations abolitionnistes françaises pour l’abolition du proxénétisme et la prévention de la prostitution).
1, rue du 11 Novembre – 92120 MONTROUGE – tél. : 01 46 55 20 43 – Fax : 01 46 55 07 75
Lettre ouverte à Romano Prodi, président de la Commission européenne.
Lettre ouverte à Nicole Fontaine, présidente du Parlement européen.
…le 21 janvier 1999 ]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Site AVFT.

Et tout est pire aujourd’hui, tout le monde s’en fout et le Pénis-Roi exulte.

Grandes différences d’âge dans un couple.

 » Grandes différences d’âge dans un couple:

-Diane de POITIERS(1499-1566) était la maîtresse d’Henri II (il avait 20 ans de moins).
– Laure de BERNY (1777-1836), mère de 9 enfants, devint en 1822, à 45 ans, la maîtresse de Balzac (23 ans).

-Lucile de CHATEAUBRIAND (1764-1804) épousa, à 32 ans, M. de Caud, de 37 ans son aîné (il mourut 1 an après).
-Le roi Philippe VI de VALOIS (56 ans) épousa en 2ème noces Blanche de NAVARRE (19 ans).

Le 7-11-1991, Paris Match a publié la photo de couples dont les femmes avaient des compagnons nettement plus jeunes :
-Mme Soleil (78 ans) : 59 ans.
-Gloria Lasso (63) : 35.
-Annie Girardot (60) : 45.
-Régine Deforges (56) : 42.
-Ursula Andress (55) : 23.
-Raquel Welch (51) : 30.
-Linda Evans (49) : 27.
-Liza Minnelli (45) : 27. »

La grossesse la plus longue ? 1 an, 6mois, 7 jours !

Grossesse la plus longue.

398 j (durée normale 273 j). L’Anglaise Jacqueline Haddock, fille de 1,360 kg née 23-3-1910. 552 mois.

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La Marocaine Zahara Boutaleb, 75 ans, portait dans son abdomen un fœtus fossile de 3,7 kg depuis 46 ans.

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9 mois sont déjà tellement…Longs et lourds à porter !