Les femmes plus efficaces pour activer les deux hémisphère du cerveau…donc, pour faire plusieurs choses à la fois, contrairement aux hommes !

2 cerveaux
fusain de L.l. ; cliquer pour agandir .

« En 1982, des anatomistes avaient observé que le faisceau de fibres qui relient les deux hémisphères du cerveau (le corps calleux) est plus large chez la femme que chez l’homme. Cette observation a alimenté de nombreuses spéculations pour expliquer les différences psychologiques entre les sexes. Ainsi, les femmes seraient plus efficaces pour activer leurs deux hémisphères et donc pour faire plusieurs choses à la fois contrairement aux hommes ! Cette « explication » des capacités multitâches des femmes a eu beaucoup de succès et les médias en parlent toujours.

On notera que l’étude de 1982 portait sur vingt cerveaux conservés dans le formol.

Depuis, les corps calleux de milliers de sujets ont été mesurés avec des méthodes bien plus précises, comme l’IRM. La synthèse de ces travaux, parue en 1997, a démontré qu’il n’existe pas de différence statistiquement significative dans l’épaisseur du corps calleux entre les sexes.
Mais paradoxalement, c’est toujours des vieilles études dont on parle ! »…

(C. Vidal / « Hommes, femmes : avons-nous le même cerveau ? »)

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…Pour mieux leur fourguer…le bain du petit, la préparation du repas, la rédaction des devoirs du plus grand…dans le même laps de temps ? Sans oublier le fauteuil du Maître des lieux, avec son journal et son verre…et surtout ne pas manquer de se coller un sourire indélébile allant d’une oreille à l’autre, même en songeant…à tout ce qui les attend, encore…après !

Question idiote : Y a-t-il une retraite…pour les femmes au foyer ? ( C-à-d la femme de ménage, cuisinière, repasseuse, etc…sans AUCUNE rémunération !)
Une retraite comme celle des mecs, je veux dire…qui se lèvent, font une promenade, vont au café, à la pêche, à la chasse, au match de foot, se lâchent devant la télé, taillent une bavette avec des vieux potes après leur sieste, parcourent leurs canards favoris…sans se préoccuper de toutes ces choses terre à terre, telles que préparer les repas, faire les courses, étendre le linge, le repasser, faire la vaisselle, récurer la maison…
Existe-t-il des femmes au foyer, « les pieds sous la table »…à l’âge de la retraite ?

MÊME PAS PEUR ! OUI, NOUS JOUISSONS de NOTRE LIBERTE de PENSEE…Dans le RESPECT d’autrui, sans FAIRE l’APOLOGIE ou la CAISSE de RESONNANCE de PROPOS MENSONGERS ou d’INCITATIONS à la HAINE SEXISTE et RACISTE…OUT! l’ARROGANCE MÂLE…

Cacas interdits
Image empruntée…par Tingy.

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Message de « lanoelle », une amie/blog ( du 15/04/09 ):

 » Merci pour votre message sur mon blog, merci d’écrire ce que vous écrivez. J’ai notamment lu un de vos commentaires sur le blog de Guillaume de Thomas. J’avais écrit un long commentaire et en substance, je disais que c’était se tromper d’ennemi que d’attaquer cette écrivaine qui bénéficie d’un accueil dans notre pays, pour faire la démonstration d’une politique qui soi-disant profiterait plus à des étrangers ( et sous le terme étranger, beaucoup incluent des français qui sont ici depuis 3 ou 4 générations) qu’à des français ( là encore, la définition du « vrai » français reste à découvrir…). Encore attiser des haines…J’ai ensuite publié des faits, relatant les avantages dont bénéficient nos chers élus en matière de logement. Et puis ce jeu du  » je laisse mon bien immobilier prendre de la valeur par rapport au marché, qu’importe les « gueux » qui ne peuvent se loger ou qui payent 800 euros la chambre d hôtel par mois »… la loi du marché qu’ils disent…
Mes commentaires ont été censurés, ainsi que ceux d’une autre internaute. Je passe sur le message privé , rempli d’insultes et de menaces envoyé par De Thomas.
Bref, ça m’a fait vraiment du bien de lire vos commentaires.Je déteste ces blogs de l’autosatisfaction , où l’on fait croire à une majorité d’avis allant dans le même sens, en même temps qu’on censure ceux qui ne sont pas au goût de l’auteur.

Je parcours votre blog, il y a tellement à lire :o)

Lanoelle. « 

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Réponse de TINGY 16/04/09::

La beauté cinglante de vos articles, ne reposant sur AUCUN mensonge, et son pouvoir phénoménal de remise en question…Causent des ravages chez ceux qui , sans cesse, MANIPULENT des FAITS, pour essayer, sans succès, d’étayer LEURS « vérités » foireuses.
A part les béni-oui-oui, où on compte beaucoup de…femmes ( le mâle a FORCEMENT raison contre des…hystériques !), en principe, chaque humain doté d’un peu d’HONNETETE INTELLECTUELLE, se renseigne…sur le NET et ailleurs, pour approcher les différentes « vérités » et se faire…SA PROPRE VERITE !
Les  » blogs/phares « , mâles, sont en général, ceux qui méprisent, ridiculisent, insultent,…les personnes qui ne pensent pas comme leurs propriétaires, sans oublier les femmes, les étrangers et « l’AUTRE » en général!…Un peu comme dans ce film de Dahan sur les violences conjugales: des gens viennent…au « spectacle », pour se régaler d’insultes, de propos sexistes ou racistes, que LEUR PROPRE LÂCHETE, leur interdit de formuler, ou que leur PROPRE INDIFFERENCE ENCOURAGE SOURNOISEMENT !!!
Un peu aussi, à l’image de ce vieux blogueur, « Hurlant à la pleine lune sa recherche d’une libido perdue « , et traitant de « demi-folle » une blogueuse responsable d’un site…où IL S’EST ABONNE, comme on le fait…avec son JOURNAL FAVORI! ( Masochiste ? )
Si encore, il pouvait oublier…parfois, SON insignifiante petite personne geignarde, frustrée et revancharde, haineuse au point de recourir à l’insulte…pour dénoncer le sort des « mecs maltraités » en général, il mériterait le RESPECT…de lui-même et d’autrui…et travaillerait à une meilleure compréhension des relations homme/femme !

Réunir beaucoup de personnes autour de ses (mauvaises)idées, ne veut ABSOLUMENT pas dire, que celles-ci sont justes et…dignes de RESPECT: il y a tant d’HORREURS qui SOMMEILLENT, en CHACUN de nous…et qu’il est facile de réveiller en TRONQUANT la REALITE des choses et en faisant appel aux…PLUS BAS INSTINCTS de l’HOMME…(et de la femme!)
Les idées d’Hitler seraient mortes-nées, s’il elles n’avaient pas reçu l’aval de millions de gens!

ON NE PEUT PAS EMPÊCHER que TOUTE SOCIETE ENGENDRE SES CANCERS, MAIS SANS NOTRE AIDE ACTIVE ils ne POURRAIENT pas , à leur tour, ENGENDRER des METASTASES IGNOBLES, QUI SACCAGENT la VIE de MILLIONS d’ÊTRE HUMAINS !

Merci pour votre message et…Merveilleuse continuation .
Sans la « voix » et les  » pensées humanistes revigorantes*  » de personnes telles que vous, ce serait à DESESPERER du GENRE HUMAIN !
* Une sorte de « Tahiti douche au Gingembre » :)) !

TINGY.

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AVIS à ceux qui pensent avec leurs…testicules ( et à celles qui pensent…avec ceux des mecs):

AUCUN COM « de REPONSE de ces blogs« , ne sera ACCEPTE , sur MON BLOG: STOP aux insultes gratuites.
LÂCHEZ-VOUS sur VOS blogs…comme le toutou le fait, et les blogs seront bien gardés!

NB- Même pas peur: je rends coups pour coups, SURTOUT…les pires ( programmée pour!)Et, ce qui s’écrit sur ces blogs-là, ne m’intéresse plus ( ne m’intéressait déjà…pas beaucoup, vus les com laissés!): je passe mon chemin…qu’ils en fassent de même, pour le mien!

Catherine Deneuve épouse Belmondo à la Réunion …

Deneuve
( Photo du « JIR » )

…dans le film  » La sirène du Mississipi »,il y a 40 ans ! Truffaut s’est inspiré du livre de William Irish, dont les romans ont souvent été adaptés au cinéma, notamment par Hitchcock.

 » C’est une histoire d’amour très pathétique, très passionnée et très romantique » a résumé C. Deneuve.

Ps- A noter tous les enfants…qui n’ont pas de chaussures, et marchent donc, les pieds nus…Dans la VRAIE vie.

Si seulement , ils avaient connaissance des cruautés…descriptives, les concernant, déballées dans les confidences entre copines…des révélations…à devenir impuissants chroniques!

Je suis sidérée par l’absence d’humour de gens…sur eux-mêmes:

– Tel le pitoyable chauve, de la vidéo, qui oublie de rire de sa calvitie…sur l’avant et « en curé »…
– Ou les petites bonbonnes qui feraient mieux de stigmatiser leurs débordements graisseux , si elles veulent un jour, ressembler au « petit canon » en bikini, révélé par Paris Machin et Gala!
– Ou encore le double gras menton, la bedaine, les kilos en trop et…la peau flétrie du pauvre type, qui se donne en spectacle.

La vidéo, passée dans « Le grand Journal » a provoqué…la consternation générale! AUCUN mec n’a rigolé…

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Un détour par les « Grosses Têtes » est édifiant:

On s’y pète, journellement, la rate avec des propos d’une rare « violence » machiste sur:

– Les seins et le ventre des vieilles, qui leur tombent, soi-disant, sur les genoux…et le reste itou!
– Les jeunes ne sont pas mieux loties, toutes des « Blondes », incroyables, de stupidité !

« On » ? Des vieux, pour la plupart à moitié chauves, se parant d’horribles bedaines de femmes enceinte de triplés sur le point d’accoucher, aux visages laminés par des rides sans oublier les fanons, les dents jaunies, et…leurs vigueurs sexuelles sous les talons !
Des femmes, aussi, s’esclaffent dans l’assistance (comme pour les insanités de Bigard),…PERSUADEES que ces propos s’adressent…à d’AUTRES femmes, mais pas à elles!

Des mecs adorent rire des femmes…croyant ainsi occulter leur calvitie, leur bêtise, leur gros ventre, leurs rides, leur peau flétrie…leurs inévitables angoisses devant le temps qui passe…pour TOUS, et leur mort inéluctable. Je leur conseille de se faire faire deux photos d’eux nus, en pied, de face et de profil…et de les regarder, non pas avec LEURS(!) yeux, mais avec ceux d’un jury sélectionant de « VRAIS », beaux hommes »).
D’aucuns prétendent qu’un homme n’a pas besoin d’être beau: il ne faudrait pas qu’ils prennent LEURS cas pour une généralité. L’hystérie causée par des acteurs, beaux et bien bâtis, ou le succès « planétaire » des maîtres-nageurs, confirme…le contraire!
Ce n’est pas parce qu’une nana ferme les yeux pour fantasmer…sur un « canon »…que son partenaire doit s’imaginer…être un bon coup !

Je regardais un film récent où figurait Depardieu, et je me demandais à qui ( ou à QUOI), peut penser une jeune femme pour parvenir à coucher avec un type qui lui ressemblerait ?

Mais il est vrai que nous avons un avantage certain, sur des super machos arrogants, car nous n’avons pas besoin de prouver la « raideur » de notre désir…absent!
… » Et c’est tellement bandant,…De regarder « Tarzan » s’escrimer…en pure « perte » ,
bien sûre occultée « , me confiait une jeune lectrice…

Et tous les jours, des femmes, jeunes et moins jeunes…se pètent la rate, elles aussi, dans leurs confidences entre copines…Empreintes, la plupart du temps, d’une terrible cruauté descriptive…Qui, avouée, risquerait de les rendre…impuissants chroniques !
Il y a deux ou trois mois, dans l’émission du présentateur qui a une tache lie de vin, sur la figure, une candidate du jeu a déclaré qu’elle:  » Aurait préféré que les…heeuu, de son petit copain (présent dans le public), soient moins pendantes »; Le présentateur…et le public, en sont restés cois!!!…Moi aussi!

Est-ce à dire, que des hommes jeunes ou plus âgés, sincères, tendres, sensuels (pas désespérément sexuels), et se moquant de leurs imperfections comme…des nôtres, n’existent pas ?

Beaucoup de femmes rencontrent ces « ovnis »…chaque jour…Parce que c’est LEUR CHOIX!

Et par pitié que les autres arrêtent de geindre sur leurs « salauds »…parce qu’il leur faut tôt ou tard…assumer « LEURS PROPRES CHOIX »…aussi !

Crachats, coups de poings, coups de pieds, injures, opinel…au C.O.R. de Pont Brillant dans l’Ardèche ?

classe
(Cliquer pour agrandir)
Classe de 6 élèves , de Marie 41 ans, avec son écharpe.( C’était en principe, un concours de…grimaces; mais tous se sont dégonflés…sauf, Marie! Le sapin parle de Noël…il y a aussi un poisson rouge, une maison de hamsters et un petit théâtre de marionnettes, des graines qui germent…

Tai jitsu
Cours de Tai Jitsu, photo du Midi Libre de 1981.

Marie , après avoir accouché de jumelles, 2 mois auparavant, retrouve le besoin et toute l’énergie nécessaire pour se replonger dans la vie active interrompue pendant 7 ans pour fabriquer un adorable petit garçon, âgé de 2 ans à ce jour , et aussi pour guérir d’un tremblement de terre conjugal où elle a tout perdu ( pays, maison, famille,enfants, amis, emploi, repères….

L’Inspecteur d’Académie consulté, lui propose une classe « spéciale » au COR de Pont Brillant; « par honnêteté, je dois vous dire que personne ne garde ce poste , le record jusqu’ici , c’est un mois…réalisé par un homme ! », la prévient-il, avec un sourire désabusé. Elle accepte le défi et doit rejoindre son poste, après les vacances scolaires de la Toussaint, une semaine plus tard.

Marie, quitte Privas, pas rassurée du tout , sur la prochaine rentrée. Elle décide de faire un crochet par Saint Marcel d’Ardèche pour rencontrer le dirlo du centre.
Le cadre est génial: une bâtisse de trois étages, affichant un vague air de castelet, se dresse au milieu d’un vaste parc splendide, paré de couleurs automnales. Le directeur barbu, à l’allure d’éducateur spécialisé, l’accueille chaleureusement, une fois énnoncé, l’objet de sa visite.
-Je vais être franc avec vous, dit-il, même des mecs ont jeté l’éponge; 3 instits depuis la rentrée, dont la dernière, une débutante de 22 ans, est partie en courant, m’adressant son certificat médical par la poste.. En fait nous sommes la poubelle des classes de perfectionnement de toute l’Adèche. Le rez-de-chaussée accueille les bureaux, le premier étage est le lieu de vie des enfants, encadrés nuit et jour,par des éducateurs spécialisés, et le troisième étage est le domaine des trois enseignants, dont vous, éventuellement. Nous accueillons des gamins de six à seize ans, qui s’évadent de leurs classes…par la fenêtre, menacent leurs instits à l’opinel, les frappent à coups de poings et de pieds, leur crachent au visage, les abreuvent de termes orduriers, refusent toute discipline, ne tiennent pas en place, se bagarrent jusqu’au sang, déchirent volontairement leurs vêtements…C’est très éprouvant, une journée de six heures, avec ce type d’élèves et c’est ce qui explique que vous n’aurez que six élèves, du niveau CP, CE1…mais dont certains sont déjà des petit costauds de douze ans, et pendant les récrés vous aurez à surveiller des garçons plus âgés; je pense en particulier à des jumeaux, de seize ans bâtis comme des bûcherons du Grand Nord. Écoutez, je comprendrais que vous refusiez ce poste, réfléchissez et…
– C’est tout réfléchi, je serais là lundi prochain, dit Marie, en prenant congé.

Elle rejoint sa vieille 4L « jaune équipement » et roule vers sa maison (son cocon de tendresse),tout en analysant ce qui lui arrive…Les violences, les injures,les crachats, les coups de toutes sortes, les viols, les tentatives répétées d’assassinat au revolver, à la 22 long Rifle, par étranglement, dormir dehors dans une voiture, endurer impuissante, le kidnapping de quatre de ses enfants, voir tous ses vêtements et objets personnels arrosés d’essence et flambés, etc…elle les a déjà affrontés et cela ne la terrorise plus: elle se sent dure comme un roc , psychologiquement.
Mais physiquement, elle ne se sent pas de taille…Et comme elle a décidé de réussir (pour elle-même),là où les autres ont échoué, il faut à tout prix qu’elle s’en donne les moyens…
Elle traverse son village, quand Maryse, sa fleuriste préférée lui adresse un joyeux salut de la main, avant de franchir le seuil du centre sportif…Maryse est aussi la petite copine du beau gosse qui donne des cours d’arts martiaux…
Marie freine brutalement et fait marche arrière pour se garer non loin du centre.
Embrassades amicales et:
– Je te présente ma meilleure copine dit-elle à son chéri, à qui elle sert, aussi, d’assistante.
– Vous prendriez une vieille de 41 ans dans vos cours ? Je veux juste me défendre, contrer les agressions physiques, mais de façon hyper efficace, demande Marie…
-Pas de problème dit-il, avec un sourire à lui donner le tournis. On commence tout de suite, si Maryse veut bien vous prêter un kimono ?
…Marie fait de rapides progrès: elle fréquente le centre tous les jours , avec une rage d’apprendre et une détermination à exécuter toutes les prises…peu communes!

Un jour, la photo du cours de Tai Jitsu apparaît dans un article du canard du coin…et Marie se fait une réputation de « Calamity Jane »…au COR ! C’est vrai qu’avec ses santiags, ses petites chemises écossaises et ses jeans, on la sentait plus prête pour répondre à la bagarre…que pour minauder devant un baisemain!
Et le jour où elle promet à un éducateur qui avait durement frappé un élève de sa classe au point de lui laisser plein de bleus (le petit blond sur la photo), de lui arracher sa « virilité »,(d’accord , elle a été plus grossière), devant tous les élèves réunis dans la cour de récré, s’il commettait la lâcheté de recommencer et qu’elle a vu ce type se démonter de sa superbe…devant les élèves hilares et déchaînés, et les deux autres instits mâles et les autres éducateurs… incrédules, elle comprend qu’elle n’aura plus JAMAIS besoin d’un homme pour se défendre en tous lieux et pour toutes sortes de violences, à son égard à elle!

Le meilleur souvenir de ce centre, c’est quand le père de Sébastien,( à droite de Marie en regardant la photo), est venu la remercier, parce que son gamin chéri de 12 ans, avait ENFIN, réussi à déchiffrer les destinations écrites…sur les panneaux de l’autoroute A9… « Je ne l’espérais plus », lui dit-il, les yeux humides.

Le plus…inattendu, c’est la remarque d’un jeune psy sympa :  » Je sais quand tu es passée dans l’escalier peu avant…car il y flotte un souvenir de plage au parfum de Monoï ( L’huile de « beauté » de Marie).

Le plus drôle, c’est la fois où l’un des jumeaux plein de sève, qui l’attendait caché derrière la porte menant à l’escalier, lui a proposé de « faire l’amour ». Elle lui a répondu qu’elle voulait d’abord vérifier « le calibre », en approchant la main de son bas ventre; il a crié et pris la poudre d’escampette ! Depuis ce jour, et après des excuses spontanées, il s’est auto-proclamé son…garde du corps!

Marie est restée deux ans, dans ce centre, avant de rejoindre une classe de perf « normale », en Martinique. Deux ans de relations vraies, fortes et empreintes d’une intensité et d’une tendresse inimaginables, comme peuvent en être capables…parfois, des tabassés de la vie.

Une castration chimique pour s’évader de prison, et un cas d’orchite aigüe, déclaré sur blog.fr !

Pédophile

Dans la prison de Dallas au Texas, cet homme va être libéré, parce qu’il a accepté une castration chirurgicale.( Il est question, d’au moins, 40 enfants…et il avait…19 ans à l’époque !)

Au grand émoi de la population :  » Je vois tous les jours des chiens castrés tourner autour des chiennes en chaleur « , déclare une habitante !

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En parlant de gonades mâles, un cas d’orchite aigüe s’est déclaré récemment, sur blog.fr.

C’est grave docteur ?
Oui, ça peut conduire à la stérilité du coeur et du cerveau.

Est-ce que ça se soigne?
On préconise généralement une castration chimique et un suivi psychologique, car quelque fois des avatars de ces gonades ont émigré dans le cerveau du malade.

Est-ce contagieux ?
Oui: 3 cas de contamination de gonades femelles, repérés, à qui il est donc préconisé le même traitement que ci-dessus.

Sinon, pas de panique, blog.fr est dans l’ensemble un blog sain et résistant à ce type d’infection.

Tout baigne, alors!!!

Des soldats japonais élargissaient au couteau , le vagin trop étroit de petites filles leur servant d’esclaves sexuelles…

Femmes de réconfort
Une jeune chinoise venant d’un centre de réconfort, attend dans un camp à Rangoon d’être interrogée.( photo Wikipédia ).

LES « FEMMES DE RECONFORT » EN ATTENTE DE JUSTICE DEPUIS SOIXANTE-DEUX ANS
5 juillet 2008

« Le gouvernement japonais pense que lorsque toutes les femmes de réconfort seront mortes, le problème sera enterré et oublié. Mais ce ne sera pas le cas. Tant que la génération suivante saura ce qui s’est passé, ça ne tombera pas dans l’oubli. » Gil Won-Ok , ancienne « femme de réconfort » sud-coréenne.
Dans les années 1930, pendant et après la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement japonais a réduit des milliers de femmes à la servitude au bénéfice des forces armées nippones. Dans le cadre de ce système d’ « esclavage sexuel militaire », ces « femmes de réconfort » étaient enlevées, battues, violées et contraintes à fournir des services sexuels aux soldats japonais.
Le gouvernement nippon n’a jamais révélé toute l’étendue du système d’esclavage sexuel qui avait été mis en place, mais on estime qu’environ 200 000 femmes ont ainsi été asservies. Les autorités refusent toujours de reconnaître officiellement leur responsabilité dans ces crimes.
Le système de prostitution forcée des « femmes de réconfort » au service de l’armée japonaise a donné lieu à toute une série d’atteintes aux droits humains, notamment des violences sexuelles telles que des viols collectifs et des avortements forcés, à tel point que cet épisode de l’histoire a été décrit comme « l’un des pires cas de traite d’êtres humains au XXe siècle ».
Un grand nombre de ces femmes continuent de subir les conséquences de ces violences mais trouvent le courage de parler publiquement de leur expérience et de faire campagne pour obtenir justice. Différents États à travers le monde ayant adopté des résolutions demandant justice pour les « femmes de réconfort », le Japon est de plus en plus sous pression.
Àtitre d’exemple, les États-Unis, les Pays-Bas, le Canada et le Parlement européen ont adopté des résolutions exhortant le gouvernement japonais à :
• accepter la pleine responsabilité des atteintes aux droits humains commises envers les « femmes de réconfort »;
• présenter des excuses officielles pour les crimes perpétrés contre ces dernières ;
• accorder des indemnisations adéquates et effectives

PS: Le magazine Marie Claire a révélé que des soldats japonais ont élargi au couteau le vagin trop étroit de petites filles, qui étaient kidnappées et réduites à l’état d’esclaves sexuelles.

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Wikipédia:

Organisation et fonctionnement

Elles étaient dirigées soit par l’armée ou la marine, soit par les gouvernements locaux ou encore par des particuliers.

Les dirigeants touchaient une part sur le prix des passes. Assez souvent les femmes ne recevaient rien, bien qu’une rémunération soit prévue par les règlements de l’armée japonaise. Ces règlements interdisaient aussi les armes et l’alcool.

Les dirigeants japonais avaient fixé des règles de fonctionnement, comme les heures d’ouverture (de 9h à minuit, tous les jours de la semaine), les jours de repos (2 jours par mois lors des menstruations), les désinfections des chambres, les visites médicales ou encore le traitement des femmes atteintes de maladies vénériennes (traitement qui dans la pratique consistait à les abandonner ou à les tuer).

Recrutement des femmes de réconfort
Les femmes « recrutées » étaient généralement jeunes et célibataires. La majorité d’entre elles provenant au départ de Corée, de Taiwan et de Chine. L’Armée était réticente à employer des Japonaises en raison du rôle de « reproductrice » qui leur était dévolu par la politique impériale[5].

De faux recrutements de serveuses ou d’ouvrières furent organisés, afin d’enrôler de nouvelles femmes[6]. La tromperie ne suffisant pas, des enlèvements furent organisés (voir plus bas). Des Japonaises furent également trompées, par l’intermédiaire de la création du Corps des femmes volontaires, officiellement destinées à assurer la main-d’œuvre des usines. La police militaire (Kempeitai) assurait le recrutement en forçant généralement les chefs de village des territoires occupés à regrouper toutes les jeunes femmes[7] et poursuivait les jeunes femmes désignées volontaires qui s’échappaient.

Les travaux de Yoshiaki Yoshimi, professeur à l’université Chûô, montrent la forte implication des administrations japonaises, non seulement celles de l’armée et de la Kōa-in , mais aussi celles des ministères de l’Intérieur, du Travail et des Finances. Ils établissent, après analyse des documents de l’armée shōwa, que celle-ci avait constitué de 1938 à 1945 environ 2000 maisons de réconfort, dont notamment un centre de délassement de 1 000 femmes pour une armée de 100 000 hommes, en avril 1939, à Kwandong en Corée. Yoshimi a entre autres retrouvé une directive du 4 mars 1938 transmise par l’adjudant des chefs d’état-major de l’armée de Chine du Nord et du corps expéditionnaire de Chine intitulée « Concernant le recrutement des femmes pour les maisons de confort militaires », déclarant que « les armées sur le terrain contrôleront le recrutement des femmes »[8].

Selon Yoshimi, les femmes provenaient de l’ensemble des territoires conquis comme les Philippines, l’Indochine, la Birmanie les Indes néerlandaises et Singapour mais en majorité de la Corée et de la Chine. Certaines d’entre elles furent donc des prisonnières d’origine australienne ou néerlandaise.

Pour l’historien Ikuhito Hata, professeur à l’université Nihon et l’une des figures de proue de l’organisation de censure Tsukurukai, l’administration collaborationniste coréenne a été la principale responsable du recrutement trompeur de jeunes filles.

Pour le nombre des femmes, plusieurs estimations ont été faites :

Yoshiaki Yoshimi a estimé leur nombre à au plus 200 000 au total ;
La Korean Central News Agency propose le chiffre de 200 000 pour les seules Coréennes.
Selon Ikuhiko Hata, le nombre total des femmes de réconfort était de 20 000 (40 % de Japonaises, 20 % de Coréennes, 10 % de Chinoises, le restant étant composé de Taïwanaises, Indonésiennes, Vietnamiennes, et Philippines).

Les conditions de vie
Concernant les conditions de vie, il existe plusieurs témoignages différents. Selon quelques anciennes femmes de réconfort, bien que les dirigeants japonais aient fixé des règles, leur priorité n’était bien évidemment pas la santé et les conditions de vie des femmes, mais celles des soldats japonais.

Elles décrivent donc des conditions de vie assimilables à l’esclavage : elles appartenaient à leurs maisons closes. Elles devaient satisfaire jusqu’à 70 clients par jour. Elles étaient souvent battues, torturées ou même mutilées par les soldats. Certaines d’entre elles étaient même exécutées purement et simplement parce que le soldat n’était pas satisfait. Certaines qui ont essayé de s’échapper ont été battues, parfois à mort[réf. nécessaire]. On peut rapprocher ces traitements de ceux présentés dans le film La Route du Paradis.

L’une des victimes d’origine coréenne confia aux enquêteurs internationaux avoir maintes fois craint pour sa vie. « J’ai été presqu’assassinée à plusieurs reprises pendant mon séjour comme « femme de réconfort ». Il y avait des soldats qui étaient saouls et qui brandissaient leurs sabres vers moi pendant qu’ils me faisaient leurs demandes de perversions sexuelles… Les menaces qu’ils faisaient étaient explicites : ils me tueraient si je ne coopérais pas. »[9].

Selon le témoignage de quinze victimes d’un réseau de prostitution implanté en 1942 au Timor oriental par la marine impériale japonaise, les prostituées, dont certaines étaient prépubères, ont été forcées de travailler sans salaire, les vêtements et la nourriture devant même leur être fournis par leurs parents. Ces propos sont confirmés par divers témoins dont un ancien chef de village s’étant fait ordonner par des militaires de trouver des jeunes femmes pour ce type de réseau[10].

L’enlèvement des femmes
L’enlèvement des femmes par l’armée impériale est aujourd’hui un des aspects les plus sujets à débat dans l’histoire des femmes de réconfort. Le premier témoignage était celui de Yoshida Seiji (voir la rubrique La reconnaissance).

Des documents retrouvés dans les archives du Tribunal de Tokyo, rendus public lors des procès et retrouvés en 2007 par Yoshiaki Yoshimi et Hirofumi Hayashi, démontrent que des membres de la Tokeitai, la police militaire navale, ont enlevé des femmes en Chine, en Indochine et en Indonésie pour les forcer à passer un examen médical et les ont expédiées ensuite dans des maisons de confort[11].

Le 12 mai 2007, le journaliste Taichiro Kaijimura a annoncé la découverte, dans les archives du gouvernement néerlandais, de trente documents officiels soumis au Tribunal de Tokyo comme preuve d’un incident de prostitution de masse à Magelang, Indonésie, en 1944. Selon le journaliste, ces documents démontrent de façon claire que les femmes ont été enlevées par l’armée shôwa et contraintes à la prostitution dans des maisons de confort[12].

Lors d’un témoignage sur son expérience au front, le vétéran de l’armée shôwa, Yasuji Kaneko, a raconté que les femmes « pleuraient mais peu nous importait si elles vivaient ou mouraient. Nous étions les soldats de l’empereur. Que ce soit aux bordels militaires ou dans les villages, nous violions sans aucune réticence. »[13].

Par ailleurs, le 4 mars 1938, l’état-major du corps expéditionnaire de Chine diffusa une directive, nommée Gun ian-jo jungyô-fu tô boshû ni kansuru ken (L’affaire concernant le recrutement des femmes de réconfort). Ce document, découvert par Yoshimi dans la bibliothèque de l’Agence de défense du Japon, demandait aux soldats de l’armée impériale en Chine du Nord et en Chine centrale de faire attention aux proxénètes qui pratiquaient les enlèvements et déclarait que « les armées sur le terrain assureraient le contrôle du recrutement des femmes »[14].

La reconnaissance
Le premier témoignage public sur le sort des esclaves sexuelles du régime Shōwa fut publié en 1971 par une Japonaise écrivant sous le pseudonyme de Suzuko Shirota. Accueilli dans l’indifférence générale, cet ouvrage racontait l’expérience de cette femme, orpheline de mère à 14 ans, et vendue par son père à 18 ans à un tenancier de maison de confort faisant affaire à Taïwan avec l’armée impériale japonaise[15].

En 1982, un Japonais, Yoshida Seiji, a raconté dans une conférence son expérience de l’enlèvement des femmes. L’année suivante, il a publié son ouvrage Watashi no sensō hanzai (Mon crime de guerre). C’est cet ouvrage qui a popularisé le problème des femmes de réconfort avec l’aide du journal Asahi Shimbun. Pourtant, en 1996, Yoshida a avoué que l’enlèvement raconté était une fiction, sans renier sa participation aux razzias de femmes coréennes.

C’est en 1991 que le scandale éclata véritablement, avec la demande d’une procédure judiciaire contre le Japon par une ancienne femme de réconfort, Kim Hak Sun. Depuis, de nombreuses autres femmes ont porté plainte (ainsi que certains pays comme la Corée du Sud). Cependant, comme indiqué dans la rubrique l’enlèvement des femmes, il y a beaucoup de contradictions dans leurs témoignages.

La publication en 1992 des travaux de l’historien Yoshiaki Yoshimi portant sur des documents saisis par les alliés en 1946 et entreposés à la bibliothèque du National Institute for Defense studies de Tokyo établit finalement un lien tangible entre l’armée Shōwa et les maisons de confort.

Le contenu de ces travaux fut rapporté par certains médias japonais le 12 janvier 1993. En réaction, le gouvernement japonais reconnut le jour même, par l’entremise de Kato Koichi, l’implication de l’armée Shōwa dans l’implantation des maisons de confort. Le 17, ce fut au tour du premier ministre Ki’ichi Miyazawa de s’excuser lors d’un voyage en Corée du Sud. Le gouvernement procéda ensuite à certaines auditions et émit le 4 août 1993 une déclaration par laquelle il reconnaissait entre autres que l’armée Shōwa était « directement ou indirectement impliquée » dans l’implantation et la gestion des maisons de confort et que les femmes étaient recrutées « dans bien des cas contre leur gré »[16].

Le 1er mars 2007, le premier ministre Shinzo Abe, se prononçant sur le projet de résolution d’appui aux victimes présenté au Congrès américain, a nié l’implication de l’armée Shōwa dans l’enlèvement physique des femmes en déclarant : « Le fait est qu’il n’y a pas de preuve qu’il y avait eu usage de contrainte »[17]. Le député Nariaki Nakayama a quant à lui fait valoir qu’on « peut comparer ces bordels à des cafétérias dirigées par des compagnies privées qui recrutent leurs propres employés, offrent la nourriture et fixent leurs prix. Mais affirmer que les femmes ont été contraintes par les militaires japonais en service est à côté de la coche. Ce dossier doit être reconsidéré, pour le bien de l’honneur du Japon. »[18].

Le 17 avril 2007, les historiens Hirofumi Hayashi et Yoshiaki Yoshimi déclarèrent avoir trouvé dans les archives du Tribunal de Tokyo sept documents relatifs à des témoignages de membres de la marine Shōwa confessant avoir arrêté des civiles indonésiennes sous de faux prétextes ou se référant à des membres de la Tokeitai ayant enlevé des Chinoises, des Indonésiennes et des Hollandaises pour en faire des esclaves sexuelles[19].

Le 26 juin 2007, le Comité des Affaires étrangères de la Chambre des représentants des États-unis a adopté une résolution demandant entre autres au Japon
– de « reconnaître formellement,
– de s’excuser et
– d’accepter sa responsabilité historique d’une façon claire et sans équivoque pour la contrainte employée par ses militaires afin de forcer des femmes à l’esclavage sexuel pendant la guerre. »[20].
Cette résolution a été adoptée par la Chambre des Représentants le 30 juillet 2007, au grand dam de Shinzo Abe, trouvant « regrettable » cette décision[21] « …

Le Petit Macho, un dictionnaire Macho-Français, par Caroline

Le Petit Macho, un dictionnaire Macho-Français, par Caroline

 » Certaines langues très anciennes ont disparu ou sont en voie de disparition. S’il n’y a plus rien à faire pour le vieux tokharien, le macho, lui, peut encore être sauvé. Bien que disposant d’un lexique très réduit, le macho est peu accessible. En effet, les personnes dotées d’un cerveau éprouvent les plus grandes difficultés à s’immerger dans le système linguistique du macho. Après des années d’études et une ablation totale de l’encéphale, la linguiste Maria de Saussure-Chomsky est parvenue à définir quelques notions du macho. Voici leur traduction:

Afghanistan (nom propre, désignant un pays d’Asie Centrale): présent dans la phrase, « De quoi elles se plaignent, ces mal-baisées, on n’est pas en Afghanistan ! »
bonne (adj., mélioratif en macho): « T’es bonne » signifie en substance: « j’aurais volontiers des rapports sexuels avec vous. » A noter, lorsque « bonne » est suivie de « femme », l’adjectif revêt alors un tour péjoratif. Ex.: « Quelle détestable bonne femme! »
castratrice (adj.): La castratrice est une femme qui fait des remarques au macho, quant à son vocabulaire, son attitude.
Ex. : Le macho : »Aïe, je m’ai coupé le doigt. »
La femme : « On dit: je me suis coupé le doigt. »
Le macho : »Oh la la, qu’est-ce que t’es castratrice comme bonne femme ! »
connasse (n.f., pas de masculin en macho): La connasse est une femme plus intelligente que le macho. Ex. : « Claudie Haigneré* est une connasse. »
coucher (verbe du 1er groupe): verbe surtout présent dans la phrase « elle a couché pour avoir le poste ». Cette phrase est utilisée lorsqu’une femme, plus qualifiée et plus intelligente que le macho, obtient le poste que ce dernier convoitait. On peut aussi rencontrer : »cette connasse, elle a couché pour avoir le poste ».

féminisme(n.f.): Doctrine désignant le programme de mal-baisées, gouines et castratrices qui souhaitent « couper les couilles des vrais mecs » [sic].
( J’ai , enfin, l’explication des insultes;…quand on sait qu' »elles » ne repoussent pas , en plus…Quelle horrible frayeur, il a du avoir ! …Pôv chou !)

galanterie (n.f.) : code de conduite adopté par les machos affirmés ou refoulés, visant à faire sentir aux femmes qu’elles sont inférieures. N.B. : dans les civilisations évoluées, le code en vigueur est la courtoisie, qui s’applique à tout le monde, sans distinction de sexe, âge, couleur, situation sociale, etc.
gouine (n.f.; masculin irrégulier : PD ): La gouine est une femme qui rappelle parfois au macho que chaque année en France 400 femmes sont tuées par leur conjoint, que la prostitution est une forme d’esclavage et autres faits de société. Par extension, « gouine » est aussi un synonyme de « féministe ». N.B. : au départ, « gouine » signifiait « lesbienne », le sens a dérivé par un mouvement de pensée (autant qu’il est possible pour le macho d’avoir une pensée) propre au macho et donc incompréhensible. « Gouine » est parfois encore utilisé dans cette acception.
hystérique (n.f. ou adj.): femme qui gifle le macho qui lui fait l’honneur de lui mettre la main aux fesses.
Ex.: La femme : « Mais enfin, qu’est-ce qui vous prend? »
Le macho : « Dis donc, elle est complètement hystérique,elle aime pas [sic] les hommes, cette gouine ! » ( murmures d’approbation des autres machos présents dans le bus où a eu lieu la scène)
intuition (n.f.): nom souvent accompagné de l’adjectif « féminine ». Les femmes étant moins intelligentes que les hommes (sauf les connasses), le macho attribue communément à la femme la qualité dite d’intuition, qui lui permettrait de percevoir grâce à sa sensibilité particulière certaines choses invisibles à l’oeil nu, tel le chien percevant l’imminence d’un tremblement de terre.
lesbienne (n.f.): fantasme du macho qui s’imagine pouvoir prendre part à des jeux sexuels en compagnie de deux femmes.
mal-baisée (adj.): Femme qui revendique la parité, les droits des femmes. Pour le macho, la mal-baisée revendique l’égalité parce que [sic] « son homme ne lui en donne pas assez, avec moi, ça irait mieux ».
PD (n.m., masculin irrégulier de « gouine ») : Le PD est un homme qui participe aux tâches ménagères, s’occupe de ses enfants ou affiche une conscience féministe. PD est en fait une écriture phonétique du mot pédé, lui-même abréviation de pédéraste, qui est le masculin irrégulier de « lesbienne ».
pute (n.f.): La pute est une femme qui est amoureuse d’un homme plus riche ou plus célèbre que le macho.
salope (n.f., pas de masculin en macho, souvent accentué en « saaalooope »): La salope est une femme qui, n’étant pas attirée par le macho, refuse tout commerce sexuel avec lui, mais a cependant une vie sexuelle avec d’autres hommes qu’elle juge séduisants. Présent dans le dicton : « Toutes des salopes, sauf maman » (attribué à Sigmund Freud).  »

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