" Ce qu’ils détestent au lit :Micro-trottoir hommes"…

Andromaque
Image illustrant « l’Andromaque » pour les nulles : c’est curieux, « elle » a l’air de s’emmerder un max! !

Question de goût
– « Je n’aime pas les femmes qui sont prêtes à tout pour m’impressionner au lit. J’ai envie d’une personne naturelle et à l’aise avec moi. Je ne veux pas qu’elle se sente obligée de jouer le rôle de la parfaite petite infirmière qui soigne son malade préféré. »
Eric, 37 ans, avocat

– « Ma copine adore, mais je n’aime pas la position de l’andromaque (elle au-dessus) et ne me demandez pas pourquoi ! »
Jules, 34 ans, cuisinier

– « Je ne suis pas vraiment un adepte de tout ce qui est huiles, bougies de massage, plumeau, jeu de dés… On se perd dans tout ça, et à en faire trop, ça ne prend pas… »
Laurent, 29 ans, graphiste

Question d’hygiène
– « Je ne comprends pas qu’une femme refuse de coucher avec vous sous prétexte qu’elle a ses règles. On est plusieurs dans mes potes à ne pas trouver ça dérangeant, même s’il y a quelques précautions à prendre. »
Romain, 26 ans, étudiant

Question de savoir-vivre
– « Un soir, je rencontre une fille : bon feeling, dernier verre à la maison… Tout se passe bien, une ambiance romantique règne encore dans la chambre, jusqu’au moment où elle se lève, s’habille sans dire un mot et me demande si elle doit claquer la porte en partant. Je déteste les filles qui se comportent comme des mecs ! »
Louis, 30 ans, peintre

Question d’ego
– « Après l’amour, je demande souvent à ma partenaire si cela lui a plu. Et je déteste quand elle bredouille un « oui, oui »… ou quand je me doute qu’elle a simulé. Il faut un peu d’honnêté pour espérer une amélioration. »
Tristan, 32 ans infirmier

– « Quand je fais un cunnilingus à ma partenaire, je ne suis pas super fan de l’odeur « je viens juste de sortir de la douche ». Quitte à choisir, je préfère largement les odeurs naturelles au Monsavon ! »
Renan, 29 ans, vendeur

Question de tempérament
– « Je n’aime pas les nanas qui, dès le premier soir, font tout, avec tout, partout et tout le temps. Un peu de mystère et de retenue, s’il vous plaît ! »
Romain, 31 ans, illustrateur

– « Ce que je déteste au lit… et bien le lit justement ! »
Tristan, 28 ans, ingénieur

Aufeminin.com – Ce qu’ils détestent au lit : Micro-trottoir hommes

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100% d’accord avec Tristan…Le lit c’est fait pour dormir et pour mourir !
 » Et pis c’est tout ! »

Troy Davis : " OU EST LA JUSTICE POUR MOI ? "…

Troy DavisPétition pour Troy Davis
http://www.cyberacteurs.org/petitions/petition.php?id=4

Concernant la possibilité que nous avions évoquée avec Amnesty de signer une cyber @ction adressée directement et en temps réel à Larry Chisolm, la famille de Troy Davis et les organisations militantes comme Amnesty International pensent que ce n’est pas la meilleure chose à faire dans un premier temps : il vaut bien mieux collecter les pétitions et les remettre si la Cour Suprême se prononçait négativement sur le cas de Troy Davis.

Amnesty:
OU EST LA JUSTICE POUR MOI ?
«Je veux que vous sachiez que le traumatisme vécu par ma famille et moi-même, après une troisième fois à attendre mon exécution dans la chambre de la mort, est plus que la plupart ne peuvent supporter; mais quand je regarde cette terreur d’Etat, je vois une constante, ma foi ne vacille pas, l’amour de ma famille et de mes amis est énorme, et le combat pour la justice et contre l’injustice mené par les militants d’Amnesty International ont allumé un feu brûlant pour les droits humains et la dignité humaine.
Vous m’inspirez, vous m’honorez, et pendant que je prie que ma famille et ceux que j’aime gardent la force et la droiture, je partage cette lutte avec vous, je partage nos victoires, et, sachant ce que vous me donnez en force et en courage, je partage avec vous ma vie.» Troy Davis

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Lire tout le doc. video et photos sur le site d’Amnesty.

" L’art de la masturbation féminine "…Pour changer de la simulation!

« L’art de la masturbation féminine

Les femmes aiment se donner du plaisir. Le rapport de la célèbre sexologue américaine Shere Hite, qui, dans les années 1970, a effectué une enquête auprès des femmes sur tout le territoire des Etats-Unis, l’a montré. Comment s’adonnent-elles au plaisir solitaire, c’est aussi ce que cette étude a cherché à savoir. Résultats et témoignages extraits du « rapport Hite ».
Des 3 000 femmes ayant répondu, anonymement, à ce questionnaire qui faisait le tour de la sexualité féminine (orgasme, coït, clitoris, masturbation…), 82 % déclaraient qu’elles se masturbaient, et, parmi elles, 95 % parvenaient sans peine à l’orgasme chaque fois qu’elles le voulaient. Ce qui, d’après la sexologue, contredisait l’idée couramment admise que les femmes sont « lentes à démarrer », et qu’elles ont du mal à parvenir à l’orgasme. Pratiquement, l’enquête a permis de distinguer six types de masturbation (avec quelques variantes).
Dans la très grande majorité des cas (73 %), la femme excite manuellement la région clitoridienne et/ou vulvaire en étant couchée sur le dos ou autrement…

Peu de femmes effectuent systématiquement une pénétration vaginale (1, 5 %) et plus de la moitié commencent par stimuler manuellement leur clitoris.  »

( Site Doctissimo.)

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Bein oui ! Le petit fonctionne comme le grand…et on peut même affirmer que les prouesses du premier n’ont RIEN à envier à ceux du dernier, dans le domaine de l’orgasme GARANTI; avec le TOP de pouvoir le répliquer jusqu’à…l’infini…et à TOUT âge, et écolo en plus parce que SANS chimie!

Simuler? "Trahison, remise en cause de sa virilité et risques "…

[Simuler ? Oh oui ! Mais..

Les risques de la simulation à outrance

Bloquer l’orgasme :

« C’est là tout le paradoxe de la simulation, explique Alain Héril. En mimant l’orgasme, on finit par s’en verrouiller l’accès ! »
D’une part, la simulation provoque pendant le rapport une sorte de dédoublement : en simulant son plaisir, on finit pas se couper de ses sensations, comme si on se voyait faire l’amour. Difficile quand l’habitude est prise de réapprendre à se concentrer sur son ressenti !

D’autre part, l’utilisation d’un artifice permet de clore le problème en apparence, mais le dysfonctionnement persiste, voire s’envenime, et rien ne permet d’amorcer le changement !
« Dans un rapport sexuel, le plaisir naît d’ajustements mutuels, enfonction des réactions de l’autre. Si le plaisir est feint, le partenaire ne reçoit pas les bons signaux et n’y apportera donc forcément pas les bonnes réponses… » Et le paradoxe se répète quand l’impossibilité à atteindre l’orgasme relève d’un dysfonctionnement personnel et individuel : « Simuler c’est faire croire, mais aussi se faire croire. On fait alors l’économie de se poser les vraies questions ».

Créer un sentiment de trahison
« Je vois dans mon cabinet des femmes qui simulent depuis 3 – 4 ans. Elles veulent sortir du mensonge et rétablir la confiance dans leur couple, mais ne voient pas comment faire marche arrière sans ébranler toutes les fondations du couple ! », déclare Alain Héril. Et dans ce cas, la souffrance est double : à la frustration sexuelle peut se greffer une impression de trahir l’autre et un renfermement sur soi-même qui ne serait pas sans conséquences pour le couple !

Les questions à se poser
Quand s’inquiéter :
Quelle est alors la limite entre simulation « bénigne » et simulation « problématique » ? C’est le bien-être qui est le meilleur baromètre : tant que la simulation n’intervient que ponctuellement et qu’elle n’empêche pas les partenaires d’accéder au véritable plaisir, pas d’inquiétude !

« En revanche, précise Alain Héril, la simulation peut devenir pour certaines femmes un recours systématique, qui est toujours à l’origine de souffrance. Souffrance liée à la frustration sexuelle d’une part, et au sentiment de trahison envers son compagnon d’autre part. Or, à partir du moment où il y a souffrance, il y a dysfonctionnement ! Il ne faut pas perdre de vue que le sexe censé procurer au couple plaisir, partage et complicité ! »

Qu’est-ce que ça cache ?
Quand simulation rime avec frustration, la première chose à faire est de s’interroger sur les raisons qui ont pu pousser à adopter cette « stratégie ». La simulation systématique intervient selon Alain Héril dans deux cas de figure : « Certaines femmes ont déjà connu l’orgasme, seule ou dans des relations antérieures, mais ne parviennent pas à l’atteindre avec leur partenaire. D’autres n’en ont jamais fait l’expérience et sont dans une problématique anorgasmique, c’est-à-dire dans l’impossibilité d’accéder à la jouissance. »

Volonté de préserver la relation dans un cas, crainte de paraître anormale ou frigide dans l’autre, la simulation apparaît alors comme la seule solution pour sauver son couple : « Au fond, le recours à la simulation intervient pour apaiser une angoisse plus profonde : celle de l’abandon. Ces femmes ont l’impression qu’en faisant l’aveu de leur impossibilité à jouir, elles prennent le risque de se faire quitter par leur partenaire. »

Déterminer la cause
Première étape : tenter d’analyser la situation. Pour cela, interrogez-vous d’abord sur les raisons qui vous ont amenée à mettre en place ce procédé : avez-vous déjà eu un orgasme ? Si non, cette incapacité n’est sûrement pas liée à votre couple, mais à une difficulté personnelle.
Si oui, mais que c’est dans votre relation actuelle que vous n’y parvenez plus, le dysfonctionnement est sans doute lié à votre couple ou à votre partenaire.

Préférer l’intervention d’un tiers

« Dans tous les cas, il est préférable dans un premier temps d’entamer un travail seule, auprès d’un psychothérapeute dans le cas d’une impossibilité orgasmique, ou d’un sexologue dans le cas d’une anorgasmie passagère », précise Alain Héril.
Objectif : mettre à jour les causes profondes du malaise, qu’il soit individuel ou relationnel.
Ne vous aventurez pas dans des révélations fracassantes auprès de votre compagnon… Même si votre intention est de gagner en transparence, il se joue dans cette discussion trop de choses pour l’improviser.
Sur le forum, un lecteur, Shinjoko, confie : « Il n’y aurait rien de pire pour moi que de croire donner du plaisir, et de m’apercevoir que non seulement, elle n’aurait pas eu d’orgasme, mais qu’en plus, elle se soit forcée ! »
« La blessure est double pour l’homme qui apprend que sa compagne simule, explique Alain Héril. Il y a d’abord un sentiment de trahison, suivi d’une remise en cause de sa virilité. »
Pour éviter le clash, préférez l’intervention d’un tiers qui, après avoir analysé la situation, fera un intermédiaire précieux pour éviter les maladresses et les incompréhensions.

* Alain Héril est psychothérapeute, sexothérapeute, formateur et auteur de plusieurs ouvrages dont Les continents féminins, aux éditions Jean-Claude Gawsewitch. http://www.alainheril.com ]
( Site Aufeminin.com )

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Cool, les filles: Le « Mag » de TF1 ce jour, nous apprend que vient de sortir un spray nasal pour orgasme féminin garanti…à 6OOO €!

TOUT baigne alors, pour changer un peu de l’onanisme très, très efficace lui aussi, et à tout « âge féminin », et…GRA-TUIT en PLUS !

Ejaculation "inconsciente" et IVG à la chaîne : on TUE , AUSSI, mais par "procuration"!

8 semaines

10 semaines ATTENTION!!! Photos très dures…Mais les commandos anti-IVG se trompent de combat : il faut couper le « robinet de sperme » mais pas la TÊTE des avortées !!!

8 ans pour avoir tué 3 enfants…c’est peu, non ? La société se sentirait-elle coupable, ELLE AUSSI ? Contrairement au dresseur de bûcher ou de pilori qui passe à la trappe ses propres responsabilités, négligences, lâchetés et saloperies de toutes sortes ?
Où commence l’infanticide ? appelons un chat…un CHAT!!!

Justice est rendue et des jurés se sont prononcés en toute CONNAISSANCE de cause…et compte tenu de leur PROPRE vécu ! C’est bien…

8 ans…et « après » ? Eh bein…RIEN! On continue « droits dans ses bottes et bottines »… EXACTEMENT…COMME avant !

Des ruisseaux de sperme incontrôlé, des montagnes de bébés non désirés et des millions d’IVG!!!

 » Fait marquant, depuis 1990, plus de 8.000 jeunes filles mineures ont eu chaque année recours à une IVG . Ce nombre a eu tendance à s’accroître depuis 1995, avoisinant 10.700 en 2002 « .( France 2)

Que la prochaine ivégétée, n’oublie pas de lui jeter la première pierre, ainsi que son complice de fabrication !

Mais…La justice ne passera pas par là : On TUE AUSSI, pourtant!… Mais par personnel médical interposé!!! …Alors ?

Tout va très bien Madame la Marquise,
TOUT va très bien, TOUT va TRES bien!

NB-Photos du site contraception.fr

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Simone Veil devant le Parlement français:
« l’avortement n’a rien d’une partie de plaisir (« Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme – je m’excuse de le faire devant cette Assemblée presque exclusivement composée d’hommes – aucune femme ne recourt de gaieté de coeur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes »). »

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L’IVG ? Si, si, si! Une vraie partie de plaisir! Et si vous survivez à l’opération :

 » Un des problèmes suivants survenir:
Saignements importants nécessitant l’emploi de plus de deux bandes hygiéniques à l’heure,
d’abondantes pertes de caillots;
des crampes douloureuses ( contractions ) après le 8ème jour ( elles sont normales entre le 4ème et le 7ème jour );
de la température supérieure à 37 ,5 avec des frissons,
des vomissements ou de la diarrhée;
des pertes de sang malodorantes ou pertes jaunâtres;
des vertiges, perte de connaissance
Il faut recontacter le médecin.

Si vous ne vous en sortez pas psychologiquement, si vous avez des questions à poser, il est préférable d’en parler plutôt que de les garder pour vous. Contactez Votre médecin ou votre psychologue. » ( Site Santé)

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…N’en parlez SURTOUT pas à votre Jules…Vous pourriez le TRAUMATISER, le pauvre chéri…
Et vogue la GALERE
!

J’ai déjà fait un article sur les DELICES et les dangers INEXISTANTS des méthodes contraceptives, par DEFINITION …FEMININES !!!

A écouter :http://www.youtube.com/watch?v=rdLUV0hhYZY

… " dépression, agressivité, tendance à la violence projetée et exercée contre des individus ou des groupes de gens. Ainsi, une telle société devient guerrière."…" colère, sentiment d’impuissance et une rage qu’il ne peut ni comprendre ni exprimer. "

libertus :
mercredi, 17. jun, 2009 @ 14:22:54
-un livre à lire:
 » La préhistoire du sexe » , par Timothy Taylor.
Il évoque les amazones, les Scythes etc, etc…
Lib

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Tingy:
Préhistoire du sexe
De Pat Törngren:
 » Récemment, mon thérapeute m’a suggéré la lecture d’un livre qui confirmait clairement ce que je revivais en séance de consultation avec lui. C’est ce que j’aimerais partager avec vous ici. Il s’agit d’un livre fondé sur l’archéologie, intitulé La préhistoire du sexe, écrit par Timothy Taylor et publié par Bayard, coll. Sciences, 1998.
Le passage pertinent se trouve au chapitre 7.
Taylor affirme que dans les sociétés de chasseurs-cueilleurs, les enfants sont allaités jusqu’à l’âge de cinq ou six ans. Ils profitent du grand réconfort et du sentiment d’amour inconditionnel que l’allaitement procure. Ils en apprenent la confiance, la sécurité de l’attachement et le partage. L’auteur souligne que loin d’en faire des êtres dépendants, ils affichent une remarquable autonomie ayant intégré une solide estime d’eux-mêmes.
L’auteur démontre aussi que dans les sociétés de guerriers, l’inverse est souvent vrai. Le colostrum est souvent refusé au bébé. Ceci est habituellement suivi d’un sevrage précoce. Il en résulte un bébé aux prises avec une souffrance non résolue, de la colère, un sentiment d’impuissance et une rage qu’il ne peut ni comprendre ni exprimer.
Ceci émergera probablement plus tard dans sa vie sous forme de dépression, d’agressivité ou de tendance à la violence projetée et exercée contre des individus ou des groupes de gens. Ainsi, une telle société devient guerrière. (La psychanalyste suisse Alice Miller traite du même phénomène dans son livre  » C’est pour ton bien: Racines de la violence dans l’éducation de l’enfant « , Aubier 1985). Certains médecins et spécialistes des soins aux enfants préconisent une méthode dite de ‘contrôle des pleurs’. Ils exhortent les parents à utiliser ce moyen pour rendre leurs enfants plus autonomes. Timothy Taylor a une opinion mieux éclairée de l’impact que peut avoir cette méthode sur le bébé. (1)
Il affirme que le sevrage précoce se fait en obligeant l’enfant à dormir seul et en ignorant ses pleurs. Dans la méthode du’contrôle des pleurs’, on laisse l’enfant pleurer de plus en plus longtemps à chaque nuit avant de répondre à ses besoins de nourriture ou de réconfort. Éventuellement, l’enfant cessera complètement de pleurer. À ce moment, les personnes mal renseignées sont ravies, croyant avoir inculqué à l’enfant de meilleures habitudes.
Au contraire, Timothy Taylor propose l’explication suivante : un instinct animal de base – observé chez les petits de presque tous les mammifères et les oiseaux – est entré en action. Le bébé instinctivement ressent ce qui suit  » Si vous exprimez votre détresse et que personne ne vient, c’est que vous avez été abandonné. Vous allez mourir à moins d’économiser votre énergie. Pleurer entraîne une dépense d’énergie. Alors, pour survivre, vous devez cesser de pleurer et passer en mode  » d’économie d’énergie « . Avant de cesser ses pleurs, le bébé doit cependant intégrer la notion qu’il a été abandonné.
Les conséquences en sont très graves. Taylor a établi un lien avec la théorie de  » l’impuissance acquise  » Martin Seligman. Il soutient que si un enfant pleure sans qu’on y porte attention et que ses besoins demeurent insatisfaits, il commencera à se détacher de la réalité. Instinctivement, le message qu’il perçoit c’est:  » Peu importe tous les efforts que j’y mets, ça ne donne rien, je n’obtiens aucun réconfort. Alors à quoi bon continuer à essayer? Mes efforts sont vains, de toute façon « . La conscience d’un tel état est insoutenable pour un bébé. Afin de survivre, il l’occulte dans l’inconscient et essaie de s’engourdir pour atteindre le sommeil.
L’expérience d’une telle incapacité à agir sur son environnement ou de demander qu’on s’occupe de lui devient la base de ce qu’on appelle  » l’impuissance acquise « . L’enfant a appris dès le début que toute tentative pour que l’on réponde à ses besoins ou pour s’affirmer de quelque façon que ce soit est totalement futile. Tragiquement, cette résignation acquise est souvent le précurseur de la dépression clinique.

Nous devons aider les parents à réaliser que leur  » bon bébé, bien élevé  » sont peut être en danger de devenir déprimés et de continuer à l’être plus tard dans la vie, à moins de passer par des années de thérapie dispendieuses. Puisqu’il vaut mieux prévenir que guérir, il est devenu essentiel d’en informer les nouveaux parents dès que possible.
Dans une présentation à une conférence internationale sur la méthode mère-kangourou (soins kangourous mère-enfant) en 1998, un docteur du Cap, le docteur Nils Bergman, a commenté en ces termes, la recherche de Lozoff et autres chercheurs (1977) qui ont étudié la façon dont les peuples de chasseurs-cueilleurs élevaient leurs enfants. « Tous les groupes ont en commun le fait que des nouveaux-nés sont portés constamment. Ils dorment avec leurs mères, qui répondent immédiatement à leurs pleurs; ils sont nourris toutes les heures ou toutes les deux heures, et sont allaités pendant au moins deux ans. » Il poursuit en exhortant les parents à donner ce mode de soins à leurs enfants, il en va de la survie de l’espèce humaine.
Pour la plupart d’entre nous, malheureusement, cette information arrive trop tard. Ce qui m’attriste c’est que bien que ma mère n’était pas une personne très chaleureuse, elle était très consciencieuse et a voulu bien faire les choses. Si les livres consacrés aux soins des enfants de son temps lui avaient enseigné de me tenir dans ses bras et de me réconforter après ma naissance, de me prendre et me porter tout près de son corps, de me laisser dormir avec elle, de me nourrirquand j’avais faim au lieu de me laisser crever de faim pendant huit heures chaque nuit, elle aurait suivi leurs instructions et l’histoire de ma vie aurait probablement été très différente.
Au lieu de cela, le médecin lui a dit de ne pas me prendre trop souvent et, en aucun cas, de me nourrir entre 22 h 00 et 6 h 00, parce que mon  » estomac devait se reposer « . (Certains des pires sensations, comme bébé, revécues au cours d’une psychothérapie étaient en lien avec ces terribles épreuves nocturnes pendant lesquelles j’étais torturée par la solitude et tenaillée par la faim.) Ma mère était consciencieuse, elle a suivi à la lettre les instructions du médecin.
Cependant mes pleurs la préoccupait, alors elle a appelé son médecin et lui a dit:  » Je ne peux pas laisser mon bébé pleurer comme cela. Est-ce que je ne devrais pas la nourrir ?  » Sa réponse fut, « Qu’importe ce que vous faites, ne lui donnez rien avant 6 h 00, parce que ce serait très mauvais pour son estomac ». Alors, à partir de 4 h 00, chaque matin, elle se promenait me tenant dans ses bras pendant que je pleurais, mais elle ne m’a jamais nourrie. Elle m’a dit plus tard que cela la désespérait.
Ça me désespérait aussi. Je lui disais aussi clairement que je le pouvais que j’étais affamée et que je souffrais. Mais rien ne semblait pouvoir lui faire comprendre ce dont j’avais besoin. Cela m’a occasionné des problèmes durant toute ma vie ; comme la crainte de ne jamais être comprise, peu importe la clarté avec laquelle j’essaie de m’exprimer. Cela m’a aussi donné une grande insécurité au sujet de la nourriture et la crainte qu’il n’y en ait jamais assez. En outre, cela m’a fait sentir que j’étais  » mauvaise  » et ne méritais pas de recevoir quoique que se soit (pas même de la nourriture lorsque j’étais affamée), parce que je pouvais ressentir l’irritabilité et le ressentiment de ma mère envers le fait d’être réveillée si tôt chaque matin.
Ainsi, dans ma vie d’adulte, j’ai eu à surmonter des problèmes de faible estime de moi, de sentiments d’être  » peu méritante « , de manque d’affirmation de moi, d’impuissance acquise et de dépression. Tout ceci m’a obligée à passer plusieurs années en thérapie primale, récupérant des traumatismes de mon enfance, ce que, heureusement, je suis en train de réaliser maintenant…
PARENTALITÉ PRIMALE: DONNER AUX BÉBÉS
LE MEILLEUR DÉPART DANS LA VIE

Mis à jour en mai 2005 : Les recherches récentes confirment l’hypothèse de Taylor. L’examen du cerveau par imagerie, l’étude des signes vitaux et les mesures des niveaux d’hormones du stress des bébés démontrent que ceux-ci subissent un traumatisme mesurable lorsque leurs besoins d’affection et d’intimité ne sont pas suffisamment satisfaits. Le livre de Sue Gerhardt  » Why Love Matters: How Affection Shapes a Baby’s Brain  » (Brunner-Routledge, New York, 2004) énumère certaines des études les plus récentes.
Visitez le groupe Yahoo (en anglais) Kangaroo Mother Care
Traduction: Gilles Massé
Révision : Ghislaine Reid, trad. a., IBCLC

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Nous SOMMES le résultat de notre VECU et la frontière entre le » Bien » et le « Mal » est… »élastique » selon les « critères de vécu », de chacun!

…Enterrons les « Pierres de morale », au fond du jardin de la compassion et de l’empathie!!!

Les Amazones ? Des……..blondes ! Si , si, si !!! Incroyable, comparée à LA "Blonde", tellement conne !

Amazone3

 » Les amazones ont-elles vraiment existé ?

Hérodote fournit dans une digression (IV, 110-117) une version historicisée de la légende des Amazones. À la suite de violents combats avec les Égyptiens 2000 ans av. J.-C., des tribus scythes occupent la Cappadoce. Des guerriers scythes sont exterminés dans une embuscade et les femmes restées seules prennent les armes. Selon Hérodote, le nom amazone signifie (à tort) « privée de mamelle », les Grecs pensant que c’est dans le but de tirer plus facilement à l’arc. En langue caucasienne, ce nom signifierait par contre « ceux qui ne mangent pas de pain » (ce qui reporte aux sociétés nomades et donc non agricoles) ou « ceux qui vivent ensemble » ou pourrait faire allusion à une éventuelle « ceinture magique » portée par les Amazones.
Le cheval est inséparable des populations des steppes, ce qui est le cas des Scythes et des Sauromates (proto-Sarmates) renommés dans l’Antiquité comme éleveurs de chevaux et excellents archers. On peut supposer à la suite d’Hérodote que les Amazones sont les épouses des Scythes et des Sauromates qui, fait inconcevable pour un Grec, ont le droit de chevaucher et de guerroyer. De là est né le mythe de farouches guerrières, élevées comme telles.
Des fouilles archéologiques récentes, conduites par Jeannine Davis-Kimball à la frontière entre la Russie et le Kazakhstan, ont permis de mettre à jour des tombes de femmes guerrières, enterrées avec leurs armes entre 600 et 200 av. J.-C. L’une des tombes était richement garnie de nombreux objets et bijoux féminins et également de 100 pointes de flèches.
Une enquête approfondie menée dans la même région a démontré l’existence d’une tradition vivace de la femme archer et cavalière émérite, leur arc étant de forme très caractéristique exactement identique à celui qui est représenté sur les céramiques antiques. Des relations génétiques ont également été prouvées entre les restes humains trouvés dans les tombes et certaines familles Mongoles dont des filles naissent parfois blondes, caractéristique particulière des Amazones, ce qui est un fait absolument unique dans ces ethnies à la chevelure uniformément noire et qui tend à prouver un mélange entre des tribus mongoles et les restes de l’ethnie des Amazones dont l’origine exacte reste encore un mystère.

Les Amazones hors de Grèce

Au XVIe siècle, les premières explorations espagnoles de la région équatoriale d’Amérique du Sud, qui ont à leur tête l’explorateur Orellana croient découvrir des peuplades similaires sur les bords du Maragnon qu’ils appellent alors le « fleuve des Amazones », « Amazone » puis l’Amazonie et sa forêt. Ils y rencontrent en effet des femmes qui combattent aussi farouchement que les hommes. Les amazones d’Amazonie sont parfois représentées avec la peau blanche.

Il existe d’autres traditions de femmes-guerrières en dehors des peuples des steppes d’Asie centrale, comme dans le Dahomey du roi Agadja.
Une amazone du Dahomey, dessinée par Frederick Forbes en 1851.

Dahomey_amazon1[1]

Wikipédia

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A l’origine du Monde, la femme EST le « sexe faible » ? Allons donc !

…Mais la société largement machisme et les religions, en ont fait de la pâtée pour chat !

…Avec le plus souvent, l’accord passif ou actif de femmes, trop occupées à se bouffer la tronche entre elles pour la course au mâle, ou par complexe d’infériorité instillé par DES mecs arrogants, égoïstes et n’hésitant pas à utiliser la violence comme argument décisif, pour des réfractaires !!!  »

Pour Lola : " La solitude ?…Ça n’existe pas !!! "

 » Il était une fois, une petite fille qui habitait une jolie maison taillée dans le roc. Tout autour s’étendaient des prés à l’herbe drue et un peu plus loin se dressait une immense forêt pleine de mystères.
Elle n’avait pas toujours habité là. Elle venait d’un lointain pays de soleil, où l’hiver enneigé ne s’aventure jamais. Elle avait été très malade et ne se souvenait de rien concernant sa vie passée. Elle restait persuadée qu’elle était née depuis quelques mois seulement, dans cette charmante demeure.
Elle restait des heures, assise devant la grande cheminée à contempler les images fantastiques qu’elle voyait surgir des flammes. C’est grâce à ces dernières, d’ailleurs, qu’elle avait su qu’elle venait d’un pays aux deux saisons.
Les flammes lui avaient appris aussi, qu’elle avait toujours été une petite fille. Tous les autres enfants grandissaient autour d’elle, sans qu’elle pût en faire de même. Elle n’avait ni parents, ni amis, hormis un petit garçon qui venait souvent rêver avec elle. La maison lui appartenait et il la prêtait à la fillette. À vrai dire, il avait été en quelque sorte obligé de l’accueillir, car il la vit se réveiller devant sa porte, par un beau matin clair. Elle frissonnait, il l’emmena se réchauffer devant la cheminée. Depuis, il ne lui avait pas dit de s’en aller.
Les mois se succédaient et il ne se passait pas de jour sans que son petit ami ne vint la voir. Ils avaient inventé toutes sortes de jeux. Celui du mot cadeau par exemple. C’était simple. Il s’asseyaient devant la cheminée. Il y régnait en permanence une douce chaleur, car les branches mortes de la forêt voisine, préféraient venir y finir leurs jours, plutôt que de pourrir dans le froid et l’humidité, rongées de vers.
Ils étaient donc assis en tailleur face-à-face, devant le feu et prononçaient à tour de rôle un mot qu’ils désiraient donner à l’autre. Ce dernier le goûtait, puis un suivant jusqu’à ce qu’il ait trouvé exactement le goût qu’il désirait. Ils recherchaient ainsi une infinité de saveurs dans une multitude de mots. Ils n’étaient jamais rassasiés.
Mais ils préféraient par-dessus tout le jeu du voyage. Il s’installaient devant la cheminée et plaçaient entre eux une clochette, comme celle que portent les vaches des Pyrénées. Ils se tenaient les mains. C’était important afin qu’ils ne se perdent pas en chemin. Ils fermaient les yeux et au bout d’un temps plus ou moins long, la clochette se mettait à carillonner, comme si c’était Pâques. Dès qu’elle se taisait, ils ouvraient les yeux et se retrouvaient dans un pays ou un autre, différend à chaque fois.
C’est ainsi qu’ils se rendirent sur les vieux remparts de Saint-Malo, errèrent des heures dans Londres embrumée à la recherche d’un hôtel, rêvèrent aux pieds de ruines en Espagne…
Parfois, ils décidaient de voyager séparément et à tour de rôle. Il se retrouvait inlassablement à bord d’un voilier fendant une mer immense, et elle errait sans limites sur les plages dorées d’une île déserte.
Les jours avaient fui, l’automne touchait presque à sa fin et elle pensait à Noël à cause des flammes qui ne faisaient qu’en parler depuis quelque temps.
Le feu lui racontait à volonté ses Noëls passés et les Noëls présents du monde entier. Il suffisait qu’elle fixe les flammes pendant cinq secondes, pour que la magie opère. Alors, apparaissaient des rues illuminées où une foule euphorique dévalisait des magasins aux vitrines ruisselantes de lumière. La solitude avait signé la trêve de Noël : on ne voyait partout que des couples enlacés et des familles heureuses.
La fillette n’avait pas vu son ami depuis quelque temps, quant un soir, il vint à nouveau rêver auprès d’elle. Il lui annonça qu’il serait absent pour Noël ,car il était invité chez des copains.
La petite avait entendu, mais pas vraiment réalisé, le sens des propos. Seulement, le lendemain, des images glacées surgirent des flammes brûlantes. Aucun son ne traversait l’épais brouillard recouvrant les rues soudain assombries et désertes. Le coeur serré, la fillette n’osa plus se tourner vers la cheminée, ni regarder les flammes. Elle ne supportait pas l’idée d’être toute seule pour Noël.
Elle quitta aussitôt la maisonnette et se dirigea vers la forêt pleine de mystères, où croissait la fougère rousse. Elle se retrouva sans l’avoir consciemment désiré, devant l’écurie de la jument « Acajou ». Cette coquine rendait enragé plus d’un, car une fois sellée et montée, elle refusait à la manière d’une ânesse bornée, de faire le moindre pas.
Dès leur première rencontre qui remontait à quelques temps, la jument Acajou avait longuement regardé la petite fille, de ses immenses yeux humides et tellement expressifs, avant de frotter vigoureusement le plat de son museau contre le pull marin.
Ce jour-là, la fillette lui tapotait tendrement la joue, quand elle l ‘entendit parler à voix basse.
– Qu’est-ce qui te rend si triste une veille de Noël ? demanda la jument.
– Mais tu parles ! s’exclama la petite fille.
– Ce n’est pas la première fois, mais tu ne m’entendais pas jusqu’ici, fascinée par la magie des flammes et par la présence de ton petit copain aussi. Mais tu n’as pas répondu à ma question, insista Acajou.
– S’il te plaît, emmène-moi dans la forêt pleine de mystères. Elle est si belle aujourd’hui, demanda la fillette, ignorant la question de la jument.
Sans attendre de réponse, elle roula une botte de paille à côté de la coquine et grimpa sur la selle.
La jument redressa fièrement la tête, balaya l’air de sa belle queue et avança l’air hautain, sans que sa cavalière n’eut à lui donner le plus petit ordre.
Elle prit la direction d’une clairière ou dormait un étang. Une fois arrivée, elle fit la folle dans l’herbe humide et tendre, pendant que la fillette se dirigeait vers le miroir assoupi.
Elle s’approcha du bord et se pencha au-dessus de l’onde, pour suivre des yeux une grenouille qui avait fait un plongeon. Elle vit bientôt l’ image tremblotante d’une petite fille qui lui souriait avec tendresse. Quand la surface de l’eau redevint lisse et calme, elle s’aperçut que la créature de l’eau lui ressemblait comme deux gouttes d’eau. Elle tendit la main. Sa jumelle la prit dans la sienne et sortit du miroir liquide.Puis, elles se laissèrent tomber sur le sol tendre, s’embrassant à pleines joues, les bras tressant des colliers de caresses. Elles se promenèrent longuement riant et pleurant, se racontant des histoires de gouffres sans fonds et de nuits aux mille et un soleils. Des histoires à dormir debout, les yeux grand ouverts.
– Je suis sûre que tu entends les gens penser, dit la jumelle de l’étang.
– Tout à fait. Souvent je les écoute mentir dans leur tête. Leur bouche sourit et dit le contraire acquiesça la fillette.
– Je sais aussi que tu voyages dans le futur.
– C’est vrai et aussi souvent que je le désire. J’entends ce que l’on ne dit pas, je perçois ce que l’on ne voit pas. Je voyage à travers l’espace et le temps, sans bouger du lieu où je me trouve. Je peux communiquer avec certaines plantes et certains animaux. Mais le plus souvent, je m’enferme dans une sorte de bulle invisible, où jamais personne ne m’atteint.
La nuit tombait. La petite fille avait perdu sa tristesse , car elle savait désormais, qu’elle ne serait plus jamais seule. Il lui suffirait de le désirer très fort, pour que son amie de l’étang vienne la rejoindre en tout lieu et à toute heure. En réalité, sa jumelle avait toujours existé, mais elle n’en avait pris conscience qu’aujourd’hui, au moment où elle s’était regardée dans le miroir liquide.
La jument Acajou avait regagné ses pénates depuis belle lurette. Depuis que le carillon de l’écurie, annonçant le souper, avait retenti jusque dans son estomac.
La fillette et son double s’embrassèrent tendrement, avant de se séparer momentanément. La première regarda son amie grimper tout en haut d’un pin, où l’appelait un vieil écureuil qui détestait jouer seul à casse noisettes. Puis elle prit d’un coeur léger, le chemin du retour inondé de la clarté d’une lune généreuse. Elle réchauffa dans sa poche un petit champignon solitaire qui frissonnait, et rencontra une vieille chouette qui prenait l’air sur le pas de son arbre . Elle haussa les épaules tout en levant les yeux au ciel quant elle vit la fillette sauter à cloche- pied dans le sentier couvert d’un tapis de mousse. Cette dernière ne put s’empêcher de sourire, car l’oiseau avait les mimiques de son aïeule quand elle la regardait autrefois, rentrer de l’école en zigzaguant du trottoir sur la chaussée et vice versa. C’étaient les flammes qui lui avaient raconté sa mère-grand de cette façon.
La petite fille se retrouva en un rien de temps devant la porte de la maisonnette et faillit se cogner à une vieille grosses branche qui se traînait péniblement vers sa dernière chaleur. Elle l’aida a franchir les quelques mètres qui la séparaient de la grande cheminée. La bûche à bout de souffle, ne tarda pas à ronfler de plaisir.
La fillette s’installa sans perdre une minute, devant l’âtre et osa regarder les flammes de tous ses yeux, ceux du dehors et celui du dedans. Celui qui entend mentir et ceux qui perçoivent les infimes nuances de l’arc-en-ciel. Aussitôt, défilèrent à nouveau, d’innombrables vitrines illuminées et bondées où s’agglutinaient des gens heureux. Ce soir-là, la petite fille s’endormit profondément, la tête dans les étoiles.
Le lendemain, en fin d’après-midi, assise à sa place préférée, elle posa la cloche devant elle et ferma les yeux très fort. Quelques secondes plus tard, le tintement résonna plus clair, plus joyeux et plus insistant que d’habitude. Elle ouvrit les paupières et se retrouva, étonnée, dans une pièce qu’elle ne connaissait pas.
Elle courut à la fenêtre et vit une rue brillamment éclairée, enveloppée de légères écharpes de brume. Des gens emmitouflés dans de chauds manteaux, se pressaient tout en échangeant des souhaits : « Merry Chrismas! »
Elle se retourna et fit des yeux, le tour de la pièce. Une fausse peau de zèbre toute moelleuse ainsi que des coussins tendres et soyeux, couleur de bonbons acidulés, égayaient un lourd tapis d’orient. La fillette s’engouffra dans un vaste manteau suspendu derrière la porte d’entrée. Elle se précipita dans la rue pour aller faire plein d’achats , en compagnie de sa petite amie de l’étang, venue la rejoindre selon son voeu.
Elles rentrèrent quelques instants plus tard, joyeuses et volubiles, croulant sous le poids de nombreux paquets.
Pendant que son double grignotait des chocolats fourrés et des marrons glacés, assis en tailleur sur la fausse fourrure, la petite s’affaira.
Elle disposa d’odorantes roses rouges dans un grand vase noir qu’elle plaça sur sur un coin du tapis.
Elle installa l’arbre de Noël au milieu de la pièce et se délecta un long moment à le décorer. Elle n’oublia pas d’y accrocher de vrais petits glaçons et de le saupoudrer de vrai givre, qui avaient accepté de ne pas fondre l’espace d’une nuit . Elle pensa aussi à accrocher l’étoile étincelante au sommet du sapin et disposa les cadeaux à son pied.
Ensuite, vint le moment de construire la crèche. Elle n’était contaminée par aucune religion, mais la naissance d’ un bébé ne pouvait la laisser indifférente. Elle posa la boîte de carton qui avait contenu les guirlandes, contre le mur. Tout autour elle disposa du papier d’emballage froissé et modela une sorte de rocher creusé d’une grotte. Elle piqua des petites branches de sapin dans le « roc » pour simuler la végétation et plaça les personnages légendaires ; les bergers et les moutons en haut du rocher, les Rois Mages à l’entrée de la grotte, le papa et la maman encadrant le petit. Elle pouvait le poser dès maintenant sur sa couche, faite de paille d’emballage, car il était minuit. Elle accrocha enfin l’étoile tout en haut, pour que d’autres bergers puissent eux aussi repérer l’endroit et venir admirer le nouveau-né.
La fillette regardait ravie, son ouvrage, quand elle vit le bébé frissonner. Elle resta indécise une seconde, puis s’aperçut qu’elle avait oublié de placer l’âne et le boeuf. Elle répara aussitôt son oubli et bientôt, réchauffé par le souffle tiède des deux animaux, le tout petit bâilla, ferma les paupières et s’endormit.
La petite fille se releva. Elle ressentit un vrai bonheur à contempler l’arbre si joliment paré, les roses qui éclaboussaient le mur de taches éclatantes, la crèche où somnolait le petit Noël et enfin, son amie endormie dans la fourrure.
Elle s’arracha à sa contemplation, enfila une nouvelle fois son manteau et ses bottes, ouvrit et referma sans bruit la porte d’entrée et se dirigea vers la cathédrale toute proche. L’église semblait sur le point de craquer sous le poids de la foule, des lumières et des chants sacrés. La fillette éprouva un véritable enchantement à écouter les orgues puissantes qui faisaient vibrer les vieilles pierres.
Faisant fi du temps et de l’espace, elle se retrouva un moment, au coeur des étoiles, évoluant dans la musique du cosmos, convaincue qu’elle ne serait plus jamais seule. »

" Non Véronique et toutes les autres ne sont pas coupables. Ce ne sont que ces lois scélérates faites par les hommes qui sont la cause de ce désastre"…

critipolemik Pro
mardi, 16. jun, 2009 @ 10:39:41

Retournons au film de Lars von Trier : « Antichrist ». Pour calmer cette douleur intérieure qui nous hante perpétuellement, il faut retourner aux origines. Freud ne s’y est pas trompé. Dans le film le passé est cette forêt infiniment verte et touffue, peuplée de fantômes – nos culpabilités – et d’animaux – l’un deux dira : « c’est le chaos ». Pour y pénétrer, il faut franchir le pont. D’un côté, celui d’où on vient c’est le royaume du Christ (le conscient) – la lumière qui sépare le bien du mal -, de l’autre côté, c’est le royaume de Satan (l’inconscient), où le bien et le mal se confondent au point de n’avoir jamais existé. C’est le lieu de liberté, celle que nous avons perdu, celle que les sectes (dites religions) et la société nous a volée.
Le couple, qui a perdu son enfant pendant ce même acte d’amour qui lui a donné la vie, se perdra en confondant l’analyse de bazar et les fantômes du passé dont les sorcières vouées bûcher. Le film se terminera sur ces centaines de femmes nues recroquevillées apparaissant progressivement à nos yeux, se substituant à cette forêt, origine du monde, revêtant ainsi sa nature réelle : la femme, prouvant s’il en était nécessaire que la femme est bien l’origine de l’homme.

La femme est coupable d’enfanter. L’homme est coupable d’exister.
Un jour il disparaîtra parce que la femme est suffisamment grande et forte pour vivre seule et se reproduire sans ce sperme cause de tous les malheurs.
Mais elle n’aura fait qu’une seule erreur : propulser à l’extérieur de son corps son excroissance et s’en séparer en coupant symboliquement ce cordon, qui ne peut être coupé. En sortant du corps de la femme et en découvrant la vie, c’est un cri d’horreur que pousse ce petit corps, car déjà, il a compris.

Non Véronique et toutes les autres ne sont pas coupables. Ce ne sont que ces lois scélérates faites par les hommes qui sont la cause de ce désastre…

Pour conclure,je pose la question fondamentale : où trouve-t-on le racisme le plus dur et le plus radical ? Entre l’homme et la femme…

Épilogue : Ceux qui trouvent que je suis à côté du sujet ont raison, mais se trompent complètement !

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Réponse de Tingy

L’épilogue m’a…assise !

Je t’embrasse pour toutes les « Véronique » !

… Une seule question aux PROCUREURS mâles et femelles, qui ont eu recours, ou qui ont conseillé, ou qui ont été complices d’une IVG :

QUI, QUOI, vous AUTORISE à JUGER que VOUS n’ÊTES pas COU-PABLES d’IN-FAN-TI-CIDE, VOUS…AUSSI ???

Parce que c’était un « morceau » d’enfant ??? OU bien un morceau de « viande » peut-être ?

Ah! J’ai compris, c’est parce que vous CROYEZ que vous avez les MAINS PROPRES :
« quelqu’un » a TUE, pour VOUS à VOTRE demande !

Voilà où en sont réduites des nanas, parce que des mecs n’ENTENDENT QUE les EXIGENCES du PENIS et sont SOURDS, AVEUGLES et MUETS quand aux SOUFFRANCES, parfois inhumaines, de femmes; souffrances causées par les dégâts collatéraux du sperme IR-RES-PON-SA-BLE!!!

Que les : « Yavéka », commencent par balayer devant leur porte…sordide AUSSI !!!

…J’ai la NAUSEE, devant toute cette hypocrisie sociale machiste et religieuse !
minou

Etonnant !!!… sur MSN ( Pour nanas seulement ).

ÊTES-VOUS COMPATIBLES ?

 » Compatibilité Poissons et Scorpion :

Etres aquatiques, sensitifs et instinctifs, le Scorpion et le Poissons s’accordent en profondeur comme cela arrive rarement entre les signes. Ils peuvent se donner corps et âme l’un à l’autre. L’amour qui les attire l’un vers l’autre est érotique, fusionnel, et bien souvent unique. Ils se comprennent d’un simple regard, se devinent intuitivement. La magie qui les enrobe ne sera rompue que si le Scorpion cherche la confrontation et se laisse envahir par la jalousie. A la première vague, le Poissons prendra le large pour ne plus revenir, car même s’il aime son Scorpion avec ferveur, les scènes lui font horreur au point qu’il préfère le renoncement à l’affrontement.  »

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PAS, de jalousie…Même pas un atome!!!

Donc: c’est too much !

Amusez-vous!…