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… »Au lieu de jouer franchement la carte de la sécurité sociale professionnelle – ce qui supposait de renforcer sérieusement le compte personnel d’activité, innovation précieuse mais pour l’instant embryonnaire -, on a mis au premier plan les concessions aux entreprises, dont certaines sont utiles ou acceptables, mais d’autres franchement provocatrices, comme le plafonnement des indemnités ou la définition du périmètre du licenciement économique. Du coup, ce projet qu’on pouvait écrire différemment, dans un sens nettement plus social, catalyse l’amertume et la colère accumulées au fil d’une crise sans fin. La discussion est en cours et, sous l’influence des syndicats de salariés, on peut améliorer substantiellement le texte »…(Extrait).
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« Le relatif succès de la manifestation étudiante… »
Peut-être que certains accordent plus d’intérêt à une ‘ambiance patronale’ plus encline à embaucher au-delà du strict minimum, qu’à une sécurité ‘personnelle’ hyper bétonnée ?
Il faut espérer que » les concessions aux entreprises, dont certaines sont utiles ou acceptables, » soient…acceptées !
Et « d’autres franchement provocatrices, comme le plafonnement des indemnités ou la définition du périmètre du licenciement économique. » .. supprimées ?
De la même manière qu’on ne peut pas empêcher ou mettre fin à une grève, à moins de négociations acceptées par les salariés
On ne peut pas obliger un patron à embaucher -plus que le strict nécessaire- si c’est automatiquement les prud’hommes, le tribunal, les démarches et les délais sans fin, pénalisants pour la bonne marche de son entreprise…
SAMBO NANAS 