Les Unas , une tribu Papoue de Nouvelle-Guinée qui vit encore à l’Âge de la pierre, racontée dans l’émission Ushuaïa : on les voit fabriquer des outils et des armes…
Les femmes sont interdites de pénétrer sur une propriété( et n’ont pas le droit d’accompagner les mecs) ; elles n’ont pas le droit d’en posséder une !
C’est le meilleur moyen pour garder les femmes dans une dépendance financière et donc dans une infériorité sociale!
Et quand le mari perd sa femme…il ne porte pas le deuil !
Les femmes pour vivre libres , doivent fonder des sociétés…interdites aux mecs, comme dans : » Le Village des Vagins » , dans l’île de Nosy Komba à Mada!!!
Cette espèce de porc-épic, a un museau de fourmilier et se cache de la lumière !
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» Les éléments connus à ce jour montrent que les Papous descendent des premiers habitants de la Nouvelle-Guinée, arrivés à une époque (aux alentours de la dernière glaciation, soit il y a environ 21 000 ans) où l’île était reliée au continent australien, formant la masse continentale appelée Sahul.
Auparavant, l’Australie avait été peuplée par des migrations depuis l’actuel continent asiatique qui auraient eu lieu il y a au moins 40 000 ans, à la suite de la dispersion de l’humanité (homo sapiens) depuis l’Afrique il y a 50 000 ans. Ces migrations vers l’Australie étaient possibles car à l’époque, le niveau des mers était plus bas qu’actuellement. Des migrations ont pu également avoir eu lieu depuis l’Asie vers la Nouvelle-Guinée et les îles Salomon.
On estime que les Papous commencent à pratiquer l’agriculture vers 7 000 ans avant J.-C. Ils domestiquent la canne à sucre et des racines. Il se peut qu’ils domestiquent également le porc vers cette époque. Vers 3 000 ans avant J.-C., l’agriculture papoue maîtrise l’eau pour l’irrigation[3].
Il y a 5 000 à 6 000 ans, le niveau général des mers est remonté pour atteindre la situation actuelle, coupant ces populations du continent asiatique, en créant des bras de mer plus important.
Il y a 5 000 ans (3 000 av. J.-C.), des habitants du littoral de la Chine du Sud, cultivateurs de millet et de riz, commencent à traverser le détroit pour s’installer à Taiwan. Vers 2 000 avant J.-C., des migrations ont lieu de Taiwan vers les Philippines. De nouvelles migrations commencent bientôt des Philippines vers l’archipel indonésien. Vers 1 500 av. J.-C., un autre mouvement mène des Philippines en Nouvelle-Guinée et au delà, les îles du Pacifique. Ces Austronésiens apportent aux habitants du littoral des techniques, notamment dans la navigation, et leur langue.
Autrefois, chaque village papou était maître d’un territoire interdit aux tribus voisines. Une violation de frontière entraînait une guerre coutumière où le nombre de victimes dans chaque camp devait s’équilibrer. Interdits depuis 1962, ces combats rituels constituaient pour ces peuples des repères de leur identité. Aujourd’hui, à la chasse, les carabines ont remplacé les lances.
Au début des années 1960, un ethnologue américain fait irruption en Nouvelle-Guinée au milieu d’une « tribu » de Papous « vivant à l’âge de la pierre ». Il en est revenu bouleversé[réf. nécessaire]. Les tribus de la préhistoire, jusque là isolées, ont brutalement basculé dans la modernité.
Posée dans l’océan Pacifique, au nord de l’Australie, la Nouvelle Guinée (771 900 km²) a été colonisée dans sa partie ouest par les Hollandais dès 1828, puis dans sa partie orientale par les Allemands et les Britanniques. En 1963, l’Indonésie annexait l’ouest (Nouvelle-Guinée occidentale), et en 1973, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, à l’est, accédait à l’autonomie.
La parure a une importance capitale:
Sociétés fondées sur la compétition, pour rivaliser de beauté et de prestige, les tribus papoues des Hautes-Terres de Papouasie-Nouvelle-Guinée orientale attachent à la parure une importance capitale. Peintures faciales, coiffures somptueuses, bijoux en nacre composent le costume rituel des grandes cérémonies. Jadis, on perçait les cloisons nasales lors de rites d’initiation. Les peintures corporelles ne suffisent pas pour incarner le personnage du guerrier. Les guerriers cachent leur visage sous un masque de terreur pétri dans de l’argile. Les membres de la tribu des Lufa le noircissent au charbon de bois, l’auréolent de plumes de poule. Deux dents de porc sont fichées dans les narines. Certaines tribus chimbu portent un casque en terre glaise hérissé de défenses en bambou, comme leurs doigtiers. Les peintures faciales masquent les traits naturels du visage. On distingue les hommes par des motifs clairs sur fond noir. Au fond de teint rouge qui évoque la fertilité, on reconnait un visage féminin. Croissant de nacre autour du cou, grand coquillage sur la poitrine, plumes de cacatoes dans les cheveux, fourrure de marsupial fixée avec des os, la jeune fille est prête à danser avec le guerrier dont elle apprécie la beauté. En signe de deuil, une femme, qui a perdu son mari, enduit son corps d’argile grise, couleur symbolisant la mort. C’est le rituel de l’anti-parure. La durée du deuil est déterminée par le temps de putréfaction du corps du défunt. »
(Source Wikipédia)
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