Pause pipi…

tresjoli
( Envoi de Marie Lys de Bretagne )

A savourer lentement…


 » Va là où tu souhaites aller

Cherche à être ce que tu désires être

Parce que la vie est UNIQUE « …

Cesse de vivre par procuration…UNE fois dans ta vie !

Tortue de Mayotte
(Aquarelle virtuelle; cliquer pour agrandir).

Et danse avec les tortues à Mayotte…

Agressions sexuelles , par des…maires !

Source AVFT : à voir sur le site, les condamnations des maires…
 » Les Partis ont-ils une politique contre les violences sexuelles commises par leurs élus ?Lettre ouverte aux responsables des partis politiques
le 25 janvier 1999 Tous les communiqués de l’année 1999.

Madame, Monsieur,

Créée en 1985, l’Association européenne contre les Violences faites aux Femmes au Travail (AVFT) a pour objet, notamment à travers le soutien qu’elle apporte aux victimes de violences sexistes ou sexuelles dans le travail, de rendre visibles la réalité et l’ampleur des violences contre les femmes et de lutter pour parvenir à une tolérance zéro à l’égard de ces violences aux plans individuel, collectif et institutionnel.

A plusieurs reprises, des femmes victimes d’agressions sexuelles (viol, agression sexuelle, exhibition sexuelle, harcèlement sexuel) nous ont fait part du comportement pénalement répréhensible d’élus, qu’ils aient été auteurs ou complices de ces agressions sexuelles ou qu’ils se soient abstenus d’intervenir, se rendant alors coupables de non assistance à personne en danger.

Les violences sexuelles sont inacceptables. Elles constituent une atteinte aux droits individuels les plus élémentaires (droit à la sécurité, à la liberté, à l’intégrité physique) dans une démocratie.

Elles sont incompatibles avec l’exercice de fonctions ou de responsabilités électives. Les partis politiques ne peuvent les cautionner. Des agresseurs ne sauraient légitimement représenter des citoyennes et des citoyens.

Nous vous demandons donc de prendre une position officielle sur les questions suivantes :

l’ouverture d’une instruction pour agression sexuelle à l’encontre d’un élu entraîne-t-elle sa suspension ?
un élu condamné pour des violences sexuelles peut-il continuer à exercer ses fonctions électives ?
un élu condamné peut-il continuer à se prévaloir de son appartenance à votre parti ?
votre parti donne-t-il des consignes aux élu-es (conseiller régional, conseiller général, maire…) notamment en matière disciplinaire, les incitant par exemple à se séparer de collaborateurs coupables d’agressions sexuelles ?

Dans l’attente de votre réponse, nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, nos sincères salutations.

Catherine Le Magueresse
Présidente

Pièces jointes :
note sur la situation de Mme A et coupures de presse.

Mme A et AVFT c/ M. X Conseillère municipale agressée par l’adjoint au maire.
Elue en juin 1995, Mme A, conseillère municipale a été agressée par l’adjoint au maire, M. X.
Les faits dévoilés par Mme A peuvent recevoir les qualifications pénales d’injure, d’exhibition sexuelle, de harcèlement sexuel, d’agression sexuelle, et de menace de mort.
En dépit des refus explicites et réitérés opposés par Mme A aux demandes sexuelles de M. X, ce dernier a multiplié les agressions.
Mme A a donc saisi le Maire, lui demandant d’exercer son autorité pour faire cesser ces agissements. Ce dernier lui a alors répondu : « il ne vous a pas violé, voilà ce que c’est d’être belle ».
Lors d’un autre rendez-vous avec le maire et en présence de celui-ci, son mari a été agressé par le fils de M. X, sans que le maire n’intervienne. Lors de cette agression, le maire proposa à Mme A de signer une lettre de démission.
Par la suite, Mme A a progressivement été exclue du conseil municipal et toutes ses délégations lui ont été retirées.
Lasse de constater qu’en dépit de ses démarches, M. X continuait de l’injurier et de la menacer dans l’impunité la plus totale, Mme A déposa une plainte contre son agresseur. Le Conseil municipal vota alors -à l’unanimité- une délibération déclarant qu’il trouvait « déplorable l’attitude de Mme A ».
En janvier 99, la demande de démission de Mme A et de M. X, proposée par le maire a été votée à l’unanimité. »

Mais diront certaines blogueuses:  » ELLE l’a sûrement cherché », n’est-ce pas ?…d’une façon , ou d’une autre !!! Ou bien que c’est une pure machination!

C’est surréaliste de voir combien notre société machiste du pénis/roi, a réussi à formater des femmes…contre leurs semblables!

Elles me rappellent les contremaîtres métisses, du temps de l’esclavage; ils se montraient plus féroces que les blancs vis-à-vis des esclaves , pour s’imaginer appartenir au même monde que leurs…maîtres!

Victime: témoignage audio…

http://www.europe1.fr/extension/player-video/design/standard/swf/player_audio.swf
( Si ça ne marche pas , allez sur le site de d’ « Europe 1 » : c’est violent !)

TEurope 1

ANNIE SOUSSY – DOCTEUR AU CENTRE HOSPITALIER INTERCOMMUNAL DE CRETEIL

[ L’accompagnement après la plainte :
« C’est très difficile de porter plainte, c’est une étape importante…Il faut qu’elles en parlent, qu’elles soient examinées, qu’elles soient orientées vers des associations ».

Transcript VidéoC’est très difficile de porter plainte, surtout porter plainte contre une personne avec qui elles vivent, elles ont construit quelque chose, elles ont des enfants, mais ce qu’on essaie de leur dire, et justement même quand elles ont porté plainte, parce qu’elles se sentent souvent coupables d’avoir porté plainte, c’est que c’est une étape importante, parce que ce qu’elles ont vécu souvent pendant un temps assez long, que ce n’est pas normal, que ce n’est pas un comportement normal d’être victime de violences psychologiques et aussi de violences physiques, les deux séparées ou les deux associées de la part d’une personne quelle qu’elle soit, même si c’est une personne qu’elles aiment, pour laquelle elles éprouvent des sentiments, souvent elles n’ont pas porté plainte parce que c’est pour protéger les enfants, et ce sont les enfants qui un jour leur disent, et souvent même quand ils sont très jeunes, leur disent « Il faut arrêter, on ne peut plus supporter ça », même s’ils ne sont pas conscients des difficultés d’en parler, le fait d’en parler, de porter plainte, ce sont les difficultés qui vont être rencontrées, mais c’est eux qui vont dire à leur mère de réagir.

C’est important qu’elles en parlent, c’est important parce qu’on a des moyens maintenant, on peut les orienter vers, déjà qu’elles soient examinées, qu’elles doivent faire un bilan sur le plan somatique, parce que souvent elles ne reçoivent aucun soin, elles vont jamais à l’hôpital même si elles ont été blessées, donc déjà qu’elles puissent bénéficier de cette prise en charge, qu’elles soient orientées vers des associations ensuite pour les aider aussi sur le plan juridique, sur le plan psychologique et puis après effectivement c’est un parcours qui va être difficile mais c’est un parcours qui va permettre de leur faire commencer peut-être une autre vie, de ne plus subir de violences.
Bien que de plus en plus dénoncée, la violence à l’égard des femmes au sein du couple demeure aujourd’hui encore très mal connue et largement sous-estimée.

Selon une enquête nationale publiée en 2003 , les actes de violence au sein du couple touchent près d’une femme sur dix en France, quels que soient leur âge, leur origine et leur milieu. Elle est liée à une discrimination fondée sur l’appartenance sexuelle.

La violence contre les femmes, quelle que soit sa manifestation, s’accompagne et se nourrit d’une forme d’emprise, système complexe de domination régit par le contrôle et la peur. La plupart des femmes qui subissent des violences se trouvent piégées : elles ne peuvent ou ne savent souvent pas comment en sortir.

Bien qu’il s’agisse de violences commises dans la sphère privée, ce sont des violations des droits humains comme les autres et elles concernent donc l’Etat.

Au regard du droit international, celui-ci est comptable de ces violences.

Son rôle est de faire tout ce qui est en son pouvoir pour les empêcher, punir les coupables et apporter aux victimes la protection, l’aide et les compensations nécessaires.
mier
A l’image de la société, les professionnels concernés considèrent encore trop souvent qu’il s’agit de simples conflits familiaux. Tant que la violence faite aux femmes sera occultée ou relativisée, tant qu’elle ne sera pas suffisamment prise en compte par l’État et reconnue comme un véritable enjeu par la société toute entière, elle ne cessera pas.

En 2007, le Gouvernement a mis en place un numéro d’appel unique, le 3919, qui répond aux personnes victimes ou témoins de violence et les redirige vers des associations et services spécialisés qui les prendront en charge.]

SIGNEZ la PETITION EN LIGNE adressée au Premier Ministre )

Ah ! les femmes…( de Marie Lys de Bretagne )

Ah les mecs !

De Marie Lys :

 » Les 10 expressions utilisées par les femmes

1) BIEN: le mot utilisé par les femmes pour clore une discussion quand elles ont raison et que tu dois te taire.

2) 5 MINUTES: si elle est en train de s’habiller, signifie une demi-heure. 5 minutes, et seulement 5 si elle t’a donné 5 minutes pour regarder le match ou jouer à la Playstation avant de sortir ou de faire n’importe quoi d’autre ensemble.

3) RIEN: le calme avant la tempête. Ça veut dire quelque chose…et tu devrais rester attentif. Les discussions qui commencent par rien finissent normalement par BIEN (voir le point 1).

4) VAS-Y FAIS-LE: c’est un défi, pas une permission. Ne pas le faire.

5) SOUPIR: c’est comme un mot, une affirmation non verbale souvent mal interprétée par les hommes. Un grand soupir signifie qu’elle pense que tu es un idiot et se demande pourquoi elle perd son temps avec toi à discuter de RIEN (cf retour au point 3).

6) OK: un des plus dangereux mot qu’une femme puisse dire à un homme. Ça veut dire qu’elle a besoin d’y réfléchir avant de décider quand et comment te le faire payer.

7) MERCI: une femme te remercie; ne pas poser de questions ou ne pas s’évanouir; elle veut seulement te remercier (à moins qu’elle ne dise « merci beaucoup » qui la plupart du temps peut être du sarcasme pur).

8) COMME TU VEUX : la manière pour une femme de dire vas te faire voir

9) NE T’ EN OCCUPE PAS, JE LE FAIS: une autre affirmation dangereuse; ça signifie qu’une femme a demandé à un homme de faire quelque chose plusieurs fois mais maintenant elle est en train de la faire. Ça amènera l’homme à demander « qu’est-ce qui ne va pas ? »
Pour la réponse de la femme, voir le point 3.

10) C’EST QUI?: ce n’est qu’une simple demande…souviens-toi quand même que chaque fois qu’une femme te demande « qui c’est », en réalité elle voudrait te demander: « c’est qui cette pétasse, et comment tu la connais?????  »

Le sexe…et la tendresse .

Amour

Pour un ami/blog qui me l’a « offert »… mais que je n’ai pas réussi à écouter . Merci…pour nous changer des… »vilains méchants »!

…  » – Avant de venir aux Antilles, j’ai capté une émission canadienne sur Canal Sat, dit Cécile. Il s’agissait d’un talk-show, qui avait pour sujet : « Les hommes veulent du sexe, les femmes de la tendresse ». On ne pouvait être plus clair.
Il y avait ceux qui pensaient qu’il fallait éduquer les hommes pour que les femmes y trouvent leur compte et réciproquement ; les hommes et les femmes continuant, bien sûr, à prendre la norme du couple hétéro comme unique modèle possible. Et puis il y avait ceux, pardon, celles qui concluaient que la perception du monde, les centres d’intérêt, la sexualité, sont trop radicalement différents, chez les deux sexes. Qu’il vaudrait mieux que chacun vive de son côté, en pleine harmonie avec ses aspirations les plus personnelles. Ce qui n’empêcherait nullement chacune de retrouver son chacun, aussi souvent qu’ils le désireraient, pour une sexualité partagée ou pour toute autre occupation.
Ce serait une société plus juste et plus sereine, moins hypocrite, sans préjugés destructeurs et qui prendrait en compte les différents types de sexualité ; hétérosexuels, bien sûr, mais aussi homosexuels mâles et femelles, bisexuels, transsexuels, etc.
La sexualité de chacun ou de chacune lui appartient en propre, de façon non négociable. Personne n’a le droit de décider pour autrui, de ce qui lui convient dans ce domaine si intime, pas même le Pape !
La société actuelle, régie par des Mâles et des religions, en a décidé autrement. Le sexe et l’utérus des femmes sont « leur propriété », alors que le Mâle, lui, fornique librement et de manière désinvolte. Dans certaines religions, ils ont même institué le mariage forcé et la polygamie. Les femmes nées libres et égales doivent changer le monde des Mâles…ou le fuir.
-Tu as raison, confirme Maxime. Rien sur le plan génétique, anatomique ou physiologique ne prédispose la femme à servir l’homme. L’homme et la femme ne naissent pas oppresseur et opprimée : ils le deviennent. L’homme devra changer, sous peine de se retrouver « tout seul ». La femme, elle, pourra toujours profiter de la chaleur et de la tendresse de ses petits. » …