De l’aube au coucher du soleil à Maurice …

Paillotes et cocotiers
Paillotes et cocotiers…Il est 6H30 et « l’hôtel » dort encore…

Déco hôtel
Deux larges feuilles croisées au fond d’un grand bocal et trois brindilles nouées en triangle supportent un bouquet…

Plage de Bellemare
Plage de Bellemare…

plage Ambre
Plage de l’hôtel et la barque du pêcheur Rajesh, qui nous a proposé une petite virée derrière le lagon…

No maillot
No swimming suit ! Il fait…15 degrés le matin à 6H30 ! On se rattrapera en soirée…

chateau de sble
Château de sable abandonné…

souks de PL
Les « souks » de Port Louis…

coif Mo
Mon coiffeur préféré: un Euro vaut 45 Roupies!

lèche vitrine
Des vêtements venus de toute la planète…

Un homme sur le toit
Pendant la pause repas…un ouvrier répare un toit, sans aucune protection…

Retour à 17H et bain géant, avant « Soirée latino » à l’hôtel…

Bonne et douce nuit…

Le statut des femmes à l’île Maurice…(Où j’ai atterri, il y a 3 heures, pour une semaine)

Sculp. Indienne
Cette grande sculpture d’Indienne, très colorée, ornant le parking de « Discovery House », à « Quatre Bornes », était à l’état de squelette en fil de fer…au mois de Janvier. (Faite avec les mains de l’artiste qui applique, peu à peu, des mottes de ciment à prise rapide, sur une forme simple en fil de fer.)

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Source les « Nations Unies ».
Département de l’information •

Service des informations et des accréditations • New York

Comité pour l’élimination de la
discrimination à l’égard des femmes
Chambre A

À MAURICE, L’IMPACT SUR LES FEMMES DU TOURISME SEXUEL ET DE LA JUXTAPOSITION DU CODE CIVIL ET DE LA SHARIA ISLAMIQUE PRÉOCCUPE LES EXPERTS.

Tourisme sexuel et prostitution enfantine, juxtaposition du Code civil et de la Sharia islamique, faible participation des femmes à la vie politique: tels ont été les principaux sujets de préoccupation des experts du Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes qui examinaient* la situation de la femme à Maurice.
Ce pays de l’Océan Indien, qui a accédé à la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discriminations à l’égard des femmes (CEDEF), présentait aux experts indépendants du Comité les mesures qu’il a prises pour garantir à ses citoyennes la pleine jouissance de leurs droits socio-économiques.

… le contexte actuel était marqué à Maurice par les conséquences de la mondialisation, le démantèlement de l’accord multifibres, la réduction de 39% des cours du prix du sucre, et la fin des accords commerciaux préférentiels dont bénéficiait le pays. Ces mesures ont touché l’économie mauricienne de plein fouet, entraînant la fermeture d’usines textiles où sont employées de nombreuses femmes. « Avec l’aide du Fonds international de développement agricole, nous fournissons aux femmes vivant dans la grande pauvreté une aide financière, ainsi qu’un accès au microcrédit. Les femmes au chômage bénéficient d’un fonds d’habilitation économique », a cependant indiqué Mme Seebun.

Lors des élections générales de 2005, le nombre de femmes candidates a augmenté, leur représentation au Parlement passant à 17%, a-t-elle ajouté. Les femmes participent à hauteur de 30% aux effectifs du Gouvernement, 10 femmes étant Secrétaires permanentes sur les 30 postes existants.
La loi sur la violence domestique et celle contre la violence sexuelle ont été amendées, tandis qu’il existe un projet de loi sur les tribunaux de famille et sur l’égalité des chances, a dit la Ministre.
Les soins de santé sont gratuits et l’état de santé des femmes a augmenté, l’espérance de vie atteignant 75,3 ans pour les femmes et 68 ans pour les hommes. Les femmes ont accès à la contraception et aux services de planification familiale. À Maurice, l’éducation est gratuite jusqu’au cycle tertiaire, et le taux de scolarisation des filles et des garçons aux niveaux primaire et secondaire est le même et peut même être supérieur à ce qu’il est dans le tertiaire où les filles sont scolarisées à hauteur de 55%, a indiqué la délégation mauricienne. Un grand nombre de femmes a accès à des cours de perfectionnement en informatique, cette discipline étant le cinquième pilier du développement économique du pays. L’éducation est obligatoire jusqu’à l’âge de 16 ans, en vertu de la loi sur l’éducation adoptée en 2005, a précisé la Ministre mauricienne.

En matière d’emploi, nous comptons amender la loi sur le travail pour faire passer l’âge minimum de recrutement à 16 ans, a-t-elle poursuivi, en indiquant que les femmes occupaient désormais des postes qui traditionnellement étaient réservés aux hommes. Par exemple, Air Mauritius, la compagnie aérienne nationale, compte 4 femmes copilotes.

Échange de vues et recommandations des experts

Mme KRISZTINA MORVAI, experte de la Hongrie, s’est demandée dans quelle mesure l’existence de lois sur le statut personnel affectait la condition de la femme à Maurice.
Mme HANNA BEATE SCHOPP-SCHLLING, experte de l’Allemagne, a pour sa part rappelé que l’expression de la foi religieuse ne saurait permettre ou justifier les discriminations à l’égard des femmes. Elle s’est aussi dite frappée par l’étude sur la prostitution et l’exploitation sexuelle des enfants, qui révèle que ceux-ci entrent dans le monde de la prostitution dès l’âge de 10 ans, et qu’il y a 2 600 enfants prostitués à Maurice. Ce chiffre est choquant. Quel est le profile des clients de cette prostitution et quelles sont les poursuites prévues ou menées à leur encontre? a-t-elle demandé.
Mme FRANCOISE GASPARD, experte de la France, a elle aussi relevé qu’à Maurice, le tourisme, malheureusement, était devenu aussi un tourisme sexuel. Elle a demandé quelles étaient les actions prises par le Gouvernement en coopération avec les hôtels et les agences de voyage pour faire face à ce mal.
Mme HUGETTE BOKPE-GNACADJA, experte du Bénin, s’est quant à elle demandée quel était le statut juridique de la Convention à Maurice, au regard du droit national. Elle a à cet égard relevé que pour l’y invoquer, il fallait avoir recours au texte d’une loi nationale. L’experte a cependant félicité la délégation mauricienne pour avoir levé ses réserves vis-à-vis de l’article 16 de la Convention. Cependant, l’article 16 4) de la Constitution de Maurice pourrait être contraire à la Convention, a estimé pour sa part Mme SIMONOVIC, experte de la Croatie.
L’experte du Bénin a relevé qu’à Maurice, un musulman pouvait décider que la loi religieuse, la Sharia, lui soit appliquée, en vertu d’une disposition de la Constitution. Cela signifie que la polygamie, par exemple, qui n’est pas reconnue par le Code Napoléon, toujours en vigueur à Maurice, le sera en cas d’application de la Sharia. Il existe donc une juxtaposition du Code civil et de la loi religieuse dans le pays. Mettant ensuite en avant la désuétude du Code Napoléon, l’experte a par ailleurs engagé fortement la délégation à édicter un nouveau Code civil.
Mme ANAMA TAN, experte de Singapour, a félicité la délégation de Maurice pour les campagnes publiques menées dans ce pays en vue d’éliminer les comportements violents. Elle a cependant demandé si les forces publiques avaient les moyens d’une intervention rapide et si une analyse de ces campagnes de sensibilisation avait eu lieu. Il semblerait que les victimes de la violence au foyer n’ont pas accès à suffisamment d’information sur les recours juridiques qui leur sont offerts, a relevé Mme ZOU XIAOQIAO, experte de la Chine. Est-ce que vos lois, notamment la loi sur les violences sexuelles, pénalisent le viol familial? a-t-elle voulu savoir.
La délégation de Maurice a expliqué que le principe de non-discrimination à l’encontre de tous les citoyens était incontournable, ce qui signifie que toute loi ou tout acte contraire à ce principe serait illégal. La section 16 4) de la Constitution mauricienne définit la discrimination comme un traitement distinct accordé à une personne en raison de son sexe, ou de son origine raciale. Au sujet des lois personnelles, la délégation a expliqué que la société mauricienne est multiculturelle, les musulmans représentant 16% de la population. Le Code civil régit toutes les lois relatives au mariage. Mais à un moment donné, la communauté musulmane a estimé que ce Code n’était pas conforme à ses pratiques religieuses, et un conseil de famille musulman a donc été créé. À l’heure actuelle, l’article 22 du Code civil permet à un musulman de se marier religieusement sans célébrer un mariage civil.

Par ailleurs, la loi sur les violences sexuelles bénéficie d’une définition plus large que celle contenue dans le Code pénal, afin que les victimes puissent porter plainte auprès de la police. Cette loi s’applique à de nombreux cas de figure. Nous disposons d’autre part d’une loi sur les discriminations sexuelles qui sera élargie prochainement au domaine de l’emploi, a indiqué la délégation mauricienne.

S’agissant de la participation des femmes à la vie politique et à la vie publique, l’experte de la Chine a relevé le taux peu élevé de femmes participant à la vie politique. La proportion des femmes actives sur la scène politique n’a toujours pas atteint les 30%, en dépit des engagements pris par le Gouvernement dans ce sens, a-t-elle noté. Maurice va-t-il envisager de prendre des quotas ou des mesures temporaires spéciales? L’experte de la France s’est associée à cette question, en relevant que même si la participation des femmes atteint 17% au Parlement, cela signifie que les hommes y sont présents à hauteur de 83%. Lorsque de telles résistances à une plus forte participation féminine existent, il faut alors passer par la loi et forcer l’histoire pour combattre les discriminations, a-t-elle estimé.
Il est vrai que nous n’avons pas atteint l’objectif des 30%, a reconnu la délégation, tout en mettant en avant les progrès accomplis depuis les dernières élections. Nous avons toutefois atteint de bonnes performances dans le domaine judicaire, où 70% des femmes composent les effectifs de la magistrature. Notre plus grande difficulté se trouve dans la modification des attitudes, a dit la délégation.
S’agissant de l’éducation, Mme FUMIKO SAIGA, experte du Japon, a noté que l’éducation était obligatoire jusqu’à 16 ans à Maurice.
Mme GLENDA SIMMS, experte de la Jamaïque, ainsi que l’experte de l’Allemagne, ontrelevé que de nombreuses femmes occupaient des rôles stéréotypés dans le domaine de l’éducation. Des questions ont également été posées sur le nombre élevé d’adolescentes enceintes, et si ces filles pouvaient rester scolarisées.
La délégation de Maurice a précisé que le taux d’abandon scolaire dans le secondaire était environ de 7%, aussi bien pour les garçons que pour les filles. Le personnel éducatif est en effet constitué en majorité de femmes. Le taux d’analphabétisme en général a diminué, et les habitants des zones rurales et des zones urbaines disposent des mêmes possibilités d’éducation, au vu de la petitesse du territoire et des petites distances à parcourir. Le décret de 2002 rend illicite le refus du droit à l’éducation pour n’importe quelle raison, y compris les grossesses d’adolescentes. Compte tenu de la gravité de cette problématique, nous avons introduit des programmes d’éducation sexuelle dans les écoles, a indiqué la délégation. Au niveau universitaire, les filles comptent aujourd’hui pour 52,8% des étudiants inscrits, contre 46,3% en 2002. La plupartdes écoles ne sont pas coéducatives, au moins au niveau du secondaire. Celles qui existent sont financées par le secteur privé. Nous disposons d’un comité permanent au Département national de révision des manuels et du cursus scolaires qui travaille à l’élimination de tous les stéréotypes. Il s’agit donc d’un processus permanent. L’Église catholique a mis en place le premier système éducatif sur l’Île, puis, peu à peu, le Gouvernement s’est doté de ses propres écoles en fusionnant les écoles placées sous les autorités de l’Église.
Dans le domaine de l’emploi, l’experte de la Chine a constaté les discriminations qui existent à l’encontre des femmes, qui ne sont pas rémunérées en fonction de leur travail, mais de leur appartenance sexuelle. Disposez-vous d’un mécanisme de surveillance des discriminations sur le lieu du travail?
La délégation a répondu en évoquant des exemples d’habilitation économique de la femme sur le marché de l’emploi. De nombreuses industries textiles se sont développées à Maurice, ce qui explique le nombre important de travailleurs migrants en provenance de l’Inde, de Madagascar ou de la Chine, a-t-elle relevé. Il est vrai que peu de femmes parviennent à occuper les postes à responsabilités en raison d’une structure sociale et de stéréotypes qui veulent que les possibilités de carrière des femmes soient réduites en raison de leurs responsabilités familiales. Concernant les possibilités de crédit, les femmes peuvent obtenir un prêt de 30 000 roupies sans aucune caution. Il existe aussi 800 projets de microcrédit. Nous disposons aussi d’un fonds de financement de petits projets, a indiqué la délégation mauricienne.
Dans le domaine de la santé, les expertes, notamment celle de l’Allemagne, se sont dites surprises de constater que le congé maternité n’est plus accordé après le quatrième enfant. Des questions ont aussi porté sur l’incidence du VIH/Sida et sur les mesures prises contre la pandémie. En matière de violence familiale, l’experte de la Hongrie a encouragé la délégation à revoir son approche de la violence au foyer, en précisant que la médiation entre les victimes et les auteurs de violences ne rend pas ces derniers responsables de leurs actes.
Une aide judiciaire est offerte aux femmes victimes de violence, et des abris sont également mis à leur disposition, a expliqué la délégation mauricienne. Concernant la lutte contre le VIH/Sida, a expliqué la délégation, les soins sont gratuits et l’action est coordonnée par le Cabinet du Premier Ministre lui-même. C’est dans les prisons que la pandémie a commencé, et nous craignons qu’à l’avenir, les femmes en soient les principales victimes, ont indiqué les membres de la délégation mauricienne au Comité.

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 » La route est encore longue et la pente est raide »…Partout dans le monde, concernant l’amélioration du sort des femmes…

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" Fétichisme, homosexualité, onanisme : l’exposition Erotika de deux jeunes peintres libanaises veut briser les tabous d’une société arabe inhibée et dominée par l’hypocrisie en matière sexuelle…

Maria Sarkis et Nayla Karam

Nayla Karam 1

Karam3

Karam 2
Maria Sarkis et Nayla Karam.

Erotika, une exposition à l’assaut des tabous du monde arabe –
Salim Yassine, Agence France-Presse, Beyrouth

Fétichisme, homosexualité, onanisme :

l’exposition Erotika de deux jeunes peintres libanaises veut briser les tabous d’une société arabe inhibée et dominée par l’hypocrisie en matière sexuelle.
Nayla Karam et Maria Sarkis, deux artistes avant-gardistes, exposent dans une galerie d’art dans la banlieue chrétienne de Beyrouth des toiles à la Andy Warhol, où art et sexualité sont entremêlés.

Dans Auto-érotisme, une femme sans tête se donne du plaisir, dans une habile et transparente composition de couleurs mêlant, avec sensualité, le vert et le rose.

The Mirror, deux visages qui se font face et deux seins juxtaposés évoquent l’homosexualité féminine. Les couleurs sont vives et les lignes douces.

«L’érotisme est un thème sur lequel je travaille depuis un an. Le moralement correct est une question relative et tributaire des époques», explique Maria Sarkis, la vingtaine, diplômée de la faculté des beaux-arts de l’Université libanaise.

«Au XIXe siècle, Gustave Courbet avait été refusé à l’exposition universelle de 1855. Aujourd’hui, il est considéré comme l’un des grand maître de l’école réaliste», ajoute-t-elle. Avec son oeuvre emblématique l’origine du monde, représentant un sexe féminin, Courbet avait contribué à libérer le nu de la morale conventionnelle.

Submission (soumission) présente un visage de femme affublé d’un harnais, la bouche bâillonnée.

Dans Sadomasochisme, un corps-tronc, striés de lignes de couleurs est ligoté.

Fetichism 1 propose une jambe habillé d’un bas grésille, et

Fetichism 2 un dos à moitié recouvert d’un tissu rose en latex.

«Nos oeuvres ne sont pas de la pornographie, c’est de l’art dans l’air du temps. La sexualité et les fantasmes sont une réalité quotidienne. Pourquoi les occulter», lance Maria.

Les oeuvres de Nayla Karam, 27 ans, sont plus symboliques. «Cela fait cinq ans que je suis inspirée par l’érotisme. Avec le temps, j’ai peaufiné mon oeuvre qui est devenue plus figurative», dit-elle.

Dans Drained, une femme nue, les jambes remontées sur sa poitrine repose sa tête sur ses genoux après l’amour.

Dans Second Journey (deuxième voyage), un corps de femme qui se dédouble symbolise la multiplication des orgasmes.

Camouflage illustre les diverses facettes de la séduction féminine.

«Nous ne cherchons pas à choquer. Nous donnons libre cours à notre inspiration et un de mes plus grands plaisirs est de constater que les interprétations du public diffèrent, selon les fantasmes», ajoute Nayla.

Chez les jeunes, les réactions sont enthousiastes. Pour Dana Dennaoui, 22 ans, étudiante à l’Université arabe, située dans la partie à majorité musulmane de Beyrouth, ces oeuvres sont belles, dénuées de toute vulgarité.

Forum:

«Il n’y a aucun mal à représenter les différentes formes d’expression sexuelle. Tout peut être beau, sauf la violence», affirme-t-elle.

Léon Khanamirian, 25 ans, cadre bancaire, partage cet enthousiasme. «En Orient, il est permis aux hommes d’exprimer vulgairement leurs fantasmes sexuels, et lorsque des artistes peignent la sexualité, on crie au scandale», affirme-t-il.

Hassan Mekdad, 52 ans, n’est pas du même avis. «De telles oeuvres choquent la pudeur. Ses auteurs auraient été lynchés s’ils vivaient dans un milieu islamique», estime-t-il.

Abdallad Dadour, propriétaire de la galerie Surface, qui abrite l’exposition, se dit fier de ses jeunes qui s’expriment sans complexes, et insiste, signe des temps, sur le fait qu’il n’a pas été inquiété par la censure.

«Une fois de plus, les Libanais sont à l’avant-garde des libertés de moeurs dans le monde arabe», affirme-t-il.

( Site : One Art Articles – Main)

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Des femmes se libèrent des diktats des religions et des mecs !( Je sais, c’est un pléonasme).

J’a-dooore !

PS- Merci à ma petite princesse de facebook, pour le lien avec Maria Sarkis! 😀

Le curé exige de gérer les seins de ses paroissiennes…

curé et seins
Photo de l’église de la paroisse.

Le curé d’une petite paroisse de La Réunion a refusé de procéder au baptême de l’un de ses petits ouailles, au prétexte que sa maman refusait de lui donner le sein, préférant recourir au biberon.

Mais il est tombé sur un « bec de gaz » : la maman a rameuté tous les médias!

L’évêché a été obligé de s’expliquer, parlant de …malentendus !

Quant au curé, il n’est pas joignable par les journalistes!

JUSQU’OÙ IRONT LES RELIGIEUX, lorsqu’il s’agit du corps des femmes ?

Ils devraient plutôt s’OCCUPER des MILLIERS de PRÊTES PEDOPHILES…et des MILLIERS de petits garçons à la vie à JAMAIS SACCAGEE !

La paix, la tolérance et le respect, réciproques sur blog.fr ? ! YES VVE CAN !!!

« Je te remercie pour ton soutien. Tu es une femme adorable et pleine de mordant !!
Mon mari n’est pas dupe et n’est en aucun cas attiré par ce genre de personnage !!
Ce qui m’a le plus blessé, c’est qu’elle a volé ma confiance et ma crédulité. Je suis devenue tres proche de deux garçons qu’elle avait rencontré sur ce blog. Je crois que c’est ce qu’elle n’a pas supporté. J’ai fait montre de comprehension en lui demandant pourquoi elle agissait comme ça avec les hommes et les femmes du reste car je crois qu’elle séduit tout le monde y compris moi !!!lol !
Nous nous sommes sans doute retrouvées avec nos manques affectifs…mais en effet, je trouve qu’elle va trop loin tout en criant qu’elle ne comprend pas pourquoi elle attire les hommes !! Et blabla…Sur mon ancien blog, j’ai posté une photo de moi ou j’étais de profil nue. Mais on ne voyait rien !! meme pas un bout de sein !! Elle m’a accusé de racolage me disant que tout blog city allait me boycoter !! J’ai constaté avec le temps qu’elle racolait bien plus que moi !!
Je ne souhaite pas citer son pseudo. Je pense qu’à l’heure qu’il est, elle a pris connaissance de ton post et qu’elle doit s’en mordre les doigts…mon mari et deux garçons du blog ont tous trois ouvert les yeux !! C’est le plus important pour moi…
Tu es gentille et drole…Et bourrée de talent !! Tu écris autre chose que des trucs de cul !! ça change !
Merci encore
Plein de bisous  »

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Merci à toi d’être passée, et bonne continuation…Dans la paix, la tolérance et le respect réciproques, sur blog.fr ? Yes we can !!!
Big bisous.
kissing[1]

" Le racisme est beaucoup plus traité par les politiques que les violences et discriminations sur les femmes "…

jean-michel (Visiteur)
vendredi, 15. mai, 2009 @ 22:01:43

En fait j’ai l’impression que le racisme est beaucoup plus traité par les politiques que les violences et discriminations sur les femmes; sans doute, certaines communautés ethniques font peur, pas les femmes pourtant pas minoritaires!
Les femmes ont cette image de faiblesse qui leur colle à la peau (cela rejoint les postes sur machisme et karaté) qui pénètre les esprits et qui finit par créer une situation réelle de vulnérabilité.
En plus, du coup, les pouvoirs politiques et médiatiques, qui, même en démocratie, respectent les rapports de force supposés ou réels, éludent souvent les agressions sexistes de la société.
Les femmes doivent montrer la force qu’elles ont toujours possédé au quotidien et dans les grandes épreuves de l’histoire.Montrer cela ne veut pas dire sombrer, comme certains, dans la violence injuste et gratuite, mais faire comprendre et prouver qu’elles peuvent répondre et riposter à la violence injuste dont elles sont les victimes.

Au départ, c’est un combat dans leurs têtes pour lutter contre les images négatives intériorisées depuis si longtemps. C’est aussi un effort sur leur rapport au corps qui ne doit pas être en premier lieu un corps de séduction mais doit être d’emblée un corps de liberté et d’action, l’incarnation d’une volonté et d’un esprit actif et conquérant, à l’instar de celui de son compagnon masculin, qui, lui, depuis toujours, ne sépare pas force et séduction, au contraire.
Au fond d’ailleurs beaucoup d’hommes savent cela ; cela fait peur à beaucoup sans doute alors , qu’au fond d’eux-mêmes, ils admirent la force des femmes, la souhaite peut-être secrètement pour pouvoir quitter l’habit creux et devenu trop lourd d’une supériorité imaginaire qui s’écroule un peu plus à chaque fois que des femmes démontrent leurs capacités égales et parfois supérieures sur un terrain nouveau pour elles, en particulier dans les chasses gardées masculines. »

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… » Corps de liberté et d’action …l’incarnation d’une volonté et d’un esprit actif et conquérant, à l’instar de celui de son compagnon masculin, qui, lui, depuis toujours, ne sépare pas force et séduction, au contraire « … Wahouu ! Too much !

J’ai mis un post ci-dessous sur une des « chasses gardées masculines », qui a volé en éclats!

Merci pour ton COM si plein de bon sens:

 » Une femme est un homme comme les autres  » …douée du pouvoir de donner la vie ! 😉

" Des femmes démontrent leurs capacités égales et parfois supérieures sur un terrain nouveau pour elles, en particulier dans les chasses gardées masculines "…

virginieguyot3lz[1]Une femme bientôt à la Patrouille de France

« Le capitaine Virginie Guyot, 33ans, a été sélectionnée fin février pour intégrer la prestigieuse Patrouille de France (PAF). Cette pilote de chasse sera la première femme à voler au sein de cette formation acrobatique de l’Armée de l’air.
Le capitaine Guyot arrivera à la Patrouille en novembre prochain et y restera deux saisons, d’abord comme « charognard » (second) en 2009, puis comme leader en 2010.
Virginie Guyot, issue de l’Ecole de l’air, a près de 1500 heures de vol à son actif. Elle vole sur Mirage F1 CR, à Reims, et a effectué deux missions en Afghanistan, dont l’une récemment à partir de Kandahar. »

Site secret Défense.

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Les femmes et les hommes sont EGAUX et DIFFERENTS !

Différents, cela veut dire pas pareils, sans aucune référence à une quelconque supériorité de part et d’autre!

Les baleines proches de la Réunion !

Baleine 3
Les baleines ont offert en 2008 un véritable show sans discontinuité. Ici, une photo réalisée lors du trophée H2O de photo sous-marine (photo Jonathan Curtat).
Site du JIR.

Les baleines
Photo « Le Quotidien ».
Des embouteillages monstres , au niveau de Saint Leu…en perpective !

Source « Journal de l’Île de la Réunion » :

Pas d’inquiétude ! Les baleines à bosse ne devraient pas faillir au rendez-vous annuel avec les eaux réunionnaises. D’ailleurs, quelques signalements encore lointains ont été faits par des pêcheurs dans le canal du Mozambique. Non, nos cétacés préférés, véritables stars de l’hiver austral sont déjà en route. Le parcours de 6 000 km qui sépare l’Antarctique et les eaux tièdes des Mascareignes est déjà bien entamé. En tout cas pour les premières. Rappelons que ce sont généralement les baleines fécondées qui arrivent en tête. Et pour cause, après onze à douze mois de gestation, elles arrivent au terme de leur grossesse. La baleine, animal à sang chaud, ne peut donner naissance dans les eaux glaciales (- 4 degrés) de l’Antarctique. Le baleineau, par ailleurs assez pataud les premiers temps, ne mesure qu’entre 4 et 5 m pour un poids avoisinant une tonne. Les mères les portent pour remonter. C’est une des raisons de cette migration vers nos côtes. L’autre est l’accouplement. D’ailleurs, les groupes “actifs” – plusieurs mâles tentant de gagner les faveurs d’une femelle – ont largement été observés l’année dernière à La Réunion. Une année 2008 qui restera dans les annales. Impossible de passer à côté du spectacle offert par ces cétacés. À moins d’être planqué dans le cratère Dolomieu ou au fin fond de Mafate, les observations étaient plus que quotidiennes. Elles se sont même invitées au Sakifo ! Le Groupe local d’observation des cétacés (Globice), créé en 2001, a explosé les précédents records enregistrés. L’association a noté, au cours de 118 sorties, 160 observations (de 1 à 10 baleines). C’est l’équivalent de 377 individus… Entre deux et trois fois plus qu’en 2007. Or, 2007 était déjà considérée comme une très bonne année.

Pourvu que 2009 ressemble à 2008…

Et, si au niveau mondial la population de baleines à bosse a augmenté de 10 % selon l’Union internationale pour la conservation de la nature, ce n’est pas le seul facteur expliquant autant de spécimens dans nos eaux. Mais “Pour l’heure, explique Violaine Dulau, cétologue du Globice, la migration des baleines dans une île plutôt qu’une autre de l’océan Indien reste un mystère”. Et tout le monde espère une saison aussi exceptionnelle que celle de 2008. Les opérateurs des loisirs nautiques au premier chef. En 2008, tout le monde voulait s’approcher des cétacés et profiter d’une rencontre privilégiée. Les loueurs de bateaux mais aussi les clubs de plongée et même ceux d’ULM ont fait un carton plein. Il faut dire qu’outre de nombreuses baleines, la mer a été d’un calme olympien offrant de belles fenêtres météo pour aller à leur rencontre. Seules ombres au tableau de l’hiver 2008, un échouage d’un baleineau mort et surtout une pression importante sur ces cétacés au détriment des plus élémentaires règles de prudence. Les professionnels des loisirs nautiques et aériens, réunis au sein du Syndicat professionnel des activités de loisirs (Sypral), planchent sur une charte pour mettre bon ordre et préserver les cétacés ainsi que leurs activités de whale watching. D’autres sites de l’océan Indien, notamment à Sainte-Marie, surnommée l’île aux baleines, ont bâti une véritable industrie touristique sur les cétacés. La Réunion, différemment sans doute, pourrait également tirer partie de leur présence tout en les protégeant. Et si l’IRT reste frileux à l’heure de surfer sur la vague de l’éco-tourisme, qui grignote des parts de marché chaque année, sur la toile certains se sont déjà lancé. C’est le cas d’Escursia qui propose dès maintenant des voyages pour l’hiver austral dans notre île

Bruno Graignic »

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 » Une charte pour mieux les aborder

La saison des baleines se profile. Pour la préparer dans les meilleures conditions, le Sypral et Globice travaillent à l’élaboration d’une charte d’approche des cétacés. »

Source « Le Quotidien »