Contre les violences sexuelles commises dans le sport
Pour mémoire, en 1991, C. Moyon de Baecque, lanceuse de marteau, a été violée et agressée par plusieurs membres de léquipe de France, encouragés par lentraîneur national, lors dun stage dathlétisme. Les agresseurs ont été condamnés par la justice en 1993 et 1994. En guise de réparation des préjudices subis par C. Moyon de Baecque, – notamment en raison de la complicité de lencadrement de la Fédération française dathlétisme – et afin quelle ne subisse pas, en outre, une exclusion du milieu sportif du fait des violences exercées à son encontre, les ministres des sports successifs se sont engagés à lui garantir un emploi.
Il savère que depuis son embauche par le ministère des sports en 1996, tout a été mis en uvre pour contraindre C. Moyon de Baecque à quitter son emploi.
La situation de C. Moyon de Baecque incarne de façon scandaleuse le sort réservé aux personnes qui dénoncent les violences sexuelles dans le sport.
(Catherine Moyon de Baecque, première sportive de haut niveau à avoir dénoncé les violences sexuelles dans le sport est licenciée par M. Lamour, ministre des sport.
Le chef de cabinet du ministre des sports a en effet informé C. Moyon de Baecque du non-renouvellement de son contrat après mai 2004.)
6 mars 2003 Site AVFT
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C’est bien en FRANCE que des députés mâles observent une minute de silence pour… un député ASSASSIN et non pas pour sa victime !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!