Une petite gâterie ?

Au féminin.com :

 » Il a envie, moi pas.

Je lui fais plaisir sans me forcer.
La solution : Pas question de se forcer, on est bien d’accord. Mais au lieu de le repousser froidement et d’éteindre la lumière, on prend un peu sur soi et on offre à Biquet une petite gâterie, vite fait bien fait, rien que pour lui.  »

Bien, bien, bien…
…Et s’il « prenait un peu sur lui » pour « offrir à Biquette une petite tendresse vite fait bien fait, rien que pour elle  » ?

Mais, » pas question de se forcer, on est bien d’accord  » !

Ca n’mange pas d’pain ( il paraît que ça tourne depuis un moment déjà…)

 » AVC = Accident Vasculaire Cérébral

Cela peut servir ! Prenez quelques minutes pour lire ceci et peut-être sauver une vie et contribuer à faire connaître le danger que représente l’Accident Vasculaire Cérébral.

Lors d’un barbecue, Julie trébuche et fait une chute. Elle affirme aux autres invités qu’elle va bien et qu’elle s’est accrochée les pieds à cause de ses nouveaux souliers.

Les amis l’aident à s’asseoir et lui apportent une nouvelle assiette. Même si elle a l’air un peu secouée, Julie profite joyeusement du reste de l’après-midi …

Plus tard le mari de Julie téléphone à tous leurs amis pour dire que sa femme a été transportée à l’hôpital … Julie meurt à 18h. Elle avait eu un Accident Vasculaire Cérébral lors du barbecue.

Si les personnes présentes avaient été en mesure d’identifier les signes d’un tel accident, Julie aurait pu être sauvée.

Un neurologue dit que s’il peut atteindre une victime d’AVC dans les trois heures, il peut renverser entièrement les effets de la crise. Il affirme que le plus difficile est que l’AVC soit identifié, diagnostiqué et que le patient soit vu en moins de trois heures par un médecin.

Reconnaître les symptômes d’un AVC : Poser trois questions très simples à la personne en crise :

1. Lui demander de SOURIRE.
2. Lui demander de lever LES DEUX BRAS.
3. Lui demander de PRONONCER UNE PHRASE TRES SIMPLE (ex. Le soleil est magnifique aujourd’hui).

Si elle a de la difficulté à exécuter l’une de ces tâches, appelez le 15 et décrivez les symptômes au répartiteur. Selon un cardiologue, si tous ceux qui reçoivent cet e-mail l’envoient à leur tour à 10 personnes, une vie au moins pourrait être sauvée par jour.

( ON FAIT BIEN SUIVRE DES BLAGUES, DES PPS, ON PEUT BIEN FAIRE SUIVRE DES CHOSES UTILES, PENSEZ-Y !!! )  »

C’est fait !

Domination STRUCTURELLE des hommes sur les femmes ? Oui affirme cette sociologue.

Source : Le journal du CNRS.

Sociologue
Brigitte Lhomond, sociologue, chargée de recherche au Triangle 1, spécialiste des constructions sociales de la sexualité, des rapports de sexe et des violences contre les femmes

Le 25 novembre 2008 a lieu la journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes, décrétée par l’Onu.

Dans quelle mesure ce problème concerne-t-il encore les Françaises ?

Brigitte Lhomond :
Réalisée en 2000, l’enquête Enveff, première enquête nationale sur les violences envers les femmes, a prouvé que notre pays n’était pas épargné. Menée sur un large échantillon (6 970 répondantes, âgées de 20 à 59 ans), incluant les principales formes de violence (physiques, psychologiques, sexuelles…), dans des contextes variés (couple, famille, espace public, travail…), elle a permis de se faire une idée plus précise de l’ampleur du phénomène. Ainsi, près d’un quart des femmes interrogées ont subi des agressions physiques ou sexuelles au cours de leur vie.
Et un peu plus d’une sur dix déclare avoir subi des violences sexuelles (attouchements forcés, tentatives de viol ou viols) depuis l’enfance. Des données alarmantes, surtout quand on sait que les femmes en parlent avec difficulté et que certaines ont pu, lors de l’enquête, minimiser, voire taire, les agressions dont elles ont été victimes.

Dans quels contextes se produisent ces violences ?B.L. :
Au sein du couple, pour le plus grand nombre. Ainsi, en 2000, une femme interrogée sur dix vivait dans un climat de violence conjugale, subissant insultes, pressions psychologiques, agressions physiques ou pratiques sexuelles imposées. Dans l’espace public (rue, magasins, etc.), une femme sur cinq a subi une forme de violence (pour la moitié d’entre elles, il s’agissait d’injures). Enfin, le contexte du travail est aussi difficile : 17 % des femmes en activité ont dénoncé les pressions psychologiques dont elles ont fait l’objet.

Beaucoup de femmes témoignent de leur crainte de se promener seules la nuit dans la rue, et d’y être agressées par un inconnu…
B.L. : … Et pourtant, la plupart des agressions dans l’espace public ont lieu en plein jour, en public, dans des lieux fréquentés habituellement. De plus, la victime connaît souvent son agresseur. Les résultats de notre enquête ont donc permis de remettre en question bon nombre d’idées reçues. Autre exemple : bien qu’elle soit vécue par les femmes comme un espace protégé, c’est dans la relation de couple qu’a lieu la majorité des violences. Celle du conjoint n’est pas seulement physique : elle se manifeste de multiples façons, dans un continuum qui inclut l’hostilité verbale, le harcèlement psychologique (le plus fréquent), jusqu’à l’agression physique ou sexuelle. La violence conjugale concerne enfin tous les milieux sociaux.

Les victimes ont-elles souvent recours à une aide extérieure ?
B.L. : Rarement. D’abord, parce qu’elles gardent le silence, par honte ou crainte de n’être pas entendues. Néanmoins, leur réaction dépend de leur âge – les moins de 25 ans sont plus loquaces –, du type de violences et de leur lien avec l’agresseur : le secret est d’autant mieux gardé que la violence advient dans une relation intime, et que la victime est dépendante (financièrement, affectivement…) de son agresseur. Toutefois, près d’un quart des femmes agressées dans l’espace public font appel à une institution, notamment le commissariat ou la gendarmerie. Les atteintes subies au travail sont celles dont les femmes parlent le plus, et une femme sur deux s’adresse alors à sa hiérarchie.

Ne trouvez-vous pas qu’il y a tout de même des progrès ?
B.L. : Bien entendu, mais lents… Sous la pression des mouvements féministes des années 1970, les pouvoirs publics se sont emparés du problème. Les transformations juridiques(pénalisation du viol, qualification du harcèlement sexuel comme délit) ont quelque peu facilité les recours judiciaires. À la suite de la Conférence mondiale sur les femmes de Pékin en 1995, qui a enjoint les États à entreprendre des actions dans ce domaine, notre enquête a pu être menée, permettant aux associations de disposer de données chiffrées. Depuis 2000, les lois qui pénalisent les violences conjugales ont été renforcées, et une ligne d’écoute nationale (le 3919) vient d’être mise en place. Des mesures que le Collectif national pour les droits des femmes, qui propose, à l’instar de l’Espagne, une loi-cadre incluant l’ensemble de ces violences, voudrait voir élargies.
N’oublions pas, enfin, qu’une domination structurelle des hommes sur les femmes perdure dans notre société, et que la violence, comme la crainte qu’elle engendre, participe de cette domination. Par conséquent, tout ce qui concourt à renforcer l’autonomie des femmes s’avère globalement un bon moyen pour lutter contre ces violences.

Propos recueillis par Stéphanie Arc

De l’acide…pour l’infidélité féminine !

Cramée
Shahrazade, crâmée non pas par infidélité, mais par la seule volonté de son prétendant !

Son assassin manqué fait des émules ?

L' »infidélité féminine » vue par certains membres de yahoo Q/R | 08 juillet 2008

Question:
« Que pensez vous de l’infidélité féminine ? » (NINA)

Réponse d’une nana:
« C’est très grave
Par contre l’infidélité masculine est pardonnable » (Assourba…)

Réponse d’un mec:
« je pourrais pas pardonner o contraire elle se prend un verre d’ acide ds la tronche! apres il y a plusieur raison a l infidelite! » (damien69)

Ces deux réponses ont été transmises une dizaine de minutes après la mise en ligne de la question.

Droit de visite…et harcèlement des femmes par l’ex mari !

Impuissante
Pour éviter PLUS de VIOLENCES aux ENFANTS… (Photo Daily motion)

Source : Site d’Isabelle Alonso.

 » Patricia Romiro ( Profeseure de psycho/sociale, Université de Trieste )
Santé mentale des femmes et les réponses sociales aux violences qu’elles subissent.

…  » – Dans les dernières années, beaucoup de femmes ont lutté, au niveau individuel et collectif, pour que les hommes prennent davantage en charge les enfants, pendant la vie commune ou après une séparation. En fait, les études menées dans différents pays sur la garde conjointe montrent que les mères continuent à faire le plus gros du travail, qu’il s’agisse du travail matériel, émotionnel ou organisationnel.
La situation devient beaucoup plus compliquée quand la femme se sépare d’un homme qui a été violent, qui souvent continue à l’être et qui profite du droit de visite ou de la garde conjointe pour continuer à harceler son ex-femme. Ce sont des situations très fréquentes, que les travailleuses des Refuges ou des Centres anti-violence (comme on les appelle en Italie) connaissent très bien. Parfois, dans ces cas, les tribunaux et les services sociaux organisent des visites « protégées » : le père voit l’enfant en présence d’un tiers – éducateur, travailleur social – pour éviter qu’il puisse agresser verbalement ou physiquement l’enfant ou la mère.
Ces visites protégées peuvent continuer pendant des années, puisque ces pères ne veulent pas ou ne savent pas modifier leur comportement, avec des coûts psychologiques pour les enfants et les femmes, et des coûts économiques pour toute la société.
Il faut bien se rappeler que c’est la société – nous, les contribuables – qui payons ces coûts-là, et non pas les hommes violents.
Mais dans certains cas, ce filet de protection ne suffit pas, et l’homme tue ses enfants, et parfois finit par se suicider. Au-delà de l’analyse de ce qui se passe dans la tête de ces hommes – leur violence, leur entêtement à considérer femme et enfants comme si c’était leurs possessions, leur souffrance aussi – il faut bien voir que ces situations sont rendues possibles par les décisions des divers acteurs sociaux : juges, travailleurs sociaux (des deux sexes), psychologues.
Ces décisions se basent sur plusieurs présupposés :
la présence d’un père est indispensable au bon développement d’un enfant, même s’il est un homme violent ;
un père a des droits sur son enfant, et ces droits doivent prévaloir, même si c’est contre l’intérêt de l’enfant ;
il y a séparation entre violence envers la conjointe et violence envers l’enfant, un mari violent peut être un bon père ;
de toute façon, les femmes et les enfants mentent, et si elles/ils dénoncent des violences paternelles, c’est pour se venger, parce que les mères manipulent les enfants etc.
Ces assomptions, toutes contestables, montrent que nous sommes encore bel et bien dans une société patriarcale et déterminent le contexte dans lequel se produisent ces meurtres. »…

Ces ordures ont l’éternité devant eux !

" Des lecteurs du Figaro qui lâchent Sarkozy"…Le début de la fin ?

Sarko

Source de l’article « auchatquipeche »

 » Des lecteurs du Figaro qui lâchent Sarkozy

« Le blogueur CSP a relevé un certain nombre de commentaires sur le site du Figaro concernant la proposition de Nicolas Sarkozy de remettre en cause les cotisations famille : « Je finis par regretter Chirac « …

« je vais vomir »

« Sarkozy, destructeur de la famille ! »

« Dites adieu à vos allocs  »

« depuis le temps qu’on vous dit que c’est un grand malade !  »

« J’en peux plus de ce guignol!  »

« Honte à vous de faire de « l’exemple » Rachida un exemple !!!! »

« Sarkozy a définitivement dépassé les bornes »

« sarko se fout du peuple!  »

« Du goudron et des plumes ! »

« si ça continue il va diminuer nos congés payés aussi »

« ce qu’il y a vraiment de beaucoup plus urgent à raccourcir, ce n’est peut-être pas le congé parental, mais plutôt le mandat de Nicolas Sarkozy »

« Rendez-nous Chirac !!! ( à quelle extrémité en est-on réduit…) »

«complètement perdu les pédales»

«Je crois que les Français s’en souviendront longtemps de celui là !»

«N’y a-t-il personne dans son entourage pour le calmer ?»

«Il va se mettre toutes les catégories de la population Francaise à dos»

«sortez ce pitre , et vite!»

«2 conneries par jour : un as !»

«Ras le bol , dehors!»

Lire la totalité de l’article sur le blog de CSP

Article sélectionné par Vendredi

Dimanche 15 Février 2009 – 18:28
CSP
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Allez-vous vieillir ensemble ?

peace and love
Arbres unis : »Peace and love » à Pékin.

Source : accueil d’ Orange.

 » Etude sur : « Allez-vous vieillir ensemble ? »

MOTS CLÉS :aimer, mariage, femme, homme, partenaires
AUTEUR :Michel Frayon

Le résultat mathématique de l’étude a permis d’établir que les couples qui conservent leur calme et se respectent mutuellement sur 80% du temps de discussion alors qu’ils sont en train d’argumenter, ont une chance de célébrer un jour leurs noces d’or.

« Les autres dont le taux de RESPECT se situe en dessous de ce pourcentage feraient mieux de passer immédiatement un coup de fil à leur avocat », note avec ironie John Gottman qui a passé près de 30 ans à travailler sur les causes de l’échec du mariage. Et aux dires de l’intéressé, il est très heureux avec sa femme qu’il a épousée voici une quarantaine d’années !  »

QUE 34 ans, mais je…confirme !

Secret de…femmes !

Enfin, la vérité sur la création de l’homme!

 » Un jour, au jardin d’Éden, Ève s’adressa ainsi à Dieu :
– Seigneur, j’ai un problème….
– Lequel ?
– Seigneur, je sais que vous m’avez créée et que vous m’avez donné ce
magnifique jardin et tous ces merveilleux animaux et ce grand bouffon
de serpent mais je ne suis pas heureuse.
– Qu’est-ce qui t’arrive ?
– Seigneur, je suis seule, et j’en ai ras le bol des pommes.
– J’ai une solution. Je vais créer un homme pour toi.
– Qu’est-ce qu’un homme, Seigneur?
– Une créature imparfaite, avec plusieurs défauts. Il mentira, trichera, sera vaniteux et s’auréolera de gloire ; il t’en fera voir de toutes les couleurs. Mais. il sera plus grand que toi, plus fort, plus rapide et il aimera chasser et tuer. Il aura l’air ridicule quand il sera excité, mais puisque tu t’es plainte, je le créerai en sorte qu’il satisfasse tes besoins physiques. Il sera un peu niais et s’amusera à des choses inutiles comme se battre et jouer au ballon. Il ne sera pas trop brillant, aussi aura-t-il besoin de tes conseils pour bien orienter sa pensée.
– Superbe! dit Ève, avec un haussement de sourcils ironique. Où est le piège, Seigneur?
– Tu peux l’avoir à une condition.
– Quelle est-elle, Seigneur?
– Comme je te l’ai dit, il sera fier, arrogant et vaniteux. Alors tu devras lui laisser croire que je l’ai créé en premier. Mais rappelle-toi, ce sera notre petit secret, un secret entre nous, entre femmes « …

( encorefeministe )

Dieu EST une femme : je le savais !