Mois : Mai 2009

Bonsoir à toi !

Biz à toi

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J’ai eu l’occasion de parler de ses « EXTRÊMISMES PORNOS »…qualifiés par elle… d’érotiques ! ( Quand elle s’en est prise à moi, alors que je ne lui avais RIEN fait…jeté un tout petit peu d’ombre peut-être, pour avoir écrit des romans, qui se sont bien vendus ?)

J’ai eu aussi l’occasion de parler de ses « racolages » de jeunes et…moins jeunes, en direct!

Je ne suis pas conseillère conjugale, mais j’ai un bon bout de vie…Derrière moi !

A mon avis ( ce n’est pas un CONSEIL, juste un AVIS !), il n’y a pas à t’en faire…si tu as épousé quelqu’un d’intelligent !…C’est juste que pour l’instant elle le chatouille là où ça lui fait du bien…comme chez la plupart des mecs, d’ailleurs ! Cela n’a rien à voir avec des liens profonds basés sur la CONFIANCE, l’ESTIME, le RESPECT, la TENDRESSE et la SENSUALITE, qui cimentent un VRAI couple!

Tu crois VRAIMENT, que ton homme puisse éprouver de la CONFIANCE et de l’ESTIME pour ce genre de personne ? Ça se passe en DESSOUS de la ceinture…et ça finit par lasser…parce qu’un homme attiré par ce genre de filles ira en voir d’autres, un jour où l’autre quand…il en aura fait le tour…ce qui devrait être vite fait, vu qu’il n’y a plus AUCUN MYSTERE SEXUEL de ce côté là…Pour TOUT blog.fr!

Ne perds pas ton temps à vouloir la « casser » : surtout pas de surenchère porno…>:-[
Ne la laisse pas pourrir ta vie : PENSE à TOI, TOI ! Tu es belle, sympa, intelligente, et tu n’as…qu’UNE VIE !

Et, pourquoi ne pas « laisser » à ton mari… [la reine de « blogcity » ] (hahaha!), si c’est cela TOUTE son ambition ? Il n’y a rien de tel que de partager, pour de VRAI, la vie de quelqu’un comme ça, au QUOTIDIEN, pour…s’ouvrir les yeux!
Qu’est-ce que tu as à perdre , LUI ? De toute façon, pour l’instant, c’est un peu tout comme,
pour toi, non?
Qu’est-ce que tu as à gagner, TOI ? Retrouver un peu de sérénité…t’occuper de TOI ! Repenser à TES rêves…à TOI ! Notre vie ne DOIT pas se DEFINIR en FONCTION d’un HOMME, mais par rapport à NOUS! As-tu déjà réfléchi au fait qu’ épouser quelqu’un, ne nous donne AUCUNE assurance quant à la durée de son amour ou…du nôtre…Ni aucun DROIT sur lui, bien sûr; ( Et que peut-être, c’est ELLE, SON genre de femmes ?! )
Peut-être aussi que la routine s’est installée dans ton couple ?…

Et, pourquoi pas TOI aussi, t’intéresser à quelqu’un…d’intéressant, pour TOI, et qui n’est pas du TOUT fasciné par des masturbations de blogueuse ?

Ça EXISTE, tu sais, j’en ai rencontré un !;)

Prends bien soin de toi, et essaye de faire le bon choix de vie, pour…TOI

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Avis à sa meute : ma vie présente est si belle…que c’en est presque gênant!( Je sais, je touche du bois!)
Si j’ai ouvert ce blog, c’est parce que le sort de millions de femmes maltraitées ou assassinées par leur conjoint, m’ insupporte.
(Les nombreux messages que je reçois dans ma boîte, me disent qu’il n’est pas inutile )

Et ce ne sont pas les crocs de certains qui m’impressionnent : j’ai la peau TRES dure et je suis là, pour TRES longtemps…en dépit des prophéties de la chouette !

Vidéo de « Libres Terres des Femmes » réalisé par Sophie Cantier .

– Une des actions de « Libres Terres des Femmes » :
Cours gratuits de self-défense : A l’occasion de la semaine du 8 mars, LTDF a renouvelé l’opération lancée en novembre 2008 et a offert des cours gratuits de self défense dans le 19° arrondissement de Paris.

– Visitez le site de S. C. pour voir un clip anti sexiste; on y parle AUSSI…de self défense !

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JE BAISE QUI JE VEUX

1. Nous on veut pas sortir avec des gars comm’ toi
T’entends comm’ tu nous trait’, moi et les autr’ nanas
Tu t’ prends pour un auteur, mais t’es grav’ de chez grav’
Tous tes mots orduriers, tes sal’tés, ça nous gave !
Cogner, violer, casser, tabasser, massacrer,
C’est tout c’que tu sais dire, et ça nous fait gerber !

(refrain)
Je baise qui je veux, quand je veux, comm’ je veux,
Me baise qui me veut, seul’ment si moi je l’veux

2. Oui, j’ai changé de mec, et j’avais d’ bonn’ raisons
Celui que j’ai choisi, avec lui c’est tout bon !
Faut pas me hurler d’ssus, faut m’parler gentiment
Me prendr’ dans l’sens du poil, et m’caresser longtemps
Me dire et me redire « tu me plais » ou « t’es classe »,
Surtout pas m’injurier, ni me traiter d’pétasse !

(refrain)
Je baise qui je veux, quand je veux, comm’ je veux,
Me baise qui me veut, seul’ment si moi je l’veux

3. Je baise qui je veux, mets-toi bien ça dans l’crâne.
Je baise qui me veut, et lâch’-moi, pauv’ banane !
Je baise quand je veux, et on choisit notre heure
Je baise où je veux, c’est pas toi qui m’fais peur
Je baise comm’ je veux, ça te regarde pas
Va te fair’fout’, pauv’gars, je baise parc’que j’aime ça !
Je baise parc’que j’aime ça, va te fair’fout’, mon gars !

de Pitbulle à Orelsan, son ex,
en trois rounds …

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A écouter sur « les chiennes de garde ». A visiter « le blog d’une chienne de Garde ».

Site toogezer.

Taslima Nasreen : une résistante pour le droit des femmes

Pour avoir dit haut et fort dans son pays, le Bangladesh, que les femmes ont droit à la justice et à l’égalité, Taslima Nasreen a risqué sa vie. Aujourd’hui, toujours menacée de mort, elle est un symbole de la résistance des femmes persécutées au nom de la religion.
Taslima Nasreen est née en 1962, dans une petite ville située à l’est du Bangladesh, dans une famille musulmane, aisée et cultivée. Dès son plus jeune âge, la jeune femme a déjà « fortement le sentiment de l’importance de lutter contre l’oppression ». Alors qu’elle se destine à la gynécologie et obtient son diplôme en 1984, la jeune femme profite de sa passion pour la littérature et plus particulièrement la poésie pour aider les femmes à comprendre pourquoi elles sont opprimées et pourquoi elles doivent se battre.
Son talent est rapidement reconnu et l’écrivaine publie dans de nombreuses revues littéraires avant de connaître son premier grand succès en 1989 avec Nirbashito Bahire Ontore. Les journaux bangladais lui proposent alors d’écrire régulièrement dans leurs colonnes. C’est ainsi que, dans les années 90, Taslima Nasreen profite de ces tribunes régulières pour dénoncer le sort des femmes asservies dans son pays. Dans un style direct et assumé, cette gynécologue divorcée, féministe et athée n’hésite pas à critiquer la religion, les traditions, l’oppression culturelle et la discrimination dont sont victimes les femmes de son pays. Certains la soutiennent dans son combat, d’autres la détestent. À tel point qu’en 1991, les premières menaces de mort à son égard sont proférées. On lui reproche de diffuser des idées blasphématoires et d’heurter la sensibilité religieuse d’une partie de la population.
Elle continue pourtant d’être soutenue par de nombreux écrivains et reçoit en 1992, en Inde, le prix Ananda pour son ouvrage Nirbachito Kola. Elle profite de ce voyage pour demander aux autorités indiennes de lui prolonger son visa pour qu’elle puisse y rester et vivre en sécurité. « Mais le gouvernement indien ne m’a pas autorisée à rester », raconte t’elle dans une interview au Monde en 2005. « Quand je suis allée chercher le prix Ananda, ils ont refusé de prolonger mon visa. J’ai dû être protégée par la police.»

Début de l’exil

La publication en 1993 de Lajja (La honte), son premier roman dans lequel elle décrit les atrocités perpétrées par les fondamentalistes musulmans à l’encontre des minorités hindoues, fini de faire basculer sa vie en enfer. Le roman est censuré et interdit de publication pour « incitation à la haine interconfessionnelle », certains vont même jusqu’à brûler son effigie et ses livres en public. Une Fatwa (ordonnance religieuse), promulguée par un groupe d’extrémistes islamiques appellent « au meurtre de l’impie », sa tête est mise à prix. Quelques mois plus tard, des dizaines de milliers de personnes descendent dans les rues pour scander « À mort Nasreen ». Contrainte de vivre recluse – le gouvernement lui ayant confisqué son passeport – et de cesser son activité professionnelle, la romancière reçoit le soutien de la communauté internationale et de défenseurs des droits de l’Homme. Elle est finalement autorisée à quitter le Bangladesh pour trouver refuge en Suède. « Je ne voulais pas quitter mon pays, on m’a forcée à partir, on m’a jetée dehors », confie-t-elle en 2003 à Amnesty International.

En dates

1962: naissance à Mymensingh, petite ville située à l’est du Bangladesh
1992: Prix Ananda
1993: publication de Lajja (La honte), son premier roman
1994: Prix Sakharov
Taslima Nasrenn a aujourd’hui 45 ans, et cela fait quatorze ans qu’elle ne peut plus rentrer dans son pays. En exil, elle a publié vingt huit livres – dont cinq ont été interdits par le gouvernement bangladais – pour nourrir son combat pour les femmes. « Même si la plupart des femmes sont analphabètes [au Bangladesh, NDLR] et ne peuvent pas lire ce que j’écris, celles qui sont instruites, elles, le peuvent », rappelle Tasliman Nasreen à Amnesty International en 2003. « Si elles prennent conscience de leur aliénation, elles transmettront ce message aux femmes pauvres et analphabètes et le mouvement se renforcera. Je pense que la résistance est essentielle. On ne peut pas lutter contre les intégristes en les lapidant comme ils nous lapident. Il faut donc avant tout changer les lois, parce que les lois elles-mêmes nuisent aux femmes ; ce sont des lois religieuses qui donnent leur pouvoir aux intégristes. S’il y avait égalité des hommes et des femmes devant la loi, on pourrait punir les intégristes lorsqu’ils commettent des crimes contre les femmes. » Mais Taslima Nasreen espère pouvoir rentrer chez elle car, pour elle, le combat doit se mener de l’intérieur. « Je ne pense pas que l’on puisse vraiment aider ces femmes de l’extérieur, le changement doit venir de leur propre prise de conscience et un mouvement doit se développer à l’intérieur même du pays. Tout ce que l’on peut faire, c’est écrire ou informer les gens de ce qui se passe ».
Après avoir été violemment prise à partie en août dernier en Inde, où elle résidait depuis 3 ans, par des activistes d’un parti musulman, la romancière a du quitter le pays. Où vit-elle aujourd’hui ? « Aussi incroyable que celui puisse paraître, je ne sais pas répondre à cette question pourtant si simple apparemment » écrit-elle dans une lettre adressée en décembre 2007 à Antoinette Fouque, Présidente de l’Alliance des femmes pour la démocratie. « On croira ce que l’on veut, mais je suis absolument incapable d’y répondre. Tout comme à la question de savoir comment je vais. Parfois il me semble que je ne sais même plus si j’existe. Je suis une morte-vivante : anesthésiée, privée du plaisir d’exister et de vivre, incapable de sortir de ma chambre où je me tiens cloîtrée. Jour et nuit, nuit et jour. La mort est devenue une intime. Elle me tient enlacée. Voilà comment je survis, et ce depuis longtemps »…
Marie Ernoult
8.03.2008

Vidéo Toni Morisson, de France Inter
Mardi 12 mai 2009:

Elle publie ces jours-ci, « Un don », Ed Christian Bourgois.
( Ecrivain américaine. Prix Nobel de littérature en 1993.)

« L’Amérique avant le racisme:
(Quelques bribes…):

Avant la légalisation de l’esclavage où n’importe quel Blanc avait le droit de tuer n’importe quel Noir.
Les racines du racisme sont extrêmement profondes. L’Amérique post-raciale reste à conquérir, car demeurent des minorités dangereuses qui sont d’un racisme plus violent que jamais.
Dans le roman le héros est une héroïne.

Les conditions du racisme se combinent de façon extrêmement forte et radicale avec les violences faites aux femmes.
Les femmes sont particulièrement vulnérables, sans droit de propriété, ni de vote, rien.
Si elles n’avaient pas un lien vis-à-vis d’une famille ou d’un homme, elles étaient en proie à toutes les violences… »

Vidéo et photos de Monument Valley et du Lac Powell.
…Dans le décor de Monument Valley…
( retrouvez la vidéo sur YouTube)

Souvenirs…Cet été-là , il a fait très chaud; la terre rouge orangée était en fusion et les monuments sculptés par la nature, d’une beauté saisissante, presque irréelle !
Monument Valley m’a paru plus impressionnant et Bryce Canyon plus fun que le Grand Canyon.
Quant au Lac Powell, il m’a laissée anéantie d’admiration !

La nature est souvent si belle, et le sort réservé aux femmes, souvent tellement moche!

Lac Powell ( lac de barrage) :